Max, un jeune soldat d’une vingtaine d’années, était en train de se réveiller faiblement, l’esprit complètement embrouillé en tentant de se remémorer ce qu’il s’était passé. Il se souvenait être parti avec un commando en territoire ennemi, et ensuite… plus rien. En essayant de bouger, il prit conscience qu’il était sur une chaise en bois avec chaque jambe attachée par des cordes aux pieds de la chaise et ses mains ligotées ensemble au dos de la chaise. La pièce où il se trouvait était grande mais très sombre, avec une unique porte à quelques mètres de lui.
En se débattant inutilement, il remarqua qu’il n’était vêtu que d’un T-shirt blanc et d’une sorte de caleçon en latex moulant. Après une bonne dizaine de minutes à se débattre, Max commença à prendre peur. Qu’allait-il lui arriver maintenant qu’il s’était sûrement fait capturer par l’ennemi ? Y avait-il seulement quelqu’un à sa recherche ? Alors qu’il commençait à se morfondre, la porte s’ouvrit dans un grincement en même temps que s’allumaient des dizaines de néons au-dessus de lui, le forçant à fermer les yeux pendant plusieurs secondes.
— Alors c’est donc toi le nouveau prisonnier ? dit une voix féminine légèrement moqueuse.
Quand le soldat ouvrit les yeux, il resta un instant complètement abasourdi: dire que la femme qui avait prononcé ses mots était pulpeuse aurait été un euphémisme. C’était une femme assez grande avec des cheveux soyeux qui descendait jusque dans son dos et qui portait des talons hauts noirs qui mettaient parfaitement en valeur une paire de fesses ferme et ronde. Mais elle était surtout vêtue d’une combinaison latex moulante qui partait de ses cuisses sexy jusqu’à son cou et qui semblait trop petite car elle lui serrait et comprimait énormément ce que Max devinait être la plus généreuse poitrine qu’il avait jamais vue. Il y avait également une fermeture éclaire remonté à son maximum qui descendait de ses seins rebondis jusqu’à son son entrejambe.
Voyant le prisonnier bouche bée devant sa beauté, la femme émit un petit rire et souleva sa paire de seins et les malaxa lentement tout en se penchant légèrement en avant, permettant à Max de mieux contempler la forme de sa poitrine sous le latex.
Reprenant un peu de contenance, Max détourna les yeux de ce concentré d’érotisme, mais il se sentait maintenant un peu à l’étroit étroit dans son caleçon. Il aurait aimé fermer les jambes pour quelle ne s’en aperçoive pas, mais il était trop bien attaché.
— Où suis-je ? Où sont mes amis ? Et que me veux-tu ? lança-t-il à la femme qui était maintenant légèrement cambrée du fait de ses talons avec sa main droite posée sur sa hanche.
— Crois-moi je ne te veux aucun mal, bien au contraire, répondit-elle tout en se rapprochant de Max.
Elle avançait avec une démarche enivrante, adoptant un déhanché qui sublimait ses fesses à chaque pas et faisait légèrement rebondir sa sublime poitrine.
Arrivée à Max, elle positionna ses deux jambes des deux côtés de la chaise, son entrejambe se trouvant maintenant juste au-dessus de son caleçon. Étant à la limite du contact physique et toujours debout, Max devait lever la tête pour la regarder, l’obligeant malicieusement à regarder le haut de son corps de rêve. En essayant de se concentrer sur ses yeux et non sa poitrine rebondie, Max répéta, légèrement rouge:
— Que me veux-tu ? Si tu es venu m’interroger, tu perds ton temps, je ne dirais rien !, dit-il en essayant de calmer son début d’érection.
La femme rigola.
— Rassure-toi je ne suis pas venu t’interroger, je suis venu… m’exercer, dit-elle en s’asseyant sur Max.
Elle se cambra encore plus qu’avant, ses tétons moulés effleuraient maintenant le T-shirt du soldat. Terriblement excité, Max espérait qu’elle ne sentait pas son pénis à moitié dur qui cognait contre l’arrière de ses fesses.
— T’exercer ? Quest-ce que tu veux dire paaaaa…
Il ne put pas finir sa phrase, car au même moment la femme avait saisi avec ses ongles fins la fermeture et l’ouvrait lentement, révélant sa poitrine à un Max médusé. Comme il le pensait, sa tenue moulante était trop petite car plus elle révélait ses seins plus ils semblaient grossir, comme s’ils tentaient de s’échapper vers l’extérieur. Elle arrêta la fermeture juste en dessous de son nombril, et plaça ses mains sur l’arrière de la tête du prisonnier. Max, qui avait contemplé ses seins à moitié découverts pendant plusieurs instants, repris le contrôle de son esprit et lança:
— Tu crois que je ne vois pas ce que tu essaies de faire ? Jamais je ne succomberais à tes charmes, sale traînée !
La femme sourit et tout en rapprochant la tête de Max avec ses mains, elle se cambra d’un coup sec, faisant sauter sur les côtés le latex qui recouvrait encore ses seins et se faisant dévoila son entière poitrine à Max. Ils étaient encore plus gros qu’il se les imaginait, et semblaient pourtant ne pas être concernés par la gravité avec leurs tétons pointés sur Max.
Alors que Max laissa échapper un cri de stupéfaction et de plaisir, son pénis se dressa d’un bond, rentrant légèrement dans la fente des fesses de sa plantureuse geôlière. Elle commença alors à jouer avec sa poitrine, malaxant ses seins et se touchant les tétons devant le visage de Max.
— Uh uh, ton corps et ton esprit sont en désaccord, et si je demandais à ta chose ce qu’elle en pense ? murmura-t-elle en attrapant fermement le pénis de Max à travers son caleçon-latex.
« AhahahA » gémit Max en relevant la tête sous le coup du plaisir. Il sentait chaque pression de sa main sur son sexe, lui procurant une sensation de chaleur qui commençait à lui faire perdre la tête. Tout en malaxant le sexe du malheureux comme elle malaxerait de la pâte à modeler, elle redemanda:
— Tu prétends toujours que tu n’en as pas envie ? Allez, dis-le, tu rêves de le faire avec une déesse comme moi !
— Non, non… jamais, jamais je ne dirai, haleta Max en secouant la tête.
La dominatrice cessa subitement son massage, prit le visage chaud et toujours haletant du pauvre, et l’obligea à regarder de nouveau sa poitrine, le rendant tout rouge. Elle poussa alors son visage dans l’espace entre ses seins et les comprima avec ses avant-bras pour accentuer le plaisir. Lentement, puis de plus en plus vite, elle fit des allées et venues avec ses fesses contre son pénis, mimant l’acte sexuel. Tout en accentuant l’intensité du frottement, elle augmenta également la pression de la tête de Max contre son corps et poussait continuellement de petits gémissements qui visaient à le faire fondre de plaisir. Tout en gémissant, elle lançait à intervalles réguliers des petits: « dis-le ! ». Au bout de plusieurs minutes de cet effort, en nage, elle s’arrêta et enleva la tête du prisonnier de sa poitrine pleine de sueur. Max était lui aussi en nage, encore plus haletant qu’avant et un filet de bave s’échappait de sa bouche ouverte.
— Oui ! Oui je veux le faire ! Je t’en prie, continu ! Fais-moi jouir ! Mon pénis, il tremble…
La dominatrice adorait ce moment. Elle sourit, remua ses ongles longs et sensuels devant son visage, et arracha le caleçon de Max avec ses mains. Max, totalement submergé par l’excitation, remuait légèrement son pénis brûlant et attendait qu’elle le mette en elle. La femme rigola, embrassa le prisonnier sur le front et poussa brutalement la chaise, le faisant tomber à la renverse. Toujours incapable de bouger ses membres et les jambes en l’air, Max s’écria:
— Quoi, quest-ce que tu fais ?
La tête tournée vers le haut, il vit s’approcher la femme fatale et put observer à l’envers son corps devenu encore plus sexy par la sueur ruisselant sur le latex, le haut du corps toujours dévoilé.
Quand elle fut pile au-dessus de lui, la vision dans le même axe de ses seins ronds et de son entrejambe où quelques perles de sueur tombaient lui fit l’effet d’une bombe. Du présperme commença à s’échapper de son sexe et son corps se mit à trembler. La femme enleva lentement un de ses talons et tout en approchant son pied du pénis de Max elle lança:
— Tu croyais vraiment pouvoir accéder à ça ? dit-elle tout en se frottant l’entrejambe avec sa main. Tu es bien naïf, la seule partie de mon corps que j’accepte que ta chose touche, c’est…
Elle agita ses orteils à quelques millimètres de son pénis.
— Mon pied !
— AhahahAhhaa ! s’écria Max quand son pied commença à frotter énergiquement son pénis
— Ouiii, c’est bon !
Max gigotait dans tous les sens, totalement dépassé par le plaisir que lui procurait ce pied.
— Ahaha, regarde-toi ! taquina la dominatrice. Tu dois vraiment aimer ça pas vrai ? La plante de mon pied est recouverte de présperme. Tu veux jouir ? Allez, vas-y, jouis, JOUIS ! cria-t-elle.
Max, qui sentait venir le meilleur orgasme de sa vie, gémi misérablement, sentant de nouveau cette sensation de chaleur qui démarrait de son pénis, parcourait son ventre et allait jusqu’à son cerveau, il allait jouir, il allait jouir… AH !
Subitement le pied quitta son pénis, le laissant dans un état de frustration phénoménale. Son pénis était pris de spasmes incontrôlables et dégoulinant de présperme. Une seule pression, un seul frôlement, même de sa part, suffirait à le faire éjaculer.
— Non, non, continu, pitié! supplia-t-il.
Cette fois la femme rit à gorge déployée.
— Tu croyais vraiment que j’allais te faire jouir ? N’oublie pas que tu n’es qu’un prisonnier, je ne fais que jouer avec toi. Dit-elle entre deux rires.
Elle tourna alors les talons, se dirigeant vers la porte avec la même démarche sexy qu’au début, permettant à Max d’admirer entièrement son cul parfaitement dessiné, avec le latex lui rentrant entre les deux fesses. Arrivée à la porte, elle tourna la tête vers Max, et en voyant ses yeux de chien battu, elle décida de le taquiner une dernière fois en agitant son postérieur vers lui et en plongeant un doigt dans la fente de ses fesses. Elle rigola de nouveau et lança:
— Au fait, je m’appelle Miratsoviki, mais toi tu peux m’appeler Maîtresse Mira, à plus ! dit-elle en fermant la porte, laissant au sol un Max en sueur et totalement frustré.
La suite au chapitre 2 ;)