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Délicieux dépucelage – Chapitre 1




Cette fille, Marie, sa réputation n’était plus à faire. Tous les garçons de la cité la connaissaient. Tout les gars qui l’avaient rencontrés avaient dus se branler au moins une fois en pensant à elle.

Une réputation d’obsédée sexuelle, de chienne en chaleur…

A 20 ans, elle avait déjà du se taper au moins cent cinquante mecs.

Tout les gars se retournaient sur son passage, pour admirer son cul ferme et rond, qu’elle mettait en valeur avec des jeans on ne peut plus serrer. Et elle aimait ça. C’était une folle du cul, et même en disant cela, j’étais loin de la vérité.

Marie n’était pas très grande; blonde, les yeux bleus, l’expression provocatrice. De beaux seins, biens fermes et de bonne taille, des hanches bien larges, une peau parfaite, sans le moindre bouton.

Une déesse. Le genre de fille qui hante nos rêves les plus hard.

Toujours est-il que je ne la connaissais que de vue. C’est mon meilleur ami, Kader, qui me la présenta. Il me disait que c’était un cadeau pour mes dix-huit ans. Au début, j’avais une boule dans le ventre. C’était la première fois. Effrayé et excité.

— T’es sûr qu’elle sera d’ac ? Redemandais-je à Kader pour la vingtième fois.

— Mais oui ! Tu connais sa réputation, non ? Dépuceler les gars, c’est son taf, à Marie. Tu devrais me remercier, parce que tu pourras dire que tu t’es fait dépuceler par une vraie pro du cul. ’

Nous marchions dans la cité, croisant au passage quelques lascars que nous connaissions. S’ils savaient ou j’allais…

J’inspirai profondément.

— Tu la trouves belle, Marie, non ?

— Bien sûr, répliquais-je. Mais…

— Mais quoi ? S’emporta Kader. Tu vas te faire une bombe, alors il est ou le problème !’

Je restai silencieux.

Parvenus en bas de son immeuble, Kader chercha son nom sur l’interphone, et quand il le trouva, appuya sur la touche d’appel.

Mon c?ur battait la chamade, si fort qu’il allait sortir de ma poitrine et exploser sous mes yeux.

Je vais baiser, me répétais-je. C’est excellent, je vais baiser, baiser…

— Oui? Fit une voix douce à l’interphone.

— C’est Kader. Je t’amène mon pote.

— J’arrive.’

Elle raccrocha et Kader me fit un grand sourire.

— Prépare ta queue, elle va te l’engloutir !

— Oh pitié, fis-je en soupirant.

Mes mains tremblaient. Je les mis dans les poches de mon sweat et inspirai.

Deux minutes plus tard, Marie vint nous ouvrir. Mon Dieu! Quelle beauté!

Mon regard flancha et je baissa les yeux. Kader, lui, prit les devant: Il l’attira à lui et lui roula une grosse pelle. Marie sortit sa langue et l’enfonça dans la bouche de mon ami.

— Salut Kader. Toujours aussi en forme je vois.

Elle me jeta un coup d’?il. Elle portait un pantacourt noir, découvrant ses jambes jusqu’aux genoux; et un bustier blanc, des plus appétissants.

— Hum.. Intéressant ce que tu m’as amené. Il sait parler ?

— Salut, fis-je. Tu vas bien ?

— Tranquille, y a une heure j’avais une bite dans le cul, alors ça va.

Je déglutis avec peine. Nous entrâmes dans son hall, et elle appela l’ascenseur. Kader louchait sur ses seins et lui mis une main au cul.

Ses cheveux blonds tombaient en une cascade raide sur ses épaules. Elle appuya sur le 3e étage, et je sentis émaner de son corps une délicieuse odeur de pêche.

Nous arrivâmes à son appartement. Elle ouvrit la porte et entra en première, moi après, ce qui me valut une vue sur son beau cul bien ferme. Une érection se déclencha.

Kader referma la porte. Dans son salon, agréablement meublé, je resta debout prés d’un fauteuil, tandis que Kader et Marie s’installaient côte a côte sur le divan.

— Je te l’emprunte deux minutes, d’ac ? me demanda Kader.

Incapable de parler, je hochai la tête. Prestement, il ôta son jean et son caleçon, et sa queue d’une taille impressionnante , jaillit, tel un diable de sa boite.

Marie se pencha sur lui et fit:

— Je vais te la ramollir, tu vas voir !

Sur ce, elle sort sa langue et lui chatouille le gland. Kader ferme les yeux. Délicatement, elle prend son sexe entre ses lèvres, le suçant doucement. Il soupire. D’une main, elle lui caresse les couilles, tandis que sa bouche lui prodiguait une merveilleuse pipe. Elle le téta, provoquant des bruits de sucions très excitants.

— Oui suce-moi bien oh, gémit mon ami.

D’un coup, il éjacule, sans même la prévenir. Le sperme atterrit en jets sur les joues de Marie, et sur ses lèvres. Elle se passe la langue dessus, récupérant le jus.

Kader se rhabille et se lève.

— Bon bah amusez-vous bien.’

Et sur ce, il s’en va. Je regarde Marie qui se nettoie les joues avec ses doigts, et se les enfourne dans la bouche pour avaler le sperme.

Intimidé, je m’assois sur le premier fauteuil que je trouve.

— T’as dix huit ans, c’est ça? me demande t-elle en se levant.

— Oui, soufflais-je.

— Tu t’es déjà fait sucer ?

— Non.

— Dans ce cas, je vais faire en sorte que ta première pipe soit inoubliable.

Elle s’approche de mon fauteuil et me tend la main. Tremblant, je la prends et je me lève.

— Qu’est ce que tu es tendu ! constate t-elle. Je vais pas te manger, tu sais.

Elle me guide dans sa chambre, ou un somptueux lit deux place trône, au milieu d’une armoire à linge et d’une télé. Elle referme la porte. Des posters de rappeurs ornent les murs.

Elle s’approche de moi et je la contemple. Doucement, je me penche vers elle, nos lèvres se rapprochent et je l’embrasse. Elle me rend mon baiser, enfonce sa langue dans ma bouche et joue avec la mienne. Je l’avais déjà fait, ça.

— Déshabille-toi.

Voyant que j’hésite, elle prend les devants, ôte mon sweat et mon t-shirt. Elle les jette en boule dans un coin. Elle défait mon pantalon et me l’enlève, une jambe après l’autre. Une bosse déforme mon caleçon. Je n’arrive toujours pas à croire que je vais faire l’amour !

Une fois qu’il ne resta plus que mon caleçon, je la pris dans mes bras et elle me repoussa sur le lit.

— On a tout notre temps. Toute la journée à te faire découvrir le plaisir.

Elle ôte son haut et je découvre ses seins. Comme hypnotisé, le c?ur comme un marteau piqueur dans ma poitrine, je m’approche d’elle. Elle s’allonge sur le lit et timidement, je pose une main sur son sein. C’est doux et ferme.

J’ai énormément envie de sucer les mamelons. Ma langue se pose dessus, je la fais tourner et lèche son téton, qui durcit. Je m’appliquais au mieux, cherchant à lui donner le plus de plaisir possible. Je les suce doucement, ravi de leur goût dans ma bouche.

— Tu te débrouilles bien.. tète les, oui.

Je pris d’avantage confiance en moi et mes léchouilles s’enhardirent. Mes mains caressent ses seins, tandis que ma bouche continue son tétage effréné. Marie gémit doucement. Je me redresse et la regarde dans les yeux.

— Tu veux que je te suce, maintenant ? m’interroge t-elle.

Sans attendre de réponse, elle me renverse sur le lit, se redresse et m’enlève mon caleçon. Mon sexe se dresse immédiatement. Pourvu qu’elle le trouve à son goût. Il n’était pas très long , mais d’un bon diamètre, je trouve.

Sa main l’entoure et je frémis. Elle me regarde dans les yeux, son regard est brûlant. Sa bouche trouve le gland et y dépose un baiser. Sa langue sort et tourne autour, léchant le frein, faisant coulisser la peau du prépuce. Elle me décalotte doucement, salivant sur le gland pour rendre la man?uvre plus facile.

— Oh… oh.. oui.. oh.. humm, gémis-je.

C’était si bon de sentir sa langue parcourir mon sexe, de bas en haut, de sentir sa bouche me suçant. Elle s’interrompt et m’embrasse les couilles, me les lèche, me les gobe, tandis que sa main va et vient sur son sexe. Les sensations que je ressens sont incroyables.

J’inspirais profondément et faisais de mon mieux pour me retenir, mais c’était extrêmement difficile.

— Hum… hum.. oh.. oui.. oh Marie.

Elle revient à mon sexe et me suce profondément, puis me tète le gland, salivant dessus ce qui fit couler le long de ma bite une grande quantité de salive. Marie s’arrête d’un coup, me laissant presque aux portes de l’éjaculation. Elle me voit faire de mon mieux pour ne pas éjaculer. Cette vision l’amuse et un sourire se dessine sur son visage. Elle reprend mon gland entre ses lèvres, le suce, le lèche, puis elle me le lape littéralement, de grands coups de langue gourmands. C’est trop pour moi.

— Je vais jouir! la prévins-je. Oh… oui..

Elle me prend totalement en bouche et le sperme gicle au fond de sa gorge, en quatre longs jets. Mes mains se crispent sur le drap du lit.

— Oui…oui…oh..

Elle avale mon jus et lèche de nouveau mon sexe, qui perd de sa vigueur sous la force de cet orgasme.

— Tu as aimé ? m’interroge t-elle en se mettant à genoux sur le lit.

— Oh.. oui.. ohh.. jamais connu… ça.

Je comprends alors que cette journée était la nôtre. Toute une journée à baiser ! Mon cerveau en bouillonnait.

Elle s’allonge à mes côtés. J’ai follement envie d’explorer son corps. Je commence à caresser sa poitrine, ses tétons que je flatte du plat de la main. Mes doigts descendent en exploration sur son ventre lisse et mince. Elle porte toujours son pantacourt et je lui enlève, doucement, lentement, découvrant au fur et a mesure son bas ventre, son sexe garni d’une légère toison minutieusement épilée. Je jette son dernier vêtement dans un coin. Marie est maintenant totalement nue, allongée sur son lit.

Divine vision.

Je me penche sur elle, commence à lui caresser les mollets, les jambes. Ma bouche embrasse ses genoux, puis ses cuisses qu’elle vient d’ouvrir. J’ai une parfaite vision sur son sexe. Je pris une grande inspiration, histoire de me donner de l’assurance. Ma langue pointe vers sa grotte intime.

Tout doucement, je lèche ses lèvres, peureusement, j’embrasse son sexe. Elle gémit.

— Oui… lèche moi… j’ai envie que tu me bouffes..

Un de mes doigts court sur son clitoris. Ma langue l’accompagne, celui-ci commence à gonfler.

Ma langue parcourt ses parois vaginales, trouve son clitoris et le lèche tendrement. Elle frémit, sa croupe se soulève. Ma tête vrille.

— Oui… oui… suce moi le clito.

Obéissant, je le pris entre mes lèvres, le suce, le lèche, puis je me remets à la lécher de haut en bas, chaque centimètre de sa chair explorée par mes lèvres et ma langue. Pourvu qu’elle ne simule rien et que je sache m’y prendre !

Un doigt, puis deux la pénètrent. La cyprine commence à couler, et, enhardi par le désir, j’en bois, je lèche chaque goutte.

— Ho… hum… oh c’est bon…

Je l’embrasse, la lèche, je prends son clito entre mes dents et le suce, je le tapote avec ma langue. Son corps est pris de frissons, elle s’arque.

— Oui…oui..oui..oh…oui…

Ses gémissements se changent en cris, et cela me procure une nouvelle érection. Sa mouille inonde ma bouche, Marie frisonne, tremble.

Je relève la tête, bavant de sa cyprine.

— Tu as jouis? demandais-je stupidement.

— Non, je me faisais un gilet. Evidement que j’ai joui ! T’as pas senti ma fontaine qui coulait ?

— Désolé… je suis stupide.

Elle se repose sur le lit, et je remonte, embrassant son nombril et son ventre frémissant, et lui mordilla le bout des seins.

— Pour le moment, ça se passe bien, non ?

— Oh oui.. oui. C’est divin.

Elle m’embrasse , passe sa langue sur mes lèvres.

— Tu es en sueur, remarque t-elle. Tu veux prendre une douche ?

— Avec plaisir.

Après m’être savonné avec un savon Tahiti, je me rinçai, m’essuyai avec une serviette que je pliai soigneusement et que je posai sur le bord de la baignoire. Le grand moment de la pénétration était arrivé. Je forçai mes mains à ne pas trembler. Mon sexe ,lui, n’avait jamais été si dur.

Je retournai dans la chambre. Personne.

— Marie ? appelais-je.

D’un coup, je me sentis pousser sur le lit. Marie était derrière la porte et me plaqua sur le lit. Elle se mit au-dessus de moi et une de ses jambes m’enjamba. Sa main se saisit de mon sexe, je ne lâchais pas son visage des yeux. Son beau visage.

Sa cyprine inonda le bout de mon gland et me fit frémir. Marie me guida jusqu’au plus profond de son être. Doucement, je rentre en elle.

C’est brûlant ! Oh mon Dieu je ne vais jamais pouvoir me retenir !

Mes couilles butent contre son bas ventre. Elle enfouit sa tête dans le creux de mon épaule.

— Tu te sens bien ? me demande t-elle.

— Oh.. oh… c’est trop bon…

J’étais si au chaud ! Jamais je ne pourrais en sortir ! Doucement, Marie commence à bouger, de haut en bas. Mes mains se posent sur ses fesses.

— Hum… c’est bien… prends ton temps?

Je fais de mon mieux, je donne des petits coups de bassins, mais je sens que si j’insiste trop, je fais jouir. Je cherche ses lèvres, je l’embrasse, c’est délicieux. Je suis captif de son sexe humide et chaud.

— Oh Marie oui… oui… c’est trop bon..

Le plaisir inonde ma tête, me fait m’envoler, tout mon corps semble léger, léger, c’est incroyable. De longs frissons électriques me traversent.

— Ne cherche pas à te retenir… me dit-elle. Pour une première fois, tu m’a épatée.

Alors je m’abandonne à l’orgasme qui me secoue.

— Oui ! Oh..hum…

Je jouis en elle, je m’effondre totalement, ravi. Marie s’affaisse sur moi, m’embrasse, encore et encore.

Dix minutes plus tard, nous sommes allongés sur le lit, dans les bras l’un de l’autre. Je lui caresse machinalement les cheveux.

— C’était bien, me fit-elle. Et la journée n’est pas finie.

— Quelle heure il est ?

Elle consulte son réveil, posé sur sa table de chevet.

— Il est quinze heures.

Cela faisait une heure et quart que j’étais chez elle.

C’est alors que l’interphone sonna. Marie pesta et se leva, enfilant au passage un peignoir de bains bleu. Elle disparut dans le couloir, alors j’enfilai mon caleçon et la suivis. Je priais pour qu’elle ne doive pas partir. Me faufilant dans le couloir, je tendis l’oreille :

— Oui ? fit-elle. Mais…je t’avais dit que je pouvais pas ! Mais je m’en fous que tu sois pas rentrée chez toi ! T’as qu’à avoir un portable !

C’était sûrement son gars (ou un de ses gars) ! Merde ! Je peste intérieurement.

— Non ! Je ne peux pas ! Mais je suis en train de baiser, bordel ! A moins que.. Cela te plairait de te faire sauter ? Tout de suite ? Nan, tu le connais…’

La conversation s’interrompit. Le c?ur battant, dix secondes s’écoulèrent et l’interphone sonna de nouveau.

— Oui, quelle merde cet interphone! Nan, tu le connais pas. Oui, il se débrouille…D’ac.’

Marie me vit sur le seuil du salon.

— C’est une copine, je descends lui ouvrir. Cela te dérange pas?

— No.. non.’

Elle sortit de chez elle, comme ça, en peignoir. Elle claqua la porte, mais la rouvrit et sa jolie tête blonde apparut dans l’encadrement.

-Tu vas lui défoncer le cul, elle adore ça cette chaudasse.’

Je m’affalai dans un fauteuil, mon sexe se dressant sous mon caleçon.

Cinq minutes plus tard, la porte s’ouvrit et une ravissante métisse entra alors. Marie claqua la porte derrière elle. Sa copine avait un impressionnant faux air d’Alicia Keys. Sauf que ses cheveux tombaient sur ses épaules, bruns et frisées. Elle avait une belle silhouette bien épanouie.

— Salut, fit-elle.

Elle me dévisagea des pieds a la tête.

Marie laissa tomber son peignoir et mit une main a l’épaule de sa copine. Celle-ci tourna la tête et elles s’embrassèrent.

— Je te présente Nolwenn, annonça Marie.

Nolwenn se pencha sur moi et me roula une grosse pelle, bien baveuse, enfonçant sa langue dans ma bouche.

— Ravie de te connaître, fit-elle.

Marie prit alors la main de Nolwenn et la mienne. On se retrouva dans la chambre.

— Cela te plairait de voir deux gouines se sucer l’abricot ? m’interrogea Nolwenn tout en se déshabillant.

— Oh que oui, fis-je.

Marie aida Nolwenn à se dévêtir. La peau basanée de Nolwenn me mit dans un état incroyable: une peau parfaite, douce, de longues jambes galbées, de beaux seins hauts, moins volumineux que ceux de Marie.

Marie s’allongea sur le lit et Nolwenn s’installa au-dessus d’elle. Elle prit directement son mamelon dans la bouche et le suça, comme moi auparavant. Ses mains descendirent sur le ventre de Marie, puis se faufilèrent entre ses jambes. Nolwenn me regarda.

— Viens. On va la lécher tous les deux.

C’est avec joie que j’acceptai son offre. Je suçai les mamelons durcis de Marie, tandis que sa somptueuse amie lui léchait le sexe. Marie poussait de petits gémissements, et sa copine la fit basculer sur le côté, me présentant son beau derrière ferme.

— Toi, tu lui lèches le cul, moi je prends sa moule.

J’appréhendais un peu, et Marie dut le sentir.

— Vas y, ne t’inquiète pas, je suis très propre !

— Oui je confirme, c’est une maniaque, renchérit Nolwenn

Sur ce, sa langue disparut dans sa fente. Je sortis la mienne et la passai dans la raie de Marie. Celle ci eut un râle de plaisir.

Pas de mauvaises surprises, si bien que je glissai ma langue au bord de son petit trou, l’humectant, tandis que mes mains flattaient ses fesses. C’était délicieux, son cul sentait la pèche. De temps à temps, ma langue effleurait celle de Nolwenn. Plus je la regardais, plus je la trouvais belle.

— Salope ! T’aime ça sentir deux langues qui te lèchent hein ma pute ? demanda Nolwenn

Pour toute réponse, Marie se mit à jouir. Je vis sa copine qui récupérait de la langue chaque goutte de mouille. De mon côté, je léchai comme un fou son petit trou, et y glissai doucement un doigt.

— Oh oui oui c’est bon je jouis ah oui ho oui!!

Elle s’effondra, épuisée, et Nolwenn me renversa sur le sol de la chambre.

Elle se posta au-dessus de moi, et s’assit sur moi, sa chatte sur mon visage, ma tête entre ses cuisses.

Ravi de la tournure des événements, et encore plus ravi de pouvoir lécher deux sublimes filles, je posai ma langue sur son clito et le léchai. Mes mains trouvèrent son petit cul, mes baisers se perdaient sur son sexe. Entièrement épilé, celui-ci était un merveilleux terrain de plaisir.

— Hum…oui…oui… gémit Nolwenn

— Elle est bonne sa chatte, hein ? C’est mon plat préféré, commenta Marie.

— Rentre ta langue dedans, s’il te plait.

Mais au lieu d’obéir, je promenai ma langue sur ses lèvres, les léchouillant du bout de la langue, je tétai son clitoris, le voyant se gorger de cyprine. Impatiente, Nolwenn essaya de se tortiller, pour venir à la rencontre de ma langue. Je la couvris de baiser, entrai un doigt dans sa fente humide. Parfois, j’embrassais l’intérieur de ses cuisses.

— C’est ça, fais la jouir cette chienne! ricana Marie. Suce la jusqu’à ce qu’elle te noie avec sa mouille!

Je me régalai du sexe de Nolwenn, et en prenant son clito entre mes doigts et en le léchant, je la fis jouir. Elle s’arqua et tout son corps se tendit.

— Ahhhh oui oui oui ahhh !! C’est trop bon !

Sa cyprine coula dans ma bouche grande ouverte. Je glissai ma langue en elle, la nettoyant intégralement.

— Oh..hum…

Nolwenn se releva et Marie l’attira à elle.

Elles s’assirent côte à côte sur le lit. Je me relevai doucement, et ôtai mon caleçon.

— Hum.. fit Nolwenn. C’est appétissant tout ça. Viens là vite que je suce

Impossible de refuser. Ni une ni deux, je me retrouvai allongé sur le lit, la tête calée sur l’oreiller.

Nolwenn se pencha sur moi, et m’emboucha d’un coup. Marie se joignit a elle, elle me lécha les couilles. Voir ces deux filles s’occuper deux moi me faisait planer. Superbe dépucelage ! Deux bombes d’un coup !

Nolwenn me suçait avec application, léchant ma queue de long en large, me suçant le bout du gland. Marie gobait successivement mes deux couilles. A un moment, elles s’embrassèrent goulûment, avec ma queue au milieu.

— Elle est bonne ta queue.. Je la veux dans mon cul maintenant, fit Marie. Nolwenn va me lécher le cul, et après tu m’enculeras.

Ses paroles me donnèrent le frisson.

Marie se mit à quatre pattes et Nolwenn se plaça derrière elle. Elle se mit à lécher sa raie, glissant sa langue dans son petit trou. Elle y rentra un doigt, le dilatant doucement. Marie ferma les yeux et s’abandonna au plaisir.

— T’as pas mal ? demandais-je.

— Elle ? Mal au cul ? répliqua Nolwenn Elle est aussi ouverte devant que derrière tellement elle se l’est faite ouvrir, sa rondelle.

Sur ces douces paroles, elle rentra deux doigts, puis cracha sur le cul de sa copine et étala sa salive. Marie se mit debout sur le lit et je m’adossai, dos au mur. Pour faciliter la sodomie, Nolwenn me téta le gland quelques instants, l’humectant bien.

— Allez, maintenant bouche-moi ce trou ! s’exclama Marie.

Elle vint s’empaler sur moi et, sans même faire de pause, elle rentra toute ma queue en elle.

— Ahh !! criais-je. Oh putain c’est extra ! C’est serré !

— Tu l’aimes mon cul ? Vas y te gène pas il est à toi je te le donne !

Je bougeai donc en elle, en sueur, prenant bien mon temps de m’enfoncer en elle. Nolwenn se doigtait en nous regardant. J’étais serré dans son cul, je la baisai avec violence.

— Oui, oui, vas-y encore, oui !

Mes couilles cognaient contre ses fesses, je la possédais avec rage, fou de joie, ivre de bonheur.

— Vas-y explose la cette chienne !! Je veux que tu lui fasses une fracture anale !! s’enthousiasma Nolwenn

— Cela t’embête de te taire ? fis-je. Ton tour va venir.

Je repris la sodomie. Insolemment, Nolwenn se retourna et me montra son petit cul.

— Tu le veux ? Bah viens le prendre!

— Bon, il faut la faire taire celle là, intervint Marie, qui venait juste de jouir dans un concert d’hurlements animaux.

Elle se desemboîta de moi et attrapa Nolwenn par la taille. Celle-ci se mit quatre pattes et je me mis au-dessus d’elle.

Marie prit mon sexe palpitant et me guida jusqu’au bord du cul de sa copine.

— Allez bourre-moi, prends-moi .

Marie attrapa le cul de sa copine et l’écarta au maximum.

Je m’enfonçai d’un trait en elle, sans même essayer de ne pas la blesser.

— Ahhhhhh!! Putain de merde t’aurais pu me lécher espèce d’enculé ! Non de Dieu tu m’as explosée ! Vous êtes vraiment deux enculés tous les deux.

— Et oui ma salope, faudrait penser à te faire exploser le trou plus souvent, t’auras plus mal à force. Et c’est toi l’enculée dans l’histoire.

Marie donna une tape sur chaque fesse de sa copine.

— Allez, fit-elle à mon attention. Desserre-moi ce cul!

Lentement, je m’enfonçai en Nolwenn, de toute ma queue, qui n’allait pas tarder à vouloir juter. Je profitais de son cul à fond, l’écoutant jouir. C’était extraordinaire.

— Oh la vache.. oh…c’est bon… oui… oh il est bon ton petit cul Nolwenn…

— Tu vois Nolwenn, c’est ça les surprises de la vie: Tu venais pour te faire lécher la chatte, et tu es la, avec une bite dans le cul. Deux pierres d’un coup, dit Marie.

Malheureusement, je ne pus pas profiter de son cul plus longtemps, je sentis le sperme qui montait, et je me retirai juste à temps. Marie attrapa ma queue et se l’enfourna dans la gorge.

J’explosai des litres de foutre dans sa bouche. Ce troisième orgasme me vida de mes forces. Je m’écroulai sur le lit, tandis que Marie rampait vers Nolwenn, et lui déversa mon jus dans la bouche. Elles partagèrent un baiser dégoulinant de sperme et de salive. Quelles salopes !

Nous reprîmes notre souffle, tous les trois allongés sur le lit.

Le cul de Nolwenn était là, à ma portée, je ne résistai pas. Elle sursauta quand je glissai ma langue dans ses fesses.

— Mais il en redemande! fit-elle. Oui.. Vas-y, lèche-moi.. dans la raie..

J’obéis avec plaisir. Mon doigt s’aventura dans son petit trou, elle gémit et je la léchai. Ma langue explora ses fesses, salivant dans son trou.

-Hum…oui…

Elle se retourna et Marie se mit à lui téter les mamelons, les léchant, dessinant des cercles avec sa langue. Ma bouche parcourait les longues jambes de Nolwenn. C’était la meilleure journée de ma vie. Une journée intense de plaisir.

Dix minutes plus tard, nous étions habillés. Sur le pas de la porte, Marie embrassa Nolwenn goulûment. Puis elle m’embrassa également.

— Merci, murmurais-je à son oreille. Merci, c’était la journée du siècle.

Elle sourit. Nolwenn prit l’ascenseur avec moi, pendant les cinq étages, nous nous embrassâmes avec passion. Elle me laissa son numéro et me dit de l’appeler quand je voulais.

— Tchao.

Je la regardai s’éloigner, savourant la vision de son petit cul dans son jean, petit cul que j’avais léché et pénétré.

Et c’est ainsi que commença ma découverte du monde sexuel. Des expériences, j’en ai vécu un tas.

Mais je vous les raconterais une autre fois.

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