Je montai les escaliers qui menaient à la chambre de ma sur avec une question en tête: "Que pouvait bien me réserver ma sur?" Arrivé devant sa porte, je poussai cette dernière et découvris ma sur totalement nue en train de se caresser la chatte. Lorsqu’elle me vit, ma sur me sourit et me dit:«Ah! Tu es là. Je t’attendais, esclave. Tu es déjà prêt, c’est bien! Suis-moi.»
Je suivis donc ma sur jusqu’à sa salle de bain. Elle m’ordonna ensuite d’entrer dans la cabine de douche et me dit:«Tante Rosalie t’a bien sali, esclave et je pue la transpiration. Lavons-nous ensemble, esclave.» Ma sur me rejoignit dans la cabine de douche et en ferma la porte. Elle fit ensuite couler l’eau. Qu’il était agréable de voir ses seins ruisselants et ses poils pubiens collés à sa chatte par l’eau! Je ressentis alors un sentiment que je n’avais plus éprouvé depuis mon humiliation un mois auparavant: le désir. Voir une femme nue à seulement quelques centimètres de moi me faisait bander comme un âne même si la femme en question était ma propre sur! J’aurais voulu la prendre mais ma sur était ma maîtresse et je devais l’appeler "Maîtresse Lily". Je tentai de me mettre dos à ma sur pour lui cacher mon érection. Bien que ma bite n’atteignait que 12 cm en érection, je craignais que le regard observateur de ma sur puisse remarquer la dureté de ma queue. Malheureusement, ma sur remarqua mon état. Par réflexe, je m’agenouillai devant ma sur et me protégeai le visage en la regardant d’un regard honteux et en la suppliant de ne pas me frapper. Cependant, en voyant mon érection, ma sur sourit d’un air fier. La fierté… Un sentiment qu’elle n’avait plus éprouvé pour moi depuis mon humiliation.
«On dirait que tu as pris un peu de bite, esclave. Ta liberté viendra peut-être plus vite que prévu. En attendant, pose tes mains contre le mur et montre-moi ton cul.»
J’obéis à l’ordre de ma sur sans discuter. Mon cul à présent bien cambré était à la merci de ma sur. Sans attendre, ma sur m’enfonça deux doigts dans l’anus. Elle entama une série de puissants va et vient avec ses deux doigts. Elle en rajouta ensuite un troisième puis un quatrième. Elle me fista ensuite de ses quatre doigts longs et fins jusqu’à ce mon anus soit suffisamment dilaté pour qu’elle puisse y mettre son poing entier. Quel pied! Ma sur était en train de me ramoner le trou du cul! Après une série de violents va et vient, elle retira doucement son poing de mon anus.
«Quel anus, esclave! Il est béant! Avoue que je te l’ai bien dilaté. Suis-je une bonne fisteuse? Réponds, esclave.»
«Oui, Maîtresse Lily, Vous êtes la meilleure. Vous m’avez honoré en acceptant de me fister avec Vos doigts de déesse.»
«Merci, esclave. Maintenant, ouvre bien la bouche et viens me lécher la chatte!»
Je m’exécutai donc et léchai goulûment le sexe de ma sur. Ma sur plaqua mon visage contre sa chatte et je poursuivis mon léchage. Après quelques minutes, ma sur sembla ne plus tenir. Son orgasme était proche. J’en étais étonné mais ma joie prenait le dessus sur ma surprise. Moi, l’esclave des femmes de ma famille, j’avais réussi à faire jouir ma sur!
«Oh putain!!!!! C’est trop bon!!! Hummm. Je vais jouir. Oh oh oh!!!! OHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH!!!!!!!!»
Je m’attendais à avaler de la cyprine mais le liquide que ma sur m’avait donné avait un goût plus salé. Quelle garce!!! Et quel talent!!!! Ma sur avait réussi à me faire croire que je la faisais jouir pour pouvoir me faire avaler son urine!
Après que j’eus avalé la pisse de ma sur, nous sortîmes tous deux de la salle de bain et ma sur alla prendre une règle dans un tiroir. Elle prit ma queue toute dure dans sa main en la tenant à sa base. Elle positionna ensuite la règle contre mon bas-ventre et mesura ma queue.
«16,3cm. Bravo, esclave. Tu vas pouvoir entamer la seconde étape de ton redressement. Maintenant, va te rhabiller et allons discuter avec maman et tante Rosalie de la suite du programme.»
Je retournai donc à la cuisine récupérer mes vêtements et attendis que ma sur ait prévenu ma mère et ma tante de mon évolution et que nous discutions de la suite de mon programme de redressement.
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La suite dans le prochain épisode
Marc
