— Maman! Sors de ma chambre
— Et pourquoi sortirais-je? tu ne t’es pas détourné, toi, il y a 10 minutes quand j’ai changé de culotte!
— Je……
Ainsi elle me savait là, et pourtant elle n’avait rien fait pour se cacher. La honte d’avoir été vu à moitié nu, me masturbant, n’en était pas moindre pour autant. Mon éjaculation avait été si abondante que j’avais du sperme plein le ventre, les cuisses, les couilles et bien sur mes draps étaient trempés.
-Pour ta punition, petit cochon lubrique, tu resteras cul nu jusqu’à la fin de la corvée que je vais te donner
-quelle corvée?
— Tu vas mettre tes draps dans le lave linge et changer ton lit, puis, tu laveras, à la main, tes slips de la semaine, mais aussi les culottes de ta soeur et les miennes et tu iras les étendre sur le fl dans le jardin.
-Mais je ne peux pas aller dans le jardin avec le cul à l’air, il y a les voisins!
— les D…… sont partis pour la semaine et les P…. ne rentre que dans une heure avec leur fille. A toi de te débrouiller pour avoir fini avant leur retour.
-Et Jocelyne? tu sais bien que ma soeur peut rentrer d’un instant à l ’autre!
-Raison de plus pour que tu te dépêches, et si ta soeur te voit ainsi et bien ce ne sera pas la première fois qu’elle verra ton cul!
Aucun moyen d’échapper à l’humiliation. Je ne pouvais que me soumettre. Changer mes draps et les placer dans le lave-linge n’était ni difficile ni long à faire. Rassembler les culottes et les slips sales dans un bac d’eau chaude non plus. Les dessous de maman je les connaissais depuis un quart d’heure, ceux de ma soeur, par contre, il y avait longtemps que je ne les avais vus mis à part une de ses culottes que j’avais volée et qui me servait depuis plusieurs mois à épancher mes éjaculations nocturnes. je la cachais au fond de mon coffre à jouets, dans un coin de ma chambre.
— Et tant que tu seras occupé à laver nos culottes, n’oublie pas celle que tu caches depuis des mois!!!!
Elle ne m’épargnait aucune honte! Ainsi elle savait que je l’épiais mais aussi, elle avait dû trouver la culotte de Jocelyne sans rien me dire. Juste vêtu de mon t-shirt, le cul et le sexe à l’air je me pressais de frotter les 21 bouts de tissus sous la surveillance de maman. Certaines des culottes XXL étaient maculées de traces rouge foncé sur le devant et toutes de taches brunes dans le fond. Si je n’avais aucun doutes sur la nature de ces dernières, je me posais mille questions sur la provenance des autres.
-frotte plus fort , il reste des taches de sang sur mes culottes!
— C’est du sang? tu t’es blessée?
-Non je ne me suis pas blessée et leur provenance ne te regarde pas. Frotte et tais-toi!
J’avais commencé par mes slips, un peu intimidé de devoir manipuler les culottes de maman et de ma soeur. quand j’avais attaqué le nettoyage des petites culottes colorées de Jocelyne, j’avais été simplement intéressé par leur finesse, sans plus. Mais dès la première XXL je ressentis un trouble s’insinuer moi. Frotter et refrotter le tissus qui était toujours en contact étroit avec le cul de maman ( je ne pensais même pas à son minou) eut assez vite un effet évident sur mon jeune sexe. Pris par mon travail, je ne pensais plus à la porte de la buanderie que maman avait laissée ouverte pour me surveiller. j’en étais à l’avant-dernière culotte blanche quand mon érection fut à son complet développement. Je m’étais habitué à ma quasi nudité, et même je dois avouer que ça ne me dérangeait pas trop que maman puisse voir mon petit cul de puceau. En frottant les taches brunes, je m’imaginais passer les mains sur le cul merveilleux que j’avais si bien vu une heure plus tôt. Ce n’était plus un bout de coton que mes mains manipulaient mais la peau laiteuse qui m’avait si bien fait bander. Mes doigts la caressaient, ils s’insinuaient doucement entre les deux globes cherchant le fond de la raie sombre, trouvant l’oeillet plissé, s’y glissant doucement, écartant les fesses pour mieux voir le trésor serré entre elles,…
Une claque sonore me tira de ma rêverie. Les fesses me brûlaient tant maman y était allée de bon coeur sur mon cul.
-Je me doute de ce à quoi tu penses, et tu as intérêt à vite oublier cela, sinon ton père aura de quoi s’occuper ce soir quand il rentrera et que je lui aurai expliqué comment tu passes tes après midi!
je m’activai sur les dernières culottes, essayant de penser à autre chose pour que mon sexe se remette au repos. Rien à faire, il restait orgueilleusement dressé, visant le plafond. Impossible de le cacher et pourtant, je devais me retourner pour aller suspendre la lingerie au fil de séchage dans le jardin. si le simple fait d’avoir rêve en lessivant les culottes m’avait valu une superbe claque sur le cul, qu’allait il se passer quand maman verrait mon état d’excitation!
-Allons, dépèche-toi d’aller mettre tout cela à sécher, j’ai encore tout le reste de la lessive à terminer et ta soeur a besoin de moi pour une de ses leçons.
Ma soeur? Elle était donc rentrée sans que je m’en aperçoive. Elle avait du bien rire si elle m’avait vu lavant ses culottes, le cul et le reste à l’air. En effet quand je me suis décidé à me retourner pour me diriger vers le jardin, je vis Jocelyne appuyée au chambranle de la porte aux cotés de maman. Elles pleuraient de rire l’une et l’autre. Jocelyne tenait toujours en main une règle en bois. C’était donc elle et non notre mère qui m’avait marqué le cul. Toute honte bue, je rassemblai slips et culottes dans un panier et sortis suspendre le linge dans le jardin.
-N’est-il pas mignon ainsi ce petit garçon qui aide sa maman! Viens voir Carine, il y a pleine lune au beau milieu de la journée!
Madame P…. ! Je reconnaissais sa voix criarde entre mille! Mais le pire c’était que sa fille était là aussi. Je n’avais pas fini d’en entendre! Cette "grande" de 18 ans comme ma soeur avait pour passe-temps favori de raconter à ses copines tout les potins du quartier. Alors, m’avoir vu cul nu étendre la lessive! Elle en avait pour des semaines à rire à gorge déployée.