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Comment négocier un prêt quand on a que son physique pour soi – Chapitre 2




Quand il est venu la semaine suivante, même sil restait encore un peu timoré, on est vraiment entré dans le vif du sujet. En fait cest plutôt moi qui lai laissé entré entre mes cuisses. Il est arrivé tout souriant et après les banalités dusage, je lai débarrassé de sa veste, on sest embrassé et après lui avoir mis la main au paquet, je lai tiré par le bras jusquà ma chambre où on sest de nouveau galoché avant que je ne le bascule allongé sur mon lit. Je lui ai retiré son pantalon puis son caleçon avant de prendre son engin dans ma bouche. Il était touchant, il se comportait comme un ado lors des ses premiers émois. Il a profité du fait que je lui lustrais la tige pour retiré sa chemisette et sa cravate puis il sest mis à me regarder avec une joie non dissimulée en se relevant et en prenant appuis sur ses coudes.

Quand je lai senti suffisamment droit je me suis relevé, jai pris un préservatif dans la table de nuit pour le lui mettre et ensuite je me suis empalé sur son pieu.

Nous étions là, tous les deux : lui allongé sur le dos à profiter du moment et moi assise sur lui, son sexe dans le mien à me déhancher sur lui pour lui faire passer un pur moment de bonheur. Légèrement penchée sur lui, mes seins, quil ne quittait pas des yeux, se balançaient au dessus de son visage. Un peu frustré de ne pouvoir les caresser car ses mains étaient entravées par les miennes, je les ai finalement lâchées pour prendre appuis sur ses épaules. Après mavoir massé les mamelles. Il a posé ses mains sur mes fesses pour imposer la cadence quil voulait à mes mouvements de bassin. Il commençait à prendre des initiatives. Parfait, Jespérais bien quaprès mavoir jaugé, il allait prendre le rôle du mâle dominant. On a continué comme ça jusquà ce quil éjacule lors dun orgasme mutuellement partagé et je suis ensuite parti me faire un brin de toilette. Quand je suis revenu pour me rhabiller, lui était déjà prêt à partir. Il ma embrassé sur le front et ma laissé car il devait aller chercher ses filles à lécole.

Ce nest quà partir de la semaine suivant quil a vraiment pris les choses en main. A peine était il entré quil se précipitait sur moi, membrassant goulûment à pleine bouche. Je sentais ses mains farfouiller ma culotte et simmiscer dans mon soutient gorge. Jétais ravie quil simplique autant et je me suis laissé guider. Il ma ensuite porté dans ses bras façon jeune mariée sur le perron pour me déposer sur mon lit, me retirer mon pantalon et commencer à me lécher la fente.

Sil y a une chose que jai compris ce jour là cest quil avait une langue et quil savait sen servir. Quel pied jai pris ! Fini son attitude de puceau et place à lhomme dexpérience. Trop impatient de pouvoir me prendre, il na fait que baisser son pantalon et son caleçon pour me montrer quil savait aussi bien se servir de sa queue que de sa langue. On était presque encore habillé quand il ma prise comme un animal en rut. Il sest cependant arrêté un instant pour me retourner allongé sur le ventre et faire profiter mon petit trou de sa queue. « Comme ça, pas de jaloux » ma-t-il dit avant de senfoncer entièrement.

Purée, cétait fort comme moment. Jai adoré. Finalement jai bien sentis que jallais mamuser avec lui, même si physiquement ce nétait pas ça, je sentais quil allait me faire passer de bons moments.

On senvoyait en lair tous les mercredis après-midi durant un peu plus de deux mois jusquà la mi décembre. Il me lavait dit : il partait avec sa famille en vacance au ski, passer les fêtes de fin dannées à la montagne. Cette petite pause nétait pas pour me déplaire. Ça allait me permettre de passer moi aussi plus de temps en famille. Même si mon père ne maide plus financièrement, depuis quil est grand père, on se voit un peu plus. Il faut dire quil est gaga de Jeremy (on peut même le qualifié de gâteux). On a passé les fêtes ensemble et ce fut le moment dune bonne discussion entre nous pour remettre les pendules à lheure.

Cest aux alentours de mi janvier quon a repris nos petites galipettes avec Bertrand. Par contre je ne métais pas préparé à ce quil avait prévu. En effet, imaginez ma surprise quand je lai vu débarquer avec un trépied. Mais quest ce quil fout avec ça ? Me suis-je demandé sur le moment. Je nallais pas tardé à avoir ma réponse.

— Bonjour ma jolie.

— Salut, excuse moi de te poser cette question mais . Cest quoi ça ?

— Quoi ? ah oui le trépied. En fait ça va avec mon cadeau de noël. Dit-il en sortant une caméra numérique de sa poche.

— Oui .. Et ?

— Bah si tu le permets jaimerai quon se fasse des petits souvenirs .. scénarisés.

— Des souvenirs scénarisés ? des sextapes quoi ?

— Presque. En fait dans certains films que jai vu, il y avait des scènes érotiques soit ratées soit dont le dénouement était caché. Et jaimerai mamuser à .

— En faire des Remake ?

— Si on veut. Ce sera des trucs très simples, improvisés, juste pour le fun.

— Oui . pourquoi pas. ça peut être amusant.

— Aujourdhui javais envie de filmer notre premier rendez vous chez toi. Tu ten souviens ?

— Comment loublier. On sarrête à la pipe ou on en rajoute.

— On va en rajouter un peu. Par contre comme on va poser la caméra dans un coin de la pièce si on pouvait sarranger pour avoir des angles de vue correcte .

— Ah oui . Cest vraiment un fantasme filmé donc ? Cest à ce point là ?

— Bah autant samuser et que ce soit le mieux possible visuellement.

— On fait comme ça. Par contre : on ne les mettra pas sur internet.

— Pour que mes collègues, ma femme ou mes enfants tombent dessus ? hors de question.

— On est daccord.

On sest donc filmé en plein ébat sauf que, à la place déjaculer dans ma bouche, il ma prise dans ses bras, et ma culbutée allongée sur la table. A limage on ne voyait que son gros cul qui sagitait avec mes jambes qui dépassaient de part et dautre de ses fesses. Visuellement ce nétait pas terrible. Nest pas Marc Dorcel qui veut.

Chaque semaine on se voyait et quand il était inspiré on se filmait. Il y avait le traditionnel professeur et son élève qui devait coucher pour avoir de bonne notes, le représentant de commerce qui se laisse séduire par une nymphos saute-au-paf, . Une fois, il a même voulu jouer le rôle de mon proprio qui me proposait un loyer gratuit en échange de .. je vous laisse deviner. Et je vous passe lhistoire de la fille qui piège son proviseur en disant « mes parents veulent vous parler au sujet de mon exclusion du lycée. Rendez-vous chez nous après les cours » bien sur les parents ne sont pas là et la fille se tape le proviseur qui lève lexclusion en échange de partie de jambes en lair régulières.. En revoyant nos films, on était morts de rire. Notre jeu dacteur frôlait le Zéro absolu. On naurait pas fait fortune avec daussi piètres performances. Par contre, à chaque fois, on voyait que pour lun comme pour lautre, cétait le pied total. Je ne pouvais me prononcer pour lui mais pour moi PFFFFF ! Il était doué. Cétait à se demander pourquoi sa femme le délaissait de la sorte. Ce qui transparaissait à chacune de nos séances cétait sa gentillesse et le respect pour sa partenaire. Il prenait en compte mes attentes et ça, ça me faisait plaisir.

Il ny a quune fois ou il ne la pas fait mais cest parce quil voulait essayer quelque chose de nouveau. Un jour, Il avait vu un Manga porno et il avait voulu reproduire une scène ou un homme abusait de sa femme de chambre. Jai trouvé ça bizarre au début mais soit. Quand il est arrivé il avait prévu des accessoires. Une robe de chambre en satin pour lui et une tenue de soubrette pour moi. Il mavait fait parvenir la vidéo pour que je voie de quoi il était question et, cétait hard. Il sest alors assis dans le canapé, nu sous la robe de chambre et moi je devais me présenter devant parce quil mavait fait demandé.

— Vous mavez fait demandé monsieur ?

— Oui approche

Il se mit à me regarder avec un air vicieux puis avec un sourire de carnassier, il commença à me caresser la jambe.

— Bien si tu commençais par enlever ta jupe.

— Sil vous plait monsieur, je suis prête à travailler très dur pour vous satisfaire. Mais ce que vous allez me demander ..

— Bah voyons. Quest ce quil y a de mal à faire ce que je te demande.

— Je vous en supplie cest au dessus de mes forces.

— Comment oses-tu discuter les termes du contrat quon a passé. Ton père me doit un demi-million deuros et tu as accepté de venir travailler chez moi pour le rembourser. Dois-je te rappeler que tu étais pleinement consciente de tes conditions de travail quand tu as accepté ?

— Non monsieur mais je .

— Tu quoi ? Tu veux que je te montre ce quil en coûte de me désobéir ? Dit-il en levant sa main, prêt à me gifler (dans la vidéo dorigine le patron la gifle sans prévenir).

Jai alors retiré ma jupe en prenant un air faussement résigné.

— Bien . Et maintenant si tu enlevais le haut et profites en aussi pour retirer ta coiffe.

Une fois mon haut enlevé ainsi que ma coiffe, je me retrouvais en sous vêtements rose devant lui. Il me fit basculer sur la table basse derrière moi et commença à me caresser de partout et en particulier la culotte. A chaque contacte que je devais juger comme obscène pour mon personnage de jeune fille sage, je devais limplorer darrêter mais lui insistait en me doigtant, en retirant mon soutif rose bonbon pour me lécher les mamelons. Ensuite il se mit debout pour retirer sa robe de chambre. Cest après mavoir retiré mon slip quil ma sorti son numéro de gros dégueulasse.

— Oh mais dit moi tes toute mouillée.

— Sil vous plait arrêtez.

— Tauras beau dire que ten as pas envie mais ton corps lui il ne peut pas mentir. Je sais ce quil te faut et je vais te le donner. Dit-il en présentant son gland à lentrée de ma fente.

— Non sil vous plait je . Ahh non arrêtez. Je ne veux pas

— Mais dit moi tes toute serrée. Je sens que je vais en avoir pour mon argent.

On a simulé un viol devant la caméra (je précise que cétait un délire entre nous) durant plusieurs minutes puis il sest retiré pour sassoir sur le divan et mempaler sur lui, lui tournant le dos.

— On dirait que taimes ça te faire prendre brutalement hein ? Si cest ce que tu aimes je vais te satisfaire.

Durant ces séances de pilonnage je devais faire semblant de le supplier darrêter. Il ma penché en avant pour me prendre en levrette.

— Et comme ça tu aimes aussi ? Tes une vraie petite salope. On va bien samuser tous les deux. . Oh mais cest que tu as un autre petit trou là. Jai bien envie de le remplir aussi

— Non pas là.

— Ta gueule. Si jen ai envie je le fait. Je veux en avoir pour mon argent.

Il ma enculé aussi brutalement que le reste et ça commençait à me faire mal. Il a jouis et ma laissé allongée, prostrée sur la table base en faisant semblant de pleurer.

Quand il a eut fini il semblait comptant de lui. Moi javoue quà certains moments il ma fait un peu peur. Il a voulu regarder la vidéo pour voir ce que ça donnait et après avoir branché la caméra, il a appuyé sur lecture.

A la fin de la vidéo je le voyais avec un visage que je ne lui connaissais pas.

— Mais comment jai pu avoir une idée aussi conne. Sérieux je me suis foutu les chtons. Cest tellement pas moi je veux dire

— Pour être honnête avec toi, à un moment jai presque eu peur.

— Je ne peux pas garder ça, je me dégoûte presque. Désolé de tavoir demandé de faire ça.

Bertrand était un homme gentil et il venait de sen apercevoir vraiment. Avec ce film, il sétait fait peur et ne voulait plus en entendre parler. Il a de suite effacé lenregistrement me promettant des choses plus soft par la suite.

On a continué à se voir tous les mercredis sauf quand il partait en séminaire ou en rendez-vous clientèle. De mon coté, il ny a quune fois où jai dû annuler. Ma mère ayant été hospitalisée, elle ne pouvait garder Jeremy mais il ne men a pas tenu rigueur. Les semaines, puis les mois passaient. Durant lété on ne sest pas beaucoup vu. Nos vacances nétant pas raccord, on ne sest revu quaprès le 15 août et on a repris nos petits rendez-vous crapuleux avec plaisir. Cest lors dun de ses rendez-vous, alors quil nous restait encore deux bons mois de galipette selon notre accord, que tout a basculé. Alors que je le suçais tranquillement sur mon canapé (pas de caméra ce jour là), il reçu un coup de téléphone. Cétait ça fille aînée.

— Allô ? A cest toi ma puce.

— Tas une drôle de voix. Tu as un problème ?

— ..

— Oh Mon dieu . Et cest grave ?

— Oh merde, bon écoute, là, je suis avec une cliente. Je fais au mieux pour écourter le rendez-vous et on se rejoint à lhôpital.

Il sest relevé dun coup après avoir raccroché pour remettre son froc.

— Ecoute je suis désolé mais il faut que jy aille. Ma fille vient de mapprendre que ma femme a eu un accident de voiture.

— Ah merde ! Et cest grave ?

— On ne sait pas trop mais faut que jy aille. Désolé.

Il sest tiré en quatrième vitesse en autant de temps quil ne faut pour le dire. Moi de mon coté, jespérais que ce ne soit pas trop grave. Il semblait vraiment choqué quand il est parti.

Il nest revenu me voire quun mois plus tard. Je le voyais dans ses yeux, il nétait plus dans le même état desprit. Et ça sest confirmé quand jai voulu lembrasser et quil a détourné le regard.

— Bonjour Bah tu ne membrasses pas ?

— Non .. Ecoutez mademoiselle Rivoli je pense quil est temps darrêter là de se voire.

Ce ton solennel montrait que ça lavait vraiment chamboulé.

— Ecoutez, Cet événement qui sest produit le mois dernier ma fait comprendre où étaient mes priorités. Jaime ma femme et je lai vraiment compris. Je ne veux plus continuer nos petits rendez-vous.

— Comme tu veux, je comprends mais du coup ça change quoi ?

— Tout dabord on arrête le tutoiement. Ensuite, ça ne change plus grand-chose en fait. Vous avez eu votre prêt et vous avez acheté votre voiture. Vu quil ne reste quune mensualité, il ny aura plus de problème.

— Très bien. Et pour ta votre femme ? Elle va mieux ?

— Oui elle est sortie de lhôpital mais on a eu peur. On a longuement discuté et on va tout reprendre à zéro. Elle comme moi, on va moins bosser pour que chacun puisse profiter de lautre.

— Tant mieux si ça sarrange.

— Je vais demander également à ce quun autre se charge de votre dossier. Je suppose que vous comprenez ?

— Pas de soucis. En tout cas, je suis contente pour vous.

— Merci. Je nétais venu que pour vous dire ça, dailleurs .. Attendez, où je lai mise ? . Ah la voila, voila la carte mémoire sur lesquels il y a nos films. Je nen veux plus. Vous la voulez ?

— Donnez la moi .. Et hop à la poubelle. Cest mieux comme ça pour tout le monde.

— Voila. Bon Je pense que tout a été dit.

— Oui, je pense aussi.

— Je vous souhaite bonne continuation.

— A vous aussi, au revoir.

Je ne lai plus jamais revu. Dans le fond cétait mieux comme ça. Visiblement, son couple, qui battait de laile, venait de se voir offrir une nouvelle chance. Comment lui en vouloir ? Lui qui venait de réaliser que sa femme était toute sa vie. Moi, de mon coté, jallais pouvoir profiter de mon fils le mercredi après midi. Il venait davoir 4 ans et réclamait toute mon attention. Chacun avait obtenu ce quil voulait et je ne pouvais espérer une meilleure fin pour cette histoire.

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