Enfin je retrouve ma jeune anglaise. Nous sommes aussitôt dans le bain: elle ne porte qu’un robe mini, ultra courte, montrant la moitié de ses fesses. Nous pouvons baiser: sa mère a rendez vous chez une esthéticienne pour se faire la maillot. Nous sommes attablés à la terrasse d’un bistro de plage, comme il en existe des milliers en France. Mais voilà il n’existe qu’une seule anglaise aussi torride. Elle s’assoit de façon à ce que ses jambes sont bien vues de l’extérieur pour que tout le monde profite de la vue sur sa moule qui bien sur n’est même pas couverte. Je suis à ses cotés: je me contente pour le moment de regarder la mine des gens qui la regardent: des yeux d’envie des hommes, de certaine femme qui doivent admirer sa légèreté ou dégoûté pour d’autres choquées de voir un sexe féminin, comme si elle ne se servaient jamais du leur. Pour allumer encore un peu plus le désir toujours fréquent pour son bien être, elle écarte bien les cuisses pour passer sa main entre elles et aller se caresser son trésor je vois son bras s’agiter de plus en plus vite. Je la vois quand elle met sa tête en arrière: elle vient de jouir. Réjouie de ce résultat qui a été le spectacle de nombreux passant, elle pose une main sur ma braguette. Elle en défait la fermeture éclair et arrive à sortit ma bite. Elle le prend à pleine main et toujours agile dans ce genre de chose elle me branle.
Je ne cherche même pas à arrêter ses mouvement: elle masturbe si bien que je la laisse aller jusqu’au bout. Au moment de mon orgasme elle penche pour tout avaler. Elle fait passer mon sperme avec une gorgée de Martini. Je ne sais pas combien de personne ont pu voir ma queue se faire branler. Je m’en fous: la police n’est pas là pour me verbaliser.
Nous nous éloignons un peu de la plage pour aller tirer un coup. Pour elle la limite n’est qu’à une cinquantaine de mètre. Elle enlève ce qu’elle appelle robe: vient sur moi pour m’embrasser: sa langue rentre dans ma bouche: je sens encore le goût de ma semence sur sa langue. Comme la dernière fois elle vient sur moi. Je ne pari plus sur le choix de l’endroit où elle va loger ma pine. J’ai eu tort: j’aurai gagné: elle se mouille l’anus, s’assoie sur moi, lentement pour faire durer le plaisir de la pénétration. Quand elle a bien "avalé" ma queue, elle reste un tout petit moment sans bouger: elle profite de l’instant. Enfin elle commence à danser sur mon bas ventre: je regarde bien sur. Ma bite rentre et sort au gré des humeurs de celle qu’elle encule. Je remonte un peu les jambe pour qu’il s’y appuie: je lui sert de dossier. Elle en profite. Je sens son dos contre mes jambes. Elle est plus libre pour se servir de ses mains: avec la gauche elle écarte ses lèvres intimes et avec la droite elle se caresse le clitoris.
Elle a des allers et venues compliqués, jamais égaux. Et pourtant elle se fait jouir plusieurs fois, orgasme que je ressens toujours autour de ma bite quand son anus se serre et se desserre en cadence. Au bout d’une bonne demi-heure je n’en peux plus: je jouis dans ce noble cul. Elle abandonne ma bite pour se coucher sur le dos, la tête sur mon ventre pas trop loin de mon sexe, ses mains s’occupe encore de sa fente. Elle ne se caresse pas le clitoris; elle se doigte maintenant avec ardeur. Elle s’est mise trois doigts réunis. Elle se sert de ses deux mains. La gauche sert uniquement pour aider la droite à bien se faire mettre.
L’heure tourne: la mère doit en avoir fini. Nous retournons à l’hôtel. Sans frapper la fille entre. Elle m’entraîne à sa suite: sa mère nue sur le lit se caresse le bas ventre sur lequel est posé un double gode. Elle nous regarde gentiment avec un regard plus accentué vers sa fille qui comprend ce qu’elle veut. Elle enlève sa robe, se couche à coté de sa mère, l’embrasse sur la bouche longuement. Ses mains sont sur les seins maternels. Elle a l’habitude de peloter sa mère. Elle prend le gode, se contente de le sucer un peu avant d’en mettre une extrémité dans le vagin, l’endroit d’où elle est sortie. Elle le rentre très lentement avant d’aller de plus en plus vite. Pendant qu’elle baise sa mère, je bande: je remarque que ses fesses sont vers moi. Je n’hésite pas une seconde je vais la lui mettre dans le con. Comme ça, vite fait, sans l’avoir même caresser. Je rentre en force. Elle pousse un cri de surprise. J’ai besoin l’avilir un peu. Je remplace ses lèvres sur la bouche de sa mère par les miennes. Nos langues se reconnaissent bien: les baisers de la mères son bien meilleurs que ceux de la fille qui doit se contenter de sucer un téton. Mais la mère tient absolument a baiser avec sa fille. Je jouis donc dans le réceptacle de la fille. Enfin libre elle installe sa mère sur le dos, va mettre ses fesses pas loin de celle de sa mère. Elle enfourne le gode dans le con maternel avant d’en mettre une autre partie dans son con. Elle tient le milieu du gode: elle le fait aller et venir, comme une bite. Je ne tient plus: je m’approche et enjambe près de la bouche madame, la lui fait ouvrir pour y loger le bout de ma queue. Elle en avale la moitié. Sa langue entoure mon gland avant de me sucer totalement. Elle le fait tellement bien que je jouis. Elle déguste comme à chaque fois ma liqueur. Elle me garde en bouche. Je sens qu’elle jouis quand ses dents me mordent légèrement entraînant chez moi une autre érection. Je regarde les mouvements de la fille qui change d’orifices: elle commence à enfiler sa mère avant de se mettre le gode dans l’anus.
Je me demande comment font dans la vie de tout les jours ces deux femelles. Elles ne se baisent quand même pas tous les jours ensemble: que la mère ne veuille plus d’homme depuis son veuvage, je le comprend, mais que la fille n’ai pas un amant me sidère.
Elles arrêtent de se baiser. Elles prennent un instant de repos. Je questionne la fille: elle a un petit ami qui baise très bien et aussi une amie avec qui elle partage son ami et sa mère. Je me doute que les nuits britanniques doivent être agitées avec trois filles chaudes et un pauvre garçon obligé de baiser trois autres femmes. C’est pourtant ainsi qu’elles aiment baiser ensemble.
Je suis l’exception puisque je me contente de deux nanas. Du coup je suis à nouveau en érection: je m’imagine au milieu de ses filles folles de jouissance.
Cette fois la mère et la fille se dispute ma bite: elle la veulent dans leur ventre toutes les deux. Je ne peux pas la découper j’enfile la mère avant la fille que je masturbe en la doigtant. Elles jouissent très vite, de plus en plus vite après chaque orgasme? J’en profite pour changer de vagin. La fille se contente des reste de sa mère: la mère se contente de mes doigts réunis.
La mauvaise nouvelle arrive juste après notre dernière prestation: il faut qu’elles partent ce soir. Je leur demande si elles vont se branler en train: bien sur c’est très excitant surtout si on ne ferme pas les porte des toilettes.
Cette nuit je sens que je vais me branler en les imaginant toutes les deux dans lespace restreint des toilette se faisait mutuellement reluire, avec un homme qui jouis sur elles.