Wilma tire une nouvelle boule du sac de cuir.

— L’heureux élu est le numéro six ! Valéria, je vais maintenir l’amant de Grande-Louve en place, pendant que tu ira chercher le nouveau pour Petite-Louve.

Valéria quitte l’estrade avec le numéro treize. Wilma se retourne vers moi.

— Alors comment va ton cul, ma belle ? Toujours aussi comblé ?

— Je sens qu’il s’est dégonflé mais nous sommes encore bien collés l’un à l’autre.

— Quel effet cela te tait-il d’être prise comme une chienne ?

— C’est très dépravant, mais aussi très excitant ! Je ne suis pas sûre de prendre autant de plaisir avec les hommes désormais…

— C’est sûr que c’est tout de suite une autre dimension ! Bon, en attendant, je vais donc continuer mon histoire personnelle. Où en étais-je restée ?

— Je crois que nous étions à la troisième séance de l’initiation, celle où votre mère…

— Je t’ai déjà demandé de me tutoyer !

— Excuse-moi, mais ce n’est pas encore automatique. De plus, je me sens vraiment en position de soumission actuellement.

— Ce n’est pas faux. Fais comme bon comme il te semblera, après tout ! Effectivement, j’avais dû m’arrêter à la fois où elle s’est offerte devant moi au gardien du chenil. J’ai dû attendre encore un mois avant de passer à l’étape suivante.

— Ce devait être terrible d’attendre ainsi…

— Assez oui, j’avais beau me caresser plusieurs fois par jour je me sentais complètement frustrée. Un jour, j’ai tenté d’aller voir le gardien en cachette. Je me suis déshabillée afin de m’offrir à lui.

— Il a accepté ?

— Pas du tout, il a pris mes deux mains dans une de ses pognes et m’a tirée vers le mur pour m’attacher à un gros anneau de fer. Il est alors parti pour revenir quelques instants plus tard accompagné de ma mère. Celle-ci m’a alors traitée de salope, de traînée et autres noms peu recommandables.

Valéria revient avec le chien numéro six. Le chien semble être habitué à ce genre d’exercice car il monte ma jeune amie rapidement pour lui enfoncer son mandrin au plus profond du ventre.

— Petite-Louve commence à être bien ouverte maintenant. Les chiens n’ont plus vraiment de mal à trouver le vagin. Il est vrai que toi, Grande-Louve, ton anus sera sûrement de toute beauté.

— Pour en revenir à votre histoire, comment ta mère a pu t’insulter ainsi. Comme dépravée, elle donnait pourtant un fameux exemple !

— Oui, cela m’a toujours un peu étonnée. Elle semblait avoir des phases de chasteté absolue, à la limite de la bigoterie. Ensuite elle repartait de plus belle dans ses excès. Ce jour là, toutefois, c’était chasteté ! Elle a donc donné des instructions au gardien pour qu’il me donne la fessée sur le champ. Bien évidemment, en cas de récidive, la même punition devait s’appliquer. Ce jour là, je crois que j’ai vraiment eu des envies de meurtre !

— Quand même pas ?

— Si, je crois ! Je ne serais bien évidemment pas passé à l’acte. Mais pendant les dix jours qui ont suivi cet épisode, j’ai échafaudé divers plans aussi tordus les uns que les autres. J’avais imaginé châtrer le gardien par exemple ! Ainsi ma mère n’aurait pu profiter davantage de ses avantages. Oh, ton chien remue, il tente de sortir !

— Oui, Aïe ! Oh, il est encore gros. Mon Dieu, il me déchire l’anus !

— Son nud est en train de sortir, courage, ma belle !

Je souffre le martyre pendant que le chien progressivement extrait son sexe de mes intestins. À plusieurs reprises, je ne peux m’empêcher de hurler de douleur. C’est atroce ! Je pleure toutes les larmes de mon corps

Le chien se calme et redevient immobile. Wilma, se penche vers moi, m’embrasse sur la bouche et vient cueillir mes larmes avec sa langue.

— Allons, c’est bientôt fini, petite chienne. La prochaine fois c’est la bonne !

— C’est horrible, cette douleur. Plus jamais je ne veux recommencer cela !

— Allons, allons. Il ne faut jamais dire « plus jamais ! ».

Çà y est le chien recommence ! La douleur revient ! Et avec elle, les larmes et mes hurlements ! Quand il se libère enfin de mon cul, je ressens l’air froid qui entre dans mes intestins comme dans une cheminée.

Quelle sensation ! Je n’ose me relever de peur de perdre mes entrailles par le trou béant que j’imagine. Jamais, je n’ai connu une telle angoisse !

Je sens le chien venir me lécher la raie des fesses, j’ai l’impression que sa langue passe au travers de ma rondelle pour venir me lécher la muqueuse rectale. Voici qui est plus agréable !

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