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Ma sulfureuse tante Charlène – Chapitre 2




Je la servais donc, puis nous nous installions dans le sofa, l’un à côté de l’autre. Mon cur palpitait, être si proche dans l’intimité à siroter du vin avec ma tante me faisait me sentir comme à un rendez-vous galant. Mais je voulais plus, comme l’indiquait ma verge dont je tentais de cacher l’érection.

Alors, commençais-je après une gorgée. Et si tu m’en disais plus sur ton ancien job.

Elle sourit et dit :

Ça t’intéresse, hum ? Mon cher neveu, tu es décidément l’opposé de ta mère… Eh bien, que dire ? J’étais jeune et jolie, à la recherche d’un travail. Puis un jour, lors d’une fiesta en boîte de nuit, un type m’a proposé le job. Comme je ne suis pas frileuse, je n’ai pas mis longtemps à me décider.

Vu comme tu es belle, tu devais avoir du succès.

Oh, voilà que tu me flattes, mais oui, j’avais du succès en effet. Malgré ce qu’on en disait, ça me plaisait bien, je me sentais vivante dans un sens et les clients ne tarissaient pas d’éloges à mon sujet.

Alors pourquoi tu as arrêté ?

Je suis tombée enceinte de Clem… un bonus imprévu de mon patron lors d’une promotion canapé.

Houla… donc Clémentine est…

Voilà.

Ah ! Merde. Ça explique bien des choses… Et tu dansais comment ? Tu avais une chorégraphie ?

Bien sûr, de quoi faire vibrer les jeunes dans ton genre.

Tu me fais une démonstration ?

Glissée ainsi, cette demande semblait dite avec humour, mais mon regard indiquait tout mon sérieux. Elle me regarda d’un air sceptique. Elle sourit.

Mon cher neveu, c’est pour ça que tu me fais boire ? Tu espères un show de ma part ?

Hum, non. C’est juste que…

Oh ! Allons, des types dans ton genre j’en ai vu des milliers. Des petites boules de nerf impudentes et audacieuses qui tentent de cacher ce qui gonfle entre leurs jambes… quoique beaucoup étaient également ravis de me la montrer sans prévenir…

Ah… oui. J’imagine, murmurais-je, gêné d’être percé à jour.

Ça fait bien longtemps que je n’ai plus dansé, et puis ce n’est plus de mon âge.

C’est une connerie ça, tata, on n’est pas vieille à 38 ans. Tout est une question d’entretien, tu es mince et élancée, ton visage est magnifique. Tu es tout à fait charmante.

Voilà que tu flattes mon corps à présent. Tu ne perds pas de temps, dis donc.

Toujours avec les femmes telles que toi.

Elle se mit à rire face à ma drague franchement maladroite, voire ridicule, face à une personne de son expérience. Vraiment, je ne savais pas si le fait qu’elle en riait était bon ou mauvais signe. Même si je sentais que j’allais droit dans le mur, avec tante Charlène, c’était imprévisible.

Ah la la ! Voilà que mon neveu adoré souhaite me voir nue. Je savais que tu m’appréciais, mais là…

Tu adores danser et j’adorerais te voir danser.

N’oublie pas que tu parles à ta tante tout de même, dit-elle en faisant la moue.

Ce n’est pas comme si on faisait quelque chose de mal.

Entre neveu et tante ? réagit-elle en sourcillant. Question point de vue, surtout celui de ta mère, elle me tuerait sur ce coup-ci.

Je te promets de rester sage.

Nathan…

Allez tatie ! Pour mes dix-huit ans, pour rendre mon anniversaire inoubliable.

Elle ne répondit pas, Charlène avait abandonné son sourire, le regard perdu et semblait pensive. Ce silence durait une éternité pour moi, car je me demandais bien à quoi elle pensait.

Je crois qu’il est tard, finit-elle par dire d’un ton bien sérieux sans me regarder ; ta mère va s’inquiéter. Merci de m’avoir raccompagnée.

Je vois…

Voilà une fin de non-recevoir, j’avais foiré sur toute la ligne. Et vu son regard absent, sans sourire, aucun recours ne semblait possible, aucune parole n’y changerait. Je me levai, déçu. Je me sentais minable, presque rouge de honte d’avoir fait pareille proposition.

Alors que j’allais enfiler ma veste, elle but une gorgée de vin puis se leva.

Nathan.

Je me retournai. Elle enleva l’élastique qui maintenait sa queue-de-cheval et l’utilisa pour entortiller ses cheveux afin d’en faire un chignon grossier.

Tu sais te taire ?

Tu sais bien que je suis une tombe, tata, affirmai-je, alors qu’un frisson me parcourait le corps.

Elle finissait de lacer son chignon sans dire un mot.

Assieds-toi, me dit-elle d’un mouvement de la tête en direction du sofa.

Oh la vache, c’était vrai ? Elle semblait déterminée, sérieuse, allait-elle vraiment le faire ou m’emportais-je comme le premier des puceaux ? Mes pensées se mélangeaient trop vite, je ne lui répondis pas, je ne savais pas quoi dire. Alors, je me suis simplement rassis sur le sofa ; le cur battant la chamade.

Elle alluma sa chaîne hi-fi tandis que nous gardions tous deux le silence. De la musique pop retentit des baffles, une musique au rythme et à la sonorité sensuelle, bien dans le genre des strips. Sauf que Charlène ne monta pas le son trop fort afin, sans doute, de ne pas réveiller la petite. Tata se plaça debout devant moi, les mains sur les hanches. J’avais l’impression d’être dans un autre monde.

Tu es à l’aise, mon lapin ?

Oh oui, répondis-je tout sourire.

En fait, j’étais un poil tendu, mais chut.

Elle se mit de côté, les pieds joints, et s’appliqua d’abord dans un petit déhanché. Même avec les yeux grands ouverts, je n’en revenais pas. Elle le faisait vraiment, ma propre tante allait se mettre à poil devant moi pour me faire un strip-tease ! Tout en ondulant son corps langoureusement, elle ne cessait de me fixer des yeux. Elle ne souriait pas, non, ses lèvres légèrement entrouvertes appelaient au désir tandis que son regard accentué par son maquillage était terriblement sensuel. Elle me regardait avec envie.

Son regard irrésistible n’était pas le seul à me faire craquer, tout son corps que je voyais onduler sensuellement sous ses propres caresses me faisait bander. Elle me fit face, s’accroupit tout en remontant sa jupe, ce qui rendit sa culotte noire en dentelle bien visible à mes yeux éberlués. Elle se releva, se caressa puis se mit de dos. Ses mains jouaient avec les pans de sa jupe qu’elle releva au niveau des hanches et me montra ses fesses en se dandinant vulgairement. Je n’arrivais pas à croire ce que je voyais, incroyable. Je vis un petit sourire en coin sur ses lèvres. Elle appréciait, la coquine, mais elle resta pro en reprenant son regard de séductrice.

Ensuite, elle s’approcha de moi sans jamais me lâcher de son regard captivant, comme un top model dans un défilé de mode.

Très près de moi, Charlène se retourna, se baissa, puis vint s’asseoir sur ma bite tendue dans mon pantalon. Elle utilisa sans vergogne ses fesses afin de me caresser l’entrejambe et bien sûr, je n’ai pas pu me retenir. Lorsqu’elle s’est relevée pour m’offrir juste devant mon nez la vue somptueuse de son derrière, mes mains s’empressèrent de les lui palper.

Alors mon lapin, on a les mains baladeuses ? Ne disais-tu pas que tu allais être sage ?

Désolé, tatie, je ne peux pas me retenir, tes fesses sont tellement sublimes.

Loin de s’en offusquer, au contraire même, elle se déhancha à quelques centimètres de mon visage, se dandinait ces fesses plantureuses que je malaxais pour mon plus grand plaisir. J’ai caressé son corps, je l’ai palpée de partout, mais surtout : elle me laissait faire.

J’étais à deux doigts de caresser sa vulve quand elle s’éloigna afin de dézipper sa jupe qu’elle laissa tomber à ses pieds. Le premier vêtement était à terre. Ses jambes s’écartèrent et, tout en s’accroupissant devant moi, elle glissa une main dans sa culotte puis mima une masturbation au rythme de la musique. WOUAH ! C’était chaud chaud chaud ! Bon Dieu ! Mais mieux encore, elle se mit à tirer sur sa culotte, ce qui provoqua le glissement du tissu noir entre ses lèvres vaginales suintantes. La salooope ! J’ai cru que mes yeux allaient sortir de leurs orbites.

Elle se releva, son corps entier ondulait langoureusement sur le rythme lent de la musique alors qu’elle se caressait la poitrine à travers son pull. Je devinais la suite. Lentement, Charlène remonta son pull, dévoila sa poitrine garnie d’un soutien-gorge noir en dentelle, un B je dirais, puis enleva définitivement son haut. J’admirais ce corps sensationnel de femme mûre appétissante, les filles de mon âge pouvaient aller se rhabiller.

A présent, vêtue uniquement de ses sous-vêtements noirs en dentelle, elle vint, un genou après l’autre, s’agenouiller sur le sofa, enfin sur moi. De nouveau, je baladais mes mains sur ses cuisses, sur ses hanches, sur tout son corps. Je la caressai pendant qu’elle me fixait avec son regard de salope. Je ne pouvais vraiment plus m’empêcher de la toucher. Sa peau avait la maturité de ses trente-huit ans, mais elle était douce, agréable. J’ai précipité mes mains sur sa poitrine et me suis mis à malaxer ses seins au travers du tissu noir. Cette fois encore, elle me laissa faire à ma grande surprise…

Charlène devint même plus encore provocante lorsque, caressant sa joue de ma main, elle enfourna très vite mon pouce entre ses lèvres et le suça avec l’avidité d’une salope amoureuse. Elle semblait en chaleur, me léchant les doigts, lapant ma main de tout le long de sa langue humide dans un pur style pétasse. Mon Dieu, jamais je n’avais connu une telle excitation ! Aucune des jeunettes que j’avais connues ne lui arrivait à la cheville.

Et puis, elle recula, s’arrêta de danser face à moi, les mains sur ses hanches quasi parfaites. Elle souriait.

Alors ? Comment était ma prestation ? me demanda-t-elle avec fierté.

Je te le dirais quand tu auras fini.

Elle se mit à rire.

Mais j’ai fini, mon coquin. Tu n’auras pas plus.

Je me sentis frustré en entendant ces mots.

Quoi ? Tu ne peux pas me faire ça, tatie, c’est trop frustrant.

Je crois que tu as bien assez profité du spectacle, mon lapin.

Un strip c’est un strip, tatie !

J’en ai déjà fait beaucoup, tu ne crois pas ?

Oh non, pas du tout ! Là, c’est comme si je te voyais simplement en maillot de bain à la plage, c’est tout ton corps que je veux voir. Tu es trop canon !

Nathan…

Allez tataa. Au point où nous en sommes, fais-le !

Oh misère, soupira-t-elle. Ce que tu peux être têtu !

Oh ! Merde, ma persévérance semblait payer. Elle prit quelques secondes afin de reprendre le rythme de la musique et vint une nouvelle fois se mettre à genoux sur le sofa, son derrière bien installé sur mon entrejambe.

Alors comme ça, tu veux voir mes seins, mon lapin.

Charlène passa ses mains dans son dos afin de dégrafer son soutien-gorge, puis le fit glisser le long de ses bras. J’en restai bouche bée. Ses seins n’étaient pas énormes, mais restaient fermes malgré le poids des années ; ses tétons proéminents, légèrement écartés vers l’extérieur, pointaient au milieu de ses sombres aréoles. Tata Charlène détournait le regard pour la première fois et semblait rougir. C’était surprenant venant d’une telle professionnelle, mais sans doute le fait de mettre son intimité à nu devant son neveu la troublait.

J’ai profité de cet instant d’inattention de ma tante pour plaquer mon visage sur sa poitrine. Elle fut surprise, ce qui lui fit lâcher un petit cri érotique, mais ma langue trouva très vite l’un de ses tétons durcis que je léchai et suçai avec l’avidité d’un nouveau-né.

Allons, Nathan, dit-elle en me repoussant doucement, reste sage mon lapin.

Elle s’écarta délicatement et se mit debout ; c’était le moment du grand final. Elle me tourna le dos, me montra ses fesses une fois encore. Elle se pencha en avant et cambra son corps. A l’aide de ses mains, elle fit glisser sa culotte noire le long de ses cuisses…

J’étais scotché par la vision torride que m’offrait ma tante. J’admirais de derrière son sexe aux lèvres légèrement proéminentes alors que, de ses mains, Charlène écartait ses fesses afin de me faire pleinement profiter de la vue de sa fente moite et de sa rondelle. Elle se redressa et me fit face. Son sexe était parfaitement épilé.

Pour mon seul plaisir, Tante Charlène continua sa danse sensuelle pendant laquelle elle se caressa tout le long de son corps nu en fermant les yeux. Moi, j’étais définitivement à l’étroit dans mon pantalon et je n’avais qu’une envie : baiser ma tante. Je savais pertinemment que si je voulais forcer les événements, si je voulais que cela aille plus loin, alors je devais faire le premier pas.

J’osai. Pendant qu’elle se caressait au rythme de la musique, je baissais lentement ma braguette, sous ses yeux. Elle me regarda, l’air surpris, mais continua à danser bien que gênée. Enfin, je libérais à l’air libre ma verge tendue au maximum que j’astiquais, sourire aux lèvres, d’un lent va-et-vient. C’était un geste osé, un pari risqué, quitte ou double. Soit elle m’envoyait chier, soit elle m’acceptait. Elle n’était pas idiote, elle devait bien savoir ce que je voulais d’elle. J’espérais juste ne pas la faire fuir avec mon insistance, j’avais peur que mon empressement fasse tout foirer.

Je me branlais devant elle. Je l’admirais avec un regard pervers tandis qu’elle regardait, rougissante, ma main astiquer ma verge. Ouf ! Bien que visiblement déstabilisée, elle ne semblait pas outrée pour autant.

La vache, déclarais-je, en me branlant lentement, tu es douée tata. Rho la la ! Tu me fais bander dur… Magnifique.

Elle ne répondit pas, trop gênée, se contentant de danser.

Et lors de tes séances privées, ça t’arrivait de faire des bonus ?

Tatie Charlène n’était pas dupe. Et avec son expérience, elle devait bien comprendre mon allusion. Je la voyais hésiter, silencieuse, embarrassée.

Oui, répondit-elle enfin d’un faible murmure peu assuré.

Tu me montres ?

A nouveau, elle ne répondit pas.

J’ai vraiment envie de te connaître tata.

Tu te rends compte de ce que tu me demandes ?

Je laissai un blanc avant de répondre fermement avec le plus grand sérieux.

Oui.

Après un énième moment d’hésitation, elle s’approcha de moi toujours en ondulant son corps. J’étreignis sa tête en posant délicatement mes mains sur ses joues. Charlène me regarda. Fais-le ! criaient mes yeux. Fais-le !

Alors, les lèvres entrouvertes de désir, elle s’agenouilla entre mes jambes. Ma tante pencha sa tête, tendit sa langue puis lapa ma verge de tout son long. Un frisson de plaisir parcourut mon corps à ce simple, mais long contact.

Oh ! Mon Dieu, elle le faisait ! Pour de vrai, elle le faisait ! Au début, elle se contentait de frôler de ses lèvres mon sexe tendu, mimant une fellation le long de ma tige. Ensuite, remontant vers le gland, je vis la tête de tatie Charlène engloutir ma bite bien au fond de sa bouche. Elle le faisait ! Elle me suçait la salope. Et elle y mettait de l’ardeur en plus ! Je sentais très nettement sa langue s’enrouler autour de ma bite, elle me pompait le dard dont je tenais la base d’une main. Que dire du doux bruit de succion parfaitement maîtrisé ? Divin ! J’avais gagné sur elle ! Tante Charlène était à moi et je savourais ma victoire en sentant sa langue savourer ma bite. Continue salope, oui. Dans quelques minutes, je vais fourrer ma queue dans tes entrailles, tu vas voir !

Putain, elle savait sucer la chaudasse. Sa tête allait de haut en bas et elle faisait preuve de toute son expérience. Merde… Combien de bites avait-elle sucées dans sa vie ? Arg, Bon Dieu, sa langue… Oh… Je… Merde ! Merde ! Pas tout de suite !

Hélas, si. A mon grand dam, je n’avais pas réussi à me contenir. Je me sentis lâcher la sève, Charlène aussi. Elle devait en avoir vu d’autre car par réflexe, elle se retira de ma verge juste avant que je n’éjacule. Une seconde plus tard, deux puissants jets de foutre volèrent par-dessus son épaule pour atterrir sur le tapis tandis qu’un dernier jet s’échoua sur son épaule. Seules quelques gouttes visqueuses coulèrent sur sa main.

Je reprenais mon souffle, tatie Charlène balbutia quelques mots.

J-Je… excuse-moi, dit-elle en se levant ; je dois… hem, je…

Puis, elle se dirigea d’un bon pas vers sa salle de bain.

Putain, merde ! A cause de ma précocité, j’avais foiré la soirée. C’était dans la poche, j’allais la baiser, la faire jouir avec mon pieu. Je bandais depuis une heure non-stop alors forcément… Maintenant, elle va passer son temps à avoir des remords, à ruminer ses regrets de l’avoir fait avec son neveu et plus jamais elle ne voudra que je la touche.

Non, cela ne pouvait pas finir comme cela. J’étais bien décidé à finir dans son ventre… Cette nuit même.

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