Julia monta rapidement les marches et s?arrêta sur le palier pour tendre l?oreille. La maison était obscure mais ce n?était pas seulement les ténèbres qui l?effrayent, elle avait peur de ces voix qui venaient de la salle à manger ; peur de cette atmosphère qu?elle sentait tendue, sinon maléfique. Durant un mois, elle avait attendu une impatience presque puéril d?être de retour à Cuba ; pour elle c?est était comme revenir du foyer et elle était certaine que tout serait tel qu?elle l?avait quitté trois ans plus tôt. Mais dès l?ariivée dans ces îles qui avaient toujours évoqué pour des émeraudes serties dans une mer bleue. tout avait mal tourné.

Julie était si sûre, quand son père lui avait annoncé qu?il la ramenait chez eux, qu?elle serait de nouveau heureuse, qu?elle retrouverait le bonheur qu?elle avait connut pendant les années où elle avait vécu dans l?île magique ! En ce temps Cuba n?était habitée que par de gens souriants.

Pensait-elle. Par des dieux et déesses qui vivaient dans les montagnes, par des fées et des elfes qui couraient si vite parmi les muscadiers et les cocoties qu?on ne faisait que les entrevoir.

— Ce sera mereilleux d?être de retour à ma maison, dit Julie à son époux amèricain quand ils eurent laissé derrière eux les tempêtes de l? Atlantique.

La mer calme et lisse étincelait au soleil et les matelots dans le gréement chantaient des chansons qui rappelaient à Julie son enfance. Elle avait l8ans quand un homme d?affaire lui parlait lentement d?une voix solennele:

— Votre fortune, precisa-t-il, se réduit à l?héritage que vous a laissé votre grand-mère, et vous avez en tout et pour tout. Cent dollars de rente annuelle et vos bijoux personnels… Un long silence succéda à ces paroles; enfin Julie se risqua à demander d?une toute petite voix :

— Est-ce vraiment tout ?- Est-il nescessaire, Julie, de vous rappeler que, votre père ayant fait

banqueroute, tout ce qu?il possedait doit être partagé entre ses créanciers, pour les dédommager ?

— Vraiment tout ? ?tonna la jeune fille.

— Certes qui, ses imeubles avec tout ce qu?ils renferment y compris sa garde-robe, ainsi que la totalité de sa fortune.

— Cela me semble scandaleux….murmura Julie.

— Comment cela ’ Scandaleux ’ ? Se récria l?homme avec une surprise indignée.

Puis il se maîtrisa et poursuivit calmament :

— Eh bien ! Si vous vous jugez cela scandaleux, Julie, vous devez imaginer facilement le que nous pouvons penser, sa famille et moi…

Car enfin, nous avons une positions sociale d?une certaine importance.

Mais son echec fracassant est une leçon pour tous le joueurs imprudents, en affaires comme aux cartes, on ne doit pas prendre de risque. Quand on pense à tout le tapage publicitaire dont il s?entourait, à la manière ostentatoire dont il faisait étalage de sa fortune colossale….Julie reste silencieuse, trop éprouvée. Depuis deux semaines par les événements qui venaient de bouleverser son existence, elle était incapable de trouver des arguments por défendre la mémoire de son père.

Bien évidement, jamais il n?avait souhaité une telle tragédie; mais il s?était dérobé devant l?adversité, et, au lieu de faire face aux événements, il s?était suicidé après avoir écrit quelques mots de regret à l?intention de ceux que leur confiance en lui avait ruiné, et une longue lettre pour sa fille. Julie séjournait à capital Havana lors qu?elle avait reçu un télégramme laconique : ’ Rentrez de toute urgence par la maison’.

Pour commancer, Julie alla vivre chez un coussin plus agé à S?o Francisco EUA. Il la mit la page pour ce qui touchait au sexe, à la drogue et au rock?n roll. Puis la laissa se débrouiller, elle-même avec ce qu?elle avait en main. Avide de découvrir, elle experimenta tout un éventail de gagne-pain, depuis le travail de serveuse jusqu?à la fabrication de bijoux d?argent qu?elle vendait dans la rue.

Puis elle rencontra un musicien de rock qui la catéchisa sur l?Inde et la méditation. Leur itinéraire les conduit à pune, aux pieds du vénéré gourou Rajneesh. Julie se laissa plus vite que son compagnon et repartit seule pour Londres, où elle s?installa à Liverpool chez des amis. Pendant quelque temps, elle gravita dans un milieu de photographes, manequins, écrivains puis, un beau jour, mit le cap sur Neew York en compagnie d?un journaliste gauchisant. Là, elle se consagra à ce qui, au bout du compte, l?interessait par-dessus tout; la plume. Julie tarda guère à se faire un nom et à obtenir une page attirée dans une revue d?avant-garde.Estelle, s’est habillée d’une façon très sexy. C’est une jeune femme brune, fine aux yeux bleus. . Julie est splendidement maquillée, une déesse d’une sophistication raffinée : un maquillage simple mais savant, jouant sur le contraste de la pâleur de sa peau et de l’intensité de son regard bleu.elle avait remonté ses longs cheveux noirs et laissait ainsi apparaître son cou sur lequel reposait magnifiquement un saut de cou étincellent, en diamant.Il faut dire qu’il y a longtemps que j’avais remarqué ses jolis pieds, souvent décorés de petits anneaux aux doigts de pieds. Au diable la peur, elle rajoute finalement du piquant à la situation.

Elle alla jusqu?à fameuse discothéque ’ Studuio 54’ de New York. Dans l’entrée en marbre et recouverte de tapis somptueux, plusieurs couples enlacés et presque nus donnent le ton de la soirée.une piste de danse, un éclairage tamisé, des buffets, des boissons. Mais la comparaison s’arrête là. Le mobilier de la pièce est superbe, mélangeant moderne et ancien ; des tableaux modernes au murs, à ce que je peux en apercevoir malgré la manque de lumière. Ca fait riche.La discothèque était bondée. Des éclairs de couleurs zébraient l’obscurité. La musique assourdissante, aux rythmes déchaînés, emplissait la pièce. Les corps se disloquaient sur la piste. Le bar, seul refuge dans cette mer démontée, disparaissait derrière un rempart de clients assoiffés. Les tee-shirts mouillés collaient à la peau. La climatisation était vaincue.

Julie ne regrettait pas d’être là. C’était la première fois qu’elle venait danser seule, en soirée, dans ce lieu.

Des gens dansent. Peut-être une vingtaine de femmes, jeunes et dévêtues pour la plupart, balancent leur corps au rythme lent d’une musique électronique envoûtante. Quelques hommes dansent parmi elles, certains nus, d’autre en smoking. Quelques danseurs ce frottent entre eux, je vois un groupe composé de trois femmes et d’un homme agités plus par les rythmes de leur désir que par ceux de la musique.

Mais l’action se passe sur les franges de la pièces. Des couples, des trios et des assemblages incertains des deux sexes sont engagés dans des corps à corps passionnés. elle bande. Julie traverse la pièce distraitement, ne savant où donner du regard. Toutes les femmes sont splendides, jeunes pour la plupart. Les hommes sont tous beaux. J’entends des soupirs et des halètements. Des groupes font l’amour à six ou sept, je vois des hommes se masser et des femmes se lécher, tous semble surréel.L’ambiance devenait de plus en plus chaude, la pudeur n’existait plus dans cette discothèque.Le patron de la boite lui offrit le champagne.

Elle savait qu’il la verrait danser et cette perspective lui plaisait. Elle sentait sur elle les regards des garçons; elle se savait belle et désirable.

Elle était ravissante et tellement sexy. Elle aimait les frôler lors des mouvements qu’elle provoquait au rythme de la musique. La musique est forte et entraînante. Quel spectacle ! Maintenant ses cheveux longs virevoltent dans tous les sens. Ses petits seins bondissent en suivant la cadence. Ses fesses se trémoussent au rythme endiablé de la musique.

Incroyable, c’était incroyable. Julie commençait une danse langoureuse afin d’exciter trois mâles. De plus avec la lumière et sa robe on pouvait deviner les formes de son corps. Cet instant avait quelque chose de très sensuel. Julie continuait son petit jeu de femme en chaleur.

Elle traversa à petits pas le salon en serrant les cuisses, car elle avait l’impression d’être nue sous une robe transparente, et que tous les hommes reluquaient son minou rose sombre et sa toison frisée. Elle se dirigea vers les toilettes collectives. Rapidement, faisant face au grand miroir, Julie aspira avidement une deuxième dose de cocaïne.Alors elle tourna vers les deux mecs. Il paraît que je suis la meilleure suceuse de la région. Une bonne centaine de types me l?on dit. Et tu veux savoir pourquoi, mes mecs ?

Parce que j?y prends du plaisir. Elle ôta la robe at avança vers eux, nue, bronzée, perchée sur ses talons aiguilles. Elle ouvrit la bouche et remue la langue de façon obscène.

— Ah. mec………laisse moi te sucer……….Allez viens………..

Le plus grand lui dit alors :

— Viens me sucer maintenant !

— Vas-y ma belle, fais nous voir de quoi tu es capable pour nous exciter.

Elle arriva et se mit à genou devant lui. Elle sourit et avec sa langue commença à lui sucer le gland très lentement. Comme une pro, elle lui titillait le sexe. Les yeux du type étaient fermés et il devait apprécier le traitement. Son copain dit alors :

— Et ma belle, tu oublies quelque chose.

Elle se tourna vers lui pour lui administrer le même traitement de faveur.

Celui qui venait de se faire abandonner se leva et se plaça derrière elle.

Il commença à passer une main entre ses cuisses. Julie en train d’administrer une fellation de grande classe ou bien le type en train de la

branler. Toujours est-il, quelle ne restait pas insensible à ses caresses.

Elle remuait sérieusement du cul et commençait à gémir. Le type en train de la branler dit alors :

— Quelle belle garce et quel cul ! Tu veux que je te baise maintenant ?

Continue à sucer mon copain et moi je vais de défoncer la chatte, tu veux ?

— Oui. Baise-moi à fond. Vas-y. Je veux te sentir au fond de moi. Vas-y !

Avec sa main, il guida sa bite et l’enfonça dans le sexe de Julie qui céda immédiatement.

— Hummmmm

Elle cria son bonheur et il la lima. Après plusieurs va et vient, je la vis jouir et il continua à aller et venir dedans. Il sortit et jouit sur ses reins. Alors il dit à son copain :

— Quitte à la baiser, on va le faire jusqu’au bout. Lève la pour quelle vienne s’enfiler sur ma bite.

— T’as entendu répondit ce dernier, mon copain veut aussi sa part de ton cul. Retourne toi et va de faire baiser.

Dans un état second, elle se leva, se retourna de manière à présenter son cul au type assis et avec sa main lui prit la bite et s’abaissa pour guider ce sexe directement dans le sien. Au moment où ce sexe la pénétra, elle gémit fort car elle voulait encore jouir. Elle se lavait et s’abaissait de manière que cette bite la pénètre bien à fond et elle réussit à se faire jouir comme ça.

— Et bien, quelle salope dit le type devant elle, elle se fait jouir comme une garce avec ton sexe.

Ensuite, il approcha sa langue et commença à la sucer. Les cuisses de Julie étaient bien écarter de cette manière son clitoris était facilement accessible. Elle était enfilée par un mec (assise sur lui), jambes écartées et en train de se faire sucer par un autre. Incroyable. Et elle en voulait encore. Le type qui la pénétrait dit alors :

— Maintenant je vais t’enculer.

— Non dit-elle

— Si, si tu vas voir

— Quelle salope, vas-y, encule là cette pute

— Oui, je vais la défoncer

Il sortit sa bite et avec sa main la guida jusqu’à son petit trou. L’autre continuait à s’occuper de son clitoris. Le sexe de l’homme commençait son travail de pénétration lente. Julie se mit à crier :

— Oh oui, putain c’est bon ! Oh ! Ohhhhhh ! C’est ça défoncez moi ! Oui !

Finalement, il s’enfonça. Je voyais un sexe dans le cul de Julie et une langue en train de la sucer. Elle repartait prise par le plaisir car en plus de sa langue le type la pénétrait avec ses doigts.

— Caresse mon petit bouton. oui, juste là, fait des mouvements circulaires.ohhhhhh. t’arrêtes pas, oui. oui. ouiiiii.

Elle jouissait encore une fois avec une bite dans le cul, des doigts dans son sexe et une langue sur son clitoris. Le mec lâcha son sperme dans son cul, je le vis à son visage.

— Hummm. Ouiiiiii, je jouis. ahhhhh. je vais devenir folle.

Elle s’étend quelques instants sur la banquette pendant que ses deux partenaires reprennent leur souffle.

Julie se lève, s’est rhabillé, et sort de les toilettes. Et aujourd’hui, si elle est mariée et s’entends si bien sexuellement avec son époux millionnaire….

Fin

Ici, S?o Paulo – Brésil

?crivez-moi [email protected]

Ivan

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