Chapitre v

— Chantal ! Chantal ma chérie ! Tu dors encore ? Il est 11 heures. Je dois te laisser. Ton père a appelé et il ne rentrera pas ce soir, il est en déplacement du côté de Lyon. Je dois filer. Il n’y a pas idée non plus de rester comme ça à en rond toute la nuit !! Bon, ne te lève pas trop tard. Ce soir en rentrant, il va falloir que je m’occupe de la chienne de la voisine et demain c’est toi, n’oublie pas que tu étais d’accord !

— Oui ! c’est promis, lui répondis je à moitié endormie

Ce fut le doux baiser de ma mère qui me sortit de mon sommeil lourd et sans rêve. J’avais vraiment du mal à émerger de mon état comateux tellement ma nuit avait été agitée

Mon dieu quelle nuit !!!!!!!

Mon sommeil avait été peuplé de chiens en pleine érection. Chiens qui n’avaient eu de cesse de me tourner autour que lorsqu’ils avaient pu enfin me monter dessus.

Combien étaient ils ???????? Je ne sais plus, mais ce matin j’avais le corps meurtri comme si j’étais passée sous un rouleau compresseur

Combien de fois avais je joui ????? Je ne sais pas, je ne sais plus, mais mon ventre était lourd, très lourd, les lèvres de mon sexe ayant pratiquement doublées de volume et mon clitoris était douloureux tellement j’avais du le caresser

Mes draps eux aussi se rappellent de cette nuit, ils étaient trempés de sueur et de cyprine

..Allongée, alanguie dans mon lit, je me souvenais par bribes ma journée d’hier. La cuisine avec Mambo, le couloir, Aurélie et Cartouche, Aurélie et moi puis le retour chez moi sous la pluie froide, ma visite à Mambo vers une heure du matin et la surprise de voir ma mère se faire saillir par lui, saillir comme une chienne qu’elle était , me demandant comment allais je me comporter devant elle maintenant après ce que j’avais découvert cette nuit

Je ne pouvais pas garder tout ça pour moi, il fallait que je partage ce secret, celui de ma mère avec quelqu’un et qui peut être mieux placée que ma meilleure amie Aurélie

Je décrochais le téléphone espérant qu’elle ne serait pas encore entrain de se faire saillir par son chien celle là !

— Allo ! Aurélie ! Excuse moi mais j’ai besoin de te parler, besoin de toi, je suis perdue, complètement perdue. Avant toute chose, réponds moi franchement.

— Mais qu’est ce qui t’arrive ! raconte moi, oui je te répondrais franchement.

— Pour ce qui c’est passé hier entre nous, dis moi, est ce que tu étais sincère avec moi dans ta façon de me faire l’amour ? Est ce que tu ressentais vraiment quelque chose pour moi, réponds moi ? J’ai besoin de savoir, après je te raconterais ce qui m’arrive enfin ce qui m’est arrivée hier après t’avoir quittée

— Qu’est ce qui t’es arrivée ? Tu as baisé avec Mambo ?

— T’es vraiment obsédée que par ça toi ! Oui, enfin presque et puis zut à la fin, seulement sucé. J’aurais bien voulu c’est vrai , cette fois j’étais presque décidée , mais c’est ça que je veux te raconter. Mais réponds d’abord à ma question, j’ai besoin de savoir

— Oui ma chérie ! Je t’aime réellement, je t’ai toujours aimée et je suis sincère crois moi.

— Tu ne peux pas savoir comment je suis heureuse de t’entendre et que tu me dises ça. Moi aussi je ressens beaucoup de choses pour toi , je pense que c’est de l’amour et depuis hier je ne suis plus la même, il m’est arrivée tellement de choses en si peu de temps , que je me demande encore ce qui va me tomber sur la tête

— Raconte moi ! C’est si grave que ça ?

— Je commence, mais tu ne m’interromps pas, ok ! sauf si je te pose des questions, car je me suis rendue compte que tu en savais beaucoup plus que tu ne veux le laisser paraître

— D’accord ma chérie, je suis tout ouïe, tout oreille me répondit elle en éclatant de rire

— Bon, je commence

« Quand je suis partie de chez toi, j’étais toute chose tu t’en doutes avec tout ce que je venais de voir et de faire. J’avais le cour en joie et ma culotte que j’ai encore sur moi, car je voulais garder tout le plaisir que tu m’avais donné, s’en souvient encore tellement qu’elle était trempée. Pour faire bonne figure, je me disais que c’était la transpiration occasionnée par la selle du vélo qui l’avait mise dans cet état.

Ma mère étaient déjà rentrée et préparait le dîner dans la cuisine, Le chien lui sommeillait dans le garage. Quand je suis rentrée à l’intérieur, ruisselante, il s’est levé pour me faire des joies. Il devait se réjouir car sa chienne revenait à la maison, rigolant en mon for intérieur. Je lui ai fais un baiser affectueux sur le museau qu’il me rendit en me léchant le visage. Le contact de sa langue me fit frissonner, mais je le repoussai gentiment sachant ma mère dans les environs.

En poussant la porte de la cuisine, ma mère me réprimanda :

— Ah non Chantal ! Change toi dans le garage, je viens de nettoyer le couloir et la cuisine ce n’est pas pour que tu gâches tout mon travail. Mets donc tes affaires à sécher dans la buanderie et va prendre ta douche.

Obéissant à ma chère Maman, je retournai dans la buanderie pour tendre mes vêtements trempés et dégoulinants, suivie comme mon ombre par Mambo

Je commençais donc par enlever ma jupe, puis mes collants humides me retrouvant ainsi en petite culotte. Le badinage de l’après midi avec Aurélie et 20 minutes de massage forcé sur la selle de mon vélo avaient imprégné ma culotte de mes secrétions intimes. Cette situation n’échappa pas à Sultan qui, de suite, me colla son museau indiscret entre les jambes. Cette fois-ci au lieu de le repousser je le laissai faire sentant de délicieux picotements me parcourir l’échine.

Je m’attaquais ensuite à mon pull, lui aussi trempé, puis à mon débardeur, n’étant vêtue cette fois que de ma petite culotte, point.

Mambo reniflait mes douces odeurs féminines et léchait l’étoffe de cette dite culotte et le constat était que mon corps réagissait de plus en plus à ses stimulations animales. N’écoutant plus la raison qui me commandait de sortir immédiatement, j’enlevais le dernier rempart qui me séparait de sa langue maléfique.

J’étais nue et tremblais comme une feuille. Mon visage me brûlait. Le contact direct de sa langue avec mon sexe, m’arracha un petit cri de stupeur. Puis Mambo laissant libre court à son instinct me dévora littéralement la chatte. Appuyée à la machine à laver, les jambes largement ouvertes, j’écartai comme je pouvais, mon sexe pour que sa langue me prenne totalement. Elle me fouillait, entrait en moi, se délectait de mes chairs gonflées et de ma mouille sentant déjà arriver les vagues du plaisir comme des raz de marée inexorables. J’étais tellement excitée que je jouis rapidement sous les caresses buccales de mon chien. Quel bonheur ! Je dus mettre mon pull sur ma bouche pour pouvoir jouir sans que personne ne m’entende.

— Et bien qu’attends-tu ? Tu vas dormir dans la buanderie ou quoi ? A ce rythme, je vais t’aménager un lit dans le garage, tu dormiras avec le chien, vue le temps que tu passes avec lui ! Appela ma mère de la cuisine.

— Oui, oui, j’arrive ! Lui répondis je, les lèvres de mon sexe écartées sous les coups de langue de Mambo, imaginant que ce serait vraiment super la proposition qu’elle venait de me faire .

Les jambes pantelantes, j’arrivai dans la salle de bain et me fis couler un bain chaud dans lequel je me plongeai avec délice. Je ne pouvais effacer les images de la buanderie et sentais de nouveau une langueur envahir mon corps. Je m’assoupis.

Ma mère vint me chercher pour aller manger. Nous passâmes la soirée tranquillement à discuter, puis nous regardâmes un film à la télé. Je regagnai ma chambre mais, une fois seule, je ne pus m’empêcher de songer au plaisir vécu cette journée.

Les yeux fermés, Je pensais à toi, toi avec moi, toi avec ton chien, à la langue de Mambo. Tous ces tabous qui étaient tombés en si peu de temps, comprenant de plus en plus que je ne pourrais pas me contenter que de sa langue. Aller plus loin avec lui, faire comme toi avec ton chien, subir ces assauts, tout ça devenait inévitable, mon corps et mon cour en avaient besoin, me demandant quand est ce que je serais prête pour affronter cette vérité

Après deux heures dans mon lit, à chercher le sommeil, me retournant côté pile puis côté face, j’en vins à l’évidence que je ne dormirais probablement pas cette nuit. Trop d’énervement ou plutôt d’excitation. Il me semblait sentir des doigts dans ma chatte ou mieux encore, une bonne langue longue et chaude.

1h30 du matin. que faire ?

Ma mère dormait sûrement. J’allumais la lumière et pris un livre mais me résolus au bout de 5 minutes que je ne pourrais rien faire cette nuit. Surtout pas lire !

Allongée dans mon lit, j’attendis encore un moment, ma main s’était perdue sous les couvertures et massait mon sexe gonflé. Sous mes doigts je sentis une douce chaleur humide. Comme cet après-midi avec toi je me sentis fondre à nouveau.

Mais je voulais plus. Plus que mes doigts, je voulais le contact chaud d’une langue ou d’une sexe de mâle. Inévitablement je songeai à Mambo qui était seul dans le garage. Que faire ? Ma mère était là, au lit soit, mais à proximité quand même.peut-être que si je ne faisais qu’un cunnilingus avec lui, ça me soulagerait, et je pourrais enfin m’endormir !

N’y tenant plus, je sortis du lit et avançais à pas de loup pour éviter de faire craquer le plancher. En chemise de nuit, je descendis donc les escaliers puis me dirigeais vers le garage. Je m’arrêtais pour écouter … pas un bruit à l’horizon. Tremblante, j’ai ouvert la porte du garage. Mambo dormait tranquillement et se réveilla, leva la tête vers moi me reconnaissant. Il remuait la queue en signe de joie. Je m’approchai et lui caressai la tête affectueusement.

— Alors, mon gros ! Toi tu dors tranquille alors que moi je suis en feu ! Mais tu vas me soulager n’est-ce pas ?

Il parut comprendre immédiatement car il leva la tête et commença à renifler entre mes jambes. Je suppose que les odeurs qu’exhalait mon petit sexe lui arrivèrent assez rapidement. Je m’assis sur une chaise qui était à proximité et lui offris sans plus attendre mes lèvres gonflées. Au premier contact de sa langue sur mes chairs à vif, je ne pus réprimer un gémissement de contentement. J’écartais mes jambes au possible, la brave bête me léchait sans arrêt et à chaque coup de sa langue sur mon sexe, des frissons me parcouraient l’échine. Je crois bien, que c’est quand il c’est attaqué à mon petit trou, que les premières étoiles apparurent annonçant l’explosion de l’orgasme tant attendu. Mon corps fut pris de spasmes incontrôlables, réussissant tant bien que mal à ne pas crier.

Je me retrouvais assise par terre. Les cuisses complètement écartées mes yeux étant accaparés car sous le ventre de Mambo, le bout de son sexe rouge pointait de manière arrogante. JE pris en main son fourreau, et le branlait doucement. Je sentais la force de mon chien dans cette tige dure sous mes doigts.

Je la vis s’allonger, fine et dure, comme un marqueur et voulus goûter le fruit défendu. Mambo donnait déjà des coups de reins dans le vide. Je fis sortir entièrement le sexe de sa gangue, et approchai mon visage. L’odeur était un peu forte mais pas trop. Je commençai à passer ma langue sur la hampe canine, puis je le pris en bouche en faisant bien attention de ne pas le blesser.

A chaque coup de reins qu’il donnait, un jet puissant tapissait le fond de ma bouche et pour la première fois, j’ai pus enfin me délecter de son sperme.

Que de chemin j’avais parcouru en une journée. J’étais presque à égalité avec toi , sauf que toi, tu t’étais déjà donnée à ton chien et depuis longtemps , moi je ne désespérais pas de le faire bientôt. Ses jets étaient puissants, chauds et ma bouche courait le long de sa hampe violacée. J’en voulais encore plus. Je m’allongeais sous lui pour savourer pleinement ce sexe qui m’inondait la bouche.

D’une main je dirigeais les jets sur mes seins, sur mon ventre, sur mon visage et de l’autre j’essayais de faire le tour de cette boule qui me faisait loucher d’envie, me demandant quand est ce que je me déciderai à la recevoir dans mon vagin

Combien de temps suis je restée allongée à le boire, à le caresser, à le sucer, je ne le sais plus. Le temps ne comptait plus, j’étais heureuse, le corps repus de jouissance, regardant son sexe ramolli qu’il léchait avant qu’il ne rentre bien au chaud dans sa gaine protectrice.

C’est dans cette position, allongée contre Mambo que ma mère a faillit me trouver, quand doucement pour ne pas faire de bruit, elle a ouvert la porte donnant dans le garage, exactement comme je l’avais faite auparavant

Que voulait elle ? Que cherchait elle ?

Heureusement que le sexe de Mambo était de nouveau dans son étui, sinon c’est avec son engin turgescent qu’elle l’aurait trouvé en arrivant dans la buanderie. Moi, je n’avais eu que le temps de me cacher au fond du garage derrière sa voiture, retenant ma respiration pour ne pas qu’elle me découvre.

J’imaginais la scène !!!!! Moi, la fille modèle entrain de lécher, de branler le sexe de son chien, quel scandale

Je n’osais respirer tellement j’avais peur.

De l’endroit où j’étais, je pouvais la voir descendre doucement, ses yeux fixés sur Mambo. Elle l’appelait doucement, lui murmurant des mots que j’eu de la peine à croire, surtout venant de ma mère, cette mère que je vénérais, que j’adulais malgré quelques frictions dus au conflit des générations

— Alors mon amour, tu dormais, tu n’attendais plus ta chienne, celle qui t’appartient, celle que tu fais hurler avec ta grosse queue ! Tu sais que j’ai du attendre que ton patron s’endorme pour venir te rejoindre et tu ne sais pas quoi ? Et bien toute la semaine prochaine il n’est pas là. Je serais toute à toi, on va en faire des folies ! « « « «

Telle étaient les propos que maman tenait à Mambo, tu te rends compte !

— Ta mère !!!!!!! Elle aussi, tu me racontes des blagues, c’est pas possible , ça devient contagieux dans la région, les femmes qui ont envie de se faire grimper par les chiens!

— Oui ma mère ! Je te parle d’elle, je te raconte ce que j’ai vue, entendue. J’avais l’impression de devenir folle, complètement folle en entendant les propos sortir de la bouche de celle à qui on aurait donné le bon dieu sans confession, car c’est comme ça que les gens jugeaient ma mère. Mais dans tout ça, le pire, c’était que j’étais jalouse d’elle, moi amoureuse de mon chien il y avait de quoi faire rire une dizaine de psy, tu ne crois pas ? attends c’est pas fini !

« « « Et ma mère de continuer, persuader qu’elle était seule

— Allez vient !, regarde, je suis nue, ma chatte offerte à ta langue. Mais on dirait que t’es fatigué dis donc ! Approche, vient sentir comme ma chatte sent bon, je me suis frottée contre la chienne de la voisine pour toi et depuis deux jours elle est en chaleur, alors ça te plait » » » »

Je ne comprenais pas ce qu’elle voulait dire quand elle parlait de la chienne en chaleur

— Dis moi Aurélie, toi qui a l’habitude des chiens ! Qu’est ce qu’elle voulait dire ?

— Je t’explique ! les chiennes comme tous les animaux, ont de périodes de reproduction, ce qu’on appelle « chaleur » et pendant toute cette période qui dure environ trois semaines, elles dégagent des phéromones, qui attirent tous les chiens des alentours et ça à plus de cinq kilomètres à la ronde. Je le sais et je t’en parle en connaissance de cause, car le mien à chaque fois qu’une chienne est en chaleur, il devient impossible et parfois arrive à se tirer de la maison pour aller courir la femelle. Je te raconterais ce qui m’est arrivée une fois. Mais c’est super que la chienne de ta voisine soit en chaleur, je t’expliquerai plus tard

Je me demandais bien ce qu’elle allait encore me sortir. Avec elle je m’attendais à tout

— Je comprends maintenant.

« « « Mambo était comme fou, tournant autour des cuisses de maman lui collant sa truffe entre ses fesses qu’elle écartaient pour qu’il aille plus loin, je pense. D’où j’étais, j’apercevais Son sexe velu luire sous ses coups de langue. A chaque lapée qu’il lui donnait, sa langue disparaissait au fond du vagin de maman et malgré tout ce qu’il m’avait donné, je le voyais accrocher ses pattes de devant aux jambes de celle qui m’avait donné le jour, mimant la pénétration de sa femelle

— Alors, tu me veux ? Tu as envie de saillir ta chienne ? tu as envie que je me mette à quatre pattes comme la chienne que je suis ?

Et avant que j’ai pu comprendre ce qui se passait, elle était à quatre pattes devant Mambo qui sans demander son reste était déjà accroché à ses flancs, exactement comme je t’ai trouvée cet après midi

Mon dieu quelle journée ! Je m’en rappellerais

Ma mère avait les yeux hagards, révulsés, la bouche grande ouverte, cherchant de l’air, quand le sexe de Mambo est rentré avec force dans son ventre. Voyant pour la première fois avec quelle force il la pénétrait, je m’imaginais son sexe grandir, grossir, jouir dans son ventre. Je la maudissais, la haïssais de me prendre mon amant. Et lui ce salaud, cet ingrat qui me crachait son sperme dans ma bouche, qui me faisait hurler sous sa langue, était là planté au fond du ventre de sa chienne, car c’était exactement ce qu’était devenue ma mère.

Mais où pouvait il trouver autant de force après tout ce qu’il m’avait donné

Je regardais le spectacle de maman cloué par le pieu gigantesque de Mambo, gigantesque était le mot exact après l’avoir eu dans ma bouche

Les coups de reins qui lui avaient permis de posséder sa chienne, s’étaient ralentis à presque devenir nuls et je pouvais imaginer ce qui se passait exactement dans le ventre de ma mère après les descriptions précises que tu m’avais données.

Je me rendais compte comme elle était heureuse d’être remplie de la sorte. Je devinais que la boule, cette boule que j’avais prise dans ma main, était entrain de remplir son vagin. Ma mère de toute évidence était pleine de lui, collée à lui ce qui n’avait pas l’air de la gêner beaucoup. Moi, malgré la nausée de ce spectacle affligeant de voir ma mère clouée par le sexe de Mambo, il m’était obligé de constater que mes mains n’avaient rien perdu de leur agilité à caresser mon sexe inondé de plaisir » » » » » » »

— Raconte ! tu te caressais en les regardant ?

— Oh oui ! j’avais honte d’elle, mais je dus reconnaître qu’elle était très belle accouplée à lui. Jamais je ne lui avais vue un aussi beau visage et ses yeux exprimaient un immense bonheur d’être soudée sur le sexe de Mambo. Mes doigts n’étaient pas en reste d’ailleurs, écartant, fouillant mon sexe, titillant mon bouton d’amour qui pour l’occasion avait pratiquement doublé de volume. A un moment, Mambo a voulu se retirer de son ventre et il c’est retrouvé cul à cul avec maman ce qui me permit de comprendre ce que voulait dire les gens, quand il parlait de chien collé à leur chienne. Maman était devenue une chienne et elle jouissait de ce statut. Il la tirait sur le sol de la buanderie pendant qu’elle jouissait de sa position. Ça faisait quatre fois que je l’entendais jouir et j’avais l’impression que ce ne serait pas la dernière. Elle avait passé une main par dessous son ventre pour retenir la boule de Mambo dans son ventre, mais lui tirait toujours autant. Après tout, c’était lui le mâle, non !

Malgré tous ses efforts pour le retenir en elle, il arriva à ses fins et se détacha complètement d’elle, faisant sortir son immense queue du vagin distendu de ma mère. Je l’avais vue de près quand elle était dans ma bouche, mais cette fois elle me parut encore plus grosse et plus grande.

Je venais de jouir en même temps que maman quand elle laissa écouler le sperme qu’il lui avait propulsé dans son ventre de chienne. On aurait dit un torrent de lave qui lui coulait entre les cuisses. Avec tout ce qu’il m’avait donné tout à l’heure , je me demande où il avait prit la force de lui en donner autant. Tu le sais toi, depuis le temps que tu pratiques le tien ?

— Franchement je ne sais pas, mais le fait est là, comme je te le disais depuis le début, un chien n’a rien à voir avec un homme, je me demande bien ce que tu attends pour essayer ; Si tu veux je peux t’aider à franchir le pas, et d’après tout ce que tu me décris, j’ai grande envie d’essayer avec Mambo. Il a l’air plutôt bien monté le gaillard

— Ne t’avise pas ! T’es une vraie nympho. Déjà ma mère, mais alors toi avec lui, alors ça jamais, je te connais trop, tu vas me le fatiguer ;

Je ne pus retenir un grand fou rire en lui disant ça. Mais au fond de moi j’avais ressenti comme une très grande jalousie quand elle m’avait dit qu’elle aimerait se payer Mambo. J’avais déjà ressenti cette même jalousie en regardant ma mère se faire prendre par lui

Voilà, je t’ai tout raconté et crois moi , je suis très perturbée et assez décontenancée par tout ça, que dois je faire, dis moi

— Tu sais ma puce, ce n’est pas si grave que ça. Si ce n’est le fait que ce soit ta propre mère qui se fasse saillir par Mambo et que tu en sois follement jalouse, je ne vois qu’une chose, c’est que toi tu te donnes le plus vite possible à lui pour te prouver que tu en es capable et qui sait, peut être qu’un jour vous le ferez ensemble toutes les deux, face à face. Pour ma part, c’est tout ce que je te souhaite

— Mais tu es malade ! Tu voudrais que je le fasse devant ma mère ! Mais où vas tu chercher tout ça !

Je réfléchissais à ce qu’elle venait de me dire et elle avait sûrement raison en ce qui concernait ma position envers Mambo. Il fallait que je m’abandonne à lui, il fallait que je lui donne mon corps, il y avait trop longtemps que j’en avais envie, que je le désirais, mais pour ce qui était ma mère, elle divaguait complètement. Mais qui sait

Et elle de continuer.

— Dis moi ?

— Oui !

— Tu ne m’as pas dit que la chienne de ta voisine était en chaleur ?

— Oui ! c’est ça !

— Et tu dois y aller quand la prochaine fois ?

— Et bien ce soir, pourquoi ?

— Attends , il faut que je t’explique quelque chose, il ne faut pas laisser passer ça et je vais venir moi aussi ! Je t’explique….

à suivre

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