Bernard s’est tué en voiture en janvier, nous sommes début juillet et un couple d’une trentaine d’années a repris l’appartement fin mars. Sachant les circonstances qui leur ont permis cet emménagement, le couple s’est montré très discret et ne s’est pas trop manifesté. L’homme est jeune, pas très grand mais d’approche sympathique. La femme, même âge, toute aussi sympathique, petite, mince, poitrine haute mais pas très grosse, ventre plat et à priori très belles fesses. A priori, car elle porte toujours des robes amples qui dissimulent ses formes.

Je décide de rompre l’isolement et organise un apéritif dînatoire avec tous mes voisins. Jean Luc vient avec sa nouvelle compagne, Carole, une blonde incendiaire superbe et sans complexes, le couple du premier, Paul et Ginette, d’âge mûr ne reste que quelques minutes, juste le temps de se présenter. Nous nous retrouvons à six, Juliette est là. La soirée se passe très bien, Michel et Manon, mes deux nouveaux voisins, sont enchantés, ils font la connaissance de leur entourage et semblent apprécier. Juliette multiplie les attentions vers Michel et Manon. Les deux femmes semblent s’apprécier. Jean Luc se retire avec Carole, il ne tient plus en place devant son nouveau jouet. Michel et Manon restent un moment de plus et nous faisons mieux connaissance. J’apprends qu’ils sont naturistes, comme nous, qu’ils vont à l’île du levant quinze jours en août, qu’ils sont toujours nus chez eux, toute une série de détails qui nous rapprochent. La soirée se termine et ils rentrent chez eux.

Un peu plus d’un mois plus tard, nous rentrons, Juliette et moi, de vacances un peu en avance, devant régler un problème avec Manue, ma première femme. Après avoir rangé nos affaires et lancé une lessive, nous décidons d’aller voir mon pote Patrick dans son sex-shop. Nous partons en début d’après-midi avec tout l’équipement et les préparatifs d’usage. Juliette est en petite jupe courte, légère, qui s’envole pour un oui ou pour un non, corsage très transparent avec des poches sur les seins. Elle ne porte pas de sous-vêtements. Je suis comme d’habitude, short en jean et chemisette, évidemment sans sous-vêtements.

Annie nous saute au cou et nous embrasse goulûment.

— Vous m’avez manqué tous les deux. Vous voulez une cabine?

— Oui, mais nous n’allons pas beaucoup l’utiliser.

— Pas de problème nous dit Patrick, descendez, mais avant il faut vous mettre en tenue.

Juliette déboutonne son corsage, l’enlève en regardant Patrick droit dans les yeux. Elle fait glisser le vêtement sur ses bras en arrière en dégageant sa poitrine. Elle descend son zip et laisse tomber sa jupe qu’elle rattrape avec son pied gauche. Elle se dégage et lève son pied pour donner sa jupe à Patrick. Son sexe s’ouvre, il commence à briller. Patrick est rouge. Entre temps je me suis déshabillé, je pose mes affaires sur la banque de la boutique quand la porte s’ouvre et apparaissent Michel et Manon. Ils restent scotchés sur place en nous voyant. Juliette qui est de dos par rapport à eux, me regarde et voyant mon air surpris se retourne. En les voyants, elle se précipite vers eux et les embrasse.

— Oh Manon, Michel, que faites vous là?

— Je ne sais si je peux dire comme toi, vu ta tenue.

— Oh, nous on vient juste s’exhiber au sous sol, on fait des trucs devant tous ceux qui veulent nous regarder. Vous n’avez qu’à descendre si vous voulez?

Elle me prend par la main, prend le sac et m’entraîne en bas. Elle s’installe sur le divan et commence à se masturber.

— Vient mon chéri, j’ai besoin de toi.

J’avance vers elle, elle me prend la main, la plaque sur son sexe et appuie sur mon majeur pour le faire entrer dans sa vulve. Elle est déjà trempée. Elle se met sur le dos.

— Mets moi ta main s’il te plaît.

Je positionne ma main en pointe et la présente sur son sexe. A ce moment arrivent Manon et Michel. Juliette leur fait signe de venir à côté d’elle. Manon vers sa tête et Michel à ses pieds. Elle a écarté ses jambes et Michel peut voir son sexe complètement ouvert. Son regard ne le quitte plus. Ma main avance dans son antre. Les phalanges disparaissent les unes après les autres, la pomme suit et ma main disparaît dans son sexe. Juliette regarde Manon, je sais que ce regard veut dire "viens, je n’attends que toi", mais Manon ne semble pas comprendre. Je pistonne Juliette, qui s’agite de plus en plus. Annie descend à son tour, elle est nue. Elle s’approche du groupe, se positionne derrière Manon et commence à descendre le zip de sa robe. Manon porte une robe rouge, assez courte sans plus, serrée à la taille par une ceinture élastique. La fermeture descend jusqu’à la taille. Manon ne bouge pas, elle regarde Juliette fascinée par ce spectacle. Je continue mes va-et-vient dans le sexe de Juliette qui est de plus en plus souvent parcourue de spasmes. Annie fait passer les bretelles de la robe de Manon par-dessus ses épaules. Le tissu descend jusqu’à la taille et dévoile deux magnifiques seins, pas très gros mais parfaitement formés. Ils sont ambrés, fermes, avec les tétons raides pointés vers l’avant. Elle aime ce que lui fait Annie, ça se voit. Celle-ci continue et fait tomber la robe sur le sol. Manon se retrouve nue devant Juliette. Annie promène ses mains sur le corps de Manon, elles vont des seins au sexe, s’attardent sur les mamelons, le ventre, les lèvres déjà humides. Mes mouvements dans son sexe combinés à la vue de ce splendide corps de femme qui se fait caresser déclenchent l’orgasme de Juliette. Elle se raidit, soulève ses fesses et gronde son plaisir. Ses yeux sont fermés, sa tête va de droite à gauche, elle se saisit de ses seins, les pince. Elle jouit intensément. Ma main gauche descend vers son clitoris et s’en saisit. Son grondement devient plus sourd, plus profond, plus intense. Elle retombe sur le dos, se détend complètement, son corps devient plus souple, plus sensuel, plus doux. Elle reste les yeux fermés, son visage se détend, on dirait qu’elle va s’endormir. Je dégage doucement ma main, elle l’attrape, la porte à ses lèvres et la lèche.

Annie caresse toujours Manon. Ses gestes sont de plus en plus précis, sa main droite ne quitte plus le sexe de Manon et sa main gauche ses seins. Annie saisit Manon par les épaules, la retourne et pose ses lèvres sur ses lèvres. Sa langue force le passage, je vois Manon céder et rendre son baiser à Annie. Les deux femmes restent enlacées pendant un long moment. Juliette émerge de nouveau et voyant son amie avec cette inconnue, lui attrape le bras et l’attire contre elle. Annie s’assoie sur le divan entraînant Manon. Juliette se jette sur Manon. Elle lui prend la taille, l’allonge sur le divan, lui écarte les jambes et se jette sur son sexe. Manon a un sursaut mais se laisse faire. Je me rends compte qu’elle a une certaine habitude de ces situations. Ses narines palpitent, elle aime ce que lui fait Juliette et est sur le point de jouir. Annie se penche sur sa poitrine et lui suce les tétons. Manon pose une main sur la tête d’Annie pour qu’elle ne l’abandonne pas, de l’autre elle caresse ses fesses et insistant sur sa rondelle. Je bande comme un âne, je passe derrière Juliette qui a le cul en l’air. Je plante mon sexe dans son vagin pour le lubrifier, je le ressors et le pointe sur son fion. Elle donne un coup de rein en arrière pour se planter sur mon membre. J’accentue le mouvement et la pistonne vigoureusement. Tout à coup, je réalise que Michel est toujours habillé et qu’il reste figé par ce spectacle. Je ne comprends pas très bien ce qu’il pense de la situation. Je le regarde, il est dans ses pensées mais il y a aussi cinq hommes qui nous regardent en se branlant. Manon part dans un terrible orgasme, elle jouit en criant, appelle Michel qui tout à coup réalise ce qui se passe et vient vers sa femme. Il se penche et lui donne un baiser passionné. La tension descend, Manon reste allongée sur le divan, les femmes la libèrent et Michel couvre son corps de baiser.

Juliette se redresse mais reste les mains sur le divan, je peux continuer de l’enculer.

— Vas-y chéri, encule moi comme tu sais bien le faire. J’aime, je t’aime, encore. Annie ma chérie vient, j’ai besoin de ta bouche sur mon con.

Annie s’exécute et Juliette part dans son deuxième orgasme de l’après-midi. Je la suis de très près et me vide dans son cul. Annie se redresse et va vers Michel. Celui-ci est assis et penché sur le corps de Manon. Annie lui prend une main et le fait se lever. Elle défait sa ceinture, et fait tomber à terre son pantalon. Il ne porte pas de slip. Son sexe se redresse comme un ressort. Il bande. Annie le retourne et s’accroupit devant lui. Elle prend son sexe dans la bouche et le pompe en lui caressant les fesses. Manon se lève et vient vers son mari. Elle lui enlève sa chemise. Michel est nu comme les autres. Elle s’accroupit et Annie lui laisse la place. Manon continue la fellation, se redresse et se tourne dos à son mari. Elle l’attrape par derrière, présente ses fesses au sexe de son mari, se saisit de sa queue et se la plante dans le cul. Elle se penche en avant pour faciliter la pénétration du membre de son mari. Elle jouit assez rapidement. Michel crie son plaisir de se vider dans le tréfonds de sa femme. Ils se calment et s’assoient sur le divan.

Des cinq hommes, il n’en reste que deux jeunes, vers les vingt ans, qui se sont déshabillés. Ils se caressent mutuellement. Ce sont apparemment deux homos qui veulent, eux aussi, donner du spectacle. Quand ils voient que nous les regardons, le plus grand retourne le plus petit et lui plante son sexe dans le cul. L’homme crie de douleur mais l’autre continue à la besogner. Petit à petit les cris de douleurs deviennent des cris de plaisir, mais l’enculeur n’a pas de résistance et jouit tout de suite. Le plus petit ne manque pas de lui dire son mécontentement, se rhabille et sort en râlant. Le plus grand, tout penaud, se rhabille et part aussi. Il ne reste que nous.

— Et si nous montions tous à la boutique? demande Annie.

Manon et Michel ramassent leurs affaires et nous voila tous en haut. Patrick se demande ce qu’il doit faire. La boutique est un endroit public et notre manifestation ne peut que lui attirer des ennuis.

— S’il vous plaît, vous devriez redescendre, je risque gros.

Annie prend les affaires de Manon et Michel, les pose sur la caisse et nous entraîne tous en bas. Cette manuvre a eu pour effet de nous faire voir des clients qui nous suivent en bas. Le spectacle peut recommencer.

Annie est déchaînée, elle entraîne Manon avec elle, fouille dans le sac et en sort un gode double. Elle l’enduit de gel, fait mettre Manon sur le dos sur le divan et lui introduit un bout du gode dans le con. Elle se positionne en face d’elle et s’avance de manière à se planter l’autre bout dans son propre con. En se rapprochant, les deux sexes entrent en contact. Elles ont toutes les deux un sursaut quand leurs sexes se touchent. Leurs bas-ventre ondulent, Annie fait en sorte de se pistonner tout en pistonnant Manon. Les deux femmes se concentrent sur leurs plaisirs. Juliette se penche sur elles au niveau de leurs sexes et se met à les lécher. Sa langue passe d’un clitoris à l’autre et s’attarde sur les lèvres. L’effet est terrible. Les deux femmes se cambrent, elles jettent leur sexe sur celui de l’autre, leurs corps se raidissent et elles jouissent.

— OOOOOOOOOOHHHHHHHHH oui, c’est bon, fais moi jouir, j’aime ton petit bout sur le mien.

— Oui, oui, comme ça, je viens, je vais partir, oui, je pars, aaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhh.

Elles jouissent ensemble pendant un moment et finissent par rester inertes sur le divan. Tous les spectateurs se branlent et le sol commence à être un peu mouillé. Juliette se redresse, son visage est couvert de cyprine des deux amantes, elle vient vers moi et m’embrasse.

— C’est bon hein?

— Délicieux.

— A toi maintenant, mais je veux que ce soit Manon et Michel qui s’occupent de toi.

— Si ils sont d’accord, je ne demande pas mieux.

Juliette va voir Manon qui émerge doucement, celle-ci sourit en me regardant. Michel est aussi d’accord et Juliette revient vers moi.

— Va te mettre sur le divan à quatre pattes.

Annie et Manon libèrent le divan et je m’installe comme demandé. Juliette sort un gode du sac. C’est un gode assez gros, de six centimètres de diamètre, que l’on tient par une poignée. Il possède un énorme gland, au moins huit centimètres, ce que j’adore. Elle le lubrifie et le confie à Manon. Je suis étonné, je m’attendais à ce que se soit Michel qui officie. Manon vient derrière moi, me présente le gode sur la rondelle. Je frissonne comme d’habitude au contact de cette bite artificielle. Elle pousse doucement, ma rondelle se dilate petit à petit. Comme c’est le premier objet qui s’insinue dans mon cul, je ressens une douleur, pas très forte mais quand même. Manon le sentant, s’arrête de pousser. Je lui fais signe de recommencer et la progression reprend. Le gland se fraye un passage dans mon fion et mon sphincter se referme sur lui. Il est rentré. Maintenant la progression se fait plus rapidement. Une fois au fond, Manon fait des va-et-vient de plus en plus rapides et de plus en plus amples. Le gland finit par sortir et ré-rentrer immédiatement à chaque aller-retour. Cette pénétration brutale, qui me dilate au maximum la rondelle, me met dans un état second. Je ne suis plus que mon cul. Tout est centré autour de mon cul. Des ondes partent de mon fion et se diffusent dans tout mon corps. Tout à coup, ma bite est prise en bouche, c’est Michel qui me pompe le dard. Après la première surprise, je constate que c’est un pro de la pipe. Mes pieds s’électrisent, mes jambes vibrent, mon ventre se noue, mon cur bat à deux cents, ma tête se vide de tout ce qui peut lempêcher d’être un cul. Je jouis en criant ma joie, je me vide dans la bouche de Michel pendant que Manon accélère ses mouvements. Je m’écroule sur la tête de Michel, jette un il vers Juliette et je constate qu’elle est à cheval sur la bite de Michel qui est sur le dos pour pouvoir accéder à ma bite. Elle se pistonne comme une folle pendant qu’Annie lui présente sa moule à lécher. Tout le monde participe et jouit l’un après l’autre. Les trois ou quatre spectateurs présents se branlent et jouissent sur le sol.

Après un petit moment, Annie sort le gode gonflable du sac, s’enduit le fion, encapuchonne le gode et le positionne par terre. Elle nous demande à Michel et à moi de la prendre par les bras et de la positionner sur le gode. Elle demande à Manon de gonfler le gode quand elle le demandera et à Juliette de s’occuper de son clito. Cela me parait compliqué mais pourquoi ne pas essayer? Nous prenons Annie chacun par un bras et la positionnons sur le gode qui est gonflé à six centimètres de diamètre. Nous la laissons descendre doucement sur ce pieu.

— Doucement mes chéris, doucement.

Nous la soutenons et l’engin entre progressivement dans son cul. C’est la première fois que je vois Annie se faire mettre par un si gros engin. Je pense qu’elle est à son maximum. Une fois sur les couilles du gode, nous lui laissons un petit moment pour s’accoutumer au diamètre de la bête.

— Allez mes chéris, je veux me faire défoncer.

Nous la montons, la descendons d’abord doucement puis en accélérant la cadence.

— Gonfle Manon, gonfle un peu.

Manon donne trois ou quatre coups de pompe. Nous continuons nos allers-retours sur le gode.

— Encore Manon, encore.

Manon donne quelques coups de pompe. Je m’adresse à Manon.

— Lubrifie la Manon, met du gel sur le gode.

Manon met du gel sur le gode et Juliette réussit à trouver une position qui lui permette de lécher le clito d’Annie tout en ne bouchant pas la vue pour les spectateurs.

— Oui ma chérie, oui, sur mon petit bouton, oui, vas-y je vais partir comme une folle. Gonfle Manon, gonfle encore.

Manon donne des coups de pompe, je lui fais signe de lubrifier le gode et d’arrêter les coups de pompe, je ne veux pas qu’Annie se blesse. Nous sommes au maximum d’amplitude et de rapidité, Annie nous aide avec ses jambes mais nous commençons à fatiguer lorsqu’elle renverse sa tête en arrière.

— Oui, je viens, je vais jouir, vas-y ma chérie, lèche moi le con, encore mes chéris, encore, je n’en peux plus, je jouis, je jouis, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis. Elle se crispe, s’immobilise sur le gode enfoncé jusqu’au fond de son cul. Elle lance ses jambes en avant, les replie, les relance. Nous avons du mal à la maintenir verticale tellement elle gesticule et est secouée de soubresauts. Petit à petit elle se calme, nous la portons sur le divan avec son gode toujours planté dans le fion. Elle reste en position du ftus, Juliette lui maintient le gode dans le cul.

— Je veux le garder pour toujours, j’aime trop l’avoir dans le cul.

Au bout d’un quart d’heure, tous les spectateurs sont partis. Annie est revenue à elle, elle a toujours le gode dans le fion qu’elle maintient elle-même avec sa main gauche.

— Jean, est ce que tu peux m’enlever ce gode et le remplacer par ta main, je sais que tu adores ça, j’aimerai essayer maintenant que mon cul est bien formaté.

Je viens derrière elle, tire sur le gode qui se dégage sans efforts. Une fois libre, son cul reste un moment complètement ouvert, je n’ai aucun mal à introduire ma main dans son cul. Je sens à peine sa rondelle quand je la pénètre. Je laisse ma main immobile et je sens son sphincter se resserrer petit à petit. Mon poignet se fait enfermer par sa rondelle, la sensation est étrange mais c’est Annie qui en profite le plus.

— Oh mon dieu, je t’emprisonne ta main, quel pied, mon cul se resserre sur ta main, je vais la garder, tu seras toujours dans mon cul.

Ce coup ci elle divague complètement. Je veux faire un mouvement mais je me rends compte que j’ai oublié de lubrifier ma main. Je suis à sec dans son cul, heureusement qu’il reste un peu de gel sur sa rondelle. Je fais de petits allers-retours pour l’habituer.

— Vas-y, à fond, défonce moi, je veux sentir ta main me défoncer le cul.

J’accélère le mouvement et Annie part instantanément dans un autre orgasme dément.

— Oui, oui, oui, oui, oui, encore, encore.

Je la pistonne le plus rapidement possible quand elle se couche à plat ventre et monte ses fesses le plus haut possible.

— AAAAAARRRRRR je n’en peux plus, encore, encore, je n’en peux plus, je jouis, je jouis, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiis.

J’arrête mes va-et-vient, retire doucement ma main de son cul. Je le vois se refermer doucement. Je me penche et lui lèche le cul, cela a pour effet de lui déclencher une nouvelle jouissance.

— Quel pied, merci mes chéris, je vous aime.

Elle reste un moment sur le divan. Juliette se penche vers elle, lui pose les lèvres sur sa bouche et l’embrasse tendrement.

— C’était ta journée ma chérie, tu as aimé?

— J’ai A D O R E. Vivement que l’on recommence.

— Peut être chez nous un jour prochain.

Les clients comprennent que c’est fini et se retirent tous. Je viens vers Juliette, l’embrasse en lui caressant ses fesses que j’adore.

— Tu viens chérie, je suis un peu fatigué.

— Ok mon amour.

Je rassemble tout le matos et nous remontons avec Annie, Manon et Michel. La boutique est presque vide, il commence à se faire tard. Patrick nous rend nos affaires et nous nous rhabillons devant les clients médusés, entre autre une femme d’une cinquantaine d’années qui vient vers Juliette.

— Vous faites ça souvent?

— Non mais ça nous arrive une ou deux fois par mois.

— Je ne pourrais pas le faire.

— Quoi?

— Me déshabiller devant des inconnus.

— Vous êtes sûre?

— Oui, je ne pourrais pas.

Juliette lui prend la tête entre ses mains et l’attire vers sa bouche. Elle pose ses lèvres sur les siennes, force sa bouche, et finit par lui faire partager son baiser. Elle la caresse à travers son corsage, le déboutonne, et fait apparaître ses seins. Elle descend sur le zip de la jupe, le descend et la jupe se retrouve par terre. La femme est en string, les seins à l’air. Juliette se sépare des lèvres de la femme qui visiblement ne sait plus où elle est. Elle l’embrasse sur les épaules, les seins, le ventre et fait descendre le string pour poser ses lèvres sur son sexe. Machinalement, quand le string arrive aux pieds de la femme, celle ci dégage ses pieds pour que Juliette puisse s’emparer de lui. Juliette continue de lui lécher le sexe, celle-ci lui prend la tête et la plaque contre son pubis. Elle ferme les yeux, renverse la tête et jouit en silence devant nous. Elle libère la tête de Juliette qui remonte le long de son corps en l’embrassant partout. Une fois Juliette redressée, la femme l’enlace et l’embrasse avec passion.

— Tu vois que tu peux le faire. Ce n’est pas le cerveau qui commande dans ces cas là, c’est le sexe. Et le sexe a un très grand pouvoir.

— Que m’arrive-t-il? Je suis bien.

Juliette lui remet son string en embrassant une dernière fois son sexe, elle remonte la jupe et referme le corsage.

— Tu es belle tu sais, il ne faut pas te cacher.

C’est vrai que cette femme qui doit avoir dans les cinquante ans est encore très belle, son corps n’est absolument pas déformé, sa poitrine se maintient encore pas mal et ses fesses sont encore fermes. Ce doit être une sportive, comme Denise. La femme embrasse encore Juliette, va payer son DVD de cul et sort de la boutique.

Nous embrassons tous Annie, qui est encore dans les vapes.

— Jean, est ce que tu peux ramener Annie, elle ne me parait pas très bien. me demande Patrick.

Je suis d’accord, surtout Juliette qui a un gros faible pour elle.

Nous rentrons tous chez moi, Manon et Michel nous suivent.

— On peut manger chez nous dit Juliette.

Tout le monde est d’accord. Juliette et Annie complètent les courses et préparent le repas.

Manon et Michel sonnent et entrent. Ils sont toujours habillés et en nous voyant tous les trois nus, ils se déshabillent dans l’entrée. Michel ramène leurs vêtements chez eux.

La soirée peut commencer, mais ceci est une autre histoire.

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