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Où me mènera mon exhibition ? – Chapitre 1




Où me mènera mon exhibition ?

Il mapparaissait plus quévident que quelque chose allait survenir cet après-midi où, pour la première fois depuis que jétais mariée (24 ans), je me suis surprise à répondre de cette façon à un regard aussi appuyé queffronté.

Jétais attablée à une terrasse avec Denis mon mari. Profitant du soleil, nous étions à siroter un verre en regardant les gens passer devant. Tout en discutant, mon mari me fit remarquer quen face de nous se trouvait lhomme que nous avions croisé dans le corridor de lhôtel en sortant de notre chambre. Selon mon mari, cet homme ne faisait que regarder en notre direction, surtout, disait-il, en ma direction. Je lui faisais remarquer de mon côté, quen ce bel après-midi ensoleillé, ce monsieur avait bien dautres dames plus jeunes et plus jolies à admirer sur cette terrasse. Il me dit être daccord sur le fait quil se trouvait ici plusieurs jolies jeunes femmes mais comme à son habitude il considérait que jétais certainement la plus belle et la plus sexy et quà mon âge je navais rien à envier à ces jeunes beautés.

Tout à notre conversation, javais oublié lhomme en face de nous. Mon mari me rappela sa présence en me redisant quil ne cessait de me reluquer. Pour prouver ses dires, il me dit de vérifier par moi-même. Je nosais pourtant pas regarder de peur dêtre surprise par celui qui, selon mon mari, mépiait. Cependant, devant linsistance de mon compagnon, je tournai un peu la tête vers la table de ce monsieur et, effectivement, il me regardait. Je maperçus que son attention se portait tantôt vers mon visage, tantôt sans gêne, beaucoup plus bas. Au moment où je maperçus quil lorgnait sous la table, il releva la tête et nos regards se croisèrent.

Dans un geste à peine perceptible, il me fit un signe de la tête et lentement comme pour me le faire voir, son regard reprit la direction de mes jambes. Mon mari qui aime quand je mhabille de vêtements sexy avait été heureux de mon choix de porter une jupe cette journée-là. De toute évidence, il nétait pas le seul. Pour faire plaisir à mon mari et pour mieux profiter de la chaleur javais en effet enfilé une jupe pas spécialement courte, elle marrivait au-dessus des genoux, et une chemisette assortie. Sous ma jupe, comme à mon habitude un string de couleur saumon comme mon soutien-gorge quon devinait au travers de mon chemisier légèrement transparent.

Je le trouvais un peu effronté et jallais en faire part à mon mari quand soudain il me regarda à nouveau et, discrètement, en ouvrant les mains, je compris quil me demandait douvrir les jambes. Jétais abasourdie de son audace mais je ne sais ce quil me prit, jobéis à sa demande. Gênée de ma hardiesse, je nosai plus le regarder et retournai rapidement à ma conversation avec Denis. Malgré ma honte, je nai pas refermé les jambes et, au contraire, les ouvris un peu plus. Javais tout à coup très chaud. Mon mari qui sen aperçut me demanda si tout allait bien, si javais besoin de quoi que ce soit. Comme cela marrive quelquefois depuis que jai commencé ma pré ménopause, je lui expliquai que javais comme un coup de chaleur et que jallais me rafraîchir un peu à la salle de toilette et que tout irait bien ensuite.

En me levant, toute à mon audace, je ne me reconnaissais plus, je déplaçai ma jambe gauche sans faire suivre la droite ce qui fit remonter ma jupe et donna une vue imprenable sur ma culotte. Mon voisin de table nen manqua pas une miette et me le fit savoir dun nouveau regard. Je me levai, tirai un peu sur ma jupe et me dirigeai vers la salle de toilette. Javais les jambes en coton mais jessayais de ne pas le montrer en adoptant une démarche assurée.

Arrivée à la toilette, je refermai vite la porte pour enfin reprendre mes esprits. Javais très chaud et je maperçus que jétais dans un tel état dexcitation que ma culotte était toute trempée. Pour vérifier jusquà quel point elle létait, je touchai du bout des doigts et ce simple geste me donna une décharge électrique et je ne pus mempêcher de me caresser un peu. Je ne pouvais pourtant rester trop longtemps Denis aurait tôt fait de sinquiéter et de me rejoindre. Mais jétais tout aussi excitée quà mon arrivée et je ne sais pourquoi, avant de rejoindre ma table, je décidai denlever ma culotte et de la mettre dans mon sac.

Une fois assise, Denis qui ne me trouvait pas meilleure mine, me demanda si je voulais rentrer à la chambre. Je lui fis savoir quau contraire je me sentais parfaitement bien et que je reprendrais bien un autre verre. Soulagé, mon mari sempressa de me commander un verre de vin blanc. En revenant de la salle de toilette javais bien remarqué que notre voisin de table était toujours là. Sans me lavouer, jen étais bien heureuse et encore plus excitée. Je décidai donc de continuer de jouer le jeu et repris la même position.

Pendant que Denis soccupait de payer les consommations, jouvris un peu les jambes non sans regarder discrètement la réaction de mon voyeur. Celui-ci ne tarda pas à reluquer mon entrejambe croyant revoir les fines dentelles de ma culotte. Il releva la tête comme ne pouvant pas croire ce quil voyait.

Abaissant le regard, il semblait scruter sous ma jupe pour confirmer ce quil avait vu. Je me sentis, à ce moment-là, inondée. Il fallait bien mavouer que jaimais bien cette sensation nouvelle que me procuraient mon exhibition et cette excitation dêtre ainsi épiée. Probablement en raison de mon propre culot, à la vue de ma nudité et je dois préciser que je suis toujours parfaitement épilée, mon voyeur prit de lassurance et se caressa par-dessus son pantalon. Ce faisant, il sassura que javais bien vu son geste, ce qui ne fit quaugmenter mon trouble.

Je fermais et ouvrais les jambes chaque fois un peu plus, pour ensuite les refermer quand même un peu. Javais la main sur la cuisse de mon mari et, sans trop men rendre compte, je me mis à le caresser du bout des doigts. Je me permis même de relever discrètement le bord de ma jupe jusquà ce que, du bout des doigts, je puisse constater lhumidité de mon intimité.

Mon mari, à ce moment, me fit remarquer que notre voisin de table avait lair de bien aimer le spectacle que je lui offrais, évidemment lui aussi avait tout vu et remarqué notre manège. Il me prit la main, la mit franchement sur son pénis et me dit que je lui faisais de l’effet à lui aussi. Il était dur, sa queue lui déformait le devant de son jeans, comme jaimais. Mon mari est très bien pourvu par la nature et moi japprécie beaucoup son gros membre. Encore plus excitée, je pris la culotte dans mon sac et la déposai sur la table en lui disant queffectivement notre voisin appréciait le spectacle. Tout de suite mon mari palpa le côté de ma jupe pour vérifier si jétais bien nue sous celle-ci. Vérification faite, il glissa carrément ses doigts sous le vêtement et me trouva toute trempée. Avec un air dadolescent découvrant pour la première fois le corps dune femme, il me fit remarquer mon état en me traitant de petite salope. Cela ne me choqua pas. Nous avons lhabitude, lorsque nous faisons lamour demployer de petits mots crus ; en fait, surtout Denis, et cela mexcite beaucoup.

Il me dit qu’il voyait bien que ça mexcitait de mexhiber ainsi ; je lui répondis que je nétais pas la seule daprès ce que je pouvais sentir sous ma main. Souvent, Denis avait essayé, soit au restaurant, en faisant le marché, ou en automobile, de me faire prendre des poses, afin dexposer mes charmes mais j’avais toujours refusé. Pour lui faire plaisir pourtant, quelquefois, je suis nue sous mes jupes ou mes robes.

Depuis le temps que jessaie de te faire découvrir ce plaisir me dit-il, voilà que tu prends linitiative. Je lui dis que je ne savais pas que ça pouvait mexciter autant. Jétais tellement excitée en fait, que javais peur que ma mouille ne coule sur ma jupe. Jen fis part à Denis et celui-ci me recommanda, en me faisant un sourire, de masseoir les fesses directement sur la chaise en relevant le derrière de ma jupe. Celle-ci était assez ample pour le permettre sans que le devant ne remonte trop ; alors, je le fis mais cétait à la limite de lindécence. La sensation du siège de la chaise sur mes fesses décuplait mon excitation.

Lui aussi était très excité et je ne parle pas de notre voisin qui ne se gênait plus du tout voyant bien que mon mari était au courant de mes agissements. Mon mari me caressait lintérieur de la cuisse au même moment où le serveur déposa une carafe de vin blanc sur notre table en nous précisant que ça venait de la table à côté.

Je dis à Denis quon ne pouvait accepter. Je ne voulais pas que notre voisin puisse simaginer ainsi pouvoir aller plus loin. A cette pensée, dans un réflexe de pudeur, je refermai les jambes coinçant la main de mon mari entre mes cuisses. Je lui signifiais ainsi que le jeu était terminé. En tirant doucement sur ma cuisse, mon mari me demanda alors si javais vraiment envie darrêter. Pour toute réponse, je rouvris un peu les jambes. Encouragé, mon mari fit signe de sa main libre à notre inconnu pour le remercier. Celui-ci prenant cela pour une invitation vint nous saluer. Il nous demanda aussitôt sil pouvait se joindre à nous. Sans me demander mon avis, mon mari lui offrit la chaise à ma gauche.

Sans plus attendre Francis, cétait son nom, prit place, me salua en me prenant la main et se présenta à nous. En sadressant plus particulièrement à Denis, il lui précisa quil était choyé davoir une aussi belle et charmante épouse. Mon mari le remercia non sans lui préciser que javais aussi des charmes cachés quil avait assurément eu le bonheur dentrevoir. Francis acquiesça en hochant la tête. Il ajouta que si ce quil avait entrevu trop rapidement à son goût, était à limage du reste, il ne doutait pas du tout de mes charmes, mêmes de ceux cachés. Je me sentis rougir et mon mari, prenant Francis à témoin, me dit dun ton taquin que le rouge m’allait très bien.

En disant cela, Denis, soulevant un peu le côté de ma jupe, fit remarquer à Francis, quune partie de mes charmes était sans obstacle, déposé directement sur mon siège. Du fait de ma position, javais toujours les jambes ouvertes. Francis avait une vue imprenable et de très près sur une partie de mes fesses, mais aussi sur mon entrejambe et ma chatte de plus en plus humide. Un peu surpris par le geste de mon mari, Francis ne put retenir son émoi en sexclamant quen plus dêtre très joli, tout cela avait lair extrêmement doux.

Mon mari lui répondit quen effet, il ne saurait si bien dire, puisquà sa connaissance, peu de femmes avaient la peau aussi douce que moi. Un peu gênée par ses propos flatteurs, je traitai mon mari de charmeur invétéré et lui demandai de ne pas exagérer. Il me dit alors quil nexagérait pas, que javais la peau douce comme un bébé et demanda à Francis de vérifier pour voir qui de nous deux avait raison. À ce moment-là, je savais quun pas décisif venait dêtre franchi mais je ne savais pas encore où tout ça nous mènerait.

(La suite bientôt. Vous raconter tout cela, notre aventure, qui sest réellement passée, ma terriblement excitée).

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