Tous les autres tests se déroulèrent avec succès. Personne n’ayant été recalé, monsieur Auburn nous félicita tous.
-Jeunes gens. Je vous souhaite, une fois encore, toutes mes félicitations pour votre admission dans cette école. La sélection est dure et chaque année, nous avons le regret de fermer nos portes à de nombreux étudiants souhaitant rejoindre cette communauté. Mais avant de poursuivre, je vous prierai de vous asseoir à vos tables, le festin ne tardera pas à commencer. Le banc des premières années est de ce côté.
En finissant sa phrase, il indiqua du bout de son index la grande table vide n’attendant plus que nous. Alice, Mylène et moi, suivant le mouvement, allèrent nous asseoir côté à côte sur l’un des bancs de la table de bois. Fort heureusement, les bancs étaient en métal, un peu froid au toucher, mais au moins, aucun risque de recevoir une écharde dans un endroit sensible, même si, je dois l’admettre, je me serais porté immédiatement volontaire pour ôter un petit morceau de bois des fesses de l’une de mes deux partenaires. Nous nous assîmes donc, mes mains toujours au chaud à l’intérieur de ma sur et de ma sirène de partenaire, mon pénis enlacé des doigts de mes charmantes voisines.
-Bien, maintenant que tout le monde est installé, je peux continuer. Faisons donc un petit tour au niveau du règlement. Tout d’abord, une bonne tenue à table est nécessaire, c’est pourquoi je vous demanderai de lâcher les parties génitales de vos partenaires masculins et féminins.
Tout le monde obéit et je dus laissé les vagins de mes deux trésors seuls, n’attendant que le retour de mes mains pour se sentir en de bonne compagnie à nouveau.
-Parfait. Maintenant, les règles en général. Tout d’abord, toute forme de violence est absolument proscrite. Que je ne vois personne frapper un camarade, ni le mordre, ni l’étrangler, ni le tuer. Ne riez pas, cela s’est déjà produit. Il y a cinq ans, un élève en a poignardé une autre parce qu’elle refusait d’avoir un enfant avec lui. Deuxièmement, nous formons tous une famille unie, liée par notre appartenance à cette école, alors je ne veux pas de vols, et surtout, pas de viols ! Je suis conscient, chers étudiants masculins bourrés d’hormones que vous êtes, que lorsque vous vous baladez entourés de jolies filles dénudées, vous pouvez avoir envie de lui sauter dessus. Eh bien retenez-vous et demandez-lui la permission, c’est la moindre des choses.
Nous écoutions son discours avec attention, mémorisant chaque règle, de peur d’en transgresser une par accident.
-En ce qui concerne les fumeurs. Les toilettes sont faites pour ça, alors n’allez pas fumer ailleurs. Étant moi-même non fumeur, me retrouver entouré de fumée et de tabacs ne m’enchante guère. Seule exception pour les demoiselles qui auraient besoin de commencer une pipe. Dans ce cas, ne vous retenez pas.
Nous rîmes tous, amusés par cette petite plaisanterie. J’en profitai donc pour lancer un regard coquin à ma sur. Quelques secondes plus tard, je m’aperçus qu’Alice m’avait lancé le même.
-Pour conclure, je parlerai de cette dernière règle. Nous avons beau être dans une école vous enseignant les meilleures façon de faire l’amour à votre conjoint, nous ne sommes pas chez les lapins. Si vous souhaitez copuler, merci de le faire dans vos chambres. Je n’ai pas envie de glisser sur une flaque de mouille ou de sperme qui n’aurait pas été nettoyée. D’ailleurs, mesdames, en ce qui concerne les fellations, si vous le faites en public, je vous demanderai d’avaler le cadeau divin de votre homme, pour les mêmes raisons que précédemment.
Sur ces mots, Mylène et Alice, en cur, se léchèrent les lèvres en me regardant. J’allais devoir faire des réserves pour satisfaire ces deux canons.
-Bien. Je vais bientôt cesser de vous casser les oreilles avec mes discours de proviseur, laissons-donc place au festin.
Nous nous préparâmes tous à découvrir les plats argentés posés devant nous, mais nous dûmes attendre quelques secondes supplémentaires avant de savoir ce qui remplirait nos estomacs suite à nos épreuves d’entrée. Le proviseur ne s’était pas assis, son discours n’était pas tout à fait terminé.
-Jeunes gens, auriez-vous l’amabilité de regarder sous vos assiettes, je vous prie.
Nous nous exécutâmes et, en soulevant les dites assiettes, nous trouvâmes une enveloppe que nous ouvrîmes sur ordre de monsieur Auburn. Sur celle-ci, je trouvai des dessins de femmes nues, de la nourriture étant disposée sur elle. Je regardai celles de mes voisines, elles étaient différentes, elles, contrairement à moi, avaient un homme sur leurs images.
-Eh oui jeunes gens, certains l’ont peut-être déjà deviné, mais vous ne mangerez pas comme tout le monde ce soir. Vous devrez respecter le menu indiqué sur ces enveloppes. Nous les avons bien évidemment adaptés aux goûts de chacun. Ce sera votre ultime épreuve de qualification, loin d’être pénible, croyez-moi.
Suite à son discours, nous étions tous impatients de commencer, mais ce fut alors que monsieur Auburn me regarda, moi, Mylène et Alice, en nous faisant un clin d’il.
-Pour vous, mesdemoiselles, vous attendrez que la première ait terminé son « assiette » avant d’entamer la vôtre. En ce qui te concerne, mon garçon, j’espère que tu as fin, retourne ton menu s’il te plaît.
J’obéis et je découvris avec délice, au dos de ma carte, un deuxième menu, différent du premier, avec le nom « Alice » écrit en lettre majuscules. Petit veinard que j’étais, j’avais droit à une double ration ce soir.
-Sur ce, bonne appétit.
Enfin, monsieur Auburn se rassit et nous fit signe de commencer. Voyant qu’Alice et Mylène se disputaient pour savoir qui commencerait à manger la première, je leur donnai l’idée de faire un pierre-papier-ciseaux. Trouvant mon idée équitable, elles procédèrent ainsi et Alice gagna, elle fut donc la première à me montrer son menu. En entrée, elle avait droit à un hot-dog, composé d’un pain aux céréales, d’une saucisse et de sauce mayonnaise. Seule différence avec un hot-dog classique : c’était mon pénis qui ferait office de saucisse. Elle commença, affamée, et prit le pain entre ses mains avant de mettre mon pénis à l’intérieur (j’avais ôté mon caleçon avant qu’elle ne commence). Elle attrapa ensuite la sauce et en versa généreusement sur mon membre en érection. Le contact froid de la nourriture sur mon organe me procurait des frissons et un plaisir incroyable. Elle me regarda alors dans les yeux.
-Tu es prêt ou je dois encore attendre que tu te fasses à ce qui va se passer ?
Je fermai les yeux et, pour lui faire comprendre que j’étais prêt, je posai ma main à l’arrière de sa tête et l’entraînais vers son repas. Elle suivit le mouvement et, sans trop se presser, elle engloutit le pain et mon pénis en entier dans sa bouche, avant de croquer très délicatement dedans sans toucher à mon gland. Elle lécha ensuite mon membre afin de goûter à la sauve mayo étalée dessus (et au passage récupérer un peu de liquide séminal sortant de mon urètre). Je sentis sa langue tourner autour de mon sexe, me doutant qu’elle souhaitait plus que récolter le peu de mayonnaise s’y étant trouvée quelques secondes auparavant. Elle continua sa dégustation de la même manière. Elle arriva ainsi à la dernière bouchée. Elle mangea le pain et, comme précédemment, elle lécha le peu de sauve ayant survécu à son appétit. Seulement, elle ne s’arrêta pas là. Elle engloutit mon pénis dans sa bouche et continua ses moulinets avec sa langue. Ne pouvant plus résister, je jouissais dans sa bouche, ne la surprenant pas. Elle pompa les restes de sperme et retira mon membre.
-Délicieux, surtout le passage de la sauce double.
Elle me fit un clin dil pendant que Mylène me souriait.
-C’est mon tour maintenant !
Elle prit sa place en me chuchotant à l’oreille :
-J’espère qu’elle n’a pas tout pris, moi-aussi je veux ma dose.
Elle se plaça devant moi et me fit ouvrir la bouche en me montrant son menu. Elle devait mettre cinq crevettes dans ma bouche et aller les chercher uniquement avec la langue. Elle ne se fit pas prier et, à la seconde où les cinq fruits de mer eurent été déposés, elle m’embrassa, faisant virevolter sa langue pour pêcher ce dont elle avait envie. Au bout de deux minutes, elle avait mangé quatre d’entre elles et était en quête de la cinquième. Cependant, pour cette dernière, elle prit bien soin de faire tourbillonner sa langue dans ma bouche, explorant chaque recoin, avant de récupérer cette ultime crevette. Une fois celle-ci avalée, elle recula et je pus regarder mon premier menu. Il s’agissait de celui portant le nom d’Aline, je le lui montrai donc. Avec un sourire, elle poussa les couverts et s’allongea sur la table, poitrine vers le ciel, jambes écartées. Je pus d’ailleurs remarquer que mon voisin de droite ne se gênait pas pour profiter de la vue. Je balayai cette idée de mon esprit et je disposai les six toasts posés devant moi sur son corps à différents endroits stratégiques. Le premier était à poser sur le téton droit, un deuxième sur celui de gauche, le troisième sur son nombril, le quatrième au niveau de son clitoris, le cinquième sur son il droit, le dernier sur son il gauche. Ainsi, le pain lui masquait totalement la vue et je pus commencer la dégustation, respectant l’ordre indiqué sur le menu. Je mangeai alors celui sur le nombril. Le contact de ma langue contre son ventre la chatouilla et elle se mit à rire.
-Si tu continues, je risque de faire tomber les autres.
Je lui donnai deux petites tapes sur les fesses, plus pour l’exciter qu’autre chose. Je passai ensuite aux deux toasts sur ses seins. Je pris bien mon temps pour les avaler, profitant de leur position pour lécher ses deux splendides petites bosses qui m’attiraient depuis déjà un certain temps. Elle eut de léger tremblements pendant l’opération, mais rien de bien méchant. Je mangeai ensuite les deux toasts sur ses yeux, lui rendant la vue. Elle fut surprise, pensant que je mangerai l’autre d’abord. Finalement, je fis face au suivant, le petit dernier. Jetant un coup dil, je pus remarquer que Mylène se concentrait réellement pour ne pas se masturber. Elle ne pouvait néanmoins pas cacher ses tétons qui pointaient. Je reportai mon attention sur la fente occupée d’Alice. Je m’en approchait et, d’un grand mouvement de langue, je renversai volontairement le toast, faisant ainsi tomber l’olive dans son vagin. Elle poussa un petit rire et, sans attendre sa permission, je plongeais ma langue à l’intérieur pour la récupérer et la manger, sans ignorer les petits cris aigus qu’elle poussait. Ayant fini mon entrée, Aline laissa la place à ma sur qui s’assit toute droite à l’angle de la table, ayant déjà lu mon menu. J’avais également droit aux crevettes, mais c’était dans son vagin que j’allais récupérer les trois petits animaux. Je les enfonçais donc, un par un, sous les petits soupirs de plaisir de Mylène. Une fois à l’intérieur, elle me regarda, son regard le plus coquin me fixait.
-Vas-y Bastien, mais prends ton temps.
Lentement, j’approchai ma tête de l’entrée de son jardin fleuri parfaitement rasé, sortis ma langue et l’introduisis dans l’utérus de ma partenaire. Elle poussa un long râle de plaisir. Tout le monde avait les yeux rivés sur nous, si bien que j’aurais été gêné si je n’avais pas été occupé à faire autre chose. Je récupérai la première crevette assez rapidement, la deuxième suivit sans difficulté. En revanche, la troisième fut un peu plus musclée à sortir de là. Je suspectai d’ailleurs ma sur de rendre les choses plus compliquées. Pour la persuader de me laisser faire, je décidai de sucer quelques secondes son clitoris. Ces quelques secondes furent, pour elle, un véritable bonheur. Je pouvais facilement le deviner à ses longs cris aigus et à ses mains caressant sa poitrine. Après quelques secondes supplémentaires, je mis fin à la séance de spéléologie. Ma sur quitta la table et nous nous rassîmes, attendant impatiemment la suite. Le plat arriva sans trop tarder. Notre menu sous les yeux, nous pûmes remarquer qu’aucun défi ne nous était imposé, nous allions déguster notre ratatouille dans une assiette, avec de vrais couverts. Toutefois, Alice avait décidé de m’exciter davantage en faisant tourner sa langue autour de sa fourchette avant chaque bouchée, me regardant chaque fois qu’elle s’essuyait la bouche avec sa langue, retirant un peu de sauce qui la gênait. Mylène, quant à elle, mangeait normalement, à la différence près qu’elle était légèrement tournée de mon côté, sans doute pour que je puisse mieux admirer son corps dénudé. Elle se mit d’ailleurs à sourire au moment où elle s’aperçut que j’avais une érection mais ne fit aucune remarque. Une fois nos assiettes vidées, il fut temps de passer au dessert.
Prétextant avoir été le dernier à manger mon entrée, je décidai de commencer. Je tirai un menu au hasard et, une fois encore, ce fut celui d’Alice que je tins entre les doigts. Je lui montrai ce qu’elle avait à faire et aussitôt elle s’allongea sur le ventre, sur la table. Je pris une banane, je l’épluchai, j’écartai ces fesses (celles d’Alice, pas celles de la banane), profitant au passage de la vue magnifique sur son rectum et posai le fruit à plat sur sa raie. Je lâchai son derrière qui serra mon dessert comme un étau. Je pris ensuite quelques boules de glace que je posai dessus, je rajoutai du coulis de fraise : mon banana-Split était prêt. Je le mangeai généreusement, amusé par les petits frissons qu’elle avait lorsque ma langue lui caressait les fesses ou que la glace léchait sa peau de sa fraîcheur, coulant de mon dessert jusque sur ses fesses, descendant parfois vers son vagin. Dès que j’eus finis, je léchai la glace restante sur ses fesses, son anus, son vagin et même sur son petit triangle de poils, le tout totalement humide. Aline laissa alors la place à ma sur qui, de nouveau, avait lu mon menu et savait d’avance qu’elle devait se tenir debout devant moi. Je pris alors ma mousse au chocolat et, à l’aide de ma cuiller, j’en étalai sur son corps, aux endroits de mon choix. J’en étalai donc une quantité non négligeable sur son vagin, sur ses fesses, dans sa raie, sur ses seins et son visage. J’en avais également mis sur ses paupières après lui avoir demandé de fermer les yeux, l’obligeant à les garder ainsi durant toute sa dégustation, puisque j’avais dans l’idée de ne manger cette partie de la mousse qu’en dernier. Je mis le peu qui restait sur son nombril, ses bras et son cou. Je commençai alors à lécher, je mangeai la mousse que j’avais étaler en dernier, à savoir sur son cou, puis ses bras, puis son ventre. Je léchai ensuite son visage, sauf ses yeux, et je pus enfin passer à la partie intéressante. Je pris mon temps mais je finis la mousse présente sur ses deux seins. Elle avait sans doute aimé ça, mais le meilleur restait à venir. Je passai ma langue sur ses fesses, avalant chaque centimètre carré de chocolat. Lorsque fut le tour de sa raie, elle émit un petit cri de surprise lorsque je m’attardai sur le trou, mais ne s’en plaignit pas. Je passai donc devant et, d’un grand coup de langue, je raflais l’intégralité du chocolat présent ici, sous une longue jouissance de la part de ma sur. Je finis ainsi mon dessert en ôtant la mousse de ses yeux. Lorsque j’eus terminée, elle se rassit.
Alice se leva aussitôt, me tendant son menu. Rien de compliqué, elle aussi avait de la mousse au chocolat comme dessert, seulement, elle devait se servit de mon pénis comme d’une cuiller et finir sa coupelle. Mon membre, en totale érection, le laissa guider par la gracieuse main de ma partenaire et fut plonger dans le chocolat. Cette sensation étrange était loin d’être désagréable, en particulier lorsqu’elle porta le tout à sa bouche, sa langue nettoya mon organe après chaque bouchée. Lorsqu’elle eut terminée, elle laissa la place à ma sur qui me tendit son menu à son tour. Elle avait droit à son dessert favori : l’éclair au chocolat. La particularité de celui-ci venait du fait qu’il n’y avait du chocolat, glacé, que sur le dessus, l’intérieur était vide. Évidemment, c’était mon pénis qui comblerait ce manque. Nous passâmes donc à l’action. Elle fit entrer ma machine de guerre dans la pâtisserie et se mit à la déguster. Arrivée au bout, lorsque seul mon gland restait prisonnier de cette pâtisserie, j’étais sur le point de jouir. Mylène le comprit et aussitôt elle fourra mon membre dans sa bouche, arracha le reste d’éclair de mon gland et le jus partit. Ainsi, les deux filles avaient eu droit à leur petit accompagnement, et le reste de l’année risquait d’être au moins aussi intense que ce premier repas.