Cela fait deux jours que je n’arrête pas de bander. Non seulement Pauline m’excite, mais j’ai envie qu’elle soit tout le temps avec moi. Cela peut paraître fou, mais j’ai l’impression qu’elle apprécie cette nouvelle relation encore plus que moi.
Ce soir, j’ai décider de la récompenser. J’ai un dîner d’affaire et je vais l’y emmener puisque les conjoints sont conviés. Je lui ai préparé de quoi mouiller avant de rentrer chez moi et de la baiser.
Dans l’après-midi, je vais lui acheter une robe dotée d’un décolleté presque indécent en dehors des clubs libertins. Je veux savoir si elle est est exhib.
À nouveau, elle arrive pile à l’heure, son manteau cachant ses bas et son porte-jarretelles. Quand j’ouvre la porte, elle est à quatre pattes, la laisse entre ses dents. Je me mets à imaginer les choses les plus perverses, mais je dois me calmer. Nous n’avons pas beaucoup de temps avant le dîner.
Elle ouvre ma braguette et commence à me sucer. Je n’ai pas l’intention d’éjaculer cette fois-ci, juste de sentir sa langue sur ma bite. J’ai l’impression que ça fait des semaines qu’elle ne m’a pas sucer tellement j’en ai envie. Après quelques minutes, je la force à une gorge profonde et me retire.
J’empoigne sa laisse et la tire vers la chambre.
— Enlève ton string, ton soutien-gorge et mets ça, lui dis-je en lui tendant la robe.
— Merci, Maître, me dit-elle, pourquoi ce cadeau, Maitre ?
— Tu as été une bonne salope et je t’emmène à un dîner d’affaire ce soir. Bien sûr, tu me feras fantasmer tout le long du dîner.
Je sors l’oeuf vibrant de son emballage et le lui tend. Je m’approche d’elle et mets un doigt dans sa chatte. Elle n’est pas simplement trempée, elle dégouline. L’intérieur de ses cuisses brillent et je bande à nouveau de plus belle.
— Tu vois cette télécommande ?
— Oui, Maître.
— je pourrai faire vibrer l’oeuf qui sera dans ta chatte à n’importe quel moment du dîner. Tu n’auras le droit d’aller qu’une seule fois aux toilettes pour jouir.
Elle me sourit, porte l’oeuf à sa bouche, le lèche et le met dans sa chatte. Elle veut me faire exploser, ce n’est pas possible. Je bande tellement que cela me fait mal. Je saisis sa tête, la force à s’agenouiller et fourre ma bite dans sa bouche Je la force à des va-et-viens très profonds. Mmmmmmh, sa bouche est tellement douce.
Je me retiens d’éjaculer, la relève et lui enlève sa laisse. Nous buvons un petit verre avant de nous rendre à ma voiture. Avant de lui ouvrir la porte, je l’attire contre moi et l’embrasse. Elle paraît abasourdie, sans doute ne s’attendait-elle pas à ça.
À l’arrivée au restaurant, j’aperçois mes collègues. Nous nous installons à table. Pauline est en face de moi, elle me fait un clin d’oeil. Après quelques minutes, la voyant écouter un de mes collègues, j’active l’oeuf doucement. Elle pousse un petit cri et feint de faire tomber un verre pour justifier ce cri. Elle s’en sort bien pour ce fois-ci. J’arrête momentanément l’oeuf.
Je vois mes collègues reluquer les seins de Pauline. Elle ne semble pas du tout mal à l’aise et ça m’excite encore plus si cela est possible. Je réactive l’oeuf au maximum, elle pousse un soupire et ferme les yeux. Nous n’avons même pas passé au plat principal et elle se lève déjà pour aller jouir.
Je la voit se diriger vers les toilettes et deux minutes plus tard, je reçois un texto et une photo. Le texto dit : "Oh, Maître faites-moi jouir plusieurs fois que ça en vaille la peine, je vous en supplie. Voici une preuve de ma bonne foie". La photo montre le cul de Pauline, un plug anal à l’intérieur.
Je vais devenir fou, je suis tombé sur la plus grosse salope du monde entier et elle m’obéit au doigt et à l’oeil. J’active à nouveau l’oeuf au maximum.
Quand elle revient, 10 minutes plus tard, elle affiche un large sourire. Le dîner se termine et mes collègues continuent de reluquer Pauline. Sur le chemin du retour, Pauline met sa main sur mon pantalon. Elle sent bien que je bande comme un cerf.
En arrivant, nous sortons de la voiture. Je la prends par la main et nous courons à l’intérieur. Je la lance pratiquement sur le canapé et l’embrasse en la serrant contre moi. Je me relève et vais chercher une cordelette dans un tiroir. Je lui attache les mains derrièr le dos et elle se met à me sucer. Je lui retire son plug anal et elle pousse un petit cri.
— Mmmmmh Maître, votre bite est tellement bonne.
À ces mots, je la retourne, positionne ma bite prêt de sa chatte, mais je change d’avis et décide de lui prendre le cul. Sans prévenir, j’enfonce ma bite dans son cul et elle crie de toutes ses forces
A SUIVRE