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Les règles du jeu – Chapitre 1




Bonjour à tous,

Je m’appelle Julie, travestie à l’occasion. 23 ans, Blonde, yeux verts, très féminine, et très bien foutue. Je tire une fierté particulière de mon cul, que je tiens à avoir intégralement bronzé lorsque le soleil se montre. Travestie depuis longtemps, j’aime parfois me sentir femme. Ce que je préfère est sucer des hommes, j’avoue que la sodomie n’est pas ce que je préfère. J’aime allumer des mecs, vider leurs couilles et partir.

Mon histoire s’est passée voilà maintenant une année. J’étais en stage au Viet Nam, et habitais seule. Une situation idéale pour me travestir, loin de mes connaissances et de ma famille. Je décide donc de me mettre sur Tinder, avec une photo qui ne montre que mon corps, avec une description indiquant que je suis travestie. Dans ma description, j’indique quelques règles. Les voici. Interdiction de m’enculer, de m’enlever mon t-shirt, de me toucher le sexe. Pour le reste, vous faites ce que vous voulez.

Je reçois donc de nombreuses demandes, dans un pays comme ça, une petite trav occidentale et blonde ne passe pas inaperçue et attire les convoitises. A chaque fois, je demande au garçon de me répéter les règles. Ils comprennent vite que c’est une occasion rêvée de se faire sucer en rentrant du travail, et de repartir tranquillement. J’adore ça. Les mois passent, et, environ une fois par semaine, je reçois un vietnamien pour le sucer.

Un jour, sur Tinder, quelqu’un vient me parler. Il s’appelle Abel, je vois tout de suite qu’il n’est pas d’ici. C’est un français maghrébin qui est venu s’installer à Hanoi. Il me dit de suite qu’il veut venir me baiser. Je calme ses ardeurs et lui fais répéter les règles. Interdiction de m’enculer, de m’enlever mon t-shirt, de me toucher le sexe. Pour le reste, vous faites ce que vous voulez. Il me dit, "d’accord, on va jouer un peu, j’arrive."

Je suis un peu excitée, et le fait qu’il soit français me fait perdre un petit peu de mon côté dominant. Il va falloir que je mène les débats. Je vais donc me préparer. Je m’épile intégralement. Mes jambes sont parfaites, fines, bronzées, et douces. Mon cul et mon anus aussi. Je reviens de quelques jours à la plage, et j’ai un bronzage intégral. Je me maquille. J’aime m’habiller un peu sportive cochonne. Je mets une paire de running, un haut noir, et un petit short rose serré, qui me fait un cul d’enfer. En dessous, un petit string noir que l’on devine sans problème sous mon short.

J’attends une petite heure, puis je reçois un sms d’Abel, il est à la porte. Je lui ouvre, lui fais la bise et l’invite à rentrer. On commence à parler, et je lui demande d’où il vient en France. Il n’a pas l’air de vouloir faire la discussion et me dit de suite

"- Putain, tu es vraiment bonne.

— Je sais.

— Tu peux te lever, que je te regarde bien ?"

Je m’exécute et marche dans la pièce. Je sens ses yeux rivés sur mon cul. Sur mon petit short Nike, et mes jambes bronzées.

"- Tu m’excites vraiment.

— Je sais. Tu connais les règles ?

— Je ne te touche pas la bite, ça de toute façon je m’en fous, je ne t’encule pas et te laisse ton t shirt, c’est ça ?

— Exactement, on ne dirait pas mais tu comprends vite.

— C’est ça oui. Et pour le reste, je fais ce que je veux c’est ça ?

— C’est ça, respecte les règles, et amuse toi.

— C’est bien, lève toi et on va parler un peu."

Il vient se placer à côté de moi, je suis très troublée. D’habitude, la barrière de la langue fait que les vietnamiens sortent leur bite, exigent une pipe et partent. Là les choses sont plus complexes. Il se met à me peloter le cul et m’attire contre lui.

"- Tu as un cul parfait, tu le sais ?

— Oui je le sais. Profite-en, touche le bien, tu n’en reverras pas d’autres comme ça."

J’essaie de reprendre un peu le contrôle de la situation.

"- Je paierais cher pour t’enculer.

— Tu connais les règles, ce n’est pas possible.

— Les règles, oui, les règles."

Il baisse mon short, qu’il place juste sous mes fesses rebondies.

"- Tu bronzes à poil.

— Un cul parfait se mérite."

Il le pelote, met une claque et décale mon string. Il écarte mes fesses pour observer mon anus. Il me met un doigt dans le cul. Je sursaute de surprise.

"- Ben quoi, c’est dans les règles ?"

Je fais oui de la tête, je ne peux dire autre chose, c’est dans les règles. Il enfonce un deuxième doigt, et me doigte maintenant l’anus rapidement. Il rigole et sors ses doigts, me les présente devant la bouche.

"- Lèche."

Je les prends dans ma bouche, et les lèche du mieux que je peux. Ses doigts larges et masculins, l’odeur de mon cul. Il me les met au plus profond de ma bouche.

" – Tu es vraiment une petite pute."

Je ne réponds rien.

" – Je veux t’entendre le dire.

— Je suis une petite pute.

— Petite pute avec un cul de rêve. Maintenant, mets toi à genoux."

Je remonte mon short et m’exécute, et me retrouve à genoux devant lui.

"- Mets tes mains derrière ton dos.

— Pardon ?"

Je n’ai eu le temps de parler qu’il me met une claque.

"- J’ai dit mets les mains dans ton dos. Je n’ai pas enlevé ton t shirt, je ne t’ai pas enculée, je ne te touche pas ta petite bite. Je respecte les règles, alors tu m’obéis."

Je mets les mains derrière mon dos. Il me met une nouvelle claque, et moi je m’efforce de garder les mains serrées. La valse de claque n’arrête pas et il rigole. Il me tend trois doigts, que je lèche instinctivement. Il les ressort et me claque encore. Il déboutonne son pantalon, et baisse son caleçon. Il a une bite magnifique, énorme. Une de ces bites lissent, belles, qui respirent la puissance. Il doit au moins en avoir une de 18 centimètres, au moins. C’est différent des asiatiques que j’ai vu jusqu’à présent. Il le sait. Je sens qu’il le sait. Il a bien deviné à mon silence et mon regard prolongé que j’étais en adoration devant sa bite. Je lève la tête, les mains derrière le dos.

" – Garde tes mains là bas, et suce moi maintenant."

J’ouvre donc la bouche et avance la tête vers sa bite en pleine érection. A quelques centimètres de son gland, il retire sa bite. Puis la remet près de ma bouche, et recommence. Je fais désormais tout pour l’avoir dans ma bouche, mais n’y arrive pas. Il a gagné. Je n’ai qu’une envie, l’avoir dans la bouche, la sentir sur ma langue. C’est lui qui domine les débats.

"- Alors petite chienne. Tu la veux ma bite ?"

Je le regarde dans les yeux, sans rien dire. Je ne peux que faire oui de la tête.

"- Dis le, répète après moi. Abel, je rêve de ta bite, je la veux."

Une claque.

"- Abel, je rêve de ta bite, je la veux.

— Très bien, tu vois, tu es une petite pute.

— Oui"

Il éclate de rire. Il prend mes cheveux et plaque sa bite contre mon visage. Il la caresse sur les joues, la tapote sur moi. Et rigole. J’ai maintenant bien compris, je suis sa petite chienne. Moi, avec mon cul parfait, je suis à la merci de sa bite. J’ouvre la bouche, je la veux vraiment, j’en bave presque. Il l’enfonce dans ma bouche. Enfin, après cinq minutes. Instinctivement, sa bite en bouche, je fais un "mmmh". Je n’y crois pas. J’ai été transformée. Je suis là à déguster sa bite, comme si c’était la chose que je préférais. Je lève les yeux après mon petit bruit, et croise son regard. Cette fois il est silencieux. Il a sa main sur mes cheveux et il le sait, je lui appartiens. J’ai envie de satisfaire celui que, honteusement, je considère comme mon maître. Je m’applique, je fais tout pour que ma langue excite chaque parcelle de sa bite, et il me regarde, silencieux, apprécie. Il retire sa bite de ma bouche, et j’ai de la bave sur les lèvres. Mes mains dans le dos je ne peux faire qu’autre chose que me lécher les lèvres. Voilà ce que je suis. Une petite pute qui se régale.

"- Enlève tes mains de ton dos, mets toi à quatre pattes."

Je m’exécute, et il me met une violente fessée sur mon short. Il se met complètement à poil et me tire par les cheveux.

"- Aller, marche à quatre pattes, petite chienne."

Il me traîne à travers mon appartement. Je le suis docilement. On arrive devant un miroir et là, moment d’excitation suprême. Qu’est-ce que je suis bonne, mon petit short et mes jambes bronzées, mon rouge à lèvre qui commence à baver. Je suis la pute que j’ai toujours rêvé d’être. Il m’emmène dans ma chambre. Me lève par les cheveux, et d’un coup de pied me met sur le lit.

"- Mets-toi sur le dos."

Une fois sur le dos il vient se mettre à califourchon sur moi, au niveau de ma tête. Sa bite énorme est posée sur mon visage. Il la décale et me crache sur le visage. Je suis son objet.

"- Maintenant on va jouer."

Il met sa bite dans ma bouche, et je sens que ce n’est plus à moi de faire quoique ce soit, que ma gorge va devenir son terrain de jeu. Il enfonce sa queue au plus profond de moi. J’aime ça mais très vite je déglutis, il touche mon palais, j’ai des spasmes. Il reste un peu dans ma bouche puis ressors. Je suffoque. Je le regarde dans les yeux.

"- C’est dans les règles du jeu ?"

Il me regarde, me met une claque.

’’- C’est dans tes règles du jeu petite salope ?

— Oui. Oui c’est dans les règles du jeu."

Et sinon, faites ce que vous voulez. C’est moi qui ai dicté les règles du jeu, c’est moi qui dois assumer. Il reprend de plus belle. Ca dure cinq minutes. Il reste de plus en plus longtemps en moi. Je peine à respirer, mais qu’est-ce que j’adore. Je n’ai rien à faire, juste à être une pute. Puis, il se met à pincer mon nez, une fois ma bite dans sa bouche. Je tiens je tiens, puis ne peux plus respirer. Je bouge un peu et tape sur sa cuisse. Il se retire.

"- Elle est bonne ma bite hein ?"

Et il recommence. Je bouge un peu plus et retape, lui va plus profond. Il sort enfin.

"- Je ne peux plus respirer.

— Mais tu l’aimes ma bite ?

— Oui je l’adore, mais je ne peux plus respirer. Arrête s’il te plaît.

— Donc tu abandonnes les règles ?

— Oui."

Un silence.

"- Tu abandonnes les règles."

Il me regarde dans les yeux.

"- Tu l’aimes ton cul hein.

— Oui.

— Tu sais que je vais te le défoncer.

— Non, non. Pourquoi ?

— Tu as abandonné les règles ?

— Oui."

Et je comprends soudain.

"- Donc si je suis ta logique, j’ai droit de t’enculer ?"

Une claque.

"- J’ai le droit de t’enculer ?

— Oui.

— Et même plus, si tu me demandes d’arrêter de te baiser la bouche, tu me demandes de t’enculer finalement ?

— Oui."

J’ai perdu. Je commence à avoir peur. Jamais je ne me suis fait enculer par un homme avec une si grosse bite. Mais ça m’excite terriblement je crois.

"- Tu as le plus beau cul c’est ça ? Tu en es fière hein. Dis le moi.

— Oui, oui mon cul est parfait.

— Tu te souviens, tu m’as dit d’en profiter, de le toucher, parce que c’est tout ce que je pourrai faire avec ?

— Oui.

— Et bien maintenant, tu vas répéter après moi. Mon petit cul parfait, tout bronzé, je vais me le faire défoncer.

— Mon petit cul parfait, tout bronzé, je vais me le faire défoncer.

— Petite pute"

Il me prend par les cheveux et me met à quatre pattes.

"- Répète après moi. Eclate moi.

— Eclate moi."

Voilà. J’ai fait la maligne, sur Tinder. La fierté de mon cul, de mes traits fins, être désirée, tout cela se retourne contre moi. Je suis à quelques secondes de me faire enculer. Il baisse violemment mon short, et me fesse. Je l’entends m’insulter. Il écarte mon string, mes fesses. Je sais que j’ai l’anus parfaitement épilé. Je l’avais fait pour frustrer les mecs. Quelle conne, putain quelle conne. Il crache dessus. Je sens son gland entrer. Il est gros. Je n’ai jamais eu ça. Il me pénètre avec de lents va et viens. J’ai mal. Il m’attrape les cheveux et vient à mon oreille.

"- Tu aimes ça ?"

Je ne réponds pas.

"- Julie, petite pute, tu aimes te faire enculer ?

— Oui.

— Dis le moi."

Je n’y tiens plus et crie enfin tout ce que je pense de moi depuis ces quelques minutes.

"- Punis moi, déboite moi comme la pute que je suis, j’ai fait ma folle et voilà …"

Je n’ai pas le temps de finir que je sens sa bite rentrer violemment en moi. Jusqu’au bout. Quelle douleur.

"- Comme ça ?

— Oui."

J’ai une voix de petite pute dominée.

"- Allez ta gueule maintenant."

Il m’enfonce la tête dans l’oreiller, et déboite mon petit cul tout relevé. Il me lime sans s’arrêter, je ne sais plus départager la douleur du plaisir, il me déboîte. Du coin de l’oeil j’aperçois le miroir de ma chambre. Mon short, mon petit short baissé, mon string écarté. Et lui qui me déboite, me tire les cheveux et me cogne contre le matelas. J’arrive à départager. Je suis excitée. Je suis une pute, une vraie.

Il me déboîte pendant dix bonnes minutes puis se retire. Pas le temps de récupérer qu’il me tire les cheveux et me fait mettre à genou au bord du lit. C’est un réflexe maintenant, je le suce. Sa bite sent mon cul. Mon cul que je clamais intouchable. Il se retire de ma bouche et éjacule sur le carrelage. Je sais très bien ce qu’il va se passer. C’est écrit. Il me prend les cheveux.

"- Lèche, petite pute."

Je lèche son sperme chaud, à grand coup de langue. Il y en a partout, j’en sens dans ma bouche. Il me relève la tête et me fais ouvrir la bouche. J’ai son sperme de partout. Il me dit d’attendre et m’étrangle. Je perds mon souffle, son sperme dans ma bouche. Au moment où il lâche son étreinte, je reprends mon souffle et déglutis. Mais je déglutis son sperme, et le sens passer à travers ma gorge. Une claque. Il me tire les cheveux et m’emmène debout dans le salon, et me claque les fesses. Il me remet à quatre pattes.

"- Nettoie la bite."

Je le suce puis il me tire la tête et me dis.

"- J’ai gagné ?

— De quoi ?

— Les règles du jeu ?

— Oui.

— Tu étais une petite pute prétentieuse, et je t’ai défoncée.

— Oui.

— Donc selon la règle du jeu, tu es maintenant mon objet ?

— Oui."

Et il remit sa bite dans ma bouche.

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