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Christine V : Coeur, sexe et imagination – Chapitre 9




Christine et moi passons le reste de la matinée au lit. Nous baisons dès que mon état le permet et jouons avec les sex-toys. Christine passe une guêpière et notre ébat se termine en sodomie.

Vers 11h30, nous nous douchons et je m’habille rapidement. Christine porte la tenue que je lui ai demandée. Si la robe est tout à fait élégante et soignée, il n’en est rien de ce qu’elle laisse apparaitre. Le redresse-sein plaque les mamelons de Christine contre le tissu, les faisant largement pointer. En regardant bien, on voit même la démarcation des aréoles. En bas, les attaches marquent ostensiblement le tissu au niveau des cuisses, devant et sur le côté. C’est encore mieux derrière : je n’avais pas remarqué pendant le défilé à quel point la robe dessinait les fesses de mon épouse. Les deux larges globes sont parfaitement moulés et font apparaitre la raie. Au niveau des hanches, le porte-jarretelles est visible sur toute la largeur ainsi que les jarretelles et les attaches métalliques. J’en reste bouche béé. Christine me parle mais je n’entends rien. Elle doit taper dans ses mains pour que je reprenne mes esprits.

— On y va ?

— Tu es sûre ?

— Avant, non. Après ta réaction, oui.

Nous ne croisons personne dans notre immeuble en partant et je vais me garer dans un parking souterrain du centre-ville. Alors que nous attendons l’ascenseur, une femme nous rejoint. Elle nous salue poliment. Elle porte une robe noir, simple et élégante. Mince et élancée, je lui donne environ 35 ans. En entrant dans la cabine, elle regarde attentivement Christine. L’ascenseur vitré monte et la lumière du jour pénètre d’un coup dans la cabine. La femme sourit et hoche la tête.

— Madame, j’admire votre confiance en vous et votre courage. Vous êtes élégante, séduisante et en même temps, permettez moi de vous dire que vous avez les atours d’une putain. J’aimerais tellement oser me vêtir comme vous ! Continuez, ma chère, continuez. Vous venez de me faire immensément plaisir. Monsieur, vous pouvez être fier de votre compagne.

Les portes de l’ascenseur s’ouvrent et la femme s’en va. Nous restons là, immobiles, durant quelques secondes. Christine s’esclaffe.

— Mince, tu l’as payée ou quoi ? C’est la première personne que nous croisons et elle m’envie !

J’éclate de rire. La scène que nous venons de vivre est en effet surréaliste. Elle a en plus le don de détendre Christine. Je la prends par la main et nous sortons à notre tour de la cabine.

La passage en ville est une succession de torticolis masculins et parfois féminins. Après avoir pris mon épouse par la taille, je n’hésite pas à poser fermement ma main sur ses fesses, ce qui la fait rire. Je lui répète à quelle point elle est belle et séduisante. Au restaurant, le serveur est aux petits soins avec nous. Et cela est certainement dû au fait que Christine a ouvert deux boutons au bas de sa robe afin de pouvoir croiser les jambes. Et dévoiler légèrement le haut de ses bas.

Nous allons ensuite boire le café sur les quais du lac avant de nous asseoir sur une grande marche d’une esplanade où quelques employés en costume et tailleur finissent tardivement leur pause de midi. Il fait très bon. Je me lève pour aller m’accouder quelques instants à la balustrade pour observer le lac. Quand je me retourne, Christine a décroisé les jambes. Lentement et discrètement, elle déboutonne une nouvelle fois le bas de sa robe et écarte les jambes. A une dizaine de mètres, face à moi, elle exhibe son sexe glabre. Elle referme ensuite lentement les jambes. Elle m’a mis le feu. Elle se lève. Plusieurs hommes la regardent. Particulièrement celui qui est assis à sa droite. La cinquantaine, il avait déjà jeté plusieurs regards dans sa direction lorsqu’elle était assise et il a peut-être même remarqué le petit manège de Christine. Il est accompagné d’une magnifique femme blonde, bien plus jeune que lui. Il n’a désormais d’yeux que pour le postérieur de mon épouse et il me semble lire de l’agacement sur le visage de la blonde. Christine vient m’embrasser, dos au couple. Je pose mes mains sur les fesses de ma femme et les pelote. La blonde parle à l’homme qui n’écoute pas. Je passe lentement ma main sur sa jarretelle droite, de haut en bas.

— Si je soulève ta robe, nous aurons un mort sur la conscience.

Christine rit.

— Ah oui ? Pourquoi ?

— Soit il meurt d’une crise cardiaque. Soit la blonde à côté de lui l’assassine.

— A ce point ?

— Il bloque sur tes fesses depuis que tu t’es levée et elle ne semble vraiment pas contente. Tu sais quoi ? Tu devrais aller acheter une glace au bout du quai, là-bas.

— Tu penses qu’il va me suivre ?

— Sûr.

— Et toi, que vas-tu faire ?

— Allez voir la blonde et m’excuser.

— Ah ah ! On tente. J’y vais.

Cela ne rate pas. Je me tourne à nouveau face au lac. Ne surtout pas surveiller Christine.

L’homme a quitté sa place à peine trente secondes après elle. Il marche une vingtaine de mètres derrière elle. La femme regarde son téléphone. Elle ne remarque ma présence que lorsque je m’assieds à côté d’elle et me jette un regard noir. Elle est effectivement très jeune, 23 ou 24 ans peut-être. Sa tenue stricte et son chignon la vieillissent.

— Je tenais à m’excuser auprès de vous

Elle me coupe.

— Laissez tomber, ça n’est pas nécessaire. Si ça n’avait pas été votre femme, ça aurait été une autre. C’est tout le temps comme ça.

— Je suis désolé.

— Il lui les faut toutes.

— Pourquoi restez-vous avec lui ?

— L’argent. Il est blindé et paie tout, même mon appartement et il me donne de l’argent de poche. Je n’ai aucune dépense.

— Effectivement.

— Je mets tout mon salaire de côté. J’aurais un bon matelas lorsqu’il me jettera.

— Pourquoi vous jetterait-il ? Vous êtes magnifique.

— Pour une plus jeune, qui suce quand il en a envie, qui écarte les jambes quand il en a envie, qui s’habille selon ses goûts, qui rit à ses blagues lourdingues et que fait pas chier quand il va voir ailleurs. C’est comme ça que je suis devenue "l’officielle". La précédente avait 27 ans.

— Et vous ?

— 22.

— Vous travaillez avec lui ?

— Non. Il est client de la banque où je travaille. Il m’a repérée, invitée, baisée. Deux mois après, il quittait l’autre.

Au loin, ma femme discute avec l’homme tout en marchant lentement dans notre direction.

— Et là, qu’est-ce qu’il est en train de raconter à ma femme ?

— Bah, il la baratine. Il va l’inviter dans un des meilleures restaurants de la ville. Si votre femme refuse de lui donner son numéro de téléphone, il va lui donner sa carte de visite.

Nous les observons. Ils s’arrêtent et effectivement, l’homme donne sa carte à Christine qui la met dans son sac à main.

— Qu’est-ce que je vous avais dit ? Il est tellement prévisible

Après une pause, elle demande :

— Vous n’allez pas lui casser la gueule au moins ?

Je ris.

— Non, mais j’insisterai pour que vous soyez présente s’ils nous invitent au restaurant.

Enfin, elle sourit. Christine et l’homme ne sont plus qu’à une trentaine de mètres de nous.

— Ça va le déstabiliser de vous voir à côté de moi.

Ma voisine ajoute :

— Votre femme est superbe. Tellement sexy. Elle ose, elle a tellement raison. Le porte-jarretelles, on ne voit que ça. Et elle n’a pas de culotte, n’est-ce pas ? Il n’y a aucune trace.

— Je vous le confirme.

— Par contre, elle a quoi comme soutien-gorge ?

— Un redresse-sein.

— Jamais essayé.

Christine et l’homme sont devant nous. Il monte vers moi. Je lui tends la main. Il hésite puis la prend.

— Bonjour. Florent, le mari de Madame.

— C’est ce qu’elle m’a dit, oui. Que faites-vous là ?

— Comme vous discutiez avec mon épouse, je me suis permis de discuter avec la votre.

— Elle n’est pas mon épouse.

— Dommage pour vous. J’ai passé un excellent moment en sa délicieuse compagnie.

J’en rajoute des tonnes. Il est en train de monter les tours. La jeune femme a replongé le nez dans son smartphone. Christine m’appelle.

— Viens, ta glace va fondre.

Je souris à l’homme.

— Heureux d’avoir fait votre connaissance.

Et je rejoins ma femme.

Nous nous éloignons.

— Je ne sais pas ce que tu lui racontais, mais elle, elle était morte de rire.

— Tant mieux. C’est un goujat. Quel restaurant ?

— La Couronne. Vendredi soir, 20h. Je dois le rappeler pour confirmer. Et porter une tenue "se rapprochant" de celle d’aujourd’hui. Et elle ?

— 22 ans, met de l’argent de côté en attendant de se faire jeter. Fait ce qu’on lui demande. Mais elle commence à péter un plomb.

— C’est malsain, tellement malsain.

Nous retournons en direction du parking. En attendant l’ascenseur, nous nous enlaçons et nous embrassons. Nous avons envie l’un de l’autre. Nous sommes seuls et je commence à déboutonner la robe de Christine, ne laissant que trois boutons fermés. Dans la cabine, j’embrasse sa poitrine et la doigte quelques instants. Christine se reboutonne partiellement.

Dans la voiture, elle n’attend pas que je démarre pour se pencher sur mon entrejambe et commencer à me sucer. Il en sera ainsi durant tout le trajet. Nous sommes en ville, en début d’après-midi et Christine ne se préoccupe absolument pas que les trottoirs puissent être à côté de la voiture ou qu’il puisse y avoir des camions dont la hauteur de cabine offre une vue plongeante sur les voitures. Il y au moins quatre passants et deux camionneurs qui remarquent la scène. Je suis tellement excité en arrivant que je pénètre ma femme dans l’ascenseur. Elle s’affole un peu mais rien ne vient troubler la montée. A la maison, je jouis trop vite.

Nous baisons à trois autres reprises jusqu’à 17h30. Alors que je sodomise Christine lors de notre dernier ébat, elle demande :

— Tu crois que la petite blonde se fait sodomiser par le vieux ?

— Je ne sais pas, mais moi, je l’aurais volontiers fait.

— Mmmh, tu aurais dû lui donner ta carte alors.

Je ris.

— Elle était très intéressée par tes dessous.

— On n’a peut-être pas d’argent, mais on aurait pu lui apprendre des choses.

— Tu l’aurais habillée

— Et tu l’aurais enculée !

Là-dessus, j’accélère et défonce l’anus de Christine pour la troisième fois de la journée. J’explose. Christine crie. Je m’affale sur le lit. Ce cul finira par me rendre fou, réellement fou.

Avec ces deux jours, j’avais déjà eu l’anniversaire le plus fabuleux du monde, mais Christine avait en plus organisé une soirée avec nos amis, le lendemain de cette journée de rêve. Avoir 40 ans dans ces conditions était tout bonnement génial. Éreintés, nous passons notre dimanche au lit entre siestes bienfaitrices et tendres ébats.

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