Marion, installée en appui sur les genoux et les avants bras, écarte les jambes et creuse les reins ; outrageusement cambrée, elle attend la suite.

Dans son dos, fasciné, Mathieu se plonge dans la contemplation de sa chatte exhibée dans toute son indécente crudité ; il découvre les chairs tumescentes et colorées, les petites lèvres dentelées, lhumidité qui suinte.

Dans la position quelle occupe, exposé, son anus proéminent semble le narguer et attise sa convoitise.

Il pousse son visage vers le ventre déployé, se niche dans son cul. En apnée, il agrippe les fesses moelleuses et pétrit la chair tendre. Plantées dans le sillon profond, ses joues sont creusées par les aspirations.

Il est agréablement surpris par lobéissance absolue dont sa mère fait preuve. Il craignait que la déplorable attitude manifestée par son frère ne soit contagieuse et provoque une incidence regrettable sur la suite de leur relation mais il nen est rien. Il est rassuré ; elle se montre si docile et coopérative quil nen revient pas.

Il poursuit son chemin, à lassaut du magma des chairs écartelées

Marion est en état de choc. Ce que son fils est en train de lui faire est dégoutant, répugnant et humiliant.

Personne ne la encore traitée de cette façon. Même son mari, au plus fort de leur complicité, navait jamais osé. Il savait quelle ne laurait pas accepté, quelle se serait sentie déshonorée. Question de dignité et de respect.

Alors pourquoi le lui permet-elle ?

Le soir où il sest masturbé, quil a éjaculé entre ses fesses, tout a changé entre eux.

Depuis, aussi bien à lhôtel que dans la maison de ses parents qui la vue grandir, elle ne lui a rien refusé et sest montrée dune disponibilité totale.

Elle a été complice de ses caprices qui allaient crescendo et ne connaissaient aucune limite.

Elle est devenue, à ses propres yeux, lincarnation du vice. Elle ne se reconnaît plus.

Hier encore, elle était une femme respectable qui menait une existence monotone mais maitrisée. Aujourdhui, elle piétine allègrement des valeurs quelle croyait pourtant sacrées.

Ce constat la plonge dans une immense confusion mais lui procure aussi une troublante satisfaction ; elle sabandonne corps et âme aux exigences coupables dun mâle.

Quil sagisse de son fils nest que pure formalité.

Elle aime ses caresses perverses et ses gestes déplacés, ses doigts qui clapotent dans sa chatte trempée.

Elle aime sa langue qui la fouille au plus profond de son intimité sacrée.

Malgré la honte et la culpabilité qui la rongent aucune mère digne de ce nom ne le permettrait – elle voudrait quil ne sarrête jamais

Marion prépare le diner. Elle a tellement joui ce matin quelle déborde de gratitude ; il est si doué.

En pénétrant dans la pièce, Mathieu à une impression de déjà-vu. Il comprend que cest leffet recherché et quelle veut reproduire, à lidentique, les conditions de la soirée où tout a basculé. Cette nuit si particulière qui sétait terminée dune façon quils noublieront jamais.

Elle a soigné son apparence, elle na rien négligé ; ses lèvres sont soulignés par un rouge à lèvres du plus bel effet. Son fameux chignon serré est en place, bien noué.

Elle porte un tailleur strict. Son cul est admirablement moulé dans une jupe droite. Sous la veste, un chemisier en dentelle dans lequel se distinguent ses seins comprimés par le soutien-gorge adapté.

Le résultat, impressionnant, est sans commun effet. Il provoque à Mathieu une érection qui va croissant.

Marion sassied, croise et décroise ses jambes gainées dans des bas de soie dégradés. Il aperçoit les porte-jarretelles, les attaches. Cest la première fois quelle utilise cet accessoire rien que pour lui ; il est ému quelle y ait pensé.

Selon langle, il entrevoit la bande sombre du tissu, la chair blanche des cuisses, le pli des fesses.

Certains hommes se pâment devant les belles voitures, dautres nourrissent dobscures passions. Mathieu comprend à cet instant que rien ne le fascinera jamais autant que le spectacle dun corps de femme en représentation.

Que sa mère lui procure la révélation dune évidence aussi flagrante le confirme dans la reconnaissance quil lui doit.

Marion connaît bien les ravages dont est capable une prédatrice manipulatrice pour parvenir à ses fins

Elle est experte en la matière depuis longtemps, c’est lhistoire de sa vie.

Mais la séduction primitive et animale quelle exerce sur son fils nest pas calculée. Elle nest que générosité.

Il est sous le charme parce quelle le mérite.

La joie, la reconnaissance sincère quelle voit dans le regard de Mathieu est sa plus belle récompense ; il a les yeux qui scintillent dun désir de promesse éternelle.

Alors, Marion a enfin une pensée pour Martin qui est parti sans rien lui dire.

Elle comprend son désarroi, se sent un peu coupable mais ne veut pas réfléchir à ce quelle devra faire.

Mathieu attend

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