En rentrant chez moi, je filais sous la douche pour effacer toute trace de mon infidélité. Mais peut on parler d’infidélité quand c’est si bon? Mon chéri était là, il voulait savoir comment s’était passé mon premier cours:"- Imagine un sale gosse de riche, con et arrogant et tu auras le portrait de mon élève…
— Je sens que ma chérie a besoin qu’on lui remonte le moral.
— Pas ce soir mon coeur, je suis claquée. "
Je n’avais vraiment pas la tête à ça, il me fallait digérer ma journée. Et surtout le message du père me trottait dans la tête. La prochaine fois, pas de sexe juste un cours normal. Mais pourrait on retouner à la réalité après cette partie de jambe en l’air incroyable?????
Je revenais chez Ewan comme promis quelques jours plus tard. J’étais habillée plus sagement: chemisier, jean et tennis. Certes mes seins étaient mis en valeur, mais je n’avais aucun moyen de les cacher, et puis il faudrait que ce gamin maitrise sa testostérone! Je sonnais et la mère vint m’ouvrir.
"- Lily, vous êtes pile à l’heure! Ewan vous attends dans la bibliothèque. Voulez vous une tasse de thé?
— Non merci, je vais le rejoindre, et nous allons nous mettre directement au travail.
— Très bien. Je devrai peut être m’absenter pendant que vous serez là. Je vous préviendrai en partant.
— Ok. J’y vais".
Ewan n’était pas dans la bibliothèque quand j’y arrivais. Ses feuilles de cours pitoyables formaient une pile pathétique sur le bureau. Je décidais de m’installer en l’attendant, mais à peine avais je fait quelques pas, que la porte claqua derrière moi. Je sentis quelqu’un se plaquer dans mon dos, des mains enserraient mes seins.
"- Salut Maîtresse, tu m’as manqué depuis la dernière fois.
— Arrête Ewan! Ce qui s’est passé la dernière fois ne doit plus jamais se reproduire! Tu comprends? J’ai vraiment besoin de ce boulot.
— T’es tellement bonne, j’ai envie de te baiser maintenant."
Des bruits de pas se firent entendre, Ewan recula. Son père entra dans la bibliothèque:
"- Bonjour Mademoiselle. Ewan mon grand, n’oublie pas que je t’ai pris rendez vous chez le dentiste cet après midi. Tu dois y être dans un quart d’heure.
— Tu es sûr que c’est aujourd’hui Papa?
— Certain! Pas de discussion jeune homme!"
Ewan pris ses affaires et quitta la pièce.
"- Je suis désolée que nous personne ne vous ait prévenue Mademoiselle. Ne bougez pas, je vais chercher de quoi vous régler cette leçon et celle de la dernière fois.
— Non, je n’ai même pas eu le temps de voir quoique ce soit avec lui aujourd’hui.
— J’insiste! Vous avez fait le déplacement, vous devez être payée!"
Il sortit quelques instants et revint avec une enveloppe qu’il me tendit. Je la pris, ramassais mes affaires et partit. Une fois dans la rue, ma curiosité me poussa à regarder le contenu de l’enveloppe. Je m’arrêtais brusquement le souffle coupé. Elle contenait 400 euros!
Je revins sur mes pas et frappais à la porte de la maison d’Ewan. Le père vint ouvrir:
"- Il y a un problème Mademoiselle?
— Euh oui! Il y a beaucoup trop dans l’enveloppe, c’est l’équivalent de 10 leçons.
— Je sais, mais j’ai vraiment trouvé que vous aviez fait des miracles sur Ewan la dernière fois. A ce propos, ça me fait penser que vous aviez oublié quelque chose la dernière fois. Entrez! Je vais le chercher."
Je m’installais dans la cuisine en l’attendant. Il revint, tenant une petite boite dans la main qu’il me tendit. Je l’ouvris pour y découvrir mon string.
"- Je peux tout vous expliquer, ce n’est pas ce que vous croyez.
— Vraiment? Tu veux me faire croire que ton string s’est tiré tout seul petite salope?"
J’étais abasourdie par ce qu’il venait de me dire. Il s’était approché de moi. Morte de honte je regardais le sol. Il me prit le menton entre deux doigts, me releva le visage et m’enfonça sa langue chaude et humide dans la bouche. Décidément le père et le fils pouvaient être très entreprenants.
Cette fois encore, je me laissais faire. Je passais mon bras autour de sa nuque, je me levais de ma chaise. Mes seins étaient plaqués contre son torse. Ses mains parcouraient mon corps. Elles passèrent sous mon chemisier, elles étaient si douces. Je frissonnais. Ses bras me maintenaient contre lui avec une poigne de fer.
"-Maintenant ma petite Lily, je vais vous baiser comme vous l’avez rarement été!
— C’est une promesse?
-Tu en veux vraiment ma cochonne! Je te préviens ça va être vite fait. Ma femme doit rentrer dans peu de temps."
Il me dirigea vers le salon. Là, il me déshabilla, il pris soin d’embrasser chaque parcelle de mon corps. Enlevant mon string, il le fourra dans sa poche.
"- Je le garde celui là!"
Une que nous étions tous les deux complètements nus, il s’installa dans un fauteuil et me fit signe de m’approcher. Je me mis à cheval au dessus de lui. Sa bite était fièrement dressée vers ma chatte. Elle ressemblait à celle de son fils. Elle paraissait tellement bonne, j’aurai tellement voulu la sucer, mais il m’avait dit que nous n’avions pas le temps. En gros nous avions quelques minutes pour quelques coups de bites mais pas plus. Ses mains sur mes hanches firent pression pour que je descende mon bassin. Son gland touchait maintenant l’entrée de ma grotte. Elle me pénétra doucement, lentement, centimètre par centimètre, jusqu’à toucher mon fond. Nous poussâmes en coeur un soupir de satisfaction. Je commençais à monter et descendre sur sa hampe, savourant chaque millimètre de sa bite. Mais je crois qu’il finit par se lasser de mon jeu langoureux. Agrippant mes fesses, il se souleva, et commença à me donner des coups de boutoirs. Il était plus âgé que son fils, mais mon dieu! Quelle énergie. Je gémissais:
"Han! Han! Han! C’est bon! Continue
— Attends ma belle, on va changer de place."
Alors que sa bite était toujours plantée en moi, il me souleva pour m’allonger sur une méridienne. Il était entre mes cuisses, agrippées à mes épaules, et me baisant comme si c’était la dernière fois qu’il le faisait de sa vie. Nos respirations s’accéléraient et soudain:
"- Chéri! Tu es là?
— Merde ma femme"
Il commençait à se retirer, mais de mes cuisses je le maintenais en moi.
"- Tu as commencé quelque chose! Tu le termine!
— Mais ma femme est à côté!
— Je m’en fou!"
Il ne savait que faire. Puis il sembla avoir une idée. Il me souleva de nouveau et ma plaqua contre le mur derrière une porte. Il recommença ses mouvements de bassin. Putain! C’était si bon. Les pas de sa femme à la recherche de son mari se rapprochait dangereusement. Finalement elle arriva sur le pas de la porte du salon:
"- Chéri? Mais où est il?"
C’est ce moment que nous choisîmes pour jouir en coeur. J’atténuais ses grognements de satisfaction en lui fourra ma langue dans sa bouche. Je sentis un flot chaud se déverser dans ma chatte, qui de son côté se contractait de plaisir.
Une fois désaccouplés, nous nous rhabillâmes. Il m’accompagna à la porte de derrière sur la pointe des pieds. Avant de me laisser partir il me chuchota à l’oreille:
"- Qui t’as le mieux baisé du père ou du fils?"
Je partis en lui faisant un clin d’oeil mais sans lui répondre. Il fallait que je me rafraichisse la mémoire pour pouvoir lui apporter une réponse. Ewan mon mignon, la prochaine fois non plus tu ne vas pas travailler!