Salut c’est votre folle de lycra
Dans le premier chapitre je vous racontais comment, en tant que salarié, j’occupais une partie de mon temps libre en étant bénévole dans l’association Emmaüs à côté de chez moi. Je triais les vêtements qui étaient bons à la revente et c’est ainsi que j’ai commencé à prendre goût aux vêtements féminins pour leur douceur. J’ai commencé à récupérer des dessous, de douces robes, de très longues doudounes toutes douces et même des chaussures escarpins ou cuissardes. Voilà comment en un peu plus d’un an je m’étais monté une énorme garde-robe et j’avais fini par prendre beaucoup d’assurance en sortant totalement travesti. Mes parents qui n’étaient que très peu présents dans notre grand appartement n’avaient rien vu à ma métamorphose. J’avais même réussi à converser avec ma maman dans une grande surface alors que j’étais habillé en femme, elle n’y avait vu que du feu. Je laissais pousser mes cheveux et j’en dissimulais leur longueur sous forme d’un catogan. J’étais très heureux de pouvoir intégrer le clan des femmes quand je le désirais, cela me permettait de gérer mes deux personnalités.
Puis sont arrivées les fêtes de fin d’année et à cette occasion notre association organisait un repas en toute simplicité ; chaque année il y avait un thème et pour mon plus grand plaisir, cette année c’était le déguisement. L’année précédente je ne m’étais pas rendue car je venais d’arriver et je ne connaissais pas grand monde j’avais peur de m’y ennuyer. Il a quand même fallu que j’explique à ma mère et mon père pourquoi je me faisais belle à la maison, un peu avant la soirée. Je leur ai expliqué que c’était des copines qui m’avaient prêté leurs vêtements ; ils ont tout gobé. Le weekend où ils sont passés et qu’ils m’ont trouvé ainsi vêtu, ils m’ont trouvé vraiment très très belle. Même mon père m’a dit que cela m’allait à merveille et je peux vous dire que venant de sa part c’était un compliment. Ma maman l’a fait plus discrètement mais elle aussi m’a félicité et j’ai même eu le droit à une petite claque sur les fesses de sa part. Le soir même avant de me coucher mes parents étaient là et je les ai entendu parler dans leur chambre ils parlaient de moi et disaient qu’ils étaient impressionnés par ma prestance en tant que femme.
Le lendemain matin je me suis encore promené en femme dans l’appartement, mes parents n’ont rien trouvé à redire. Ma maman m’a pris par la main pour m’emmener dans sa chambre et surtout dans la salle de bain qui y était collée. Là elle s’est mise derrière moi et m’a dit quelle était impressionnée par la qualité de mon travestissement elle a saisi un de ses flacons de parfum et m’en a déposé quelques touches dans le cou.
— L’aussi jolie femme que tu es aujourd’hui mérite un parfum digne de ce nom.
— Ne sors pas habillé comme ça tu vas te faire draguer par tous les passants.
J’avais l’impression que ma mère était contente d’avoir une fille à la maison. Cela me faisait tout drôle car j’avais peur de leur réaction et en fin de compte ils le prenaient très très bien. J’ai de nouveau eu droit à une petite tape sur les fesses avec un gros bisou de sa part sur ma joue.
Ma maman était admirative devant mon talent à avoir ainsi appris d’une femme, que ce soit dans sa façon de s’habiller, sa façon de se mouvoir, ses petites manies, la façon de croiser les jambes, la façon de marcher. Je ne sais pas ce qu’elle aurait dit si elle avait su que je faisais ça en fait depuis un an et que j’allais me promener dans la rue ainsi déguisé. Ma mère s’est un peu lâchée en me disant, que connaissant mon père, une jolie fille comme ça à la maison ; il lui aurait sauté dessus. Dans cette salle de bains, j’avais vraiment l’impression que nous étions entre filles, c’est à cette occasion que j’ai appris que mon père n’était pas un modèle de fidélité. Nous n’avions pas beaucoup de temps car mes parents repartaient le soir même à l’autre bout du monde, ils travaillaient pour la Banque mondiale. D’après elle mon père, avec qui elle travaillait tous les jours, avait laissé des enfants dans tous les coins du monde. Comme dirait ma mère, mon père avait une sexualité libérée.
Ce soir-là quand ils sont partis, c’est en femme que je les ai salués ; en sachant que je ne le reverrai pas avant l’année suivante. Ma mère qui était une très belle femme, elle s’habillait avec beaucoup de goût, de classe et c’est ainsi quaprès leur départ je suis parti visiter sa garde-robe. J’étais amusé de constater que le fils comme la mère avaient une garde-robe aussi bien fournie. Par contre pour la première fois de ma vie je suis parti jeter un petit coup d’il dans le bac à linge sale pour aller renifler sa petite culotte. Je n’avais plus vraiment de préparatifs pour le weekend prochain car je maîtrisais tout en tant que femme. C’est un peu stupide mais j’avais un peu peur de la réaction de mes collègues, mais en même temps c’était une soirée déguisée. La semaine suivante j’ai été excité pendant toutes mes journées de travail puis est arrivée la date fatidique. Je me suis fait belle comme vous n’imaginez pas et en plus ma maman m’avait autorisé à mettre de son parfum.
Ce samedi soir arrivé là-bas j’avais enfilé mes cuissardes avec des bas voile tenus par une guêpière porte-jarretelles, par-dessus ça une magnifique robe en viscose lycra qui me descendait jusqu’aux chevilles mais qui mettait mon corps superbement en valeur et pour finir une de mes deux doudounes très longues et mon fameux sac à main. Disons que ce soir-là quand je suis arrivé dans la salle où avait lieu la soirée j’étais plutôt habillé comme une femme qui avait envie de passer à la casserole. En fait c’était la partie dEmmaüs qui gérait les encombrants dans le style machine à laver, table, lit et divers autres meubles. Ils avaient tout poussé et c’est vrai que cela faisait énormément de place au milieu. Les collègues s’étaient déguisés en policiers, en Sherlock Holmes, en pompier en Tarzan, en Zorro, en infirmière, en curé, en bonne sur…; à ma grande surprise je constatai que les collègues ne manquaient pas d’imagination. Quand je suis arrivé, ils ont mis du temps à admettre que c’était moi ils étaient vraiment persuadés que j’étais une fille. Sans vouloir me lancer des fleurs je pense que ce soir j’étais la plus jolie fille de la soirée et surtout la plus désirable.
Il y a des personnes que je ne voyais pas beaucoup dans l’association qui me parlait au féminin, je vais vous avouer que j’étais vraiment fier dEiffel que je faisais. Rapidement les commentaires des mecs ont commencé à être un peu déplacés, puis ce furent les gestes qui le devinrent tout autant. Dans l’heure qui suivit on arrive et je pense que tous les mecs m’avaient mis une main au cul, même si c’était un peu gênant j’étais condamné à me laisser faire en tant que fille pour la soirée. Zorro qui n’était autre que Claude le responsable local de l’association était plus insistant que les autres dans ses gestes déplacés. Il avait dépassé le stade de la main au cul, maintenant il me caressait les cuisses ainsi que la poitrine ; heureusement il faisait ça dans des coins où personne ne pouvait nous voir. Je ne savais pas trop comment réagir en tant que femme, lui coller une claque…? Mais en tant qu’homme, il commençait à me mettre une érection très appréciable, j’en étais arrivé à désirer qu’il continue. Cela me faisait aussi tout drôle que tout le monde ne me parle qu’au féminin, ce soir je me sentais vraiment femme.
Le repas avait été préparé par des bénévoles au bon cur et surtout très bonnes cuisinières. Une fois passé à table je me suis retrouvé assis entre le curé et Zorro, nous étions en bout de table et je peux vous garantir que Zorro était collé à moi. Le curé qui était mon voisin de gauche me regardait avec amusement, tandis que mon voisin de droite, il y avait de l’amusement dans son regard mais j’y voyais aussi du désir. Arrivée au niveau du plat de résistance, don Diego qui était collé à moi a carrément pris ma main droite pour la coller sur son sexe. C’était la première fois que ma main touchait un sexe, même si ce dernier était dissimulé sous un déguisement ; je peux vous garantir qu’il n’y avait pas de doute je lui faisais de l’effet. Une fois que ma main était coincée entre ses jambes, sa main gauche est repartie de mon côté mais ce coup-ci pour me caresser les cuisses. Au début j’ai rouspété mais il était plus fort que moi et surtout il m’a serré la cuisse dans sa main ce qui m’a fait très mal à tel point que j’ai failli crier. Quand je l’ai regardé pour lui montrer combien je n’étais pas d’accord avec ce qu’il faisait, il m’a souri et m’a fait un baiser à distance.
Avec sa main gauche il ne me laissait pas une seconde de répit, maintenant il était en train d’essayer de remonter ma robe longue, chose qu’il a réussie ; ce qui lui a permis de me caresser les cuisses juste à travers mais bas. J’étais assez contrarié qu’il aille à l’encontre de ma volonté mais à force de caresses, il commençait à m’en faire qui me réveillaient mon sexe pour lui faire atteindre une taille digne d’un étalon. J’en étais maintenant arrivé à écarter les jambes pour lui faciliter l’accès, il était en train de me soumettre tout en douceur et ses désirs. Au bout de dix minutes, il avait remonté le haut de mes cuisses pour arriver à me caresser le sexe. Quand il a constaté la taille de mon érection j’ai compris que j’étais grillé et que le traitement qu’il m’infligeait me plaisait. Je ne sais pas ce qu’il en a conclu de son côté mais apparemment il avait des projets pour moi car je ne pense pas qu’il allait se mettre dans cet état-là pour se finir à la main. J’étais en train de me demander dans quel traquenard je venais de me mettre en arrivant à la soirée en femme désireuse et me mettant à côté de Zorro pour manger.
Maintenant il alternait avec sa main gauche, un coup il me caressait les cuisses et un coup il allait savourer la douceur de ma robe dans mon dos. Finalement j’ai trouvé ça très agréable que de se faire ainsi courtiser même si ce courtisan était du même sexe que le mien. Maintenant il venait piquer des aliments dans mon assiette, il buvait dans mon verre, il prenait sa serviette pour m’essuyer délicatement les lèvres quand je venais de boire. À vrai dire je ne sais pas pourquoi je me laissais faire, mais si en fait je sais, c’était très flatteur de me sentir ainsi traité. Claude qui avait facilement vingt-cinq ans de plus que moi, environ douze centimètres de plus que moi et 25 kg de plus il me traitait un peu comme une marionnette ; je ne pouvais résister à sa force. Maintenant il n’avait plus besoin de tenir ma main droite cette dernière été comme fixée à son sexe à travers son déguisement. Je peux vous garantir qu’il avait une grosse érection et que son sexe était sensiblement gros que le mien.
Une fois le repas terminé nous avons tous mis la main à la tâche pour débarrasser la table, en retirer plusieurs et ainsi si cela nous laissait une piste de danse. Bien évidemment il y avait de la place pour tout le monde puisse rester assis mais rapidement, la musique aidant, nous nous sommes pratiquement tous retrouvés à danser. Je constatais que vu ma tenue j’étais obligé de bouger comme le ferait une fille et le problème c’est que tous les hommes étaient sensibles à mon déhanchement. Au bout de sept ou huit morceaux relativement dynamiques il y a eu quelques slows, bien évidemment c’est Zorro qui m’a attrapé le premier, je n’ai eu d’autre choix que de me retrouver collé à lui. Même avec mes cuissardes à talons, il était quand même plus grand que moi, quand sa main m’a plaqué contre lui cela m’a fait tout drôle de sentir son érection contre la mienne. En me plaquant ainsi il me contrôlait et j’avais l’impression de m’envoler, je me sentais à ce point rassuré que j’ai fini par poser ma tête dans son cou naturellement. Quand j’ai réalisé ce que je faisais j’ai tout de suite relevé la tête en me disant mais qu’est-ce qui t’arrive, j’ai résisté quelques instants puis j’ai à nouveau posé ma tête dans son cou pour de longues minutes.
J’étais maintenant totalement à sa merci, cela m’a fait tout drôle quand j’ai senti sa main toujours tenir mon dos mais surtout une autre main qui est arrivée derrière ma tête pour bien l’appliquer contre lui. Au fond de moi j’étais en train de me dire que je devenais sienne, Zorro m’avait vaincu. Maintenant il était en train de me dire des mots doux mais il faisait attention à ce que personne ne les entende. C’est bête à dire mais je me sentais vraiment bien dans ses bras il y avait un côté rassurant auquel je n’avais jamais pensé. Il y avait aussi son parfum qui ne me déplaisait pas, j’espère que de mon côté le mien lui plaisait car ce que m’avait donné ma maman était vraiment du haut de gamme. Nous avons continué à danser comme ça trois chansons durant et quand la musique est redevenue un peu plus dynamique, j’étais un peu triste de quitter mon Zorro. Je suis reparti m’asseoir sur une chaise comme si de rien n’était mais je savais que Claude me regardait avec insistance.
J’avais quand même l’impression qu’il était en train de me draguer aux yeux de tous, car toutes les personnes présentes à cette soirée savaient que j’étais un homme déguisé en femme. Toujours est-il que je me laissais faire car je trouvais très agréable le fait d’être considéré et traité comme une femme. Musicalement l’occasion s’est présentée à ce que Christine, une collègue de l’association, vienne danser avec moi. C’était une grande et belle femme déguisée en infirmière, elle devait avoir 45 ou 46 ans et je la trouvais fort à mon goût en tant, qu’homme. Nous n’avons pas trop eu le temps de parler pendant que nous dansions car c’était une danse assez essoufflante. Par contre après nous sommes retournés nous asseoir et nous sommes restés un long moment à converser, avant tout elle tenait à me féliciter pour mon déguisement. Elle m’a dit qu’elle n’avait jamais vu un homme aussi bien se déguiser et à ce point ressembler à une femme. Elle voulait savoir le temps que j’avais mis à me préparer et à acquérir une telle assurance une fois déguisé.
Bien évidemment je lui ai répondu des bobards en lui disant que j’avais étudié la chose depuis une semaine et quune copine m’avait aidé. Une fois que Christine m’a quitté pour aller parler avec quelqu’un d’autre, c’est Claude qui est réapparu et est venu s’asseoir à côté de moi. J’aimais beaucoup la façon dont il me traitait mais je trouvais qu’il manquait un peu de retenue quand même. Heureusement il est juste venu parler, il m’a posé un peu près les mêmes questions que celles de Christine et je lui ai répondu à peu près les mêmes bobards. Pour lui il n’y avait pas de doute, je devais me déguiser depuis très longtemps pour avoir une telle assurance et des gestes aussi féminins ; il fallait avoir une expérience particulière que l’on ne peut pas acquérir en une semaine. Il avait raison mais je n’allais pas lui dire que je me travestissais depuis plus d’un an et que dès que l’occasion se présentait, je sortais dans la rue en femme. Je ne sais pas pourquoi mais sa présence depuis quelques instants à mes côtés m’avait redonné une érection. En fait j’avais envie de me retrouver à nouveau dans ses bras, collé contre lui et à danser des slows comme nous le fîmes quelques instants auparavant.
Puis dans la conversation, il m’a posé une question pour savoir si j’avais aimé sentir son sexe en érection contre le mien, tout à l’heure. Sur le coup j’étais un peu sans voix et je ne savais pas trop quoi répondre, j’ai finalement trouvé une parade à savoir que le fait que je sois habillé en femme devait lui faire de l’effet et moi j’avais une érection parce que j’étais habillé en femme. Il était bientôt vingt-trois heures et l’animateur occasionnel a remis une série de slows. Bien évidemment Claude m’a pris par la main pour aller danser avec moi, c’est vrai que j’avais une grande envie de me retrouver contre lui et poser ma tête contre son épaule. Rapidement il a pris confiance et est allé un peu plus loin qu’au coup précédent, ce coup-ci il avait les mains sur mes fesses et ne se privait pas de me les caresser. Heureusement la lumière était tamisée et il faisait ça au moment où nous n’étions visibles de personne. Il m’avait mis une érection comme jamais je n’en avais eu et j’adorais le fait qu’il me plaque vraiment contre lui et que nos sexes ne soient qu’à quelque millimètres l’un de l’autre.
Pendant qu’il dansait, en plus de me câliner, Claude surveillait toutes les personnes dans la salle. Je ne sais pas ce qui s’est passé mais à un moment il m’a pris par la main pour que nous allions nous faufiler derrière deux grandes armoires. Ça y est plus personne ne pouvait nous voir, j’étais devenue sa proie ; il n’a pas été bien long à me voler un premier baiser. Sur le coup j’ai été un peu surpris mais finalement c’est au deuxième baiser que j’ai accepté sa langue et que la mienne est partie se promener dans sa bouche. Nous étions à quelques mètres des collègues, la musique arrivait jusqu’à nous mais la lumière commençait à avoir du mal à nous rattraper. En même temps nous ne cherchions pas à être sous les projecteurs mais juste à nous laisser aller, à nous donner du plaisir. Je me sentais faible et fragile à ses côtés mais je me sentais rassuré et désiré quand il dirigeait les opérations. L’étape d’après a été quand il a saisi ma main pour aller la poser sur son sexe, alors que nous étions toujours collés l’un à l’autre. Même sil y avait son déguisement qui me séparait de son sexe, c’est la première fois que j’en tenais un autre que le mien dans la main. Je peux vous dire que dans ce que j’étais en train de vivre, on pouvait très facilement savoir qui était le mâle dominant et qui était la femelle soumise.
J’avais vraiment l’impression qu’il n’en pouvait plus d’impatience de me faire toucher son sexe nu. Apparemment il a eu beaucoup de mal à se défaire du haut de son pantalon de déguisement mais il a finalement réussi à libérer son dard. Quelques secondes plus tard il reprenait ma main et ce coup-ci je tenais son sexe pour de vrai en contact direct et ce n’était pas pour me déplaire vu la taille de l’engin. Claude avait l’air de beaucoup apprécier que je tienne son deuxième cerveau et quand j’ai commencé à le masturber j’ai eu l’impression qu’il allait pousser des cris de plaisir. Pour la première fois de ma vie, j’étais en train de donner du plaisir à un homme alors que j’étais totalement habillé en femme fatale ; si je puis dire. Dans les conditions actuelles il n’y avait pas photo son sexe était beau gros que le mien bien que ce dernier ne soit pas de taille négligeable. J’entendais les collègues qui étaient en train de parler, en train de rigoler, en train de débattre ; je n’arrivais pas à savoir de quoi ils parlaient mais il était évident qu’ils n’avaient pas attaché grande attention à notre disparition. Je commençais à prendre confiance dans mes mouvements avec son sexe et j’étais heureux de constater que je lui faisais de plus en plus de bien. J’étais en train de devenir la maîtresse d’un homme, un homme qui en plus d’être bénévole dans cette association était un petit chef d’entreprise dans la société marchait très bien.
Il a ensuite voulu que je me mette à genoux devant lui mais je savais très bien comment ça allait tourner, du coup je me suis fait un peu désirer pour aborder cette position. À force d’insistance j’ai fini par céder et je me suis retrouvé à genoux nez à nez avec son sexe qui manifestement avait envie de visiter ma bouche. De mon côté je ne vais pas vous mentir j’avais moi aussi une folle envie de le prendre en bouche.
Mais tout cela nous en parlerons dans le chapitre numéro trois.
Bisous à vous