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le fils de JEAN – Chapitre 3




Le fils de jean suite 2

Ah la jeunesse ;

En effet, le reste de la nuit, j’ai été , pour mon plus grand plaisir, leur jouet ; à tour de rôle, se retenant, le plus souvent de jouir, ils m’ont possédée, dans toutes les positions ; leurs mandrins , s’enfonçant toujours au fond de ma matrice, ils ont su m’amener à des jouissances multiples, me prenant plusieurs fois en double vaginales ; mais jean avait aussi une autre idée, me faire sodomiser par son copain ; c’est sur le matin que j’ai eu enfin le droit à cette queue ;  je dois l’avouer, j’avais très envie qu’ils me prennent en double, mais cette fois en me prenant le cul ,

Alors que jean me prenait,  pour la énième fois, ,  plantée sur son ventre, j’ai senti le gland de Michel, voulant à nouveau s’infiltrer dans ma chatte ; me penchant sur la poitrine de jean, j’ai attrapé sa queue et la frottant sur mon sillon, je lui ai demandé de me prendre le cul «  vas y enfonce toi dans ma raie, j’ai envie que tu m’encules avec ta grosse bite », puis avant de me pencher pour embrasser mon jeune amant, j’ai posé sa queue sur mon anneau ; la douleur a été intense, car dans sa fougue, Michel me l’a perforé d’une seule poussée, s’enfonçant jusqu’aux couilles ; mes cris ne l’ont pas arrêté, et comme  un fou, il m’a défoncé l’anneau, certes de plus en plus dilaté, mais vu la grosseur de sa queue, j’avais le conduit complétement remplit.

Comme deux bons complices, ils m’ont limé à tour de rôle, Michel étant le mieux placé pour me pourfendre ; remplie ,dans les  deux grottes, baisée sans ménagement, j’ai vite perdu le fil et ma jouissance  a eu raison de moi ; soudain, presque  simultanément, ils ont déversé leurs semences, me fécondant pour l’un , me remplissant le cul pour l’autre ; pleine de sperme, quand ils se sont retirés, je n’ai pu retenir le flot et c’est les cuisses recouvertes de jute que je me suis écroulée, vaincue par le plaisir.

C’est tard dans la matinée que j’ai refait surface, seule, rompue de courbatures, les cuisses douloureuses d’avoir été écartelée, la chatte en feu, le cul cassé par la puissance de Michel, leurs semences s’écoulant entre mes cuisses. Un bon bain, pour retrouver un peu de détente. Le reste de la journée s’est déroulé tranquillement, et quand mon mari est arrivé, plus tôt que prévu, il m’a trouvé assoupie dans le canapé.

Sans un mot, il m’a tendu une feuille avec écrit de la main de son fils :  attends-moi, nue sur ton lit, je vais encore te prouver que je suis plus performant que mon père ;   Ps Michel t’a trouvé canon »

J’ai voulu lui expliquer, mais m’arrachant mes vêtements, il m’a fait taire et me plaquant la face sur la table, il a sorti son chibre tendu, et sans ménagement, en levrette, il m’a défoncé me traitant de petite salope , me besognant avec violence ; ces coups de butoir contre mes fesses semblaient ne jamais s’arrêter ;  soudain, il m’a retiré de la table et me faisant chuter sur le canapé, les cuisses écartées, il s’est enfilé dans ma chatte, béante et pleine de cyprine puis me regardant fixement , il m’a dit : « maintenant racontes moi ! » c’était sans appel ; le temps des explications était arrivé.

Un peu plus tard, lui ayant tout révélé, y compris que j’avais promis à son fils de lui appartenir, bizarrement, mon homme s’était calmé ; après s’être fait jouir entre mes cuisses, il s’est retiré et me prenant dans ces bras et il m’a dit «   tu vas faire ce qu’il t’a demandé, sans lui dire que je suis là, mais interdiction de te laver, je veux qu’il sente que tu t’es fait prendre ; cela ne me gêne pas que tu sois à tes  amants, mais il faut qu’il comprenne que je suis le maitre du jeu.

Dès que j’ai entendu la voiture de jean, je me suis allongée, entièrement nue, les cuisses écartés,  les yeux  fermés ; je savais qu’il était dans la chambre et rapidement, je l’ai senti contre moi » c’est bien , tu es une bonne petite soumise, tu vas m’appartenir, et je sais que tu aimes faire cocu mon père » ; il n’a pas fallu longtemps avant que sa queue me pénétre, déclenchant à nouveau une onde de plaisir ; à la fois inquiète, mais tout aussi excitée par limprévu des évènement, j’attendais avec crainte , la présence de son père. Sur de son pouvoir sur moi, jean, comme à son habitude, m’a possédé fougueusement ; je savais que mon mari me voyait m’offrir à mon fils, car même si je savais sa présence très proche, je me livrais totalement à lui, jouissant sans retenue, démontrant ainsi que mon plaisir était réel.

Soudain j’ai vu entrer discrètement mon mari, le sexe bandé ; tout à son plaisir, jean ne l’a pas entendu, et ce n’est que quand il l’a senti contre lui, le sexe se frottant contre son fessier qu’il a voulu réagir, mais bloqué entre nous deux, ses mouvements sont restés inefficace, maintenant emprisonné et agrippé par nous deux.

Soudain jean a poussé un hurlement, venant de se faire percuter la rondelle ; sa queue s’est complètement ramollie dans mon ventre , alors que son père le sodomisait brutalement, le pistonnant sans répit ; « tu vois moi aussi je peux bander, je peux dominer ; tu veux ma femme, tu vas m’avoir aussi, tu as laissé ton copain la sodomiser, moi aussi ,je te prends », je ressentais les pénétrations  profondes, les cris de jean ; je ne sais s’il avait déjà connu cela, mais de toutes les façons, cette enculade devait être difficile pour lui, car s’il est bien monté, son père n’est pas très loin  de sa taille et pris ainsi, le chibre devait lui déchirer le conduit ; mais doucement il recommencé à bander, et lui guidant la queue , je l’ai à nouveau enfoncé dans ma chatte ; c’est mon homme qui menait le jeu, mais en moi, j’encaissais en parallèle, chaque coup de piston ; il n’a pas fallu longtemps pour que  mon homme se répande dans le fondement de son fils, puis se retirant, il lui a dit « tu vois moi aussi je peux être le maitre, maintenant fais la jouir » ce qui n’a pas tardé, lui me remplissant de sa jute, moi déclenchant un véritable flot de cyprine

Jusqu’à son départ, à la fin des vacances, j’ai été leur maitresse, le plus souvent d’ailleurs celle de mon beau-fils, lui appartenant totalement quand mon mari s’absentait, cédant à ses envies de m’offrir à son copain. Alors qu’il venait de me prendre, pour la dernière fois avant son départ, je lui annoncé que c’était terminé entre nous. C’étais sans compter de son côté un peu pervers, mais c’est une autre histoire

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