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Nadine, la vengeance d'une maman – Chapitre 3




Tous les soirs, avant daller me coucher, je marrêtais devant la chambre de Maman.

Lidée quelle dormait nue, derrière sa porte fermée, maffolait.

Jhésitais, mais je nentrais jamais : javais bien trop peur de la réveiller.

Comment lui expliquer ma présence au pied de son lit, sans alibi ?

Elle aurait compris mes intentions.

Je ne voulais pas courir ce risque. Je la respectais.

Mais jétais si frustré que jétais comparable à un chien affamé auquel on a jeté un os, et qui, une fois lappétit ouvert, voudrait participer à un festin dont il se sait exclu dinstinct

Alors je retournais, penaud, dans ma chambre, et jallumais mon ordinateur. Je consultais les sites spécialisés qui proposaient des histoires incestueuses.

Plusieurs récits dinceste mère-fils, dun réalisme troublant, renforçaient mon obsession.

Leurs auteurs y décrivaient, sans aucune morale et avec un talent certain, le genre de relation que je rêvais de partager avec ma mère.

Car je ne voulais plus juste la voir nue : je voulais la baiser !

Je suis vite devenu un expert incollable en la matière. Je connaissais toutes les bonnes histoires dédiées au sujet.

Je les évoquais mentalement, les adaptais librement afin délaborer mes propres scénarios pervers.

Dans ce monde imaginaire que je métais crée, Maman ne me refusait rien, acceptait tout ce que je lui demandais.

Elle assouvissait mes désirs les plus secrets. Je me masturbais sans arrêt. Jétais dans une impasse

Le vendredi suivant, je lui propose de prendre lapéro.

Je recommence mon petit numéro, jinsiste lourdement.

— Dis-donc, Maxime, quest-ce qui te prend de me faire boire autant tu as lintention de me soûler ou quoi ?

Sa remarque me coupe dans mon élan. Se douterait-elle de quelque chose ?

— Bien sûr que non, Maman, pourquoi dis-tu ça ?

Jai trop attendu pour lui répondre. Elle me regarde par en dessous, à travers ses longs cils, comme si elle mavait percé à jour.

Quest-ce que je suis con ! Il nest pas étonnant quelle se pose des questions.

Je nose pas imaginer sa réaction si elle avait une idée de mes motivations.

Je ne sais plus quoi dire.

Je me tasse sur ma chaise, avec la désagréable impression davoir été pris en flagrant délit.

— Cest bon, mon chéri, calme toi ! Si tu voyais la tête que tu fais

Elle repousse son verre dun geste écuré, comme si elle avait la nausée à la simple idée den boire encore une gorgée, et se lève de sa chaise avec un sourire forcé.

— Tu as des restes dans le frigo fais les toi réchauffer si tu as faim moi je suis crevée je vais me coucher

Elle membrasse sur le front, comme quand jétais son petit garçon, puis se retire dun pas vacillant.

Elle a encore forcé sur la dose : ses somnifères avalés, elle ne répondra plus de rien

Plus tard, quand je pénètre dans sa chambre, elle dort ; elle ronfle avec les inflexions dun ivrogne confirmé.

Je découvre satisfait, quelle est assommée ; je pourrais faire delle ce que je veux.

Comme jai consommé plusieurs verres moi-même, je suis victime de la douce torpeur, de ce sentiment dinvulnérabilité provoqué par lingestion massive de boissons alcoolisées.

Aussi, est-ce sans la moindre appréhension que je rabats les couvertures à ses pieds.

Maman ressent, du fond de son sommeil aviné, quelque chose qui la dérange, ou peut-être un simple courant dair.

Elle soupire, se retourne, bascule sur le dos ; sa chemise de nuit suit le mouvement, remonte sur son ventre.

Elle baille, se racle la gorge, sétire longuement à la recherche dune meilleure position.

Une fois quelle la trouvée, elle recommence à ronfler, paisiblement.

Je ne bouge pas, je suis pétrifié ; je mattends à ce quelle ouvre les yeux dun instant à lautre, mais elle ne le fait pas.

Comme elle na pas de culotte, je lui vois la chatte ; je devine la fente, sous la toison noire et touffue.

Elle a les jambes écartées.

Japproche dun pas, me dévisse la tête ; je distingue le renflement des lèvres entrouvertes, le liseré rouge des muqueuses qui dépasse.

Cest la première fois que je vois un sexe de femme en vrai, et pas simplement sur une photo, ou en vidéo.

Bien sûr, il mest déjà arrivé dobserver la chatte des copines de mon âge avec attention, mais ce nest pas du tout pareil.

Cette fois, cest le sexe de ma mère, celui dont je suis sorti que je regarde daussi prés, et à cette idée, mon cur saffole ; il bat si fort que jai limpression quil va exploser.

« Oh, Maman, ma petite maman rien quà moi»

Sa chemise de nuit ne lui couvre que partiellement la poitrine.

Ses gros seins lourds débordent, séchappent sur les côtés, devant, partout.

Je me suis promis de seulement la regarder, de ne pas la toucher.

Mais ses cuisses sont ouvertes, sa vulve est offerte ; je vois ses beaux nichons, japerçois les aréoles un peu grumeleuses et rosâtres, les mamelons qui pointent !

Quand jétais petit garçon, nous allions passer nos vacances en famille à la campagne, dans une ferme du Poitou.

Je passais ma vie dans les jupes de ma mère, mais la fermière avait capté mon attention, elle me fascinait.

Elle était robuste, le teint rougeaud, toujours sur le pied de guerre. Elle narrêtait jamais.

Un matin, alors que jétais seul dans la cuisine en train de boire mon chocolat au lait, elle sest approchée de moi.

Elle ma invité à la suivre en secret, comme si nous complotions tous les deux.

Elle ma fait asseoir dans lherbe grasse, puis a disparu dans son poulailler.

Je ne savais pas ce quelle attendait, jétais un peu effrayé.

Quand elle est revenue, elle tenait un poussin dans chaque main et me les a tendus.

Un beau sourire complice éclairait son visage.

Jai délicatement attrapé les petites boules fragiles et jaunâtres, sans hésitation.

Jétais émerveillé, comme tous les enfants le sont par les bébés du règne animal.

Je me souviens, aujourdhui encore, de ce que jai ressenti en les saisissant.

En posant mes mains sur la poitrine de ma mère, jéprouve la même sensation, la même avidité un peu fébrile et maladroite.

Ses seins sont aussi sensibles et délicats que les poussins de mon enfance ; ils représentent la vie dans ce quelle a de plus sacrée.

Je les pétris avec respect, malaxe longtemps la chair abondante qui ploie sous mes doigts ; je suis incapable de me rassasier de leur consistance élastique.

Après, je laisse descendre ma main.

Je suis sorti de ce ventre.

Je ne sais pas encore comment, mais jy retournerais un jour.

Même si je ne sais pas quand, ce n’est qu’une question de temps.

Ma main poursuit sa descente, se pose dans la fourche de ses cuisses, se plaque sur sa vulve.

Je fouille dans les poils, cherche louverture, la fente ; mon doigt glisse, disparait aspiré.

Son vagin est humide, bouillant, tellement gluant.

« Oh putain, elle mouille Elle est trempée Oh, putain ! »

Quand je réalise que jexcite ma mère alors quelle est toujours endormie, je nen reviens pas.

Je retire brusquement ma main, comme si je venais de me brûler les doigts.

Je ne peux pas lui faire ça. Je nai pas le droit.

Alors, par dépit surement, par frustration aussi, je me masturbe et cette fois, quand jéjacule, je lui gicle intentionnellement dessus.

Je léclabousse de mon sperme, comme si je cherchais à la punir davoir empoisonné mon esprit malgré elle.

Elle en a plein les seins, sur le ventre ; quelques gouttes souillent même ses poils à la racine.

Jai tellement honte de moi que je voudrais mourir…

Affalé sur mon lit, anéanti, je me promets de ne plus jamais recommencer.

Ça ne rime à rien de la traiter de cette façon, comme si elle nétait quune poupée de chair, juste bonne à assouvir mes instincts les plus vils. Je me dégoute.

Elle ne ma pas élevé comme ça. Elle mérite tellement mieux.

Jétouffe un dernier sanglot avec ma main.

Presque par accident, je renifle mes doigts.

Ils sont encore englués par la mouille de Maman.

Je renifle l’odeur intime de ma mère, sa bonne odeur de femelle disponible.

Je les aspire, me délecte du parfum acre, du gout salé, un peu piquant des derniers résidus de son jus.

Mes bonnes résolutions senvolent, fondent comme neige au soleil…

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