Quelle soirée ! A peine rentré chez moi, j’avais encore bien du mal à réaliser. Réaliser que je venais de faire une fellation à mon pote d’enfance et que ce dernier avait joui dans ma bouche sans retenue alors que nous étions partis pour un plan à trois avec notre amie Sonia.
Le souvenir du sexe bandé de Serge me fit frémir toute la nuit, si bien que je dus me faire du bien au moins deux fois pour pouvoir réussir à dormir tant ce que nous avions fait m’avait excité au plus haut point. Mon appétit sexuel s’était révélé ; et il s’était braqué sur Serge et sa grosse queue. Une seule idée me tournait dans la tête: à quand la suite ?
Le lendemain, je me réveillai avec une gaule comme jamais je n’en avais encore eu auparavant ; ma queue appelait au sexe de toutes ses forces sous les draps. Si bien que seulement quelques va-et-vient suffirent à me faire juter comme un diable (et à tacher mes draps propres…); décidément il faut vraiment que je revoie ce cher Serge. Je reçus d’ailleurs un message cette après-midi, c’était Serge ; il me proposait de venir passer la nuit chez lui ce soir. J’hésitai un petit instant avant de répondre car je savais que, si j’y allai, cette nuit serait une nuit encore plus folle que la précédente.
D’un message sobre, j’acceptai l’invitation ; le rendez-vous était fixé à 20 heures ce soir.
Je passai la journée à me "préparer" pour la soirée ; d’abord une bonne douche pour me laver tous les recoins (absolument tous…), un bon rasage pour mes parties histoire qu’elles soient agréables à regarder puis direction mon armoire. Mon plus beau boxer pour l’occasion, un jeans slim plutôt moulant et une chemise à carreaux bleue m’habilleront pour ce soir. Il n’était à peine que 14h30 quand j’eus fini de me préparer, l’attente allait être interminable.
Arriva finalement 19h, ouf ! Vraiment, je n’en pouvais plus d’attendre. J’avais tellement bandé dans la journée que ça m’en avait fait mal. Mais je voulais me préserver pour ma soirée avec Serge, garder la moindre source d’excitation pour lui. Hop, j’enfile mes chaussures, je préviens mes géniteurs de ma sortie (qui ne se doutèrent absolument de rien, même en me voyant dans ma tenue digne d’une "chaudasse" version homme), j’enfourche mon vélo puis direction la maison de Serge. C’est à 20 minutes de chez moi à bicyclette, 20 minutes ayant l’air elles aussi interminables. En fait, chaque instant, chaque seconde, qui me séparait de ma soirée était devenue une torture pour moi. Je n’avais qu’une chose en tête, c’était d’assouvir mes envies salaces.
Enfin arrivé, je balance presque mon vélo à travers les buissons puis me rue sur la porte pour frapper. Serge vint m’ouvrir, il était vêtu d’une chemise noire assortie à un jeans noir aussi, tout autant serré et moulant que le mien. Nous nous saluons comme de vieux potes d’enfance mais avec la même idée en tête. Il m’expliqua qu’il avait réussi à faire inviter ses parents chez sa tante (malgré la réticence de son père) et que nous étions tranquilles pour toute la soirée lui et moi. Quelle aubaine…
Arriver dans la chambre, je remarque quelques détails notoires: déjà c’est incroyablement propre et rangé ; mon ami a dû se donner à fond pour ce résultat. Ensuite, c’est une petite bouteille en plastique contenant un liquide translucide posée sur la table de nuit qui attire mon esprit, on dirait un genre d’eau gélifiée, c’est drôle. Enfin, la boîte de préservatifs neuve ne fit que confirmer que nous étions tous deux dans le même esprit.
— Eh bien, on dirait que tu as tout prévu pour ce soir Serge.
— Oui, c’est vrai que… Je voulais pas qu’il manque quelque chose alors… me fit-il d’un air embarrassé
— Ne sois pas gêné lu dis-je en me rapprochant. Ça va te sembler étrange mais… j’ai pas arrêté de penser à toi depuis hier…
— Vraiment ? Tu sais que, toi aussi, tu m’as obsédé toute la nuit… Et ta bouche m’a manqué ce matin…
Je ne pus m’empêcher de rougir. Nous parlions comme de véritables amants alors que nous étions meilleurs amis encore hier matin. La tension était si grande en moi que c’est moi qui entamai les choses en caressant l’entrejambe de Serge par-dessus son jeans. Déjà, je sentais une petite bosse qui me rappelait de beaux souvenirs… Serge posa sa main sur ma joue, il me contempla longuement en faisant courir ses mains le long de mes hanches, puis il m’embrassa. Notre premier baiser fut timide et retenu, le second fut plus langoureux et intense ; puis la gêne disparue complètement et le troisième fût une énorme pelle baveuse. Nos langues s’emmêlèrent et s’entrelacèrent ensemble sans pouvoir s’arrêter. La main de Serge vint me saisir les fesses avec ferveur, la mienne continuait de masser son membre quavait l’air de vouloir s’échapper de cette entrave de tissus. D’un regard provocateur, je m’agenouillai devant Serge pour défaire son pantalon d’un air décidé. Mon cur battait à 3000 à mesure que j’ôtai le vêtement mais, d’un autre côté, je ne me sentais plus moi-même à ce moment. J’avais décidé de m’offrir pleinement à cette soirée avec mon meilleur amant… euh pardon, ami…
Le pantalon baissé jusqu’aux chevilles, je me retrouvai de nouveau nez à nez avec le sexe de Serge. Encore plus long et dur qu’hier, il trépignait d’impatience en frémissant. Sans attendre, je me jetai sur la verge prépondérante de Serge comme un chien affamé et commençai à pomper avec soin. Je fus moins surpris par l’aspect ainsi que le goût, retrouver cette douce sensation de chaleur ambiante était le sommet de l’extase. J’avais passé toute la nuit à rêver de la queue de Serge en moi, et de nouveau, je la retrouvai. Je mangeai chaque centimètre de cette queue magnifique, salivant abondamment tout le long de ce membre incroyable, tout en masturbant la base frénétiquement. Etant un mec qui a vécu son adolescence, je sais y faire croyez-moi. J’y vais sans retenue, entre bruits de ventouse et d’arrière-gorge, je sens déjà le liquide séminal visqueux qui se mélange dans ma cavité buccale. Quel pied de sucer une belle grosse queue ! C’est définitivement une des meilleures choses que j’ai jamais faites. De son côté, Serge à la tête tournée vers le plafond ; je l’entends gémir de plaisir à mesure que ma bouche lui suce la queue. Une de ses mains me caresse les cheveux tandis que l’autre accompagne le rythme de ma fellation. Mes mains à moi, elles lui saisissent les fesses, comme pour intensifier encore plus ce rythme effréné. Je bande comme un taureau, cette fellation me rend tout émoustillé et commence à me faire penser des choses de plus en plus lubriques. Une petite pause pour reprendre mon souffle.
— Excuse-moi, je… c’est ma première… enfin ma deuxième… Il faut que je respire, dis-je en laissant dégouliner un filet de bave au coin de mes lèvres.
— T’inquiète mec, tu fais ça tellement bien c’est fou… Bien mieux que Sonia…
Cette phrase devrait me gêner, et pourtant je trouve ça enivrant que savoir que je pompe mieux qu’une fille. Ça me remonte tellement que je me mets à gober les boules de Serge et à le regarder d’en bas avec des yeux de… il faut bien le dire: des yeux de grosse salope qui a faim.