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SHANA – Chapitre 39




— La phase dobservation de votre poupée est terminée. Son esclavage sexuel va entrer dans une nouvelle phase.

Certaines femmes ont une propension marquée à se dévoyer et se pervertir par le fait supposé de l’inassouvissement sexuel. Celle-ci en fait partie.

La recherche effrénée du plaisir les rend captivantes voire ensorcelantes. Rien n’est plus beau qu’un corps de femme proche de la jouissance.

Mon but n’est pas de prolonger cet instant magique mais de le rendre éternel.

Les goûts masochistes très prononcés de cette chienne la classent immédiatement au sommet de la hiérarchie des filles que je destine aux supplices les plus raffinés.

Sans conteste, cest celle que nous recommanderons aux clients exigeants qui comme vous recherchent le plaisir dans des pratiques exclusives et extrêmes.

Sa motivation et ses aptitudes semblent suffisantes pour passer lépreuve irréversible de la métamorphose.

Tout dabord, je vais lui placer un implant hormonal pour supprimer ses menstruations et l’installer dans un status hormonal similaire à létat péri ovulatoire. Son efficacité est garantie pour les trois prochaines années.

Une aiguille se planta dans mon bras gauche. Sans la voir, je la devinai énorme. Je me crispai mais la douleur sévapora rapidement.

Rafa revint à la charge et reprit possession de mes seins. Mes tétons furent agacés, étirés, triturés et mes mamelons malaxés, mais toujours avec douceur. Furtivement, plusieurs autres mains rejoignirent les premières et explorèrent tout mon corps de manière plus insistante cette fois.

Mes cuisses furent longuement caressées des genoux jusquà leur racine.

Ma croupe était dessinée par une multitude de doigts frétillants qui écartaient mes fessiers pour ouvrir lentement la corolle luisante.

Des mains insistantes disjoignirent mes genoux. Des doigts gantés patinaient sur mon sexe. Lentement, sans appuyer, ils glissaient de bas en haut le long de ma fente et s’invitaient à entrer.

Je gloussais. Mes lèvres s’écartèrent sur leur passage et mon bassin partit à leur rencontre. Lorgasme était imminent mais Rafa minvitait à me pas céder encore.

Je maccrochais tant bien que mal.

Je voulais retarder mon plaisir pour prolonger cet instant magique, pour aller jusquau bout du voyage initiatique, pour que lacte sexuel devienne un acte sacré.

Je ne pus retenir un grognement lorsque je sentis les lèvres de ma vulve s’écarter imperceptiblement.

Sans détour, mon point G fut pris dassaut par les intrus. Mon clitoris s’érigea et ressentit l’envie pressante que les doigts viennent le profaner.

Mon souffle s’alourdit et mon corps fut parcouru de frissons incontrôlables.

Deux doigts agrippèrent Cerise et le pétrirent violemment pour la relâcher aussitôt.

Je me noyais et jhurlais :"Rafa, au secours!"

Quelquun toucha à mon collier et les picotements dans le cou devinrent plus perceptibles.

Je me cambrai et écartai désespérément les jambes sous l’étreinte virtuelle d’un plaisir qui ne me comblait pas.

Je peinais à reprendre ma respiration mais les mains inconséquentes n’en avaient cure.

Elles minondaient dondes bienfaisantes et je sentais de nouveau les doigts enrober mes seins et les palper avec gourmandise.

Ils me manipulèrent un long moment, comme un petit jouet, toujours en perte d’équilibre sur le fil tendu de la petite mort, toujours rattrapée au dernier moment par le collier maléfique. Combien de temps cela allait-il durer ?

Qui mettrait un terme à ce crescendo grésillant de sensations voluptueuses ? Pas moi, en tout cas ! Ce véritable supplice sera à jamais la meilleure expérience sexuelle que je navais jamais vécue.

Rafa me parlait et mencourageait.

– Tu résistes bien. Continues! Tu nétais que belle et tu deviens cosmique.

C’était ignoble, mais j’avais du plaisir. Enfin, pas vraiment du plaisir, mais pire que ça… Bien plus fort. Je voulais continuer et toujours recommencer… plus loin, plus fort encore si cela était possible.

Les dents qui mordillaient mes tétons devinrent de plus en plus incisives. Elles cherchaient à me faire mal.

Je n’arrivais pas à reconnaître l’objet qui venait à peine de me toucher laréole.

Je sentis le froid de l’acier entrer en contact avec ma peau et encercler mes mamelons.

Mes tétins furent brutalement distendus à la rupture.

La douleur était atroce.

Les lèvres rigides danneau pincèrent, mordirent puis pressèrent fortement la chair tendre, s’y incrustèrent et l’étreignirent définitivement.

Une fois encore, je me sentis captive de mes démons.

Un besoin gargantuesque de souffrir s’insinuait en moi. Mon bandeau senvola.

Entourée de Rafa et Florence, mon corps se reflétait dans le miroir parabolique placé à cet effet dans mon champ de vision.

Il était écrit que rien ne me serait épargné ce soir.

Dominique, Zakis, le Dr Kark Kirsh et les cinq représentants de mes Maîtres virtuels contemplaient ma poitrine.

Dominique essuya les gouttelettes de sang qui perlaient. Les deux bagues chromées qu’ils venaient d’enchâsser dans chacune de mes aréoles, distillaient une douleur singulière et bienfaisante.

Elles confortaient et pétrifiaient linsolente érection de mes tétons.

Je ressentais l’angoisse suprême et exaltante d’être lenjeu d’une affaire qui ne me concernait plus.

Je choisis, une fois pour toutes, de ne plus choisir.

Lindécence de mes tétines hérissées symbolisait ce nouveau mode de vie et le rapport singulier au monde extérieur que je convoitais.

Les deux filles me détachèrent les poignets. Je sentais mon sexe couler comme une fontaine. Jamais je navais été aussi exaltée. Enfin libre de mes mouvements, je portai les mains à ma poitrine pour constater la fermeté de lancrage de mes bagues et leffet érectile de leur serrage outrancier.

Tous les regards se tournèrent vers mon sexe quand Karl prit la parole.

Mon « petit » clitoris avait été choyé et il faisait à présent fièrement saillie au sommet de ma fente.

– Ceci sera ta première punition pour avoir négligé de mettre mon baume sur ton sexe et tes mamelons.

Ton poitrail est maintenant condamné à lérection permanente. D’autres châtiments suivront au besoin pour tapprendre lobéissance.

Sachant ce dont son esprit pervers était capable, un doute épouvantable menvahit quand le regard de Sakis se porta sur mon entrejambe.

– Ecarte tes cuisses et masturbe-toi devant nous ! Ne te fais pas prier ! Je ne peux pas me permettre d’engager une femelle qui ne soit pas ardente et encore moins indécise.

Ce n’était, pour moi, rien de moins que le plus effroyable et le plus dégradant de tous les traitements.

Laimable Rafa devina mon trouble et vint maider à accompagner l’exploration intime de mon corps.

Elle me tendit le potiquet contenant le baume diabolique et jy plongeai deux doigts. Au mépris de ma honte, je commençai à caresser Cerise, déjà bien raide, afin de le faire durcir davantage.

J’étais complètement partie et bien décidée à me soulager quand la voix de Karl retentit comme un coup de canon.

– Suffit !

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