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Mon sosie : Lila Chatte, Star du X – Chapitre 4




J’arrivais au lieu de rendez-vous des cernes sous les yeux. J’avais encore mal au cul de m’être fait sodomiser et défoncer le jour précédent. J’avais beau me dire que tout le monde penserait que c’était Lila Chatte qui s’était fait baiser, j’avais pourtant l’impression que dans la rue tout le monde savait que c’était mon cul qui s’était fait ramoner. Puis je me rappelais que pour le reste du monde il n’y avait pas de différence entre Lila Chatte et moi. J’avais le cerveau en compote, ça faisait deux nuits que je n’avais presque pas dormi, et j’avais passé une journée infernale à me faire humilier et exploser les trous de toutes les façons possibles.

Sans compter que c’était par cinq noirs

J’attendais, j’étais dans un square de banlieue. Il n’y avait personne de si bon matin. Le temps passait… une demi-heure, puis trois quarts d’heure. Je me demandais si elle avait osé changer d’avis quand, finalement, je reçus un SMS de Lila :

"DSL, 2 heures de retard. "

Quelle salope ! Me faire attendre encore, j’étais épuisée, il faisait frais. Mais je n’avais pas le choix. Des jeunes étaient sortis de leur barre HLM, ils s’approchèrent de moi. J’avais un peu peur, ils étaient encapuchonnés, ç’avait tout l’air d’être des voyous.

« Hey t’es Lila Chatte ?

Heu, non.

Si c’est toi ! je t’ai trop maté dans tes films, je t’ai reconnu tout de suite ! Si tu savais comme tu m’as fait bander ! T’es la reine ! dis, tu peux me signer un autographe ?

Écoutez… j’attends quelqu’un. C’est tout.

Ouais, allez juste un autographe, ce serait trop cool, et on te laisse tranquille. Ce serait vraiment trop la classe à montrer aux potes. Ils vont trop bader. »

Je finis par signer un autographe "Lila Chatte" les autres membres du groupe en voulurent un aussi. Je m’obligeais sans trop de déplaisir. Je n’avais rien contre être une star pour encore une heure ou deux.

Finalement, à 9 h 15 Lila finit par arriver.

C’était comme si mon clone, ou mon hologramme marchait vers moi.

« Lila Chatte ? Je suis Madeline

Incroyable. On se ressemble comme deux jumelles.

Oui, je sais. J’ai vu les vidéos.

Je comprends qu’on te prenne pour moi.

Oui ! ça m’empoisonne la vie ! C’est pour ça que je voulais te voir.

Je comprends J’hésitais un peu à te rencontrer. Mais j’ai compris hier que tu étais déterminé. »

Je ne pus m’empêcher de rougir. En l’occurrence "déterminer" semblait être une litote, sachant que pour obtenir ce rendez-vous je m’étais fait atomiser la chatte et aspergée de pisse et de foutre.

« Oui, bon. Alors tu es d’accord pour…

Cela dit je préfère être franche avec toi, t’as été nul. Mon producteur m’a engueulé ! Ce n’était pourtant pas bien dur. Il y avait juste cinq types, par rapport à certains gangbangs que j’ai faits…

Ça n’a aucune importance (même si au fond j’étais un peu vexée, je m’étais fait humilier, marquer au fer et sodomiser par des queues de noirs, et tout ce qu’on trouvait à dire était que j’avais été nulle !) de toute façon, tu arrêtes maintenant.

C’est que… c’est mon métier.

Ton métier ?! Baiser ? C’est pas un métier ça ! Tout le monde peut le faire ! On ne demande pas aux putes si elles ont un diplôme de pute !

Je suis pas une pute.

Pute, "Porn Star", c’est pareil ! Suffit d’avoir un trou entre les jambes !

Mais je suis payée plus qu’une simple pute, et puis le producteur a dit que vous étiez nul. Ça veut bien dire que je suis plus douée que vous

À écarter les jambes ? C’est juste que vous avez un physique de pétasse et moi »

Je me rendais compte que je venais de dire une connerie, Lila devait tout de même avoir deux neurones dans sa cervelle, car elle le remarqua.

« Mais on est pareil ! Ça veut bien dire que je suis meilleure que vous…

N’importe quoi ! Je suis quand même plus maline que toi, j’ai fait des études, j’ai un vrai boulot. Même baiser je saurais mieux le faire que toi !

Ah ouais ! Moi j’ai commencé à travailler comme actrice à 18 ans et je me suis donnée à fond. J’ai enchaîné les tournages parfois sept jours sur sept. Mais si vous pensez être meilleure que moi, allez-y ! Faites donc mon prochain contrat, et si le producteur m’appelle pour me dire que vous avez été moins bonne que je ne le suis d’habitude alors je continue de faire actrice porno. »

Moi et ma grande bouche ! J’allais sans doute devoir refaire une vidéo. Mais je tenais à assurer mes arrières

« D’accord, mais si je suis aussi bonne, ou meilleure, alors tu arrêtes ton métier de pute.

Ça marche.

Bon, cette prochaine vidéo, c’est pour quand ? »

Je m’attendais à ce que son tournage ne soit que dans quelques jours, mais Lila regarda sa montre, et annonça :

« Dans cinq minutes, juste à côté, » déclara-t-elle, l’air de rien, en me montrant un bâtiment du doigt.

PUTAIN ! J’étais vraiment épuisée, j’avais le cul en feu et je devrais refaire un tournage dans cet état ? Je sentis mon sang se glacer.

« On se retrouve ce soir, et essaies d’être plus aimable, la "Black Justice" à dit que tu te comportais comme une chichiteuse. Comme tu vas être nulle, ne me fais pas passer pour quelqu’un de malpoli en plus. »

J’étais tellement abattue que je ne trouvais rien à lui répondre. J’arrivais sur les lieux en courant. Un homme m’accueillit, c’était un des caméramans que j’avais rencontrés la veille. J’espérais ne pas revoir le groupe de noir aussi.

« Lila, tu arrives juste à temps. »

Je pensais lui demander de reporter le tournage de quelques jours pour prendre du repos. Mais je me rappelais les termes de notre accord, comme elle se vantait d’enchaîner les tournages sept jours sur sept, elle considérait sans doute, salope comme elle l’était, que prendre des jours de repos annulerait notre marché. Il fallait que je sois à 100 %, tant pis si je n’étais plus qu’une loque à la fin du tournage. Et autant essayer d’être agréable. Pas pour faire plaisir à Lila, mais pour mettre les autres dans un bon état d’esprit.

« Je suis prête à turbiner ! Montrer moi une bite, je la mets au travail aussi sec !

Ah, mais c’est que toute de suite, c’est plutôt des chattes qui va falloir faire reluire »

Je grimaçais, lécher des chattes ? C’était répugnant, il me prenait pour quoi ? une sale gouine ?

« Je suis pas une gou euh j’étais pas au courant de ça »

Je ne pouvais pas me rétracter maintenant, Lila Chatte était sans doute bi ou pire encore. Une dépravée pareille, elle le faisait peut-être même avec des animaux…

Je regardais dans la salle, il y avait une beurette, plutôt bien fichue avec de beaux yeux verts et une grande natte, et une blanche une brune qui avait une assez sale tête, et transpirait la vulgarité Mais comme elle avait de gros nénés, elle devait malgré tout facilement trouver du boulot dans le porno.

Le réalisateur fit les présentations « Jasmine et Ilya, je vous présente Lila Chatte je vous avais promis une star, non ? »

Et aussi étonnant que ce soit, les deux filles parurent impressionnées. J’essayais de me montrer sympa avec elles. Même si c’était de grosses lesbiennes.

« Salut les filles ! On va bien s’amuser ensemble je le sens ! »

Je m’habillais rapidement, cette fois je n’avais pas un costume de pute, mais celui d’une femme d’affaires. J’étais assez mal à l’aise. Au moins quand j’étais déguisée en salope, j’entrais dans la peau de Lila Chatte. Jamais je ne me serais habillée comme ça dans mon quotidien. Là, avec cette tenue, j’avais l’impression d’avoir des habits presque quotidiens, je sentais que la supercherie prête à être dévoilée. Enfin, ce n’était pas non plus ma tenue habituelle. Le tailleur était BEAUCOUP plus court, le chemisier me serrait beaucoup trop et mettait mes gros nibards en valeur, quand à la lingerie noire, elle avait été achetée au rabais.

On commença le tournage presque immédiatement, la scène commençait dans un bureau. Moi, Lilia Chatte en habit de femme d’affaires "sexy" morigénait sa secrétaire, Ilya.

« Ilya ! Tu as fait plein de fautes d’orthographe.

Oui Da, moi pas bien parler français.

Secrétaire crétine ! à quoi tu me sers, si tu sais pas écrire !

Moi savoir brouter, lèche-lèche. Très bon. Moi lécher toi, comme chat laper lait. »

Je grimpais sur le bureau et écartait les jambes.

« Alors, lèche-moi sale gouine ! »

Ilya se mit alors à genoux devant le bureau et lécha sa patronne. Moi.

Je fus assez surprise, certes c’était dégoûtant, mais si je faisais abstraction que j’avais une femme entre les jambes, ce n’était pas si désagréable. Et puis, je me rappelais que ma performance d’actrice serait évaluée, il ne fallait surtout pas qu’une ombre de dégoût puisse se voir. Je souriais extatique. « Lèche ! lèche… ohhh c’est BOOOONNN. Mets la langue dans ma fente foutue salope. »

J’avais eu l’expérience hier de me faire insulter comme la pire des traînées, et je me rendais compte qu’insulter les gens qui étaient obligés de vous prodiguer des faveurs sexuelles avait quelque chose d’excitant. Surtout insulter une lesbienne, un être immoral.

Je la vis se relever, la salope voulait m’embrasser. Je la laissais faire. Nos deux langues se mélangèrent salement, je sentais la salive de cette femme dans ma bouche, c’était répugnant et presque comme une vengeance, je fourrais ma langue dans sa bouche, agressivement. Elle écarquilla les yeux sous la violence, ce qui me fit plaisir. Je lui fourrais ma langue comme si j’avais une bite et la lui faisait sucer, une vraie sauvage. La caméra devait adorer ça

« Retourne me lécher, sale pute, si tu sais pas parler français, apprend au moins à utiliser ta langue. » Je lui pris la tête et la remis au niveau de ma chatte. Qu’elle fasse ses saloperies là-dessous me dérangeait moins.

La porte s’ouvrit. Jasmine entra, elle était déguisée en policière.

« Lila, je vous arrête enfin !

Et pourquoi donc ? »

Elle sembla surprise comme si ce n’était pas prévu par le scripte.

« Eh ben »

Elle manquait vraiment d’imagination et de répartie, une vraie cervelle de pute. Je m’approchais d’elle pour l’aider à rendre le porno un peu salace : « Pour corruption de fonctionnaire ? Avec compensation en nature… On peut s’entendre. »

Et ayant eu l’expérience de l’embrassade avec Ilya je lui mettais ma langue dans la bouche à elle aussi.

Mais elle était moins conciliante que "ma secrétaire" c’est elle qui me mit à genoux.

« Pute, si tu lèches bien, on verra si je passe l’éponge. Tu as intérêt à bien me faire reluire… »

Je lui retirais sa jupette en cuir. Elle portait des porte-jarretelles. Je lui léchais les cuisses, l’autour de son con. Sa chatte rasée me répugnait. Mais les préliminaires devaient avoir duré assez longtemps, elle pressa sa tête contre son abricot. Je me répétais que je devais agir efficacement, prouver à Lila Chatte que j’étais aussi douée d’elle. Je sortais la langue et l’enfonçais dans sa cramouille. Lécher une chatte de femme était aussi dégueu et humiliant que je l’imaginais, c’était plein de sécrétions diverses, mais j’y mettais du cur pour la caméra.

« Mmm, je me régale, de la chatte de flic, dure et méchante, comme je les aime. »

Je sentis alors qu’on me mettait que quelque chose derrière En moins de deux, je sentis un tube en plastique s’enfoncer dans ma chatte. Derrière moi, « ma secrétaire » avait enfilé un énorme strap-on et m’enfilait avec ! La salope moi pendant ce temps je devais lécher de la chatte.

Les coups de la grosse bite en plastique étaient terrifiants, je me sentais exploser à chaque coup de reins. Mon visage devait sembler choqué, ou idiot, car Jasmine manqua de se marrer.

Je la sentis me verser de la vaseline dans le trou du cul. Je fermais les yeux, j’allais encore le sentir passer.

Je quittais le tournage dans un état lamentable, mais je m’étais donnée à fond. Ces deux putes s’étaient servies de moi comme d’une esclave. J’avais léché suffisamment de chatte pour une vie. Je détestais déjà les gouines avant le tournage, et maintenant mon opinion était faite, elles avaient le vice dans la peau et leurs pratiques étaient les plus infectes et grotesques qui soient. En ouvrant la porte pour sortir je faillis me cogner contre deux types qui entraient.

« Madame, police.

Euh Vous êtes en retard, le tournage est fini. »

Les deux hommes se regardèrent.

« Nous sommes VRAIMENT de la police, "madame". Je peux demander votre nom ? »

(J’eus franchement la trouille un instant, je me dis qu’ils allaient m’arrêter pour être une pute ! Mais deux secondes de réflexion plus tard, je me rappelais que même si c’était bizarre, faire actrice porno était autorisée, contrairement à faire la pute.)

« Vous êtes Lila Chatte ?

Euh non je m’appelle Madeline Sillane. » (Je n’allais quand même pas mentir à la police ! Et puis si ça se trouve Lila, s’était mis dans les ennuis. Tant mieux. Si elle allait au trou, sa carrière prendrait fin sans que j’aie à la revoir.)

Les deux policiers se regardèrent à nouveau puis me mirent la main sur l’épaule.

« Veuillez nous suivre, je vous prie, vous êtes en état d’arrestation.

Hein ?! Mais pourquoi ?

Vous êtes accusée d’usurpation d’identité.

Moi ? mais c’est ridicule ! Je vous dis que je suis Madeline Silane ! »

Mais mes protestations ne servirent à rien, j’étais abasourdie Comme je renâclais, on me mit les menottes, et on me fourra dans le panier à salade. Arrivée au commissariat, on me fit carrément passer un interrogatoire.

« Vous prétendez être Madeline Silane ?

Oui c’est ça ! C’est moi !

Vous avez vos papiers d’identité.

Dans mon manteau. »

Je sortis mon portefeuille et le tendis au policier. Il l’ouvrit et l’inspecta. Il allait se rendre compte que toute cette histoire était dingue.

« J’ai ici des papiers d’identité au nom de Jennifer Nouque. Qui est le nom "à la ville" de l’actrice "Lila Chatte" ainsi que son permis de conduire.

Quoi !? Mais c’est fou ! »

Je réfléchis quelques minutes pendant que le policier me laissait mijoter. La lumière se fit jour ! cette salope de Lila essayait de se faire passer pour moi.

« Pendant le tournage ! j’ai laissé mes affaires sans surveillance. Elle a dû échanger ses cartes avec les miennes.

Qui ça ?

Mais Lila Chatte voyons !

Donc si je vous suis, vous avez abandonné vos affaires, car vous étiez sur un tournage de film pornographique, c’est cela ?

Oui !

Donc vous qui prétendez être Madeline Silane, et être actrice porno ?

Quoi ?! Non pas du tout C’est que… c’est compliqué à expliquer. C’est un accord que j’ai fait avec Lila pour une seule fois.

Ça tombe sous le sens… Je comprends… Dites, vous voulez bien signer du nom de Lila Chatte ?

Mais je vous DIS que je NE SUIS PAS, Lila Chatte !

J’ai bien compris mademoiselle, nous voulons justement vérifier que votre écriture est différente. »

Ça me convenait, c’était même une bonne idée. Heureusement la police était habituée à gérer ce genre d’affaires, je pris le stylo devant moi et leur faisait une signature de Lila Chatte imaginaire.

Il prit le papier où j’avais signé, et le compara à un autre qu’il sortit d’un dossier.

« Ils sont identiques

C’est impossible ! D’où vous sortez ça ?

Un de vos fans qui attendait votre sortie, il avait déjà un de vos autographes, je lui ai emprunté.

Mais c’est J’ai signé un autographe ce matin, c’est un coup monté !

Parce que vous avez l’habitude de signer des autographes sous le nom de Lila Chatte ? Même si vous prétendez ne pas l’être ?

Mais C’est qu’on se ressemble tellement ! Je me suis prise au jeu, une fois ! Une seule fois

Vous vous ressemblez beaucoup. Mais d’après votre producteur, vous avez une marque distinctive peu imitable Un as de pique sur la fesse gauche ?

Je euh c’est vrai mais

Cette marque a été faite dans une vidéo où jouait Lila Chatte.

N… n-non c’est moi qui jouait dans cette vidéo aussi. Mais je peux l’expliquer, vous voyez

Mais bien sûr ok, je vais être honnête avec vous. Vous pensez qu’une femme sur-diplômée, riche, respectable, puisse être soudainement prise d’une envie pressante de boire de la pisse de noir ? De se faire démonter le cul et recevoir des dizaines de jets de sperme dans sa chatte et sa bouche. De servir de serpillière à foutre plutôt que de faire du shopping dans les galeries de luxe Laissez-moi vous dire, Mademoiselle Lila Chatte, que vous vivez dans un autre monde, un monde sordide et crasseux ce genre de pratique est réservée aux traînées comme vous, jamais une femme qui a un minimum de dignité n’accepterait de faire le dixième des choses que vous faites. Vous êtes vraiment le fond de caniveau, vous êtes plus proche d’être une chienne que d’une femme. Alors plutôt que d’essayer de vous faire passer stupidement pour une autre, réfléchissez à votre vie, à ce que vous faites. Sucer des queues et se faire foutre à longueur de journée ce n’est pas une vie Enfin au point où vous en êtes, c’est sans doute la seule chose dont vous soyez encore capable de faire. Alors, accepter votre sort, rester le garage à bite que vous êtes, et arrêter d’ennuyer les femmes de la bonne société.

Je

Vous avez le droit à un avocat. Même si c’est pour la forme… les preuves sont accablantes. Mais il vous persuadera peut-être de reconnaître les faits, et de demander pardon à votre sosie, ça pourrait vous permettre une réduction de peine. Sachez que l’usurpation d’identité est punie de 5 ans d’emprisonnement et de 75 000 d’amende En attendant que votre bavard ne vienne, je vous en mets en cage… avec les putes, vous avez sans doute des astuces professionnelles à vous échanger »

Épilogue.

Un an plus tard, je recevais une visite au parloir. C’était MON usurpatrice.

« Salope !

Oh "Lila" ravis de te revoir. Tu t’acclimates bien à la prison ? Pas la peine de répondre ; je soudoie une gardienne pour savoir tout ce qui t’arrive. Il paraît que tes codétenues ont été folles de joie de savoir qu’une "star du porno" venait leur rendre une petite visite. C’est vrai avoir une experte pour lécher des chattes, ça rehausse le prestige d’une prison. J’espère que tu ne les as pas trop déçus ? Enfin si tu t’y connaissais pas bien en gouinage maintenant t’es devenue une championne du monde. J’aurais aimé voir ça, quand elles ont vu ta marque d’as de pique sur le cul, avec toutes ces noires en prison ça dû être festival ! Une esclave blanche rien que pour elles, elles ont sauté de joie, non ? C’est dommage que tu aies fait la grincheuse et aies commencé par rechigner à les servir, mais tu dois les comprendre… Pourquoi étais-tu si enthousiaste sur tes vidéos à te faire pisser dessus par des noirs et te montrais-tu réticente avec elles ce n’était pas raisonnable. Tu aurais dû accepter immédiatement ton rôle de brouteuse de chatte officielle, ça t’aurait évité d’en baver. Mais je ne suis pas venu me moquer, Madame la grande femme d’affaires. D’ailleurs je me rends compte que tu as eu raison de faire des études. C’est génial avec un diplôme d’HEC, j’ai trouvé un poste super bien payé en dix jours, et même pas besoin de me bosser, ce sont les stagiaires qui font le travail à ma place. C’est la belle vie Enfin je ne crache pas pour autant sur l’argent, il faudra bien sûr que tu me rembourses ta dette pour préjudice subi quand tu sortiras. Mon avocat a été remarquable au procès, tu ne trouves pas ? Comme il a expliqué qu’avec ta ressemblance tu avais empoisonné ma vie. Même le juge était ému. Au fait, tu as remarqué que j’avais vidé mes comptes en banque avant de "changer de voie" ? J’ai bien peur d’avoir même fait quelques emprunts à des gens un peu louches. Mais ne t’inquiète pas, j’ai pris contact avec des cinéastes qui voudront bien te faire travailler comme hardeuse à ta sortie de prison pour que tu puisses les rembourser, eux et moi Ah, ce ne sera pas des vidéos classes comme j’en faisais. Mais moi je n’étais pas une condamnée, je n’avais pas fait de peine de prison. Non avec ton passé, tu vas devoir faire dans le sale, le crade Évidemment ce sera payé chichement, tu auras intérêt à mettre les bouchés doubles pour pas que les mafieux ne te veuillent du mal. D’autant que les intérêts augmentent pendant que tu glandes en prison à lécher des chattes gratuitement…

Donc, voilà, je venais t’encourager. Te faire savoir que tu passais du bon temps en ce moment à faire l’esclave pour tes camarades détenues. C’est quand tu sortiras que les choses sérieuses commenceront. Allez, salut, je ne sais pas si tu méprises toujours ce que je faisais Mais moi je trouve que t’es une battante ! »

Fin.

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