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Maryline, ma belle maitresse – Chapitre 1




Épisode 1

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Cette histoire s’est réellement déroulée – et d’ailleurs continue à se dérouler – certaines situations ont été modifiés, mais la vérité vraie est ici, aussi j’espère que vous apprécierez ce récit ainsi que ses suites

Bonne lecture !

La découverte

Maryline et moi nous connaissons depuis plus de quinze ans, ayant travaillé ensemble avant que chacun, nous ne quittions notre employeur. Nous avons par le passé partagé des congés sur la côte et c’est là que je me suis aperçu – au travail ça ne favorise pas vraiment la découverte du corps de l’autre – qu’elle était superbement gaulée Une femme bien en chair, mais pas grosse, légèrement enveloppée avec des seins à la forme incroyable, gros et aux larges aréoles, oui je sais ça, parce qu’un jour j’avais déboulé dans le jardin de leur location pour venir préparer le barbecue et par hasard elle finissait de remettre son maillot de bain. Je m’étais excusé, mais ne pouvait quitter sa plantureuse poitrine du regard, ce que Maryline avait bien évidemment constaté, rougissante et gênée, elle s’était d’ailleurs excusée, alors que je lui disait qu’il n’y avait pas de quoi et qu’elle était splendide.

Par la suite il ne s’était rien passé et ce n’est qu’une année plus tard alors que nous nous étions retrouvés pour les vacances que quelque chose avait changé. Il faisait très beau, nos conjoints respectifs étaient à la plage avec les enfants et des amis que nous avions en commun. Pour ma part j’étais parti chercher de l’essence et il me semble que Maryline avait dû rester pour préparer les salades du midi. Quand j’étais rentré et avait garé la voiture, je m’étais dit que j’avais le temps d’aller à la plage et par curiosité j’étais passé chez eux pour voir si elle avait finit et pouvait venir avec nous. Et c’est là, alors que j’entrais dans la cuisine, que j’avais été totalement estomaqué, je l’avait trouvé se masturbant comme une folle, ses doigts enfoncés à fond dans sa chatte. Elle était assise, ou plutôt vautré sur une chaise, le dos en arrière, cambrée, les seins sortis, ses mains allant de son minou à sa poitrine.

Saisie d’effroi, stupéfaite et surprise, Maryline s’était empourprée, horriblement gênée, essayant avec désespoir de cacher sa nudité.

Je m’étais approché et m’était agenouillé lui proposant un torchon que j’avait eu le temps d’attraper sur le plan de travail, pour s’essuyer

"Tu comprends" m’avait-elle dit, "avec Georges, il ne se passe jamais rien, nous n’avons plus aucunes relations depuis des années, à part sa gym, les copains et le vélo, il ne me touche jamais" et elle avait ajouté : "Oh j’ai tellement honte."

Je lui avait répondu que ce n’était pas de sa faute. "Et puis tu es très belle, tu as des formes magnifiques, tu es faite pour l’amour" ajoutais-je D’un air triste, Maryline m’avait dit : "Ce n’est pas ce que mon mari pense". "Georges est un égoïste, un pauvre type de ne pas voir ce qu’il perd" fut la seule chose que je trouvait à lui répondre. Comme j’étais toujours à genoux devant elle, mes mains s’étaient posées sur ses genoux, elle les regardait, puis me fixa dans les yeux. "S’il te plait, ne fais pas ça !" – "Ne fais pas quoi ?" je lui répondais tout en massant ses genoux (ce qui vous avouerez reste très sobre). Je m’étais redressé et lui avait plaqué un bisou sonore sur la joue. A ce moment, je savais ce que j’aimerais faire, je savais que si j’étais attiré par elle, c’est parce que Maryline était désirable et que je la connaissais depuis si longtemps que c’était maintenant que je me rendais compte du désir que j’avais d’elle. et je le lui avait dit.

Elle avait rougit violemment, mais son corps ne mentait pas lui, ses jambes s’écartant légèrement, sa respiration s’accélérant et elle qui me regardait les yeux écarquillés, embués. Je m’approchais de ses lèvres et les baisait doucement, puis je me reculais ; "Tu es vraiment belle, Maryline"

Je l’avais alors embrassé longuement, sa bouche s’était entrouverte laissant passer sa langue et ses bras m’avaient retenu contre elle.

Nous avions échangé un long, très long baiser, mais c’est quand j’avais effleuré ses gros seins que je m’étais rendu compte de sa détresse sensuelle. Elle avait sursauté et gémit, sa bouche devenant plus humide encore. "Tu veux ma chérie ?".

Maryline avait hoché la tête, elle ne parlait plus emportée pas son désir et c’était tout naturellement que libérant mon sexe du short, je m’étais approche et l’avais introduit délicatement dans sa fente trempée. Durant quelques minutes il n’y avait plus eu que les clapotis de mon membre coulissant dans sa chatte et les légers bruits de gorge qu’elle faisait tandis que je la pénétrait. Esseulée depuis si longtemps, Maryline avait jouit soudainement, sourdement, n’émettant presque aucun son, son corps se tendant, ses seins gonflant et elle était tombée en arrière, me déstabilisant. Je cessais de la ramoner et retirais mon sexe qu’elle avait regardé, encore sous le choc de son orgasme. "C’est bon, mon chéri c’est bon" puis, me touchant du bout des doigts : "elle est grosse"

Je ne savait toujours pas comment les choses en étaient arrivées là, mais ce qui était certain, c’est que si j’avais des regrets, c’était de ne pas l’avoir fait plus tôt !

Je l’avais embrassé doucement, puis j’avais reculé et l’aidant à se relever nous nous étions dirigé vers le plan de travail. Là je l’avais installé, les jambes dans le vide et j’allais commencer à la besogner à nouveau quand par inadvertance j’avais touché son illet fripé et constaté qu’elle mouillait? Maryline avait rougit encore plus; "Non, pas par làje je ne l’ai jamais fait". "Laisse toi faire, je serai doux" lui avait-je répondu. Je m’étais agenouillé à nouveau et avait commencé à lui lécher la fente, alors que sa voix faiblissait. Puis de ma langue j’avais tracé un chemin jusqu’au sillon de son beau cul, allant jusqu’à l’anus que je découvrais, propre et sentant bon. "Tu sens bon du cul, ma chérie ça va être bon". Puis dirigeant mon gland vers son petit trou j’avais commencé doucement à appuyer dessus. Maryline s’était penchée pour regarder ce que je lui faisait subir, attentive, les yeux brillants. J’avais dilaté sa rondelle insérant ma queue dans son anus vierge et lentement, centimètres après centimètres, je l’avais enculée. "han elle est grosse chéri, elle est grosse" marmonnait Maryline, perdue dans son univers sensuel, profitant enfin de la vigueur d’un homme. Je la sodomisait ainsi plusieurs minutes et je savais que si elle ne jouissait pas, car après tout c’était sa première fois, elle en retirait beaucoup de sensations et ça la rendait heureuse. J’étais en train de m’enfoncer dans le rectum de Maryline, caressant ses loches magnifiques, malmenant ses pointes durcies par le plaisir quand j’avais senti l’imminence du plaisir. Je l’avais prévenue : "Je je vais jouir dans ton cul arhhh ça vient" alors que je lui remplissait son petit trou de sperme. Fatigué, je m’écroulais sur sa poitrine, alors qu’elle caressait document mon dos. Puis elle me dit tout bas : "Merci mon amour, c’était fantastique merci".

Nous rhabillant péniblement je l’avoue – j’aurais bien continué et d’ailleurs Maryline aussi – nous nous étions séparés, et j’avais pu sans éveiller les soupçons rejoindre tout le monde sur la plage avec deux trois achats rapides, histoire de justifier mon absence.

Nous n’avions pas pu recommencer avant trois jours qui avaient été longs et sans intérêts.

Ce n’est qu’après ces journées – il faut dire qu’il pleuvait et que tout le monde était donc ensemble, jeux, lectures, films au programme pour faire passer le temps – que Maryline et moi avions pu nous retrouver seuls.

Ce n’est donc, comme je disais, que trois jours après que nous eûmes un peu de temps pour nous.

Le soleil était revenu avec son cortège d’allers et venues à la plage, les enfants, les jeux et les préparatifs toujours nombreux, du style ; que faire à manger ce soir, et si on allait dîner dehors, non plutôt prendre des fruits de mer, etc !

Bref, les vacances. Depuis ces jours je n’avais rien montré à Maryline, restant égal à moi même, respectueux, comme un ami. Je la voyais de temps en temps m’observer, mais elle n’osait pas me parler franchement et il faut dire que l’occasion ne s’en était pas présentée. Alors que nous étions tous en train de préparer le déjeuner, tout le monde plus ou moins dans le jardin, nos conjoints à préparer la table, j’avais vu Maryline monter à l’étage, ayant les fenêtres à ouvrir et les lits à refaire dans leur location. Subrepticement je l’avais suivie et ce n’est qu’alors qu’elle remettait de l’ordre dans la chambre de ses enfants que je la surpris. "Bonjour ma belle" avais-je dit en entrant dans la pièce plongée dans la pénombre, les persiennes étant presque fermées. Maryline avait sursauté puis m’avait sourit alors que je m’approchait et la prenait dans mes bras. "Je t’ai manqué ?" lui demandais-je. "Tu le sais bien" me répondit-elle tout bas, puis : "on ne peut pas il sont juste en bas". Je regardais par l’entrebâillement des persiennes, de mon côté j’étais invisible tandis que j’observais tout ce qui se passait en bas. "Non, regardes c’est parfait, faisons ça vite tu veux bien". Timide, un peu réticente, Maryline m’avait dit, "Tu es sur ?". L’embrassant alors, je la serrai contre moi et glissant mes mains sous son tee shirt entrepris de lui malaxer les seins. elle commença à le retirer, mais je la stoppai. "Non, ça ce n’est pas raisonnable, il vaut mieux rester habillés". Rapidement j’abaissais sa culotte, attrapant ma queue déjà bien dure et la dirigeant vers sa fente. Deux, trois mouvements suffirent à lui faire lâcher prise, mais je savais qu’il fallait être plus rapide sinon nous nous ferions prendre. Attrapant alors ses gros lolos, j’avais commencé à la baiser vite et avec force, la faisant décoller en l’air avant de la lui enfoncer profondément. Tout ça la faisait couiner, produisant un bruit incongru et j’avais du mettre ma main sur sa bouche pour éviter qu’on l’entende. Par prudence, je décidais d’abréger notre coït et lui dit : "Attends, finis-moi !".

Un peu perdue Maryline m’avait dit : "Quoi, comment veux-tu ?". Je l’avais forcée à se mettre à genoux, là je pensais bien qu’elle avait compris, puisque d’elle même elle avait caressé ma queue gluante de ses sécrétions avant de déposer un baiser sur le gland. J’avais appuyé sur sa nuque et c’est dans sa bouche délicat et fraiche que je m’étais introduit. Quelques délicieux mouvements plus tard, m’enfonçant avec plaisir au fond de sa gorge, je martyrisais ses seins en les tirant sous son tee shift, alors qu’elle avait levé un regard humide et docile vers moi. Puis n’en pouvant plus, j’avais abondamment jouit dans sa bouche, je l’avais vue déglutir ma semence, les yeux fermés, le rouge aux joues et j’imagine très facilement que c’était sa première fellation et aussi la première fois où elle avalait du sperme. La redressant doucement, je la remerciait en l’embrassant légèrement, mais Maryline m’avait attirée à elle, m’ouvrant la bouche avec sa langue et dans un élan de désir et de vice me donnant à partager le goût de ma semence, m’embrassant avec fougue et gourmandise. "Mon amant mon homme moi " finit-elle par me dire alors que nous nous séparions et chacun de notre côté rejoignions les autres. Notre étreinte n’ayant pas durée plus de cinq minutes, nous étions finalement restés sur notre faim et hormis une connaissance plus intime de ma belle maitresse, je n’avais plus qu’une envie, la prendre par tous ses trous, lui faire découvrir des sommets de volupté et de sexualité.

D’ailleurs alors que nous prenions l’apéritif et que nous marchions dans le jardin et qu’à ce moment nous étions près l’un de l’autre, je lui dit, sans risque d’être entendu : "La prochaine fois, je vais te la mettre dans le cul et après tu me suceras et tu avaleras mon jus, d’accord ?" Maryline était devenu écarlate et avait masqué sa gène en faisant semblent de s’étouffer avec son vin. Je l’avais vue gênée, troublée, mais lorsque nous nous étions dirigé vers la table elle m’avait attrapé par le bras et m’avait dit en me fixant dans les yeux : "Comme tu voudras mon chéri, tu m’enculeras et je sucerai ta grosse bite et si tu veux tu jouiras dans ma bouche et sur mon visage !"

Ah les femmes, tellement fragiles, si sublimes et tellement désirables.

Après ces vacances, nous avons continué à nous voir de temps en temps chez les un ou les autres, ce qui ne laissait place pour rien d’autre. Et puis la vie a rapidement basculé, quelques semaines plus tard quand j’ai repris une activité et que me suis mis à mon compte. Le local étant à Paris sur Opéra, il n’y avait pas trop moyen de bouger et puis une idée m’est venue alors que Maryline pour des petits soucis de santé avait quitté son dernier boulot et était au chômage depuis quelques jours. La convaincre de venir travailler avec moi fut somme toute facile ! Elle n’avais pas trop de trajet, le travail était parfait pour elle, pas débordant, pas de stress, sinon à quoi bon être à son compte ? Comme j’étais seul – vous connaissez la maxime, balayeur, employé, patron, le tout en un seul poste – ça me paraissait idéal et l’avenir nous a dit à quel point c’était vrai.

Nous avons passé plusieurs jours à chercher le mobilier professionnel, les diverses choses dont nous avions besoins et avons rapidement pris place dans nos locaux. Vieil immeuble Parisien, avec ascenseur, mais très étroit. Le propriétaire, un vieux beau, pas trop pénible, mais on le sentait très attiré par la gente féminine, il fallait voir les regards appuyés qu’il avait porté le premier jour sur Maryline.

Plusieurs jours plus tard, enfin installés, travaillant déjà, m’est revenue en mémoire cette conversation que Maryline et moi avions eue.

"Te souviens-tu ma chérie de cette discussion concernant ton petit cul et ta bouche ?"

Sortant la tête du dossier dans lequel elle était plongée, Maryline me regarde et me dit : "Heu je crois bien, mais j’ai du travail là tu sais, pourquoi me parles tu de ça maintenant ?".

Je la regarde tendrement et lui dit : "Ton mari a décidé d’être un homme avec toi ?".

"Tu sais bien que non" me répond-elle avec un petit air triste.

"Et bien, ma chérie, si tu laissait tout tomber et que tu t’occupais de moi ?" et ajoutant le geste à la parole, je m’assois sur le bord de sa table, me débraguette et extirpant ma queue tendue, lui dit : "Suce ma belle"

Maryline se penche en avant et gobe mon gland, tournant sa tête, elle m’observe et voit mon contentement, alors elle sort sa langue et lèche doucement la hampe, descendant jusqu’à mes couilles sur lesquels elle salive abondamment avant de les engloutir, puis remontant elle recommence ce délicieux manège alors que mes mains ont saisit ses gros seins et les pétrissent. Nous nous déshabillons rapidement et c’est la première fois que je la vois intégralement nue, superbe et charnelle. Et il est vrai que c’est aussi la première fois qu’elle me voit nu, mais son regard reste rivé sur ma queue qui bat la mesure et elle l’empoigne et la caresse, sa main douce aux longs ongles vernis me procurant un infini plaisir.

Je l’attire à moi et lui dit : "Je vais te défoncer le cul Maryline, ma chérie".

Et rougissante, elle soupire et me dit : "Vas-y doucement, c’est seulement la seconde fois, tu sais bien !".

Je la prépare tendrement la dirigeant vers le canapé et la faisant se pencher, tout en caressant les globes charnus, je pénètre d’un, puis deux doigts son conduit anal. Je pose mon gland pour la seconde fois sur la pastille de ma bien aimée, et j’appuie, j’appuie encore et il passe, s’enfonce et dans ce lent mouvement pénètre dans cette antre délicate et profonde. Je suis comprimé et je saisit les lourdes mamelles pour me maintenir et rythmer cette sodomie. Je jouis de cette pénétrations anale que je lui fait subir et à laquelle Maryline ne s’oppose guère, de temps en temps, elle tourne sa tête, observant le déroulement des choses et je la vois passer sa langue sur ses lèvres, gémissant tout bas. Je lui saisit les hanches et vigoureusement je l’encule accélérant la vitesse tandis qu’elle n’émet que des petites plaintes discrètes. Cette attitude, sa douceur, sa sensualité décuplent mon envie de la prendre et j’accélère encore la cadence, lui cassant littéralement le cul, la défonçant avec une telle force que Maryline est obligée de plaquer ses mains sur ses lèvres pour étouffer ses cris ! Je la sodomise puissamment claquant mes couilles sur son fessier majestueux, profitant à fond de ce moment.

Ma pauvre petite Maryline a toujours ses mains devant sa bouche pour masquer ses râles. Je continue avec vigueur à m’enfoncer dans son étroit conduit. Je ne sais pas si elle commence a prendre du plaisir, mais ce qui est certain, c’est qu’elle ne simule pas, elle apprécie réellement cette sodomie. Aussi afin de lui apporter encore plus de sensation, je glisse mes mains sous elle et lui pétrit ses gros lolos, malaxant ses pointes durcies et les tirant. Ses gémissements prennent de l’ampleur, elle a cessé depuis peu de se cacher la bouche et a agrippé le rebord du canapé. Ma queue lui défonce l’anus, je rentre jusqu’au fond, mes couilles butant sur sa chatte trempée, puis je me retire presque jusqu’à sortir de son antre avant de me renfoncer avec force. Ce traitement dure depuis déjà une bonne vingtaine de minutes et je commence à sentir les prémisses du plaisir. C’est une sensation incroyable, je me retrouve à sodomiser la femme dont je suis éperdument amoureux depuis des années et j’en retire encore plus de jouissance.

Pour l’heure je me décide à changer de position, sans compter que ça va m’accorder un peu de répit

"Attends Maryline, tu vas t’allonger sur le dos et je vais te prendre comme ça !"

"mh Quoi ?" me répond t’elle un peu comateuse.

"Retournes-toi, chérie" – lui dis-je.

Docilement Maryline se retourne et se couche sur la canapé. Je m’allonge sur elle, l’embrasse voluptueusement, sa bouche est toujours aussi fraiche, sa langue joue avec la mienne. Je me redresse, la fait un peu bouger et durant tout ce temps elle me regarde et observe attentivement ce que je lui fait. Doucement je caresse sa rosette plissée, ses jambes que j’ai relevées, m’offrent la vision totale et libre de sa chatte et surtout de son trou si accueillant. Alors je pointe lentement son cul et m’enfonce dedans. J’ai l’impression que ça glisse comme dans du beurre. Outre le fait qu’elle a l’air de s’habituer à la sodomie très facilement, sa chatte laisse couler ses humeurs qui aident à la lubrification. Je lui introduit deux doigts puis trois dans son minou, histoire d’accompagner l’enculage en règle qu’elle subit, ses yeux sont mi-clos, elle respire un peu oppressée.

"Ngh hhh oui, oui continue ne ne t’arrêtes pas !

"Tu aimes l’avoir dans le cul, Maryline" je lui demande abruptement, ma queue s’enfonçant encore plus loin.

"han han oui, j’aime ça" me répond t-elle en râlant et elle s’agrippe du mieux qu’elle peut, secouée par la pénétration plus violente, plus profonde. Je saisis ses seins, me penche et les gobe l’un après l’autre. Puis je suce ses pointes, les mordillant tendrement, les étirant. ses râles sont de plus en plus puissants, Maryline se cambre et me retenant, jouit soudainement dans un petit cri. C’est adorable, comme elle peut paraître timide, même au summum de son orgasme, elle reste discrète.

Elle soupire maintenant, " ohh mon chéri !, c’est fou comme c’est bon je regrette tellement de ne l’avoir jamais fait avant"

Je lui sourit, l’embrasse, puis : "tu veux bien me finir avec ta bouche ?"

" heu, tu es sûr je ne sais pas, elle sort de mes fesses"

"Ma chérie tu es une femme très propre, tu te laves le cul, non ?"

Surprise, un peu rougissante, Maryline acquiesce lentement.

Je l’enjambe et me positionnant au dessus d’elle, ma bite presque sur son visage, je lui demande : "Maryline, fais moi jouir chérie !"

Je frotte mon gland sur ses lèvres, les forçant à s’entrouvrir. Maryline fixe mon sexe qui rentre dans sa bouche, l’effort la fait loucher, mais elle cesse de regarder mon membre qui lui baise la bouche et ses beaux yeux se lèvent vers moi, humides, soumis !

Je fais coulisser ma queue, mais elle décide de reprendre les choses en main (si je puis dire) et attrape mes testicules, les presse doucement, puis me fait sortir de sa bouche afin de lécher mon gland, puis elle passe sous la hampe descendant jusqu’aux bourses, recommençant cette douce manuvre plusieurs fois. Ses doigts soigneusement manucurés pétrissent mes testicules, je sens mon foutre monter

"Ahhh Maryline, je je viens"

Je vous avoue que je ne sais pas si ma petite chérie, mon amante (maintenant je peux l’appeler ainsi) va avaler mon sperme, mais je ne me pose pas trop la question, la pression devient trop forte, beaucoup trop intense !

Et d’ailleurs Maryline le sent, car entre mes grognements et les secousses de mon bas ventre, mon sexe qui se raidit, ses doutes s’envolent. Est-ce que ça l’indispose, que je me serve de sa bouche comme d’un vide couilles ? Je l’ignore, mais ma stupeur et mon plaisir sont à leur comble quand elle repousse avec sa langue mon gland et me serrant les bourses avec force alors que deux de ses doigts m’enserrent et font comme un anneau autour de ma queue, elle me branle si fort que mon sperme lui jaillit au visage en une demi douzaine de jets visqueux. Elle a un léger mouvement de recul, ses yeux se ferment – et bien lui en a pris, car une giclée de foutre a atterri sur sa paupière gauche. Deux jets se sont écrasés sur sa langue qu’elle garde tirée – la petite effrontée! – deux encore sur le front et un dernier lui a englué le nez.

Ainsi parée de ma semence épaisse qui l’a souillée, Maryline est incroyablement désirable. Elle rentre doucement sa langue dans sa bouche et avale mon sperme, puis entrouvrant son il droit, le gauche est collé par mon jus, regarde avec étonnement ma queue.

"Pour un baptême, tu m’a bien arrosé mon chéri" me dit-elle. elle semble ravie, heureuse d’être allée aussi loin avec moi.

Je récupère avec mon sexe qui a un peu débandé, mais pas tant que ça, le sperme collé sur son nez et le porte à ses lèvres. Elle l’aspire doucement, caressant mon membre avec ses deux mains. Je redescend alors et je m’affale à côté d’elle, épuisé.

"C’était bon mon chéri" dit Maryline en se blottissant contre moi. je la regarde, heureux et lui sourit. Nos deux bouches se touchent et nous échangeons un long baiser.

Je caresse ses gros seins, elle soupire et me dit en guise de conclusion : "je t’aime mon chéri c’est bon de faire l’amour avec toi".

"Je t’aime aussi et je te trouve incroyablement belle Maryline tu tu voudras qu’on le refasse souvent ?"

Maryline rit, j’adore son rire de gorge, et me répond. "Au point ou nous en sommes tu pourras me prendre quand tu voudras !" et rougissant un peu "et autant de fois par l’anus que tu as envie"

Nous avons longuement parlé de nos vies et même si nous nous connaissons depuis des années, et sommes d’anciens collègues, nos relations ont totalement été chamboulées. Et aujourd’hui, nous sommes devenus amants. Je sais, tout comme elle le sait, que nous ne souhaitons pas nous séparer de nos conjoints respectifs, mais nous avons besoin et envie l’un de l’autre, envie de sexe, de faire l’amour sans retenue et contrainte.

Je l’invite à déjeuner, il y a dans la rue Sainte Anne quelques bons asiatiques, Maryline en raffole Le déjeuner est calme, détendu, libéré de toutes entraves. Nous nous touchons les doigts régulièrement, comme des jeunes qui flirtent.

Maryline semble très amoureuse, au fil de la conversation elle me fait de plus en plus bander. Elle finit par s’en rendre compte.

"Dis donc, il t’en faut peu, cochon !"

"Heu je suis désolé, tu es tellement attirante que je ne me contrôle plus".

"On va peut être régler avant que tu ne me saute dessus, non ?" dit-elle en riant.

Un peu gêné, je lui dit : "D’accord, tu sais c’est la première fois que ça m’arrive".

Péniblement après avoir payé – essayez de vous déplacer avec l’érection du siècle – nous sortons dans la rue. Heureusement que nous sommes en hiver, ma tenue un peu emmitouflé, me permet de cacher mon état.

J’ai peur que Maryline ne le prenne mal. "Je suis désolé vraiment".

Nous marchons et c’est très surpris que, alors que nous longeons une petite rue comme il y en a tant à Paris, Maryline me dirige vers une porte cochère et l’ouvrant me pousse à l’intérieur. Là il fait déjà un peu moins froid, mais c’est un de ces vieux immeubles, mal éclairé, sans concierge, encombré de vélos, de caisses et d’un étonnant bric-à-brac.

"Mais que" je balbutie un peu idiot.

"Laisse toi faire, tu m’as donné faim, fais moi voir !" me dit autoritairement Maryline.

Elle ouvre ma braguette et extrait mon membre douloureux à force d’être comprimé dans mon slip. "Ben dis donc, c’est un beau morceau!" Elle se hausse sur ses talons, m’embrasse langoureusement, forçant ma bouche avec sa langue. Puis s’accroupit et regardant ma queue, me dit : "Tu ne crois pas que j’allais te laisser t’en tirer comme ça ?" Délicatement Maryline passe sa langue sous le gland puis massant mes testicules engloutit mon membre. Sa bouche est chaude, je m’y enfonce avec délice, sentant sa langue et parfois ses dents qui frottent sur mon gland. Bien trop excité je la saisit par les cheveux et guide sa tête, m’enfonçant avec force. Ma grosse bite dans sa bouche la fait beaucoup saliver, elle gémit alors que je m’enfonce encore plus loin, je ralentis alors, mais me sortant elle me dit : "vas-y, n’ai pas peur, tu ne me fais pas mal !". Je me réintroduit dans cette douce cavité buccale, profitant d’elle au maximum, mes couilles butant à un moment sur son menton, j’ai presque peur de la faire vomir. Mais ce sont ses doigts qui saisissent mes boules et les écrasant presque, me ramènent au fond de sa gorge? Encore deux, trois allez-venues, avant que je ne me libère.

Maryline a les joues en feu, suçant comme une folle ma queue, elle a abandonné mes boules et posé ses mains sur mes cuisses, me laissant lui baiser littéralement la bouche. Trop, c’est trop, j’essaie de la prévenir, mais à part une sorte de grondement qui sort de ma gorge, rien ne franchit mes lèvres. Ma bite grossit encore dans ce délicat réceptacle que je vais bientôt inonder.

Je viens enfin dans un soubresaut violent, j’éjacule abondamment dans la bouche de Maryline qui écarquille les yeux sous la violence de mon éruption. Elle est obligée d’avaler au fur et à mesure pour éviter d’être étouffée, déglutissant mon sperme épais tout en masturbant à l’aide sa main gauche ma hampe lentement. " c’était trop bon Maryline, je n’en peux plus"

Avalant, en contractant sa trachée, les derniers jets, Maryline me répond : "J’aime bien le goût de ton sperme ! et puis je ne pouvais pas te laisser dans cet état"

Elle se redresse m’embrasse amoureusement, puis mutine me dit :

"Zut j’ai mouillé ma culotte"

C’est vous dire à quel point ma belle Maryline est coquine !

à suivre

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