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Un week-end particulier – Chapitre 8




J’enlève les chaînes et Aurélie va à la douche. Je lui dis de bien faire ses besoins. Manon s’habille et part préparer ses affaires.

Quand Aurélie revient de la douche, alors qu’elle est encore nue, je m’approche d’elle. Je prends la ceinture à double gode, lui tends et lui ordonne de la mettre. Aurélie commence par présenter les deux godes et force un peu pour les rentrer. Après quelques va et vient, ils sont en place. Elle boucle la ceinture. Je prends un cadenas et le ferme sur la boucle et je garde la clef. Je lui mets les pinces à vis sur les tétons en serrant moins fort pour que le sang puisse bien circuler. Je la regarde et dis :

— Te voici prête. Tu vas garder tout cela toute la journée. Tu me donneras ton adresse, tu trouveras les clefs dans ta boîte aux lettres demain matin. Allez, femelle, prépares toi.

— Merci, monsieur

— Je prends le petit plug, je vais en avoir besoin.

Aurélie passe une robe qui lui arrive à mi-cuisse et qui n’est pas serrée. Personne ne peut deviner qu’elle a une ceinture.

Nous sommes prêts à partir. Je suis installé au fond du bus, contre la vitre. Il n’y a personne devant sur quatre rangés. Manon arrive, me voit et vient à côté de moi. Elle a mis une jupe et un tee-shirt. Elle me dit

— J’avais mis un pantalon et j’ai changé d’avis. J’ai pensé que vous préféreriez me voir en jupe.

— Tu as raison. Tu es beaucoup mieux en jupe. Tiens, je t’ai amené quelque chose, je souhaite que tu le mettes.

Je lui tends le plug. Manon rougit, hésite et prend le plug, se cache derrière le siège et commence à le lécher. Une fois qu’il est bien mouillé, elle soulève sa jupe, elle ne porte pas de culotte. Doucement, elle le présente devant son anus et commence à l’enfoncer. Elle le ressort, recommence. Enfin, il est en place. Elle s’assoit à côté de moi.

-J’espère que vous êtes content et que votre jeune femelle vous satisfait, dit-elle

— Tout à fait, et je sais qu’en plus elle mouille comme une chienne qu’elle est, n’est-ce pas ?

-Vous avez raison, monsieur, je mouille et je suis une chienne

Le car démarre. Aurélie prend le micro et commence.

— Bonjour à tous. J’espère que vous avez aimé ce week-end et que vous avez fait de belles rencontres. Tout ce que je peux dire, c’est que moi, j’ai énormément apprécié ce week-end et qu’il a dépassé mes espérances. Avec Claire, nous allons passer vous voir et nous ferons un petit bilan. Si j’en juge par le nombre de couples, il me semble largement positif.

Claire et Aurélie commence par les rangées du début. Elles prennent chacun la leur. Je regarde Aurélie marcher. Si on fait bien attention que sa démarche n’ait pas assurée. C’est à ce moment que Manon me dit :

— Vous savez, quand j’ai décidé de vous obéir, monsieur ? Je vais vous le dire, continue-t-elle sans me laisser le temps de répondre. C’est ce matin. On a un peu parlé avec Aurélie. Elle me disait qu’elle avait adoré ce qui s’était passé la vieille. Moi, je mettais contenter de suivre sous le coup de l’excitation. Aurélie me disait qu’elle, elle en voulait plus, que vous étiez le maitre qu’elle espérait. Je ne comprenais pas trop ce qu’elle disait, enfin, plus exactement, je ne comprenais pas qu’on est envie de cela et puis vous nous avez appelées. Aurélie est descendu du lit et s’est mise à quatre pattes et j’ai fait pareil qu’elle. Cela m’a fait tout drôle d’être ainsi. Vous nous avez demandé de nous tourner. Je vous ai senti derrière moi, votre sexe s’est enfoncé en moi, vous en êtes parti, j’étais frustrée, j’en voulais encore, et il y a eu les coups de cravache, au début, cela me faisait mal et vous êtes revenu, j’ai de nouveau senti votre virilité, et vous êtes reparti, les coups de cravache. Cela a duré longtemps ces allers et retours. Au fur et à mesure mon excitation grandissait et j’ai joui comme je n’avais jamais joui. Quand je suis montée dans ma chambre pour me préparer à partir, j’ai regardé dans la glace les traces que la cravache avait laissées, j’ai passé ma main dessus, j’ai eu un frisson. J’ai mis un pantalon et au dernier moment, j’ai tout enlevé et j’ai mis cette jupe culotte pour être disponible. C’est à ce moment que je me suis dit, tu es une femelle et tu aimes cela.

— Tu vois, tu as au moins appris quelque chose pendant ce séjour. Je vais te donner mon numéro de téléphone. Je te demande de réfléchir si tu veux devenir une de mes femelles. Je ne veux pas que tu me donnes une réponse maintenant. Je te donne une semaine au minimum pour réfléchir. Une fois ta décision prise, tu m’appelles.

— Oui, monsieur, j’ai compris.

— Maintenant, tu me suces et je t’interdis de t’arrêter.

Manon se penche, sort mon sexe et commence une fellation. Aurélie s’approche. Elle me sourit et commence

— Bonjour, monsieur Je viens pour faire le bilan du séjour

— Assieds-toi femelle et ouvre ton corsage.

Une fois le corsage ouvert, je regarde les tétons. Elle a toujours les pinces. Ses tétons sont rouges mais le sang circule. Je passe un doigt sur le bout, elle réagit tout de suite. Ils sont très sensibles. Je sais qu’elle a toujours la ceinture, cela se voit à la démarche et j’ai les clefs du cadenas

.

— Bilan très satisfaisant pour moi. Je pense même qu’il va s’améliorer d’ici quelques jours. Les pinces, tu les enlèveras qu’une fois que tu seras chez toi, pas avant. Tu vas me faire une enveloppe avec ton nom et ton adresse, je mettrais les clefs dedans, tu trouveras l’enveloppe dans ta boîte aux lettres demain matin. Es-tu mariée ?

— Je suis mariée, monsieur, mais je m’arrangerai, ce n’est pas un problème, monsieur

— Demain, je veux que tu m’envoies un mail ou tu me dis tout de toi. Je veux tout connaitre dans les moindres détails. C’est seulement après que je prendrais ma décision.

Pendant tout ce temps, Manon a continué de me sucer. Elle ne s’est pas arrêtée, elle a du potentiel. Je vois Claire retourner à l’avant du bus. Elle a un beau cul, celle-là, et elle le sait. Aurélie rejoint Claire. Je demande à Manon de venir sur moi, ce qu’elle fait avec un plaisir évident. Sa chatte est serrée. Je sens le plug à travers la paroi. Je prends les tétons de Manon et les serre fortement Elle jouit rapidement, je la rejoins peu à près. Quand j’ouvre les yeux, Aurélie est là, elle attend. Manon se dégage. Aurélie me tend l’enveloppe et s’en retourne. Nous sommes arrivés.

Je dis au revoir à Manon en lui précisant qu’elle ne pourra enlever le plug qu’une fois chez elle. Je récupère ma valise, dis au revoir à Claire et Aurélie et je vais vers ma voiture. J’ai juste envie de me reposer, dormir et me ressourcer. Je suis épuisé.

Manon s’en va vers l’arrêt de bus. Claire et Aurélie montent en voiture, c’est Claire qui conduit. Il me reste une chose à faire avant de rentrer chez moi. Je rentre l’adresse d’Aurélie dans mon GPS. Une fois arrivé, je vois Aurélie descendre de la voiture et se diriger vers une maison. La porte s’ouvre, un homme l’accueille. Elle lui fait un baiser très rapide et rentre. J’attends un peu et je vais déposer l’enveloppe dans la boîte aux lettres. Ca y est, je vais pouvoir rentrer et me poser.

Je retrouve mon appartement, mon fauteuil. Je me vautre dedans avec délice. Si je fais le bilan, j’ai deux femelles, Carole et Aurélie. Celles-là ont trop aimé. Elles sont physiquement complètement différentes mais toutes les deux très obéissantes. Manon, je ne sais pas trop, une fois l’excitation passée, le train-train quotidien va reprendre, elle est capable de passer à autre chose.

La sonnerie de mon portable, c’est un SMS, un numéro que je ne connais pas : 

-Monsieur, je suis rentrée. Cela m’a fait tout drôle d’être seule. Dans le bus, j’avais l’impression que tout le monde me dévisageait, qu’ils étaient au courant. J’avais une peur terrible de perdre le plug. J’étais pressée d’être arrivée. J’ai un peu de marche à faire entre le bus et mon appartement, je crois que cela a été encore pire. Aussitôt arrivée, j’ai levé ma jupe et commençais à tirer sur le plug. Ma coloc est en vacances, heureusement, sinon elle aurait vu dans quel état j’étais. Ma cyprine coulait de ma chatte, je n’ai pas eu besoin de me caresser, j’ai joui quand le plug est sorti de mon anus. Merci, monsieur pour cette superbe fin de week-end. Que dois je faire du plug, monsieur ?

Je lui envoie le texto suivant sans autre forme de commentaire.

— Gardes-le en souvenir

En fait, peut-être que Manon pourrait intégrer mon cheptel

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