Avec un peu de retard, voici la suite de mon récit.

Au matin je fus réveillé par un sursaut. Je me tourna dans mon lit en pensant y trouver ma sour, mais il n’y avait personne. Aucune trace d’elle.. !! Avais-je rêvé ? Pourtant tout ce qui c’était passé cette nuit m’avait semblé tellement vrai. Ma sour dans mon lit, nos caresses., ses seins…, son sexe.. ! Était ce encore un de ces rêves érotiques ? Un merveilleux cette fois ci, et puis très réaliste. Cependant il y avait tout de même quelque chose de différent. Comme souvent de ce genre de rêve je jouie. J’en avais souvenir, mais je ne trouvais aucune trace de ma semence. Je regarda sur les draps, dans mon caleçon, rien. Il y avait juste le mouchoir en papier dans lequel j’avais joui la veille et rien d’autre ! Un vrai Mystère… ???

Je me leva, pris une rapide douche. Puis descendis à la cuisine pour prendre le petit déjeuné. Mes parents étaient là avec ma sour autour de la table.

« Alors ? bien dormi ? » me demanda-t-elle avec un léger sourire.

« Oui » lui répondis-je «Mais pas assez. Et toi ? »

« Bien, quoique un peu agiter ».

Nous discutâmes de choses et d’autres, sur le programme de notre journée. Ma sour ne fit aucun signe ou allusion de ce qui me semblait s’être passé entre nous durant la nuit. J’avais bien rêvé. Je débarrassa la table, et monta dans ma chambre pour y travailler.

En fin de matinée ma sour vint dans ma chambre :

-« Tout va bien ?

Ton travail avance comme tu veux ? »

-« Pour l’instant, ça va, je te remercie »

-« Parfait. Si tu as besoin de mon aide, n’hésite pas »

-« d’accord ».

Après un petit silence elle repris :

-« heu.. !!! Je voulais aussi te remercier pour cette nuit, c’était super »

Puis elle s’en alla aussitôt en refermant la porte.

Cette dernière phrase fit comme un éclair dans ma tête. Je restais immobile quelques instant. Le mystère venait de se lever, je n’avais donc pas rêvé. Ce qui c’était passé entre elle et moi était bien réel. Un peu déconcerté, j’eu du mal à reprendre mon travail. L’heure du déjeuner arriva. L’après midi se passa tranquillement. Je n’arrêtais pas de penser sur ce qui c’était passé, et espérais que la nuit prochaine serait à l’identique. La nuit venue j’attendis impatiemment ma sour. Hélas elle n’est pas venue.

Le lendemain soir, il y avait un mot sous mon oreiller. C’était l’écriture de ma sour. Il y avait écrit ceci : « si tu veux, viens me rejoindre cette nuit » avec un cour dessiné en bas. En voilà une proposition. Rien qu’à sa lecture, je me suis mis à bander. Impatiemment j’attendis que nos parents aillent se coucher. Une demi-heure après je sortie de ma chambre pour rejoindre celle d’accoté, celle de ma sour. Elle m’attendait et m’accueillie avec un grand sourire que je lui rendis aussitôt. Elle ouvrit les draps m’invitant ainsi à la rejoindre. Elle était déjà nue. J’enleva mon caleçon lui dévoilant ainsi mon sexe bien dressé, ce qui ne pouvait pas, biensur, lui échapper.

-« il a l’air en pleine forme ce soir ! »

Je m’allongea à coté d’elle et rabattue les draps sur nous.

Nous nous regardâmes un instant comme pour être certain de ce que nous allions faire.

Elle pris alors mon sexe dans sa main et commença à le caresser, à me masturber. J’entrepris également des caresses en commençant par ses seins qui étaient tout dure. Je les malaxa quelques instant. Puis elle me dit d’aller plus bas, sur son sexe. J’obtempéra et dirigea ma main vers son sexe. Il était tout humide et chaud. Elle était tout aussi excitée que moi. Je n’eus pas de mal à trouver son clitoris. Je le malaxais avec l’indexe. Elle me demanda de mettre un doigt. Je quitta son petit bouton et lui introduit un doigt que je fit tourner doucement dans son vagin tout mouillé. Elle me dit de mettre un deuxième. Cela rentrait sans aucun problème, elle était tellement lubrifiée. Après quelques instants, elle se mis a califourchon sur moi. J’avais une magnifique vue sur ses seins que je m’empressa de les lui caresser. Elle fit de petit mouvement de bassin pour frotter son sexe contre le mien. Puis elle se leva un peu, pris mon sexe dans une main et le frotta contre sa vulve, ses lèvres, lubrifiant ainsi mon gland. Cela était très agréable. Avec de tels frottements je senti le plaisir monter en moi. Je lui fit signe d’arrêter mais trop tard. De puissant giclé de sperme sortir de ma verge. Je pensait que nous allions en rester la. Elle pris un mouchoir et m’essuya.

Ma sour s’allongea à coté de moi et me caressa le torse. De mon coté, je repris mon travail de caresses sur son sexe. Maintenant c’était à mon tour de la faire jouir par mes caresses. Je fit rouler son clitoris sous mes doits, lui caressa les seins. Elle était aussi très excitée, son sexe était totalement trempé. J’entendis sa respiration se faire plus courte puis me demanda de ne pas m’arrêter. Elle se mordit les lèvres, se cambra tout en me serrant le bras. Elle me fit alors un grand sourire pour me remercier. C’est alors que quelqu’un frappa à la porte.

Zut !!!! Les parents. Nous nous regardâmes. Il ne faudrait pas qu’ils trouvent ainsi…

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