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Les dépravations de maria – Chapitre 8




MA FEMME AU DESSERT (1ere partie)

Ce soir là, Maria et moi avions décidé de suivre une invitation et d’aller dîner dans un restaurant très select et très chic et surtout où personne ne nous connaissait.

Durant le trajet en voiture, Maria avait plaisanté sur le coté secret de notre destination. Sur l’invitation que nous avions reçu, il était précisé que nous devions être masqués avant de pénétrer dans la salle où devait se dérouler le dîner…mais le petit carton ne contenait aucune précision sur le thème de la soirée.

Je dois reconnaître que cela me mettait dans un état étrange où se mêlait le désir fou de l’inconnu et l’appréhension de ce même inconnu.

Maria me taquinait en imaginant les choses les plus saugrenues et les plus osées. Mais je voyais au creux de sa poitrine des légères contractions et d’imperceptibles frémissements qui trahissaient son état. Elle aussi était nerveuse et excitée par l’étrangeté de cette invitation. D’ailleurs, elle avait le ton rauque et la voix grave et chaude comme un souffle de foène.

Quand elle s’était vêtu, tout à l’heure à l’hôtel, elle avait commandé une bouteille de champagne pour ? bien commencé la soirée ?.

Elle avait effectivement bien commencé !

Nous avions vidé le nectar, modérément pour moi, mais Maria s’était laissé aller à sa boisson favorite et son regard pétillait déjà de sensualité.

Elle regardait à travers la vitre de la voiture les bandes blanches qui défilaient sur les bords de la route en réfléchissant les brillances de la pleine lune.

Je la regardais furtivement. Elle était vêtue sobrement, une robe noire, longue et très collée à son corps, boutonnée sur le devant par une brillante et délicieuse rangée de boutons nacrés. Je n’avais pas vu ce qu’elle avait mis en dessous et m’en réservait la surprise pour plus tard.

Dans la pénombre, je n’apercevais d’elle que ses longs cheveux noirs, les boutons qui enfermaient son corps et les escarpins noirs qui terminaient ses longues jambes gainées de noir. Je me posais, bien sur, la question de ses jambes, justement ! Avait-elle mis des bas ou des collants ? Ce détail aussi, je m’en réservait la surprise pour la suite de la nuit.

Perdu dans mes pensées et dans la contemplation furtive du corps habillé de ma femme, je ne m’était pas aperçu que notre destination approchait. Un bâtiment tout en pierre se dessinait à la lumière des phares. Sur le parking, il y avait deux autres automobiles de grosses cylindrées.

En montant les quelques marches de l’imposant perron qui menait dans la salle de restaurant, je m’extasiais une énième fois sur les hanches de ma femme…des hanches larges et biens dessinées…des hanches faites pour être caressées…des hanches faites pour l’acte d’amour. Maria devait sentir mon regard car elle exagérait sa démarche ondulante et la cambrures de ses reins, là où le dos ressemble à la lune. Elle ressemblait à une panthère noire qui semblait à peine toucher le sol de ses hauts talons, comme des griffes brillantes.

Nous sommes entré dans un espace feutré avec de grandes tables en bois recouvertes de nappes noires et de grands chandeliers où coulait la cire rouge des bougies.

Maria avait mis son loup rouge avant d’aller plus avant. Le masque qu’elle avait choisi pour la circonstance recouvrait à peine son visage et lui donnait ainsi un air mystérieux et terriblement sensuel.

Elle se dirigeait vers une table au centre de la salle, comme si elle voulait retenir toute l’attention, comme si elle voulait occuper l’espace tout entier. Il y avait là, proche de nous, deux hommes qui entamaient leur repas et un couple un peu plus au fond. Tous était également masqués de parures diverses. C’était l’originalité du restaurant…la discrétion la plus absolue qui présageait certainement de liaisons furtives et perverses.

Maria me fit part de sa surprise avec un regard amusé et pétillant. Elle m’avoua que la discrétion de cet endroit mystérieux réveillait en elle des sens inconnus jusque là.

Je lui répondis que cette atmosphère me plaisait beaucoup également.

Avant de commander le dîner, Maria avait demandé une bouteille de champagne ? pour continuer sur la bonne voie ? avait-elle précisé.

Depuis notre entrée, j’avais remarqué que l’allure de Maria avait accroché le regard des deux hommes qui dînaient prés de nous, à moins de trois mètres. Ils parlaient à voix basses et je ne pouvais entendre ce qu’ils se disaient. Maria avait aussi remarqué le trouble qu’elle avait jeté, volontairement ou non, sur nos voisins.

— ? Tu as vu les deux hommes à coté, lui dis-je dans un murmure, ils n’arrêtent pas de te regarder ! ?

— ? Bien sur, me répondit Maria ! Et je me sent tout à fait d’humeur à jouer le jeu avec eux ?.

Elle était sure d’elle-même en prononçant ses mots et cette perspective des petits jeux de Maria me fit couler une douce candeur au fond de mon ventre.

— ? Tourne toi un peu et regarde les ! ?

Dans un léger frémissement de tissu, Maria pivota en tenant le verre de champagne dans sa main droite et en léchant du bout de sa langue un gouttelette qui coulait doucement le long de la cambrure de la flûte. Dans le mouvement, son buste avait tremblé et nos voisins purent ainsi en deviner la fermeté et la rondeur.

Maria remarqua rapidement la lumière qu’elle avait allumé dans les yeux des deux hommes et se baissa juste un peu pour faire bouger ses seins une nouvelle fois et attiser encore un peu plus le désir des deux inconnus masqués qui avaient suspendu leurs regards aux deux tétons qui pointaient sous le tissu léger de la robe. Puis elle repris sa position, face à moi, se saisit de sa fourchette et commença son diner.

— ? Je crois que tu les as bien allumé, lui dis-je. Tu ne peux pas les laisser dans cet état là. Regarde, ils n’en peuvent plus. Ils te dévorent des yeux ?.

A cet instant, le garçon de salle vint me remettre une petite enveloppe. Je l’ouvris et en retirais une carte bristol. Il y avait aussi un billet de 200 euros.

Je lus lentement, à l’adresse de Maria  ? Monsieur, votre femme est divinement belle et excitante. Nous voudrions en voir plus et nous régaler de la vision de son corps ?.

Maria sourit, pris le billet au fond de l’enveloppe, se tourna franchement vers la table de nos voisins et commença à défaire, un par un, les boutons de sa robe. Au bout du cinquième, elle s’arreta et tira légérement sur le tissu pour en écarter les pans et offrir aux regards avides des deux hommes la naissance de sa gorge. Elle avait ainsi fixé les règles du jeu. Et le prix de son corps dependait du nombre de boutons, sources de profit pervers.

Elle me fit un clin d’oeil complice et se pencha vers moi pour lécher avidement et sans retenu mes lèvres dans un long et sulfureux baiser.

A Suivre….

Si vous voulez LA voir dans ses ébats…laissez un commentaire ou écrivez nous !

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