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I – Liaisons dangereuses – Chapitre 26




Sur la route pour rentrer chez moi, je suis encore en train de me refaire le scénario dans ma tête. S’il y a bien quelque chose que je n’ai pas vu venir, c’est ça, et il n’a fallu que quelques moments d’intimité avec Marion pour qu’elle me retourne le cerveau. Je la trouve mignonne et attirante, bien entendu, mais des nanas qui le sont tout autant, j’en côtoie et couche avec souvent. Jenny, Shama, Denise et même Typhaine qui, en termes de beauté physique, crève le plafond, mais Marion a un truc en plus, un truc qui ne s’est dévoilé à moi qu’aujourd’hui, un truc qui me fait complètement vriller.

Une fois chez moi, je continue à cogiter tout en n’ayant qu’une seule envie, la revoir. Je vérifie mon téléphone toutes les cinq minutes pour voir si elle ne m’a pas envoyé un message. Il faut que je me rende à l’évidence, j’ai un furieux coup de cur pour Marion. Sa voix, sa peau, son corps, son odeur, peu importe à quoi je pense la concernant, je frissonne à coup sûr. Je m’endors ce samedi soir en pensant à elle, je crève d’envie de lui envoyer un message mais je n’ose pas, je ne veux pas commencer à l’asphyxier. Je pose mon téléphone loin de moi et finis, la fatigue aidant, par m’endormir.

Ce dimanche, je serais bien allé faire du vélo pour me défouler mais la pluie s’est invitée toute la journée et je n’ai strictement aucune envie de me tremper. Je reste donc chez moi à mater quelques films et séries que j’ai de côté. Ça va un peu mieux par rapport à Marion, je me sens moins oppressé que la veille, sans doute me suis-je un peu excité pour pas grand-chose hier. C’est ce que je pensais jusqu’à ce que mon téléphone sonne pour m’annoncer un message, et en voyant que celui-ci vient de Marion, j’ai soudain un frisson qui me parcourt le corps. Non, apparemment, ce qu’il s’est passé hier est loin d’être anecdotique…

[SMS]

< Salut Florian, j’espère que tu vas bien et que tu as passé une bonne soirée hier. Bisous à toi :*

Je suis comme un con à sourire devant l’écran de mon téléphone, heureux comme un pape qu’elle m’ait écrit. Je lui réponds et une discussion s’engage.

[SMS]

> Coucou Marion, oui ça va très bien, bonne soirée, et pour ce dimanche, pas grand-chose avec la pluie. Et toi ?

< Ça va, je suis chez ma mère là mais elle va bientôt me ramener chez moi

> Prête pour la reprise du boulot demain ?

< Oui, ce week-end entier m’a fait du bien, enfin, surtout hier en fait ;)

> Content que tu aies pu en profiter alors 😛

< Oui et c’est bien grâce à toi 🙂

> C’était un immense plaisir ;)

Il se passe de longues minutes sans réponse de sa part pendant lesquelles je ne lâche pas mon téléphone des yeux. Il finit par bipper.

[SMS]

< J’ai hâte qu’on se revoie…

Je jubile.

[SMS]

> Moi aussi Marion

< Tu me diras quand tu pourras ?

> Je te tiens au courant demain quand j’en saurais un peu plus sur mon planning de la semaine

< Super !! Je dois te laisser, je vais partir. Gros bisous à toi et bonne soirée :******

> Bonne soirée Marion, bisous :*****

J’ai l’impression de planer après cet échange avec elle. Qu’elle avoue avoir envie de me revoir m’a rempli de joie et je passe le reste de la journée avec un sourire benêt scotché au visage.

Le lendemain, au bureau, Jenny me salue, elle a l’air en pleine forme.

— Salut Flo, ça va ? T’as passé un bon week-end ? Me demande-t-elle après m’avoir claqué la bise ;

— Oui ça va, tranquille à cause de la pluie hier ;

— Et samedi, t’as rien fait ?

— Rien de spécial, je suis allé m’acheter un téléphone, c’est tout ;

— Et après on dit que les nanas passent leur temps à faire du lèche-vitrines !!

— Ouais, enfin j’ai acheté qu’un téléphone, j’ai pas passé des heures à essayer des fringues hein !! Et toi, t’as fait quoi de ton week-end ?

— T’es bien curieux !!

— Pas plus que toi ;

— Ahahah !! J’ai rien fait de spécial en fait, j’ai passé le dimanche chez mes parents avec mon frère car mon père voulait nous voir, et pour le samedi, j’ai passé la journée avec deux copines, on a…

— Oui ?

Jenny me sourit en se mordillant la lèvre inférieure.

— Vous avez baisé toute la journée, c’est ça ?

— Eh bien…, dit-elle en se mettant à ronronner, Non !! On a juste fait les magasins nous aussi ;

— Pffff, et après tu oses me faire remarquer que je passe mon temps dans les magasins !

— Mais au moins, nous, on n’a sûrement pas dépensé autant que toi !

— Et ouais, que veux-tu, je fais pas souvent les magasins mais quand je les fais, c’est pour de bon !! Mais je comprends pas, pourquoi tu me l’as pas dit direct vendredi soir que t’avais prévu tout ça au lieu de me dire que ça me regardait pas comme si c’était un secret inavouable ?

— Pour te faire spéculer sur ce que j’allais faire, je me suis dit que ça t’exciterait d’imaginer que je passe le week-end à baiser !

— T’as vraiment un grain Jenny !!

— Quoi, ça a pas marché ?

— Ben non, ça a pas marché, désolé ;

— Zut… Je me suis dit que ça serait une bonne préparation pour ce soir ;

— Pourquoi ce soir ?

— T’as prévu quelque chose ?

— Non, rien, pourquoi ?

— Ça te dit qu’on se voit ?

— Ben… Ouais, si tu veux ;

— Bah c’est si tu veux toi aussi hein !!

Je rapproche mon visage du sien et la regarde droit dans les yeux.

— Oui, je le veux ; lui dis-je sur un ton solennel.

Jenny éclate de rire.

— T’es con mon pauvre, je viens pas de te demander en mariage hein, c’est juste pour baiser, t’enflamme pas !!

— Ah si tu m’avais demandé en mariage, t’aurais déjà ma démission sur ton bureau ;

— Dis tout de suite que je suis insupportable, ça ira plus vite !!

— Sans être forcément insupportable, faut bien avouer que t’es une sacrée emmerdeuse !

— Connard va !

— Moi aussi je t’aime !!

Jenny me fait un clin d’il.

Une fois que j’ai pris connaissance du déroulé théorique de la semaine, j’envoie un message à Marion pour la prévenir.

[SMS]

> Salut Marion, c’est juste pour te prévenir que j’étais dispo demain midi, si ça te dit qu’on mange ensemble, hésite pas ;)

La réponse ne se fait pas attendre.

[SMS]

< Avec plaisir !! Je connais une pizzeria super sympa pas loin du salon. T’aimes les pizzas ?

> Bien sûr, qui n’aime pas les pizzas !! Je t’invite alors !

< Alors ça, c’est hors de question !! Tu m’as filé ton téléphone, je peux bien t’offrir une pizza !! J’y tiens !!

> OK OK, ça marche. À propos du téléphone, pas de soucis avec ?

< Oh non, bien au contraire même…

> Pourquoi tu dis ça ?

< Tu verras demain ;) Je dois y aller, j’ai un soin à faire. Bisous !! :***

> Bisous :***

Pourquoi m’a-t-elle dit ça pour le téléphone ?? Elle a piqué ma curiosité, et déjà qu’il me tarde d’être à demain midi pour la voir, sa réflexion ne manque pas d’en rajouter une couche !!

Mais en attendant d’être à demain, il y a déjà la soirée avec Jenny. En d’autres circonstances, la perspective de passer la soirée en sa compagnie m’aurait rempli d’excitation mais là, bizarrement, je ressens les choses différemment. Je suis content de la voir, bien sûr, mais Marion occupe une grande partie de mes pensées en ce moment et je me demande bien comment ça va se passer quand je serais dans les bras de Jenny…

Le soir venu, nous partons tous les deux en même temps. On ne le fait pas quand il y a encore du monde dans les bureaux pour ne pas attirer l’attention mais vu qu’on est les derniers à partir, on peut se le permettre. Arrivés chez moi, on boit un verre et on discute de tout et rien. C’est un peu une nouveauté avec Jenny depuis quelque temps car auparavant, on ne s’embarrassait pas de ce genre de « préliminaires » et on baisait direct mais on prend plus de temps avant de passer aux choses sérieuses maintenant. On discute, on rigole et à choisir, je préfère ça.

J’ai beau être avec Jenny et savoir pertinemment ce qu’il va se passer, je ne peux m’empêcher de penser à Marion, et encore plus quand celle-ci m’envoie un message.

[SMS]

< Salut Flo, désolé de te déranger mais je voulais savoir à quelle heure tu venais demain midi

> Coucou Marion, tu me déranges jamais ;) Aux alentours de 12h/12h30 je pense, pas plus tard. Je t’envoie un message quand je pars du boulot

< OK ça marche !! Bonne soirée et bonne nuit 🙂 Bisous :***

> À toi aussi Marion, je t’embrasse fort :****

Après un bon moment à papoter, Jenny finit par avoir envie de me sucer et elle se met à genoux sur le canapé pour s’occuper de moi. Comme à son habitude, elle s’y prend à merveille et je ne mets pas longtemps à bander sous ses coups de langue délicieux. Malgré tout, Marion ne quitte pas mes pensées, pire, quand je ferme les yeux pour déguster cette fellation, c’est elle que j’imagine en train de me sucer. Je sais que ce n’est pas sympa pour Jenny mais je ne peux vraiment pas m’en empêcher, c’est plus fort que moi. Une fois rassasiée, Jenny se lève et se place devant moi, puis elle commence à s’effeuiller en bougeant sensuellement tout en me fixant d’un regard libidineux. Elle bouge merveilleusement bien, faisant onduler ses hanches et se cambrant à la perfection. J’ai devant moi une bombe atomique en train de me faire un putain de strip-tease et je trouve le moyen de ne pas être à 100 % concentré sur elle, c’est terrible… Plus les minutes passent et plus je me sens mal, j’ai la désagréable impression de tromper Marion et Jenny à la fois même si je ne suis en couple avec aucune des deux.

Je suis surtout gêné par rapport à Jenny car que ce soit pour un homme ou une femme, coucher avec quelqu’un qui pense à une autre personne ne doit pas être quelque chose d’agréable, et même si elle l’ignore, je me sens mal pour elle malgré tout. J’ai l’esprit ailleurs, Jenny est maintenant nue et le fait de ne pas avoir la tête à ce que je fais a eu pour effet de me faire un peu débander, pas complètement, mais assez pour que, lorsque Jenny se décide à me chevaucher pour s’empaler sur moi, ma bite soit assez molle pour avoir du mal à la pénétrer. Voyant qu’elle n’arrive pas à me placer en elle, elle se met à me masturber.

— Je te fais un strip et toi tu débandes ?!? Ça t’a pas plu ?

— Si si, carrément !! C’est juste que… J’aurais dû continuer à me branler sans doute !!

— Tssss, tout ça pour que je te suce encore, c’est ça ? Dit-elle avec un sourire en coin ;

— Aaaaah, c’était pas pour ça mais maintenant que tu me le dis…

Jenny ricane avant de s’agenouiller pour me remettre au garde-à-vous, ce qui ne met pas longtemps à arriver. Une fois ma queue bien raide, elle me chevauche à nouveau et je n’ai cette fois aucun mal à la pénétrer. Elle se met à gémir, alternant petits sautillements et roulements du cul, ma bite bloquée en elle. Je la regarde se donner du plaisir sur moi, lui caressant les cuisses et les seins puis plaçant mes mains sur ses fesses pour suivre ses mouvements. Les gestes que je fais sont presque mécaniques, je gémis un peu mais clairement, je suis comme étranger à ce qu’il se passe. J’ai beau regarder Jenny onduler son corps sur moi, ça ne change rien, je n’arrive pas à n’être qu’avec elle, et ça, elle le ressent très bien.

— Ça va Flo ?

— Oui pourquoi ?

— Je sais pas, t’as pas l’air bien ;

— Si si ça va Jenny ;

— T’es sûr ?

— Promis !!

Sur ces mots j’agrippe le cul de Jenny pour l’immobiliser et accélérer la pénétration, ce qui a l’air de fortement la contenter si j’en juge par les gémissements plus sonores qu’elle lance alors que ma peau claque de plus en plus contre la sienne. J’arrête mes mouvements et elle prend le relais, sautant sur moi en utilisant toute la longueur de ma queue.

C’est horrible, je baise Jenny mais c’est Marion que je vois, et je n’arrive pas à m’enlever ça de la tête. Jenny finit par s’immobiliser, ma queue toujours en elle, bougeant à peine ses hanches.

— Bon, qu’est-ce qu’il y a ? me demande-t-elle en reprenant sa respiration ;

— Mais pourquoi tu me demandes ça ?

— Ben j’en sais rien, j’ai l’impression que tu t’emmerdes !

— Mais non Jenny. Bon, j’avoue que je suis peut-être un peu fatigué, mais je t’assure qu’à part ça, ça va !

— Fatigué de quoi ? T’as rien branlé du week-end ;

— C’est fatigant de rien faire, surtout quand on s’ennuie, c’est pas une bonne fatigue.

Jenny continue d’onduler doucement sur moi, me fixant de son regard en semblant se demander ce qu’il m’arrive.

— C’est bizarre, on dirait que t’es… absent, me dit-elle ;

— Tu crois que ta chatte trouve que je suis absent ?

— Ta queue est bien là, mais toi…

— Et pourtant je suis là Jenny ;

— OK, alors prouve-le…

Je bascule soudainement Jenny sur le canapé, elle pousse un petit cri de surprise. Je la fais se mettre à genoux en lui giflant une cuisse et elle s’exécute en gémissant. La tête dans un coussin posé sur le canapé, elle me tend sa croupe sur laquelle je mets quelques petites gifles tout en me branlant.

— Tu trouves que je suis pas là alors ? Je vais te prouver que je suis bel et bien là, petite chienne va !!

— Han… Oui… Vas-y, baise-moi Flo !!

Je m’approche d’elle et lui prends la chatte d’un trait, me mettant à la pilonner avec vigueur, agrippé à ses hanches. Je la secoue comme un prunier et elle se maintient comme elle peut au montant du canapé en criant de plaisir, m’en demandant toujours plus.

— OUI OUI OUI, PLUS FORT, ENCORE, ENCORE, hurle-t-elle.

Je lui gifle le cul de plus belle, serrant sa peau entre mes doigts crispés. Je fais mon maximum pour me plonger corps et âme dans cette violente levrette mais Marion rôde toujours dans mon esprit. Jenny, le visage à moitié collé au canapé me lance un regard m’implorant de continuer à la baiser de cette manière, mais je n’ai pas envie qu’elle se dise encore que j’ai l’air absent, je viens donc caler une de mes mains sur sa joue et lui mettre un doigt dans la bouche qu’elle se met à sucer instantanément, ses yeux à présent fermés à cause de la pression de ma main.

Je la baise aussi vite et fort que je peux, sans aucune tendresse, brutalement, sans réfléchir, ce qui me permet, petit à petit, de me recentrer sur ce que je suis en train de faire. Je ralentis un peu, reprenant mon souffle après cette chevauchée intense, Jenny, ma main toujours sur son visage, gémit en me suçant le doigt comme elle me sucerait la bite.

— T’en veux encore ? Lui dis-je ;

— Hmmmmm, oui, encore, j’ai rien senti, me dit-elle en me jetant un coup d’il à travers mes doigts et en me lançant un petit sourire ;

— Petite salope, tu vas voir si tu vas rien sentir !!

Je me redresse et cramponne fermement son cul, me mettant à le marteler aussi vite et fort que je peux. Jenny a à présent le visage complètement collé au canapé, elle braille tout ce qu’elle peut, ses cris sont étouffés par le coussin. Je lui claque le cul de temps en temps, rajoutant les claquements de mes mains à ceux de mon bassin contre son cul.

— OUIIIII OUIIIII, JE JOUIIIIIIIIIS, AAAAAAHH !!!! finit par hurler Jenny alors que je ne cesse de lui boxer la chatte à coups de bite.

Malgré sa jouissance, je ne ralentis pas et me donne à fond, je ne m’économise à aucun moment, tant est si bien que la mienne finit par débarquer et je jouis en elle en poussant des râles longs et puissants, agrémentant chacune de mes giclées en elle d’un coup de reins puissant faisant trembler tout son corps. Elle m’accompagne en gémissant longuement alors que je lui remplis la chatte de ma semence bouillante. Après un moment à bien essorer mon sexe en elle, je me retire et m’affale sur le canapé, en sueur et haletant. Jenny a le cul toujours en l’air et je lui mets une petite gifle qui la surprend et lui fait pousser un petit rire enfantin. Elle finit par se retourner et s’allonger, mettant ses mollets sur mes cuisses. Elle aussi reprend son souffle tout en me souriant après cette cavalcade que je nous ai infligée.

— C’est bon, j’ai été assez là pour toi ? Lui demandai-je, encore soupirant ;

— Ouais, ça va, c’est pas mal !! Mais la question est : est-ce que tu vas pouvoir remettre le couvert ?

Je ricane.

— T’es vraiment une grosse cochonne !!

— Grosse non, cochonne, je le revendique !! Alors ? Partant pour un second round ?

— OK, mais va falloir me laisser un peu de temps alors.

Jenny vient vers moi à quatre pattes et met son visage juste devant le mien.

— Je te laisse une demi-heure maxi, le temps d’aller me rafraîchir et de manger un morceau, et t’as intérêt à être opé dès que j’ai fini, pigé ?

— À vos ordres patronne !

Elle me sourit puis vient m’embrasser langoureusement avant de filer à la salle de bains.

J’ai remis le couvert à peine 15 minutes après, je lui ai dégusté la chatte pendant qu’elle mangeait un sandwich, et pile à la fin de la demi-heure qu’elle m’a laissée pour me remettre d’aplomb, j’ai recommencé à la sauter dans le même registre que tout à l’heure, une baise bien hard. En faisant de la sorte, j’ai réussi à être totalement avec Jenny même si je sens très bien que Marion imprègne toujours mon esprit.

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