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Un appartement cher payé – Chapitre 1




Parfois tout se passe comme prévu, parfois c’est tout l’inverse. Justine avait tout le plan à sortie du lycée qui était acté dans son esprit. Une fois le bac en poche, si elle voulait réaliser son rêve de travailler dans le corps diplomatique, une seule solution l’ENA. Quand on habite à Nantes ce n’est pas simple de s’imaginer devoir partir aussi loin et quitter tout le monde.

Encore plus difficile si on se brouille avec sa mère au point de couper les ponts définitivement et quand on ne connaît quasiment pas son père, à part à travers le virement qu’elle recevait chaque mois sur son compte. Au moins grâce à cela elle pouvait espérer trouver son logement à Paris, même si sans caution rien n’était fait.

Seulement rien ne se passait comme prévu son dossier d’inscription avait d’abord était égaré, avant d’être refusé lui faisant passer un entretien de motivation, pour savoir si elle serait prise ou non. Puis un deuxième. La finalité lui donnait raison de ne pas avoir abandonné, sauf qu’elle avait eu connaissance de la réponse le jeudi, quatre jours avant le début des cours, et elle n’avait pas de logement. Les agences étant fermées le dimanche il lui restait deux jours pour trouver un logement. Son budget excluant l’hôtel en solution de secours.

Elle avait alors passé des heures sur internet, par mail, au téléphone. Parcourant les annonces, les agences. Si l’appartement n’était pas déjà loué, les agences refusaient son dossier. La panique commençait à la gagner. En fin de journée elle devait se résoudre à appeler les dernières annonces qu’elles avaient mises de côté. Les 9ème sans ascenseur par exemple. Pas plus de succès sans caution cela paraissait être une cause perdue. Puis l’avant-dernière annonce, un souplex.

A quoi ressemblait le studio selon la description et les photos ? On rentrait dans un immeuble, ancien pas ravalé depuis longtemps, sur le côté une porte qui permettait d’accéder à l’espace privatif. Aucune photo de l’intérieur. Seulement Justine n’avait pas le choix donc elle appelait. Au bout du fil une voix masculine qui paraissait jeune, nonchalante et un peu arrogante. Ce dernier allait partir de l’agence, on le sentait pressée dans sa voix, mais Justine joua son va-tout.

Elle lui expliquait la situation, que c’était sa dernière chance, sans quoi elle devrait même renoncer à ses études ! Le jeune homme bien que semblant peu concerné par l’histoire, et surtout pressé de rentrer chez lui indiquait sèchement « Je peux vous faire visiter demain matin à 10 heures, 10, rue des Charbonniers, prenez votre dossier mais bon c’est pas gagné ». Justine s’empressait de prendre son billet de train pour le lendemain matin, elle qui logeait chez une amie à Nantes.

Le lendemain matin soucieuse de ne surtout pas être en retard, elle était arrivée devant l’appartement à 8 h30. Après avoir attendu l’arrivée de l’agent immobilier, qui tout tranquille arrivait à 10h30 marchant tranquillement à pied, dans un froid venteux, elle savait qu’il fallait qu’elle ne soit pas trop exigeante sur l’appartement. L’agent immobilier faisait très jeune, il était assez grand, très fin et avait un air assez arrogant sur son visage.

Lorsqu’il arrivait devant la porte et se rendait compte que Justine était la locataire potentielle, on pouvait apercevoir dans son regard une certaine déception. Elle avait un visage agréable, mais elle était assez ronde. Elle rendait 1 mètre 67 pour 72 kilos. Des seins assez gros et large, et des fesses similaires. Immédiatement l’agent l’a pris de haut.

« Bon qu’on soit clairs, je vous fais une fleur en visitant cet appartement, avec votre dossier normalement c’est mort. Heureusement pour toi c’est moi qui décide des dossiers à l’agence donc on va visiter et on verra ». Le fait qu’il soit le décideur, à la fois cela rassurait Justine, et lui mettait la pression encore plus.

Ils rentraient dans l’immeuble et le manège de l’agent ne mit pas longtemps à se mettre en place. A peine avait-il ouvert la porte sur le côté dans l’entrée de l’immeuble, qu’il faisait ouvrir à Justine la porte des toilettes qui se trouvait en haut des marches. Elles étaient étriquées, sans fenêtre mais elle savait à quoi s’attendre. Au moment de l’ouverture de la porte, sans aucune gêne, Maxime, l’agent immobilier, avait foutu une grosse claque sur le cul de Justine, « Elles ne sont pas grandes mais tu devrais réussir à passer ça pour rentrer quand même », lui dit-il en parlant de son cul.

Elle restait abasourdie, ne sachant comment réagir, quoi faire. Très vite elle se souvenait du pourquoi elle était là, prenait une grande respiration et l’air de rien faisait mine de se satisfaire du début de la visite « Oui ça fera l’affaire ».

Alors qu’elle descendait la dizaine de marches pour rejoindre le studio en souplex, elle entendait « bon y a pas beaucoup de marches, ça doit te plaire, tu ne dois pas avoir l’habitude d’en monter des masses apparemment », dans un éclat de rire. Justine se sentant obligée, répondait que oui c’est vrai que le sport n’était pas son truc.

Elle découvrait alors le studio, dans un état correct, très petit, 9m2. Un lit, un évier, deux plaques de cuisson, un petit frigo, et la douche. Aucune séparation entre tout ça, il n’y avait pas la place, les toilettes étant à l’étage. Une petite fenêtre laissant rentrer un peu de lumière, elle donnait sur le trottoir mais on ne voyait rien du studio. Justine inspirait profondément, préférant ne pas penser à comment elle allait passer une année ici, « Ok moi je le veux ».

— Je m’en doute bien, le problème vois-tu c’est qu’il y a pas mal de demandes, surtout de jolies étudiantes, avec des dossiers bien meilleurs que le tien. Mais comme je te l’ai dit je décide alors comment on pourrait s’arranger ?

Pour Justine le problème venait du fait qu’elle n’avait pas de dessous de table à offrir à l’agent, elle se trompait, « je n’ai pas de réserve en cash, je ne peux pas vous donner de black pour l’avoir ».

— De l’argent ?! Je me doute bien vu la gueule de ton dossier que t’en as pas à m’offrir ! Ces sarcasmes toujours accompagnés de son rire méprisant. Non évidemment t’es pas mon genre, j’aime les jolies filles, les grosses ça na jamais été trop mon truc, mais bon faut tout essayer dans la vie. Et puis je suis sûr que tu ne dois pas te faire baiser souvent. Après je ne te force à rien, seulement la caution de ton studio c’est ton cul, soit tu me les donnes soit tu repars à Nantes

Des larmes d’énervement de tristesse coulaient sur les joues de Justine. Le choix, elle savait qu’il lui manquait cette composante, pour pouvoir dire ce qu’elle pensait à ce sale mec. La liberté de choix elle ne l’avait pas. C’est tout en continuant à pleurer qu’elle commençait à se déshabiller, la tête basse. Pour ne rien arranger, Maxime, s’en donnait à cur joie «J’espère au moins que tu suces bien, parce que je ne sais pas si baiser une vache ça va me faire bander, en fermant les yeux j’aurais peut-être l’impression de me faire une bonne meuf »

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