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J'ai baisé la compagne de mon ami – Chapitre 1




A l’époque j’étais célibataire, beau garçon mais pas en très grande forme après une séparation toute récente d’avec mon amie avec laquelle j’avais vécu plus de 10 années. J’étais parti en camping avec un couple d’amis Mark et Jennifer. Elle, grande blonde sportive avec un corps à damner un saint mais d’une timidité presque maladive. Lui, taille moyenne, grand sportif comme moi. Nous nous entendions comme larrons en foire si j’ose m’exprimer ainsi et du coup, nous avons décidé de dormir tous les trois dans la même tente plutôt que d’en amener une pour moi etc. etc. Nous y étions un peu à l’étroit mais bon, ce n’était que pour dormir alors ça ne devait pas poser trop de problèmes de promiscuité. La 1ère nuit, rien de spécial ne se produit sinon que Jennifer se plaint de ne pas avoir dormi du tout à cause du fait qu’elle se trouvait près du bord la tente ce qui lui faisait peur. En effet, les bruits de la nuit prennent une toute autre dimension lorsqu’on est dans le noir total. De plus, en bord de mer certains oiseaux poussent des cris qui ressemblent à des lamentations de bébés abandonnés et pour ceux qui ne connaissent pas, c’est vraiment à vous glacer le sang. Bref, elle nous dit qu’elle serait plus rassurée de dormir entre nous ce à quoi mon ami, lui réponds qu’il n’y voyait pas d’inconvénient si de mon côté ça ne posait pas de problème non plus. Il lui propose néanmoins de prendre un de ses somnifères pour ne pas entendre ces fameux bruits comme il le fait lui. J’apprends alors qu’ayant le sommeil léger, il est obligé de prendre des somnifères lorsqu’il est en camping car sinon le moindre bruit le réveille et il n’arrive pas à dormir de toute la nuit. Bref, elle n’est pas très chaude pour cette solution aussi, le 2ème soir, la voilà couchée entre nous. Ça me fait bizarre de sentir la chaleur de son corps près de moi et je m’endors en essayant de chasser des pensées coquines la concernant.

Durant la nuit, je me rends compte qu’elle a carrément poser sa tête dans le creux de mon épaule contre mon cou. Elle m’a presque enjambé avec une de ses jambes. Je sens encore plus la chaleur de son corps contre le mien, ses seins à travers le fin tissu de son t-shirt me troublent, sa cuisse contre la mienne encore plus. Je me mets à bander comme un fou. Je n’ose pas bouger de peur qu’elle ne se réveille et se mette à hurler en se méprenant sur ce qui s’est passé. Dans ma tête, je réfléchis à toute vitesse. Je pense à mon ami qui lui aussi, s’il se réveille en nous découvrant pratiquement enlacés, risquerait de ne pas apprécier le spectacle puis, je me dis qu’il fait nuit noire et qu’il ne risque pas de voir quoi que ce soit dans ses conditions. C’est alors que je me souviens qu’il dort avec un somnifère du coup, je suis moins affolé par la situation.

J’essaie néanmoins de me dégager mais il me faut me rendre à l’évidence. Ça ne sera possible que si elle, me libérait de cette fâcheuse posture. J’essaie quand même de la repousser mais dans la seconde qui suit, elle revient se blottir à nouveau contre moi. Je ne sais vraiment plus quoi faire puis finalement je réussis à me convaincre qu’il n’y a rien à faire sinon attendre qu’elle ne se décide à se retourner d’elle-même. Et puis, le contact de son corps contre le mien est plutôt agréable, pourquoi ne pas prendre le bon côté des choses. Je sens les effluves de sa respiration. C’est agréable. Je suis très sensible aux odeurs et celle-ci me plaît, m’excite même. Je me rends alors compte que ma main bloquée sous son ventre est exactement à hauteur du renflement que fait son Mont-de-Venus. Elle est nue, aucun sous-vêtement entre nos peaux. C’est terriblement excitant. Je ne sais pas ce qui me prend mais au lieu d’essayer de rompre ce contact interdit, je fais pivoter ma main. Mes doigts sont maintenant au contact de ses poils pubiens, un mince filet de poils que je sens bien taillés en forme de ticket de métro. Mon Dieu, mais qu’est-ce qui me prends ? Qu’est-ce que je fais ? Je deviens fou, c’est complètement dément. Je suis sur le point de toucher le sexe de la copine de mon ami.

Je ne devrais pas faire çà. Non vraiment, ce n’est pas bien pourtant, mes doigts progressent lentement plus bas, vers la naissance de sa fente. Ils progressent encore, j’y suis. Je sens nettement le début des lèvres. Je progresse encore. La fente s’élargit, c’est doux. Doux et humide. Mon cur s’emballe, mon sang s’échauffe. Les chairs s’ouvrent sous la poussée de mes doigts. Ma respiration s’accélère. Mes doigts progressent encore. J’y suis vraiment. Mon majeur se dresse, trouve facilement l’entrée de cette vulve qui accapare mes pensées. L’envie de m’y enfoncer est trop forte. Je ne résiste pas. J’appuie doucement. Les chairs s’ouvrent. Ça y est. Je suis en train de la pénétrer. C’est un océan de douceur qui m’accueille. Je pousse encore jusqu’à ne plus pouvoir avancer. Son fourreau me serre. Je me mets à la pistonner doucement. Je suis fou, complètement fou. Je ressors, remonte, cherche son bouton, le flatte, le caresse. Il durcit sous mon doigt. C’est trop bon. Je continue, il grossit encore. Je l’abandonne pour retourner vers son puits d’amour. Ah mon Dieu, je n’en reviens pas. L’entrée est trempée, elle mouille. Sa respiration est toujours aussi calme et posée. J’en suis certain. Elle dort à poings fermés. Je la pistonne encore puis revient vers son bouton d’amour. Il est vraiment gros. C’est la première fois que j’en caresse un d’aussi imposant. Si je le pouvais, je le lécherais avant de le prendre en bouche et le sucer comme il le mérite. J’arrive à le prendre doucement entre pouce et majeur. Jenny se met tout à coup à gémir doucement. J’insiste. Elle gémit encore. C’est trop bon d’entendre le son plaintif de sa voix. Je la masturbe maintenant franchement. Tant pis pour moi. Tant pis pour tout. J’ai trop envie de la sentir jouir sous mes doigts. Son ventre se crispe, son bassin s’anime pour venir à la rencontre de mes doigts. J’alterne masturbation de son bouton et pénétration profonde. Elle va jouir. Les muscles de ses cuisses se tendent. Son ventre m’agresse. Un long gémissement s’échappe enfin de sa gorge. Elle jouit. Elle jouit longuement. Mon Dieu que c’est bon. Le silence reprend possession rapidement de notre tente. Seule nos respirations conjointes trahissent encore l’extrême excitation qui nous a submergé. J’ouvre doucement mes doigts pour les laisser reposer sur la couverture qui nous sert de tapis de sol. L’excitation retombe progressivement. Je m’apprête à me rendormir quand j’entends Jenny me murmurer dans le creux de l’oreille :

— Merci. C’était délicieux.

Je n’ose pas répondre, me demandant si elle s’est rendue compte que ce n’était pas Mark mais moi qui l’avait mené à l’orgasme. Nous nous endormons rapidement l’un contre l’autre, épuisés par tant d’émotions.

Quand j’ouvre les yeux sans doute plusieurs heures plus tard. La lumière du jour commence à poindre à l’horizon. Jenny est à nouveau blottie contre son homme. Elle me tourne le dos. Son t-shirt est remonté sur ses reins m’offrant une vue magnifique de sa croupe aux fesses fines et musclées. Je souris en me délectant du spectacle.

— ça te plaît ?

Je sursaute en me rendant compte que c’est la voix de mon ami. Il me regarde en train de mater les fesses de son amie. Il me sourit.

— Elle est belle ma petite femme non ?

Les paroles me semblent bien inutiles. Un long regard, les yeux dans les yeux suffit à lui seul.

— Elle est magnifique ! Excuses-moi j’ai….

Mark me sourit. Il semble réfléchir puis, me dit :

— Non non, ne t’excuses pas. J’aurais fait pareil avec ta femme si l’occasion s’était présentée et puis, je préfère ça plutôt que tu cherches à me faire croire que tu n’étais pas en train de te faire plaisir en matant le cul de ma petite amie.

Ouf, je souris à mon tour. On dirait que je l’ai échappé belle. Mon regard glisse à nouveau vers les fesses de sa femme endormie. C’est vrai qu’elle a vraiment un cul magnifique. Je détaille la courbe de ses fesses, le sillon qui les sépare, l’anneau sombre de sa petite porte et plus bas, sa fente que l’on devine plus qu’on ne la voie. C’est un régal et si je m’écoutais, ce serait avec le plus grand plaisir que j’irais goûter à ces trésors qui s’offrent à ma vue.

— Elle a vraiment un beau…

— Un beau cul ?

— Ça m’a tout l’air d’être de moi que vous parlez espèces de pervers ?

Elle était donc réveillée et pourtant sachant que je la regardais, elle m’a laissé profité de ses trésors bien plus que de raison. Je me sens tout bête d’avoir pour ainsi dire, été pris sur le fait.

— Tu ne dormais pas ?

— Hé non, je ne dormais pas, parfois une femme en apprend bien plus endormie que réveillée. Bon, allez c’est terminé, rideau.

D’un geste, elle tire sur les pans de son t-shirt cachant à ma vue son sublime postérieur.

— Je ne vous savais pas si coquins tous les deux.

Puis s’adressant à son mari :

— Et toi j’te retiens. Laisser ton copain me mater les fesses !!

La journée se passe normalement avec son lot de découvertes, de jeux et de rencontres avec la population locale. J’en suis à me demander si je n’ai pas rêver tout ce qui s’est passé cette nuit. Mark et Jenny sont toujours aussi adorables. Ni l’un ni l’autre ne font allusion à notre réveil comme si cela n’était finalement pas si grave. La nuit arrive vite, trop ou pas assez, je ne sais plus à dire vrai !

Jenny est à nouveau entre nous. Je la sens câline et elle l’est assurément. La lumière est éteinte rapidement. Je n’arrive pas à trouver le sommeil, loin s’en faut. Les souvenirs de la veille hantent mes doigts, mon odorat. Nous sommes vraiment à l’étroit et le moindre de nos mouvements est immédiatement perçu par son voisin et là, je sens que Jenny en train de se tortiller. Je ne comprends pas tout de suite ce qui se passe mais bien vite je réalise qu’en fait elle s’est positionnée de façon à pouvoir faire une gâterie à son homme. Du coup, ses fesses sont appuyées contre une de mes cuisses et je sens parfaitement le sillon qui les sépare. Rapidement, Mark se met à soupirer. Je ne vois rien mais les bruits de succion que font sa bouche et ses lèvres m’amènent à bander comme un cerf. Je n’en peux plus de les entendre se faire du bien. Je tente une approche en posant une de mes mains sur sa hanche sans rencontrer de réaction négative. Je la fais glisser plus bas pour atteindre un des globes. Je le caresse doucement toujours sans qu’elle ne réagisse. Je descends dans son sillon, continue jusqu’à atteindre son anneau, ne m’y attarde pas, continue encore. Je sens l’entrée humide de sa vulve au bout de mon doigt. Elle me laisse faire, cambre même ses reins vers mes doigts. Mon ami gémit de plus en plus fort. J’en profite pour la pénétrer lentement en enfonçant juste le bout de mon doigt, je ressors, la réinvestis aussitôt plus profondément. Elle redouble d’ardeur. Mark lui dit sans se soucier de moi qu’il va jouir. Elle continue de plus belle et finalement je l’entends pousser un long grognement de plaisir. Il est en train de jouir dans la bouche de sa femme qui a vraiment l’air d’aimer ça si j’en juge par les contractions de son vagin m’enserrant les doigts. Je jurerais qu’elle est en train de jouir elle aussi simplement en le suçant. Les contractions cessent progressivement. Je retire mes doigts de son ventre tandis qu’elle revient de blottir contre son homme qui ne tarde pas à s’endormir sous l’effet du cachet qu’il a déjà pris et de cette jouissance qu’elle vient de lui offrir. Quand il se met à ronfler doucement, je sais qu’il est vraiment au pays des rêves. Je m’approche alors doucement pour me coller à ses fesses, pose une de mes mains sur ses hanches. Elle se laisse faire. Je soulève son t-shirt, elle écarte lentement ses jambes en me tendant ses fesses dans une invite qui ne laisse planer aucun doute sur ce qu’elle attend de moi. Je m’approche encore, puis en m’aidant d’une main, je cherche l’entrée de sa grotte. Elle se cambre encore pour me faciliter la tâche. Ça y est. J’y suis. Mon gland est dans l’entrée de son ventre, je m’y engouffre lentement en la tenant par les hanches. Ses chairs cèdent sous la poussée. Elles s’ouvrent pour me permettre de glisser aussi profondément que possible, jusqu’à buter contre sa matrice. Elle est totalement passive. Je commence à bouger doucement puis l’excitation aidante, je la prends de plus en plus fort. Elle gémit doucement à chacun de mes coups de reins. J’alterne les coups puissants et ceux plus profonds, tout en douceur. Elle tourne son visage vers moi :

— Oui c’est bon comme çà. N’arrêtes pas, tu vas me faire jouir.

C’est trop bon d’entendre une femme te dire qu’on lui fait du bien. Je la saisis plus fermement aux hanches pour mieux l’attirer sur mon vit. Elle pose une main sur la mienne. Elle me serre ou au contraire la relâche pour me donner le tempo. Elle sait ce qu’elle veut. Rapidement, elle me serre de plus en plus rapidement. Je suis son rythme. Ça lui plaît. Elle me dit qu’elle est tout près et d’un seul coup je sens son corps se tendre. Elle me broie les doigts entre les siens en laissant échapper un long feulement rauque. Tout le bas de son corps est pris de tremblements. Je sais qu’elle jouit. J’adore çà. Je la besogne encore un long moment pour mieux l’accompagner dans son orgasme jusqu’à ce qu’elle se calme. Je n’ai pas joui mais Dieu que c’était bon. Je me retire doucement en continuant à lui caresser les hanches, les fesses, son ventre plat et musclé. Elle se laisse faire, complètement alanguie puis alors que je me suis à nouveau allongé sagement à côté d’elle, passe sa main sur mon ventre, rencontre ma verge toujours tendue et s’étonne :

— Tu n’as pas joui ?

— Je n’ai pas osé le faire en toi.

— Idiot, je prends la pilule.

Sur ces mots elle se penche vers mon ventre en déclarant :

— Je ne peux pas te laisser comme çà. Ça ne serait pas sympa.

Mon cur s’emballe une nouvelle fois en réalisant qu’elle va me sucer. Ses lèvres glissent sur mon ventre, atteignent ma hampe. Je sens son visage sur mon sexe, son nez sur mon gland. Elle me sent.

— Hummmm ! Je sens mon odeur sur toi. Ça m’excite de savoir que ce sexe était en moi.

Elle se met à me lécher sur toute la longueur de ma hampe puis s’attaque à mon gland, le frein, cette petite bande de chair si sensible. Elle pose ses lèvres juste au-dessous du gland et se met à me téter. Des décharges électriques me labourent les reins. Je comprends maintenant pourquoi Mark n’arrivait pas à contrôler les gémissements qui sortaient de sa gorge. Elle fait ça vraiment bien. Elle alterne les succions et les léchages sur chaque partie de mon sexe qui n’en peut plus de se tendre et se redresser au rythme des spasmes de plus en plus forts qui me parcourent le ventre. Je sens que la jouissance approche. C’est trop rapide, j’essaie de me concentrer sur autre chose mais rien n’y fait. Elle ne me laisse aucun répit. Je vais jouir. Je lui souffle :

— Jenny, je vais venir.

Elle me désembouche deux secondes pour me dire :

— Donnes-moi ton jus. J’ai envie.

Elle me presse plus fortement les couilles tout me laissant lui perforer la gorge. C’en est trop. Ma tête explose, c’est le feu d’artifices. L’orgasme est là, ravageur. J’éjacule. Une, deux, trois puis quatre violentes giclées de ma semence montent le long de ma hampe. Elle me garde en bouche. Je la sens déglutir au fur et à mesure des spasmes de ma verge. Elle me boit jusqu’à la dernière coulée, me garde encore dans sa bouche un long moment jusqu’à ce que je perde peu à peu de ma superbe puis, remonte se blottir contre mon épaule.

— Tu as aimé ?

— Non, j’ai adoré.

— Humm…… moi aussi j’ai bien aimé ton goût.

Elle me fait un dernier bisou sur les lèvres puis se retourne pour se blottir contre son homme en me souhaitant une bonne nuit.

Je n’en reviens pas qu’une femme puisse faire çà à côté de son homme endormi. Je m’en veux mais c’est plus fort que moi. Cette fille dégage une incroyable sensualité qui me met hors de moi.

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