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Une éducation un peu spéciale – Chapitre 6




CHAPITRE VI : Souvenirs

Plusieurs jours s’étaient écoulés depuis la promesse que Laura avait faite à son frère. Ces moments avaient été particulièrement agréables. Sa sur semblait être une bête au lit et chaque fois qu’elle revenait du travail elle se jetait sur lui pour le chevaucher telle une cavalière sur son étalon. Rien ne semblait étancher ses envies et bien souvent elle devait le forcer à la baiser ce qui n’était pas pour déplaire à Laura. Ce dont Stéphane n’avait aucune idée c’est qu(elle ne faisait pas ça que pour prendre du plaisir avec son frère. En effet, elle s’assurait ainsi qu’il l’insémine. Naturellement ce dernier avait protesté après la première tentative de sa sur. Elle lui faisait croire maintenant qu’elle prenait la pilule alors que ce n’était que de petites pastilles pour l’haleine dissimulées dans des boites de médicaments. Laura trouvait mignon la naïveté du  jeune adolescent qui ne remarquait même pas que la boîte de pilule était toujours la même alors qu’elle avait connu plusieurs cycles. Cela était plaisant pour Laura qui enchainait d’habitude les mecs. Plus besoin de sortir en boîte ou de draguer en bar. Son mec était chez elle prêt à l’emploi et prêt à assouvir toutes ses envies. Chaque goutte du sperme de son amant dans son sexe était une victoire qui l’approchait toujours un peu plus de son objectif. Toutefois, Laura n’avait rien changé à l’éducation de son frère et s’était scrupuleusement contenter de faire avec Stéphane ce qu’il connaissait déjà. Elle ne voulait surtout pas interférer dans l’apprentissage que sa mère avait  commencé.

Stéphane se demandait néanmoins si Laura allait tenir sa promesse. Même si les caresses de sa sur lui étaient agréables, celles de sa mère lui manquaient. Laura n’était pourtant pas restée inactive et appelait régulièrement sa mère pour la tenir informée de l’état de Stéphane qui ne cessait de l’inquiéter. Il ne mangeait plus beaucoup et ne semblait plus avoir goût à rien d’après elle. Aussi Nathalie les invita à passer quelques jours chez elle pour se rendre compte par elle-même de l’état de son fils.

La veille du départ Laura prévint Stéphane de ce qu’elle attendait de lui. Il devait paraître dépressif et ne plus avoir goût à rien. Sur le plan sexuel il était bien entendu resté inactif durant son séjour avec sa sur et n’avait lié aucune amitié. Il rassura sa sur, il saurait parfaitement jouer la comédie.

Et ce fut en effet le cas. Après les salutations de politesse, un dîner et que tout le monde ce soit couché, Nathalie rejoignit sa fille dans sa chambre. Elle la trouva allongée dans son lit à lire un livre.

« – Excuse moi ma chérie, lui dit-elle. Mais j’aimerais te parler de Stéphane. Son état m’inquiète.

— Moi aussi je m’inquiète beaucoup pour lui comme je te l’ai dit il  ne mange plus beaucoup et semble ne pas aller bien.

— Comment ça s’est passé chez toi exactement ?

— Stéphane est agréable avec moi. Mais il semble ailleurs. J’ai pensé qu’une petite amie lui changerait les idées alors je lui ai présenté des amies à moi mais rien ne semble y faire. Tu crois qu’il est gay ?

— Non.

— Tu es sûre ? Dommage l’idée de l’imaginer se faire prendre m’excitait assez. Je l’ai un peu espionné durant son séjour et il a l’air bien membré.

— Oui j’en suis sûre. Il a disons eu une aventure avec une femme ici il y a peu.

— Peut-être lui manque-t-elle alors. Y a-t-il moyen qu’il se remette avec ?

— Non je crois bien que s’est définitivement fini entre eux. Elle a voulu arrêter leur relation. Je pense qu’elle était effrayée par elle-même par ce qu’elle voulait, ce qu’elle désirait. Et puis il y a eu la mort de sa mère

— La mort de sa mère ? répondit Laura d’un air soupçonneux. Dis moi tu as l’air de bien la connaître cette femme et elle te ressemble beaucoup. Tu n’aurais pas entamé par hasard l’éducation sexuelle  de Stéphane ?

— Non non bien sûr que non bredouilla-t-elle  les joues légèrement rouges.

— Arrête maman tu n’as jamais su me mentir. Ne t’inquiète pas je ne vais pas te juger. Après tout c’est toi qui m’as tout appris dans ce domaine. Tu as dépucelé Stéphane et tu as été effrayée par ce que tu attendais de lui et tes propres désirs c’est ça ?

— Oui. »

Laura se mis assise dos à la tête de lit face à sa mère. Les draps glissèrent sur le haut de son corps et laissèrent à la vue de son interlocutrice sa poitrine et ses tétons qui pointaient déjà.

« – Tes désirs aussi pervers soient-ils t’appartiennent. Personne ne te jugera, certainement pas Stéphane qui est sûrement prêt à tout pour les assouvir, la rassura-t-elle.

— Tu ne comprends pas je n’ai pas le droit.

— Le droit ? Tu as tous les droits sur lui. Tu es sa mère, sa maîtresse. Tu l’as dépucelé avec plus de douceur, de plaisir et d’amour que ne l’aurait fait n’importe quelle fille de son âge. Tu peux faire ce que tu veux de lui.

— Je ne sais pas. »

Laura se releva un peu plus laissant apparaître son pubis. Elle laissa encore parler un moment sa mère et passa sa main sous la nuisette de celle-ci.

« Ce que je sais pour le moment c’est que tu as envie de baiser. Pourquoi t’embêter laissons le sort en décider. Si je gagne tu reprends l’éducation de Stéphane, si tu gagnes je te laisserais tranquille avec cela et m’occuperait moi-même de son éducation. C’est d’accord ? lui demanda-t-elle.

N’attendant aucune réponse immédiate elle lui enfonça un doigt qui rentra sans aucune résistance dans le sexe humide de sa mère.

« – Si tu acceptes de jouer je te réserve une surprise prévint Laura alors qu’elle enfonçait deux doigts supplémentaires et commençait un mouvement de va et vient.

— C’est d’accord concéda Nathalie sous le coup de l’émotion. »

Laura sortit alors complètement de sous les draps et laissa exposer son corps juvénile à sa mère. Comme happée par la vision de cette merveille. Elle se souvint de la première fois où elle l’avait vu par lentrebâillement de la porte se toucher. Elle était encore vierge et s’était avec un infini plaisir que sa mère s’était caressée alors que sa fille se faisait jouir un peu maladroitement. Le soir même elle vint dans sa chambre commencer son éducation. S’en était suivit des parties de jambes en l’air mémorable à deux. Puis vint le jour où elle organisa le dépucelage de sa fille. Tout était clair dans sa tête comme si c’était hier.

Elle avait invité un ami du boulot chez elle. Il s’appelait Henry et avait une réputation des plus sulfureuse au travail. Ses conquêtes vantaient la taille de son engin ainsi que sa manière de s’en servir. C’était un beau jeune homme d’environ vingt cinq ans les cheveux noirs. Mis à part sa confiance en lui naturelle, il ressemblait beaucoup à Stéphane et Nathalie s’était souvent faite jouir en pensant à lui. De son côté Henry sortait de plusieurs aventures décevantes avec des jeunes filles inexpérimentées. Il voulait maintenant plus d’expérience dans ses relations et son choix était tombé sur Nathalie. Séducteur, les avances du jeune homme n’étaient pas sans effets sur celle qu’il désirait. Elle n’avait pas baisé depuis si longtemps. Bien souvent elle devait s’enfermer aux toilettes se soulager après les allusions à la fois salaces et subtiles d’Henry. Nathalie s’était jurée de se réserver pour son fils mais quand elle vit sa fille se caresser elle changea vite d’avis. Elle pouvait l’initier elle-même aux plaisirs entre femmes mais il lui était impossible de lui faire perdre sa virginité. Du coup elle avait pensé à Henry. Si elle ne pouvait pas la déflorer, elle pouvait néanmoins organiser ce moment et ce dernier semblait le candidat parfait pour cette tâche. Elle l’avait invité un vendredi soir chez elle après le travail. Ils avaient pris un verre de vin rouge et pris un bon repas. Ils parlaient surtout boulot quand Nathalie changea de sujet après le dessert.

« – Henry ça fait un moment que tu me tournes autour, lui dit-elle. Pourquoi une vieille comme moi alors que plein de jeunes minettes seraient prêtes à tout pour être dans ton lit ? »

— Disons que ces jeunettes ne savent pas y faire. Toi je suis sûr que tu sais très bien te débrouiller.

— Tu veux mes sauter ?

— Bien sûr.

— Dans ce cas j’émets mes conditions, d’accord ?

— Lesquelles?

— Vois tu Henry j’ai une fille plus jeune que toi. Elle est encore vierge. J’aimerais que tu dépucèles tous ses orifices. Alors je serai entièrement à toi  pour ce week end et seulement ce week end. J’ajoute que j’ai placé des caméras dans les chambres tout sera donc filmé pour occuper mes longues nuits seules. Si ma proposition t’intéresse retrouve nous à l’étage moi et ma fille sinon tu peux partir la porte est ouverte. A tout à l’heure j’espère. »

Elle laissa le jeune homme surpris seul au salon et partit rejoindre Laura. Elle la trouva nue sur son lit qui se caressait. Cette vue la ravissait et elle se déshabilla rapidement pour la rejoindre. Elle l’embrassa langoureusement puis se mis en position de 69. Même si Laura commençait à avoir l’habitude de cette pratique la langue de sa mère avait toujours un pouvoir sur son sexe. Elle ne pouvait hésiter longtemps à ses assauts. C’est lorsque Laura se mis à gémir plus fort et à jouir qu’Henry rentra dans la chambre.

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