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Trois soeurs dans un hôtel – Chapitre 1




(Histoire contenant inceste, lesbiennes, domination, et scatophilie)

A l’accueil de l’hôtel

C’était en Ukraine, dans un hôtel au bord de la mer Noire. Elena, Natalia et Anastasia étaient les trois filles du gérant, et elles tenaient parfois le comptoir à la tombée de la nuit, quand les clients se raréfiaient et qu’il fallait seulement surveiller l’entrée.

Anastasia était la plus jeune des trois, et de loin la plus jolie. Elle considérait ses grandes surs comme des modèles à suivre, et elle les aimait beaucoup malgré les différends qu’elles avaient parfois. Le principal atout d’Anastasia, c’était son visage d’ange, avec ses yeux noirs pétillants, sa petite bouche, ses dents arrondies, blanches et bien rangées. Sa coiffure habituelle consistait a attacher ses longs cheveux noirs en formant comme un nud papillon, et sa frange bien coupée tombait juste sur ses yeux. Elle avait un bon caractère, et se montrait peut-être un peu trop obéissante avec ses surs.

La deuxième, c’était Natalia. Elle n’avait pas beaucoup de particularités, si ce n’est d’énormes seins. C’étaient les plus gros de la famille, et aussi de la ville. Les garçons en étaient dingues, et se bousculaient pour pouvoir y toucher. Natalia avait appris à se laisser faire uniquement par ceux qui avaient quelque chose à lui apporter. En général, il fallait lui offrir quelque chose pour qu’elle daigne déboutonner son chemisier, et si quelqu’un essayait de violer son interdiction, elle avait des dizaines de gardes du corps à disposition pour se défendre; et ils savaient qu’ils seraient toujours payés pour ça.

Malgré elles, les deux premières faisaient beaucoup d’ombre à leur grande sur de dix-huit ans, Elena. Sans être moche ni plate, elle restait malheureusement moins jolie qu’Anastasia, et moins garnie que Natalia. Elle avait pourtant beaucoup de talents. C’est toujours en suivant ses conseils se ses surs avaient eu du succès auprès des garçons, et c’est toujours elle qui faisait leur coiffure. Elle essayait de garder certains avantages pour elle, mais cela ne suffisait jamais, et elle était un peu laissée pour compte quand ses surs étaient dans les parages. Le pire, c’est qu’on lui avait avoué que Natalia avait beaucoup de mal à satisfaire un garçon, et ça, Elena savait très bien le faire. Beaucoup de garçons le savaient, elle était une des meilleures suceuses de la ville. Son problème, c’est que le respect auquel elle avait droit impliquait que cette aptitude reste confidentielle.

Physiquement, Elena ressemblait a Anastasia. Elle avait la même allure, mais une peau un peu moins parfaite et une bouche moins mignonne; elle portait elle-aussi une frange bien coupée, et avait un nez en trompette particulièrement joli. Son regard gris-bleu tranchait nettement avec la douceur ténébreuse de celui de sa sur.

Elena avait un trait de caractère qui ressortait très nettement, c’était sa jalousie. Et elle avait de bonnes raisons d’être extrêmement jalouse de ses surs. En conséquence, elle se montrait très dominatrice avec celles-ci.

Elle sévissait surtout à la nuit tombée. Elle s’était longtemps contentée de s’en prendre à Natalia et Anastasia lorsqu’elles allaient se coucher toutes les trois, mais depuis cette année-là, elle n’attendait plus que l’heure ou leurs parents allaient se coucher, heure à laquelle elles devaient garder l’hôtel, et ou les clients se faisaient rares.

Le comptoir faisait un mètre vingt de haut. On y accédait par-derriere, en passant par une petite pièce où étaient rangées la caisse et les clés. Les filles disposaient de deux fauteuils derrière le comptoir, et d’un canapé dans le bureau. Pour Elena, c’était parfaitement suffisant.

Une chose l’énervait, c’est qu’un garçon regarde ses surs plutôt qu’elle. C’est Anastasia qui avait le plus de problèmes avec ça. Quand un groupe de clients passait et que cela se produisait, Elena leur donnait gentiment les clés, et quand ils étaient partis, elle se tournait vers sa sur et la faisait se mettre à-genoux dans le bureau. Elle se tournait ensuite et la forçait à lui lécher l’anus. Au départ, c’était juste pour dégoûter la petite, mais Elena avait peu-à-peu pris goût à cela. Parfois, elle punissait sa sur de cette manière juste pour satisfaire sa lubricité, et elle y prenait un grand plaisir. Anastasia avait commencé par se plaindre, mais en même temps, l’hygiène soignée de sa grande sur amoindrissait la punition pour n’en faire qu’une petite corvée sans conséquences.

Quand c’est Natalia qui revenait d’une soirée de tripotage avec ses amis, elle passait elle-aussi a la casserole sous le joug de sa grande sur. Son traitement a elle était un peu plus drastique, bien qu’Elena n’ait pas toujours l’occasion de s’y livrer. Quand c’était possible, elle forçait Natalia a se coucher les seins a l’air sur le canapé du bureau, et elle déféquait sur sa magnifique poitrine. Elle la laissait ensuite dans cet état avec la stricte interdiction de bouger, et revenait pour la nettoyer elle-même avant de la laisser partir.

Les pulsions scatophiles d’Elena étaient plutôt modérées: elle ne supportait d’une part que ses propres excréments, et tenait à ce qu’ils soient produits et manipulés dans la plus grande propreté. Elle défendait que ses étrons soient déformés ou étalés, et les manipulait avec une grande délicatesse, pour laisser aussi peu de traces que possible.

Pendant les premiers mois de la saison touristique, les trois surs respectèrent cette hiérarchie et ce système de punitions sans faire d’écarts, mais l’arrivée des touristes allait marquer un pas en avant pour la petite Anastasia. Bien qu’âgée de seize ans seulement, elle décida de se laisser dépuceler par un garçon qui lui plaisait.

Anastasia rentra anormalement tard le soir de son premier loup, et les deux autres ne mirent pas beaucoup de temps a deviner ce qui s’était passé. D’abord, Anastasia était revenue avec les cheveux détachés, ce qui n’arrivait jamais. Ensuite, elle était partie avec un jean taille basse qui laissait voir les nuds de son bas de bikini, et elle était revenue sans les nuds. Quand Elena, méfiante et autoritaire, trouva le slip dans le sac à main de sa sur, elle commença de s’énerver, et alla s’enfermer avec elle dans le bureau, laissant Natalia au comptoir.

Au bureau, Elena avait rageusement enlevé tout son bas, et mis sa sur à-genoux derrière elle. Anastasia commença de lui lécher l’anus comme d’habitude, mais après quelques secondes, elle sentit le muscle se contracter, et un étron rencontra sa langue. Elle voulut se retirer, mais Elena resta ferme, et la força a rester en place. La négociation avait aussi donné lieu à un échange de claques, mais Anastasia avait très peu frappé par-rapport a ce qu’elle avait reçu. Les joues écarlates, elle avait donc été forcée à lécher les déjections de sa sur, puis a les manger pour la première fois. Et Elena l’avertit déjà que cela se reproduirait si elle recommençait de faire l’amour avec des garçons sans son autorisation; de toute façon, parler d’avoir cette autorisation de la part d’Elena était une pure utopie.

Anastasia continua évidemment de faire l’amour avec son petit-ami, qui était venu de l’autre bout du pays, et elle parvint à le cacher deux fois à sa grande sur avant de devoir encore une fois manger ce que celle-ci rejetait.

La fois suivante, Anastasia ne parvint pas a rentrer à une heure normale, mais elle se crut sauvée en voyant que Natalia avait déjà été punie avant elle. Celle-ci attendait encore sur le canapé du bureau avec l’étron d’Elena sur les seins.

Mais en voyant que ses deux surs avaient fauté le même soir, Elena avait prévu autre chose, et elle amena Anastasia près de Natalia en la tenant par les cheveux pour la forcer à manger ce qu’elle avait mis sur la première. C’était encore chaud; Anastasia soulevait l’étron avec sa langue et le suivait en le mangeant, remontant vers le visage de sa sur.

Chacune apprit de cette manière ce que l’autre subissait quand elle avait joué à la grande fille, et elles trouvèrent cela plutôt dégoûtant. Pour Elena, cela ne faisait que renforcer la punition, et par conséquent son autorité.

Maintenant que tout le monde savait ce qui se passait quand Elena s’enfermait avec quelqu’un dans le bureau, la nécessité de fermer la porte n’était plus vraiment de mise, si-ce-n’est pour masquer l’odeur. Mais Elena avait une échappatoire un peu humiliante en cas de fuite, et les touristes se moquèrent plus d’une fois d’Anastasia pour ses "flatulences".

Les punitions d’Anastasia, en revanche, ne se faisaient plus en privé, mais sous le comptoir. Si elle mangeait vite, l’odeur dégagée disparaissait rapidement. Une fois, par contre, Elena avait déjà baissé son pantalon et commencé de pousser quand des touristes passèrent la porte d’entrée. Hors de question d’essayer de faire croire à un gaz: il ne fallait pas laisser la moindre odeur s’échapper. Elena le fit vite comprendre à sa sur, et celle-ci s’accrocha à ses cuisses pour bien coller les lèvres autour de son anus. Elle avait déjà un morceau de merde sur la langue, et supposait qu’Elena attendrait pour continuer. Mais celle-ci, tout en parlant avec les clients, simula un bâillement pour continuer de se déverser, et elle remplit très vite la bouche de sa sur. Celle-ci commença d’avaler pour faire de la place, et Elena poussa encore plus, l’obligeant à tout gober en une seule fois. Anastasia parvint à ne produire aucun son au prix d’un effort surhumain, et décolla sa bouche après avoir tout laissé passer dans sa gorge. Elle resta agenouillée par terre pendant que sa sur recevait l’argent, et la laissa aller chercher une clé et envoyer Natalia pour guider les clients.

Seules, elles purent se remettre de leur petit échange, mais Anastasia ne disait rien. Elle acceptait sa soumission et espérait seulement pouvoir cacher ses rapports sexuels de temps en temps.

Après avoir guidé les clients jusqu’à leur chambre, Natalia passa rapidement devant le comptoir, prit une petite veste, et quitta l’établissement sans se laisser poser des questions. Dehors, elle avait rendez-vous avec des amis à elle. Elle ne comptait pas se laisser toucher ce soir-là, mais de toute façon, elle improvisait toujours de genre de choses. Sa seule certitude, c’est qu’Elena était déjà allé aux selles ce soir, et qu’elle n’aurait pas de punition à lui infliger avant au moins une demi-journée.

La soirée entre amis de Natalia prit des allures plus intimes quand certains s’en allèrent pour la laisser seule avec deux garçons, et le départ de l’avant-dernier sonna le début d’une opportunité pour celui qui restait. Il essaya de la saisir avec un peu de subtilité en proposant simplement un verre de plus à Natalia, mais comme elle était un peu moins stressée que d’habitude – après la faute commise par Anastasia en début de soirée – elle en accepta plusieurs. Finalement, elle se releva ivre de sa chaise, et le garçon la reconduisit chez lui. Il n’y avait rien a craindre parce que c’était son ami, mais il ne l’empêcha pas de dégrafer son soutien-gorge pour lui proposer de s’amuser un peu avec ses orbes.

Bourrée, Natalia état bien moins farouche qu’à son habitude, et elle finit par accepter d’utiliser sa poitrine pour masturber son ami. Elle ne voulait pas mettre sa bouche dans le jeu, ni y toucher avec les mains, et on ne parla même pas de son vagin. Toujours est-il que le jeune homme profita volontiers de cette opportunité. A la fin, Natalia de releva piteusement, vacillante, et se rhabilla pour rentrer chez elle. Le garçon ne la retint pas, et elle retourna tranquillement à l’hôtel.

Quand elle arriva, Anastasia et Elena relevèrent la tête d’un seul mouvement, et secouèrent la tête en voyant dans quel état était leur sur. Natalia les rejoignit derrière le comptoir, et Elena se mît a l’inspecter, suspicieuse. L’examen ne dura pas très longtemps, car si Natalia n’avait pas mangé le sperme étalé sur sa poitrine, elle ne l’avait pas non-plus essuyé. La tâche sur son chemisier pouvait prêter à confusion, mais pas l’odeur, et Elena ne s’y trompa pas. En une seconde, l’ambiance devint électrique. Comme elle n’avait plus de déjections à donner, Elena fit venir Anastasia et l’allongea sur le sol. Natalia dut se mettre par-dessus elle, et Elena la força à déféquer elle-même sur sa sur. Ce n’était pas encore une punition pour Natalia, mais la suite le serait. Une fois qu’elle eut posé ses étrons sur les petits seins de sa sur, elle dut changer de position et commencer à manger ses propres excréments. Elena observait la scène d’un il victorieux, contente d’humilier sa sur. Elle la releva en la tenant par les cheveux et l’amena dans la chambre qu’elles partageaient toutes les trois. Dans son lit, Natalia resta sagement en place, et Elena retourna au comptoir pour continuer sa garde. Toujours un peu énervée, elle retira les jambes après avoir enlevé sa culotte, et demanda à Anastasia de lui lécher l’anus pour l’aider à se détendre.

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