Le lendemain, ma femme ne se souvenait plus du tout de sa soirée trépidante… pas un mot échangé entre nous au petit-déjeuner. Devant son mutisme, je préférai m’éclipser et aller faire un tour. Surtout que j’attendais avec impatience quelque chose… la vidéo entière des exploits sexuels de ma chère petite femme fidèle ! Mon attente ne fut guère longue !
Je reçus, sans un mot d’explication, une vidéo sur ma boîte mail. La visionner avec le smartphone était moins confortable, mais je ne pouvais le faire hors de la maison… alors…
Ruiz tenait la Gopro et filmait ses deux acolytes, en train de pousser la porte-fenêtre que j’avais laissée ouverte, et pénétrèrent silencieusement dans la maison.
Et ils arrivèrent dans la chambre à coucher, où ma femme dormait. Ruiz posa la Gopro sur une commode et me regarda goguenard, une érection déformait son bermuda… Il sortit une lampe de poche et balaya le corps de Cécile sans lui éclairer le visage. Le gros Alban, lui, en s’approchant silencieusement du lit, se massa avec ostentation l’entrejambe… pas de doute, les trois hommes étaient chauds bouillants, et étaient venus pour baiser ma femme sous toutes les coutures !
Puis, Alban posa un doigt léger sur la bretelle de la nuisette, et très doucement, la descendit sur les seins de ma femme, encore endormie, repoussant doucement le drap de l’autre main. Ma femme apparut alors dans sa nuisette noire, quasi transparente, avec son buisson blond apparent sous le tissu. Il lui avait carrément dénudé la poitrine et son regard vicieux était éloquent. Il en pétait de se taper ma femme !
Puis le doigt d’Alban allait atteindre la zone du pubis, quand Ruiz remonta doucement le fin tissu de la nuisette sur le ventre de Cécile, découvrant son pubis de poils blonds et il éclaira la zone entre les cuisses qui étaient ouvertes. Alban ne put s’empêcher d’y mettre son gros doigt et doucement commença à caresser la fente et le clitoris de ma femme.
J’étais super excité. Voir ma femme endormie, fragile, à disposition de ces trois hommes, ravivait mon candaulisme naissant. J’attendais avec hâte qu’ils la foutent à poil ; et qu’ils la baisent chacun leur tour ou tous les trois en même temps… mais comment allait réagir ma femme ?
Cécile sous le coup des caresses douces du gros Alban, commença à se passer la langue sur les lèvres et à gémir dans son sommeil, visiblement elle adorait cette caresse.
Mais avant qu’elle ne se réveillât, Ruiz retira la main d’Alban d’entre les cuisses de ma femme, remit en place la nuisette et il braqua le faisceau de la lampe vivement vers le visage de cette dernière qui se réveilla, étonnée de voir les trois hommes si près de son lit :
Mais qu’est-ce que vous faites là ? Ça va pas non ? Qui vous a autorisés à entrer ? Mon mari ?
En un sens oui… il a laissé la porte-fenêtre ouverte sur ma recommandation.
Partez d’ici tout de suite ou je crie !
Dis donc, tu étais moins bêcheuse cet après-midi, quand tu t’es pavanée à poil entre nous ! Alban m’a même dit que tu t’étais laissée doigter la chatte, et que tu avais pris ton pied !
Et alors j’en avais envie, mais pas là… je veux dormir ! Foutez-moi la paix et barrez-vous !
OK, concéda Ruiz. Mais une petite question avant. Tu sais où est ton mari en ce moment ?
Non, mais je m’en fous !
Tu devrais pas… susurra Alban en lui reposant à nouveau un doigt sur un sein… peut-être qu’il est pas seul… et qu’il se marre bien… lui !
Ça veut dire quoi ça ?
Tu connais Simone, la nympho du village ? Il est en train de la tirer. Tout en pensant que sa femme se fait démonter par ses trois copains !
QUOI ?! Mais qu’est-ce que c’est que ce bordel ? Il va tirer une salope, pendant qu’il sait très bien que vous êtes venus me baiser ? Je n’en crois rien !
Alors, regarde ça, dit Ruiz en lui montrant son smartphone… et Cécile put me voir, en très fâcheuse posture avec ladite Simone.
Putain l’enculé, ils se la tapent là, en ce moment ?
Regarde le croissant de lune, avec ce petit nuage qui passe devant, par la fenêtre… tu le vois là sur la vidéo ?
Putain, mais quel bâtard ! Mais pourquoi fait-il ça ?
Parce qu’il pense que tu es frigide, et que tu devrais apprendre à baiser… alors il a recours à l’intérim !
Le salop, il va voir ! Tu filmes tout là ?
Oh oui ! Bon elle est open, messieurs, foutez-là à poil !
Et Cécile, qui s’était assise sur le lit, se laissa enlever sa nuisette par les deux hommes pour apparaître toute nue et vulnérable. Aussitôt, Alban s’empara d’un sein, tandis que le jeune Lucien lui mettait la main directement à la chatte. Cécile ouvrit les cuisses pour se faire caresser ! Alban lui prit le menton et l’embrassa sauvagement. Ruiz regardait ses deux compagnons entreprendre ma femme peu rétive, il fallait bien l’avouer.
Puis il s’éclipsa du champ de la caméra pour revenir avec une bouteille de bourbon à la main et un verre. Il avait aussi fouillé un tiroir dans la chambre, pour y trouver des pièces de lingerie de Cécile.
Tiens, tu vas mettre ça et on va trinquer à cette première baise entre potes, ma belle. Tu veux te faire prendre par tous les trous ?
Ouais, baisez-moi comme une chienne ! Je vais lui montrer à l’autre con si je suis frigide !
Cécile ayant revêtu une guêpière noire avec une paire de bas, attachée par des jarretelles… sans culotte évidemment, avait poussé le vice jusqu’à se maquiller assez lourdement. Un rouge à lèvres agressif, du crayon noir autour des yeux…à genoux sur le lit avec sa guêpière, la chatte apparente, un verre de whisky à la main… elle avait tout d’une pute qui va se taper trois clients en même temps !
Sauf que là, son salaire c’était sa déchéance morale, et la satisfaction de m’humilier au maximum. Malgré tout, la scène me faisait bander à mort. Je me retins d’accélérer le film pour aller aux meilleurs moments… je voulais boire le calice jusqu’à la lie !
Cécile qui n’était pas habituée à boire de l’alcool en était déjà à son deuxième verre, sa diction devenait un peu hésitante, par contre elle semblait open à toutes les turpitudes… pour le plus grand plaisir des trois hommes… et de moi-même, je devais bien le reconnaître !! Ruiz était arrivé à ses fins, après nous avoir superbement manipulés, moi et ma femme !
Et je me disais que nous n’en étions qu’au début d’une spirale de déchéance de ma femme, qui allait nous mener… Dieu sait où !
Vous savez quoi ? J’ai envie de me faire défoncer par tous les trous ! J’ai envie que ce salop voit sa femme se faire déchirer l’anus par vos grosses bites, je veux qu’il voit en gros plan les glands me pénétrer le cul. Je suis pas habituée à la sodomie, j’ai… j’ai jamais vraiment aimé ça… mais là, j’ai envie de me faire défoncer le rectum… et qu’il en soit mort de jalousie en me voyant me faire enculer par ses trois potes !
Mais oui ma belle ! On va tout te faire… tu vas jouir comme une salope en chaleur ! dit Ruiz en lui titillant un téton.
Sûr, depuis le temps qu’on en a envie, de te baiser ! Une jolie femme comme toi ! renchérit Lucien.
Tu te rends compte que ce salop, il va baiser une autre meuf, pendant que ses potes vont se taper sa femme… c’est lui qui a tout organisé ! Mais quelle pourriture !! acheva le gros Alban.
Oh ! Vous êtes trop gentils tous les trois, vous allez pouvoir me faire tout ce que vous voulez ! déclara une Cécile, le regard déjà un peu vitreux !
En fin de compte, même si j’aurais peut-être dû, je n’étais pas jaloux du tout. Voir ma femme se faire mettre par ces trois malotrus m’excitait sévèrement ! Je bandais comme un taureau et m’attendais à voir un super film porno, dont mon épouse serait l’héroïne ! Un mélange de doute, de honte, et d’une colossale excitation m’envahissait !
Les trois hommes à présent nus tournaient autour de ma femme à genoux sur le lit, prête à tout… des hyènes savourant le trépas de la gazelle immobilisée.
Puis sur un signe de Ruiz qui était derrière elle, Alban la poussa d’un coup sec sur le lit. Elle tomba sur le dos, les bras en arrière que Ruiz lui immobilisa. Alors Alban se jeta sur sa chatte grande ouverte qu’il se mit à lécher goulûment. Ruiz, quant à lui, approcha son visage de celui de Cécile à l’envers, et l’embrassa fougueusement… les ébats avaient commencé !
Ma femme gémissait sous les coups de langue du gros type, tandis que Lucien se plaça à genoux près de son visage et posa sa queue près de sa bouche. Cécile l’engloutit en tournant la tête et commença à le sucer. Il explosa rapidement dans la bouche de ma femme, tellement la tension était forte !
Cécile, un filet de sperme lui dégoulinant du menton, cria à Alban :
Prends-moi, mets-la-moi ta grosse queue !
Attends salope, tu vas prendre ton pied avec moi.
Lucien fait un gros plan avec la caméra. Je veux que le mari cocu voit sa femme se faire défoncer par le gros Alban en direct ! dit Ruiz avec une voix rauque.
Oui, regarde connard, comment il va me baiser, comme la grosse pute que tu as toujours ignoré que j’étais. J’espère que tu auras bien les boules de me voir me faire sauter par tes trois amis ! Pauvre con !
Et effectivement, sous le gros bide poilu de Alban, Lucien zooma sur la bite du mec, qui il fallait l’avouer, était bien monté ! Le gland bien rouge était très large… ma femme habituellement peu large du vagin en début de rapport allait prendre cher ! Lucien encouragea son ami :
Allez vas-y, fais la couiner cette pute !
Allez ma chérie, tu vas prendre ton pied avec moi, pas comme avec ton pédé de mari !
Oui, oui ! Vas-y, mets-la-moi, défonce-moi. Tu filmes bien tout Lucien !?
T’inquiète ma belle !
Cécile voulait effectivement se faire souiller par les trois branleurs, et elle me réservait sa prestation pornographique en direct live ! Elle voulait vraiment que j’en chie ! Quand le gland pénétra la fente de ma femme, celle-ci poussa un gémissement rauque :
" Ohhhh ! Mon Dieu ! Tu es trop gros vas-y doucement !
Lentement, Alban fit pénétrer ses 21 centimètres de bite dans la grotte sacrée de ma femme… et jusque-là réservée à mon seul usage ! Avec un gros plan sur son visage crispé, il était difficile de dire si Cécile prenait son pied ou souffrait de la grosseur de l’engin qui l’investissait !
En tout cas, peu de temps après, c’est une Cécile vouée aux affres du plaisir qui gémissait comme une furie. Alban la ramonait à fond, Cécile devait beaucoup mouiller, à entendre les clapotis des sexes qui se percutaient !
En un gémissement rauque, Alban, qui avait souillé ma femme, se retira d’une chatte envahie par son sperme, et dégoulinade d’humeur. Ruiz fit un gros plan avec la caméra ! Il la passa alors à son comparse, et décida de placer ma femme en levrette. Il demanda à Lucien de l’enculer, celui-ci étant le moins bien membré des trois, pour ne pas trop faire de mal à leur nouvelle conquête ! Et lui se plaça sexe bandé devant le visage de mon épouse qui se mit à le sucer. Il lui défonça la bouche, faisant pénétrer son sexe jusqu’à la gorge ! Ma femme n’avait jamais connu une fellation aussi puissante et profonde, mais elle ne regimba pas !
Lucien, lui, après avoir donné quelques coups de reins dans la chatte dilatée et débordante de liquide, se positionna, le gland tout visqueux, à l’entrée du cul de ma femme, et commença à forcer le passage. Tout à son étonnement, Cécile sentit la verge se frayer un chemin dans ses tréfonds assez facilement, tandis que l’homme commençait un va-et-vient, d’abord lent, puis de plus en plus frénétique.
Alors ma femme, qui connut pour la première fois les délices de Sodome, se lança dans une logorrhée, qui ne lui ressemblait vraiment pas :
" Ah mon Dieu, il est dans mon cul… ouuuiiii ! C’est trop bon… trop bon de se faire enculer ! Ouuiii ! Vas-y ! "
Effectivement, nous allions, elle et moi, nous enfoncer dans des avilissements qui ne faisaient que commencer… Cécile avait décidé de boire le calice jusqu’à la lie !
Cécile poussa un grand cri de jouissance quand elle sentit le sexe pulser à l’intérieur de son étroit conduit, et le sperme en jaillir !
Tout le monde reprit ses esprits cinq minutes avant le final, en buvant un nouveau whisky ! Puis Ruiz se posa sur le lit, ma femme vint s’empaler sur son sexe, tandis que Alban la prenait en sandwich par derrière en la sodomisant, et Lucien lui, assis devant la tête de ma femme, la prenait par les cheveux et la forçait à engloutir son sexe !
Ma femme était prise par trois bites dans chacun de ses trous… et tout se déroula comme naturellement, comme si elle avait déjà une longue carrière d’actrice porno derrière elle !
Pendant 5 minutes, ce ne furent que gémissements, cris de jouissance de ma femme, quand elle n’avait pas la bite du mec au fond de sa gorge, jusqu’à l’extase finale !
Alors fièrement, Cécile se leva, les cheveux emmêlés, le corps luisant de sueur, le rimmel avait coulé sur ses joues, et posant les cuisses écartées, debout au-dessus de l’objectif, que tenait Ruiz, elle regarda le sperme des trois hommes couler de son cul et de sa chatte, aux trous dilatés, le long de l’intérieur de se cuisses :
Alors, j’espère que ça t’a plu connard ! Et ce n’est que le début ! Tu as vu ta frigide de femme comment elle s’est fait mettre !
Je ne retins pas ma jouissance à la fin du film. Ma femme avait mis la barre très haut, beaucoup plus que ce que j’aurais pu imaginer ! Qu’est-ce que les trois malotrus allaient bien pouvoir lui faire à présent ? Car j’imaginais que la spirale de sa déchéance voulue et assumée ne faisait que commencer ! Néanmoins, comment m’immiscer dans ce quatuor maudit, comment faire avaler mon adultère avec Simone ? Autant de problèmes à résoudre ! es choses n’allaient pas vraiment être simples.
"