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Cadeau empoisonné – Chapitre 1




En ce vingt-quatre décembre deux mille seize, l’effervescence de Noël est à son comble. Et comme un évènement n’arrive jamais seul, Grégory va aussi faire la connaissance de sa belle-famille.

Il est en couple avec Louise depuis un an et demi. Ils s’entendent plutôt bien, et la jeune femme de vingt-ans à trouver que cette invitation arrivait à point nommé.

Pour faire bonne impression, le garçon a mis une chemise blanche, un jean bleu, et des chaussures marron. De son côté, Louise s’est vêtue d’une robe noire classique. Il est aux alentours de dix-huit heures, les deux protagonistes partent en direction d’un tout petit village au milieu de la campagne landaise.

Ils sont accueillis par les parents, les oncles et tantes, les cousins et quelques voisins avec qui ils partagent la plupart des évènements festifs. Grégory qui ne connaît pas trop le monde rural est assez impressionné par la convivialité qui s’y dégage. Il salue toutes les personnes, puis une discussion sur la politique et la société s’engage entre le père et l’oncle. Lui qui travaille dans le journalisme, s’autorise à prendre part à ce bavardage.

Puis vient le sacro-saint moment de l’apéritif, il est plutôt copieux, puisqu’il y a des toasts au foie gras, au saumon et au guacamole. Le tout est accompagné d’une soupe au champagne. Comme convenu précédemment, Louise autorise Grégory à boire puisque c’est cette dernière qui prendra le volant pour le chemin du retour. Du coup, elle prend un soda, mais subit aussitôt les moqueries de deux voisins qui n’ont d’après leur propos pas l’habitude de la voir aussi sage.

Ils sont assez jeunes, vingt-cinq ans. L’un s’appelle Martin et l’autre Nicolas, ils sont rugbymans dans l’équipe locale. Grégory sourit en entendant cette remarque, puis c’est maintenant les entrées qui arrivent sur la table. Une fois de plus, c’est assez copieux, il y a des huîtres, du foie gras, une cassolette de fruits de mer, le compagnon de Louise n’a jamais vu autant de victuaille sur une table.

Les jeunes voisins retournent chez eux, pendant ce temps-là, le père de Louise propose un verre de vin blanc issu d’un petit producteur. Bien entendu, Grégory qui est malgré tout un gastronome savoure ce breuvage. Les discussions reprennent aussitôt, puis la mère de famille et une tante débarrassent la table afin d’apporter la fameuse dinde.

Le temps semble interminable, on pourrait croire qu’il s’agit d’une pause dans le temps. Au bout d’un bon quart d’heure, les femmes reviennent avec la volaille. L’odeur de cette dernière est enivrante, puis tout le monde pique un morceau. On pourrait presque croire que les gens meurent de faim alors que ce n’est pas du tout le cas.

À la fin de ce copieux dîner, nous avons en dessert la traditionnelle buche glacée. Ils  boivent une coupe de champagne en attendant l’arrivée du père Noël.

Une des tantes à la copine de Grégory fait de nombreux aller-retour entre la maison familiale et celle des voisins. Ces derniers en sont au digestif, il est donc supposable qu’elle y va pour boire un peu plus que de raison.

Louise observe le manège de sa tante, elle se pose des questions, interroge son compagnon du regard, puis prend la décision de suivre la femme chez les voisins. Il y a un peu de monde, mais pas trop, juste les parents et les deux fils.

Martin recommence à la taquiner sur le fait qu’elle ne boit plus ou pas d’alcool. Louise confirme que ce soir, elle sera sérieuse, car c’est elle qui conduit. Le jeune homme qui est plein d’audace, lui demande si chez ses parents il n’y a pas sa chambre. Cette dernière ne peut qu’affirmer les propos du garçon.

Ce dernier lui tend un verre de vodka, ce qui est la boisson préférée de Louise lorsqu’elle sortait avec des amis afin de boire un coup. La jeune femme résiste et dit non, puis soudain sa tante lui dit que dans la vie, il faut savoir se faire plaisir. Louise se résigne, prend le récipient, dans tous les cas, il n’y a aucun risque à partir du moment où il n’y a qu’un verre et pas plus.

Nicolas le deuxième frère, offre une accolade à Louise pour la féliciter. Le quatuor trinque aux fêtes de Noël. Dans la pénombre, alors que Grégory était en train de fumer sa cigarette sur le perron de la maison familiale, s’aperçoit de la scène à travers la baie vitrée. Son regard est assez suspicieux. Il cherche par tous les moyens de trouver un accès à cette maison.

Dans sa jeunesse, le jeune homme était un petit délinquant. Ce qui fait qu’aucune porte ou fenêtre lui résiste. Il fait le tour de la maison le plus doucement possible, et trouve une baie qui donne sur la cuisine, par chance, cette dernière est ouverte. Il marche à pas de loup en direction de la salle à manger et se cache en bas de l’escalier. Depuis cet endroit, il entend tout et surtout, il voit.

Louise de son côté tente d’esquiver le deuxième remplissage de son verre. Martin insiste un peu, il faut dire que les deux lurons ont eu des aventures lorsqu’ils étaient jeunes. Mais pour la jeune femme, tout ceci est du passé. Nicolas qui est un peu plus malin que son frère saisit le bras de Louise, le bloque. Son verre est alors rempli une deuxième fois.

Elle rouspète auprès des deux garçons que ce n’est pas correct de faire ça. Elle explique qu’elle doit rentrer chez elle. Martin lui signale qu’elle est déjà chez elle, puisque le domicile des parents est à proximité. Elle tente de convaincre le garçon en lui signalant que son compagnon est présent, qu’elle y tient et qu’elle ne veut pas faire de bêtises. Le ton qu’elle emploie reste malgré tout assez moqueur.

Il est fort probable que l’alcool désinhibe un peu la jeune femme, mais les sensations du passé finissent toujours par revenir. Elle sait très bien que Martin est un amant incroyable. Mais le destin en a choisi autrement. Sauf que dans l’esprit du garçon, tout ne se passe pas comme ça. À chaque fois qu’il voit Louise son cur bat la chamade et puis avec l’âge, les formes de cette dernière ont évolué.

Le trio se pose dans le canapé de la salle à manger. Grégory continue de voir ce spectacle affligeant. Il en a la boule au ventre, il vomirait presque tout le repas qu’il vient de manger.

De son côté, Louise se voit offrir un troisième verre de vodka. Dans le même temps, Martin complimente la jeune femme sur la beauté de sa tenue, sur la douceur de ses jambes lorsque la main de ce dernier caresse la partie nue et sur la douceur de sa joue lorsqu’il y dépose un bisou furtif.

Louise qui est encore totalement consciente de ce qui se passe, commence à ressentir des frissons lui parcourir le corps, dit à Martin que ce n’est pas correct de faire ça. Même si les compliments sont toujours appréciables. Nicolas qui est beaucoup moins romantique, demande à la jeune femme ce que porte les filles de la ville comme sous-vêtement, si c’est un string, une culotte ou un shorty.

La jeune femme répond qu’elle ne sait pas, car chacune fait comme elle le souhaite. Du coup, Nicolas reformule la question, en posant cette question à Louise. La femme est assez gênée. Elle veut garder son jardin secret pour elle. Martin qui est beaucoup plus audacieux, lui pose à son tour la question avec un brin de romantisme. Il rappelle à Louise qu’elle portait des culottes en laine à l’époque, sans doute que les goûts ont changé, lui dit-il avec le sourire au bord des lèvres.

Trouvant la question à la fois embarrassante, mais aussi marrante, la jeune fille répond aux garçons qu’elle ne porte rien. Grégory qui est toujours à proximité de l’escalier continu d’avoir la boule au ventre et cette réponse glace son sang. Il espère que la discussion va se terminer et que tout le monde va rejoindre sa maison.

Mais pas du tout, Martin lance, un « prouve-le » à Louise. Elle fait une mine outrée, puis lui répond que ce n’est pas possible. Le jeune homme lui fait alors des chatouilles au niveau des hanches, au niveau du cou et au niveau du dos. La jeune femme lui signale qu’il exagère. Il insiste, effectue quelques attouchements sur la poitrine de cette dernière puis elle se lève.

Elle est debout face aux deux voisins. Les rouspètent plus pour la forme qu’autre chose puis soulève et rabaisse sa robe en un temps record. Les garçons n’ont pas vraiment eu le temps de voir quoi que ce soit. Ils grondent la jeune femme. Cette dernière se rapproche un peu plus d’eux, puis effectue la même action.

Visiblement, elle a menti, puisqu’il y a un sous-vêtement sous la robe. Nicolas s’aperçoit du mensonge, se lève, puis vient à côté de Louise. Elle le questionne du regard, puis ce dernier soulève la robe. Il s’aperçoit qu’effectivement, elle porte un string. Il retourne Louise, elle est dos à Martin, et montre le sous-vêtement de cette dernière à son frère.

Martin ne reste pas de marbre face à ce fessier qu’il aime tant. Il ne se prive pas d’y mettre une petite fessée en guise de punition. Louise pousse un cri d’étonnement. Nicolas penche la femme en avant, puis lui arrache le string. Cette fois-ci, son intimité n’est plus couverte.

La barrière est franchie, la jeune femme ressent une nouvelle fois des frissons dans le bas de son ventre. Cette sensation s’accentue, lorsque Martin glisse un doigt dans le sillon des fesses afin d’atteindre le vagin de Louise.

Ce dernier est légèrement humide, de ce fait, le garçon n’a aucune difficulté pour commencer les préliminaires. Il a à présent deux doigts dans la vulve de Louise. De son côté, Nicolas a enlevé son pantalon, son caleçon afin de présenter sa verge noueuse devant la bouche de la jeune femme. Elle ne se fait pas prier, et suce avec vigueur cette tige de chair. Grégory de son côté, reste complètement stoïque en voyant cette scène. Il aurait envie d’intervenir de casser la figure aux deux frères, mais il sait très bien que c’est impossible. Il reste immobile et continu de voir la scène.

Cette fois-ci, Martin a plongé sa tête entre les fesses de Louise, il lèche la vulve de cette dernière, mais ne se prive pas de suivre le sillon des fesses. Il savoure le nectar qui coule de cet abricot délicieux. Les deux frères changent de position. C’est maintenant Nicolas qui se délecte de la cyprine pendant que son frère se fait sucer.

Louise titille le gland du jeune homme, puis avale complètement la verge. Elle fait plusieurs va-et-vient. Nicolas profite de ce moment pour se redresser et soulever le bas de la robe. Il présente son sexe à l’entrée de la grotte, puis en donnant un coup de rien pénètre la jeune femme. Dans un premier temps, il y va tranquillement, puis sa cadence augmente. Les fesses de cette dernière claquent contre le bas de son ventre.

Au bout de dix minutes, Louise se redresse, enlève la totalité de sa robe, se positionne à califourchon au-dessus de Martin puis s’empale. Les mouvements sont saccadés, puis la jeune femme trouve un rythme adéquat afin de donner du plaisir à son partenaire. Nicolas qui ne veut pas rester de côté, est debout sur le canapé. Il effectue des attouchements sur la poitrine de la jeune femme, et dans le même temps se fait sucer.

Les deux garçons changent de place, c’est maintenant Nicolas qui profite de la chaleur du vagin de Louise tandis que Martin se fait sucer.

La jeune femme est maintenant à quatre pattes sur le canapé, les deux garçons se succèdent afin d’offrir une levrette d’anthologie à Louise. Cette dernière grogne de plaisir, cri tout ce qu’elle peut. Grégory de son côté, continue d’avoir la boule au ventre, l’amertume s’empare de la totalité de sa gorge.

Nicolas est en train de prendre Louise, dans le même temps, il tente une approche audacieuse avec son doigt. Il essaye de pénétrer l’anus de la jeune femme. Cette dernière ne conteste pas, il en glisse donc un deuxième afin de dilater le petit trou. Il n’y pas va avec le dos de la cuillère. Il reste immobile et continu de voir la scène. Elle est, dans un premier temps, muette, ça fait assez longtemps qu’elle n’a pas pratiqué la sodomie, puis rapidement des cris de jouissance sortent de sa bouche.

Martin veut profiter de la situation, et échange la place avec son frère. Au bout d’une dizaine de minutes, le trio change de position. Louise est empalée sur le sexe de Nicolas, et son frère est derrière.

Elle est désormais prise en sandwich. Le trio prend un plaisir d’enfer. La jeune femme sent très bien les deux sexes coulisser en elle. Au bout d’un certain temps, Louise exprime sa troisième jouissance d’une manière assez forte.

Les deux garçons sortent de la jeune femme, elle est un peu dans le brouillard, allongée sur le dos les jambes outrageusement écartées. Martin en profite pour la prendre en missionnaire. Très rapidement, son gland gonfle de plaisir puis explose dans le vagin de Louise. Nicolas fait de même. Le trio s’embrasse, se câline. Pendant ce temps, Grégory fuit de la maison, essaye de trouver un bout de papier et un stylo. Il écrit tout est fini, j’ai tout vu, qu’il accroche à la porte du domicile familiale. Il monte dans sa voiture, puis s’échappe à toute vitesse.

Le trio quant à lui, se rhabille, essaye de faire bonne figure puis part en direction de la maison. En arrivant devant la porte, Louise voit le mot. Elle essaye de trouver toutes les excuses possibles pour se faire pardonner, mais rien n’y fait.

Grégory en a décidé autrement et il ne reviendra plus vers elle.

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