Ma grande-sur se tenait là devant moi, à quelques mètres. Avant quelle ne saperçoive que son jeune frère se trouvait devant elle, javais réussi à figer cette vision dans mon cerveau. Je ne lavais pas revu depuis de nombreux mois maintenant, mais je ne pouvais me tromper. Elle avait les cheveux blond platine et ses yeux avaient gardé leur teinte sombre. Sa blouse dinfirmière était ouverte jusquau nombril, et ses seins de taille convenable étaient pressé dans un soutien-gorge rouge bien trop petit pour elle. Leffet était très puissant, et sa poitrine bien rebondie. Son ventre était lisse et légèrement musclé. Cétait une belle jeune femme. Elle devait avoir dans les 28 ans maintenant, et avait une silhouette très sexy, et sa tenue ajoutait en plus un caractère très pornographique. Dans sa main droite pendait un gobelet transparent en plastique, et la gauche une bouteille de lubrifiant aromatisé. Si le hasard mavait offert en cette matinée dhiver nimporte quelle autre femme, jaurais béni le bon Dieu pour sa générosité. Mais je me trouvais devant ma sur, et aussi belle et attirante soit-elle, je restais tétanisé.
Voilà ce que javais devant moi. Lorsquelle me reconnut, mon premier réflexe fut de partir en courant, et aucun de mes muscles ne pouvaient sopposer à cette fuite. Je ne saluais même pas ma belle hôtesse qui devait surement me dévisager depuis son guichet.
La journée fût maussade. Jétais rapidement rentré chez moi et avais passé la journée dans des jeux-vidéos, pour ne penser à rien, au vide total et sans responsabilités.
Le soir, je me présentai au rendez-vous. Jétais encore tout secoué et craignais de croiser ma sur à la sortir de son job. Dailleurs depuis quand travaillait-elle là ? Elle avait déménagé de chez les parents il y a longtemps, mais pour moi elle était secrétaire chez un dentiste. Serait-ce possible quelle nous ait caché ses nouvelles études et sa nouvelle profession ? Je me posais la question.
Ma réflexion fût brève, car mon rendez-vous était à lheure, et je la voyais maintenant franchir la porte de la banque. En face de moi, à une dizaine de mètre de là où jétais garé, se trouvait une créature à lallure superbe. Alors que sur son fauteuil et derrière son comptoir elle était juste très excitante avec ses seins dans lesquels on aurait aimé mourir étouffé, et son visage tout mignon, elle était époustouflante lorsque son corps était libre et non enchainé à une chaise. Et la voilà marchant vers moi, de son pas lourd et élégant. La jeune femme était grande et élancée. Sur ses talons noirs et fins, elle atteignait le mètre 80. Ses cheveux bruns étaient maintenant libres et subtilement ondulés. Ses seins toujours aussi énormes étaient bien enveloppés et couverts dans un bustier foncé très élégant, qui, de par ses coutures, délimitait bien les différents organes. Seule apparaissait une mince ouverture, mais je savais ce que cachait la pointe de liceberg. Ses hanches étaient larges, et mises en valeur par un leggins imitation cuir qui, bien que très vulgaire, lui allait à la perfection : sa chair remplissait tout simplement le tissu, et lorsquelle monta finalement dans la voiture javais été subjugué par sa beauté et navait pu descendre pour laccueillir je me délectais du spectacle que moffrait ses fesses, dessinées à la perfection. WOUAH !
Elle remarqua mon sourire, elle avait bien vu avec quelle admiration et quel plaisir je lavais vu sapprocher. Javais analysé son corps et le trouvais tout simplement parfait. Elle sapprocha de moi, son buste tout entier sélança vers le mien mais sans établir de contact, et tandis que sa main droite vint caresser ma braguette, sa bouche elle vint trouver et gouter mes lèvres. Elle ne tarda pas à trouver ce quelle cherchait sous sa main, le sentant ramper sous mon jean et le long de ma jambe droite, et en ouvrant sa bouche, elle aspira ma langue qui commença automatiquement à masser la sienne. Je sentais son décolleté sappuyer contre mon bras nu, et lenvie de tâter, malaxer, caresser, pétrir, masser ses seins ronds et lourds se faisait de plus en plus forte, si bien que ma langue augmenta la cadence sous leffet de lexcitation. Mais mon rendez-vous savait y faire. Elle séloigna de moi, de façon très sensuel, et me dit quelle était contente de me voir. Sur quoi la voiture démarra pour rejoindre le bar dans lequel nous devions aller boire un apéro.
La soirée ne se passa pas du tout comme prévu. Nous nous entendions très bien et sommes restés au final près de 3h dans ce bar, à rire, discuter, et surtout boire des shots dune douceur toxique, si bien que lalcool eut rapidement raison de nous. Nous avions profité du départ dun couple pour nous faufiler dans un coin plus intime de létablissement. Nous étions déjà en train de flirter : elle ne perdait pas une occasion pour me caresser le bras ou la cuisse, toujours plus haut, tandis que moi jenchainais les compliments, toujours plus orientés sur son anatomie. Elle avait depuis longtemps déboutonné le haut de son corset, et ses seins respiraient, se nourrissant de mes regards incessants. Une tequila avait renversé la situation. Ou plutôt, cétait la tequila qui sétait renversé. Le shot était glissant et sétait échappé de sa main, pour tomber sur la poitrine. Enivré par son rire, ma seule réaction fût de plonger dans son bustier pour y lécher la liqueur, et elle mencouragea en me massant larrière du crâne. Ma queue était depuis des heures tendue et dure comme une tige de titane, et mon amie avait du le remarquer, car sa main lattrapa du premier coup. Désinhibés au maximum, plus rien nexistait autour de nous. Et cest seulement lorsque le patron de létablissement vînt mattraper lépaule en hurlant et en me cognant que je me rendis compte que mon rendez-vous avait la tête entre mes cuisses et mon gland au fond de sa gorge. Lalcool mavait aidé à impacter les coups du gérant, et nous étions maintenant dehors, écroulés de rire. Mais lexcitation décuplée navait pas quitté nos corps et dans une vieille ruelle miteuse non loin de bar, ma femme fatale finit de téter mon sexe, et se servit un dernier shot dune liqueur crémeuse et chaude.
Je suis dans une cuisine inconnue, en train de me faire un café. Mais vu que ma compagne dans le lit est ma belle brune, jen déduis facilement que nous sommes chez elle. Mon téléphone sonne, je lentend et le reconnais à sa sonnerie stupide, mais il est loin. Surement dans la chambre. Je cours du mieux que je peux pour le faire taire, ne voulant pas réveiller cette créature qui dort. Je le trouve finalement, me pose sur le rebord du lit et répond. Le numéro était inconnu.
— Allhhmo ?
— Salut petit frère. Je te rappelle que tu as signé un contrat avec la banque, et que nous attendons toujours ton don. Si tu ne veux pas avoir à payer une amende, je te conseille de venir dans la journée.
Merde. Ma sur.
Deux bras entourent mon ventre et mattirent sous la couette. Me voilà de nouveau collé contre ce corps généreusement trop beau, trop doux, trop enivrant, et comme je men doutais, lexcitation revint, malgré mon mal de crane. Cest elle qui avait donné limpulsion, je lavais senti à son baiser. Ma bouche glissa pour manger ses énormes tétons. Cétait un feston royal. Ils étaient durs et mes morsures provoquaient chez elle des décharges de plaisir. Lentendre gémir était pour moi incroyablement gratifiant. Ses seins étaient naturels, gros, tendres, lourds, chauds, fermes et moelleux. Les sucer était un pur enchantement, et jaurais pu le faire toute la journée si sa main ne me poussait pas à descendre lui lécher les entrailles. Jallais enfin gouter à ses autres lèvres, qui je lespérais, seraient acides et humides. Ma langue glissait sur son ventre Elle était comme en transe, sa main était contrôlée par lenvie et le désir, et je finis par me retrouver entre ses cuisses, qui se refermaient tendrement contre mes tempes. Jembrassais tant que je le pouvais encore ses jambes et lui retirait son tanga, baisant tour à tour ses cuisses, ses genoux et ses mollets. Mais en remontant, quelle ne fût pas ma surprise de découvrir que ma si belle femme, dont je ne doutais pas de sa féminité, avait une queue à la place dun vagin