Je m’appelle Sophie. Je fais du porno. Mon patron vient de passer une annonce sur internet : SOPHIE SERA OFFERTE À TOUS, IMPASSE DU VICE, À LA TOMBÉE DE LA NUIT, TOUS LES JOURS DE LA SEMAINE

SAUF LE DIMANCHE. Merci pour le dimanche.

Et donc, je suis là, en cette soirée torride du mois d’août, impasse du vice. Une caméra cachée va tout filmer. Le patron sait que je suis une vraie salope et il ne m’a pas donné de directives. Je suis dans une robe latex fourreau, avec juste une petite culotte rouge vif et des très hauts talons rouges eux aussi. Je suis plaquée la tête vers le mur, les bras en l’air, les fesses bien tendues en arrière, cambrée au maximum.

Et j’attends. J’oubliais une chose, j’ai les yeux bandés.

  C’est une ruelle à la limite du sordide. Très étroite. Le seul bruit : les cris d’une femme qui se plaint. Une plainte de jouissance, très longue, qui n’en finit plus. Une ruelle trouble et brûlante.

  J’entends des murmures derrière moi. Et je sens des mains sur mes fesses, puis une langue. Puis deux langues. Puis trois. Toutes trois très baveuses. Elles lèchent ma petite culotte. Qui se trouve très vite toute trempée, pas seulement à cause de la bave des langues… Une main écarte violemment ma culotte, des langues avides me fouillent, dans ma chatte, dans mon cul. Je tends davantage mon cul vers l’arrière, pour que les langues puissent pénétrer plus profond. Quel âge ont ces langues? Je m’en fous, pour le moment, je suis en train d’exciter une bande de mecs, avec mes fesses offertes au clair de lune.

Je les entends parler: " Putain la saloooope… t’as vu ce cul… elle en veut.. ça doit l’exciter à mort de se faire toucher par des inconnus… laisse-moi son cul maintenant, pousse-toi, à mon tour… J’te laisse sa chatte si t’as pas peur d’être inondé… Dis, si on se la tapait? Regarde, elle attend que ça, elle tortille du cul, une vraie grande saloooope… Le mieux c’est de l’enculer… OK, t’es l’aîné, commence…."

J’entends des bruits de braguette qu’on ouvre. J’espère que la caméra est en marche… J’ai hâte de sentir le genre de bite qui va m’enculer. Ouais… pas mal du tout. Je la sens qui glisse sur toute sa longueur entre mes fesses que l’autre, dévoué, écarte de ses mains… Bien membré le mec, je dirais la quarantaine… bien noueuse. Très dure, j’ai un peu peur… Mais le mec est un pro, il connaît la musique : il glisse sa queue entre mes cuisses toutes mouillées, puis j’entends qu’il se crache sur le gland et qu’il le masse pour qu’il devienne uniformément lisse et gluant de bave. Mieux que ça, il se met à genoux, m’écarte bien les fesses

pour mettre mon petit anneau luisant en évidence, et le salaud me crache dans le cul plusieurs fois, enfonce deux doigts… Je le sens masser les parois du conduit et en même temps me donner des coups violents.

Je commence à devenir folle. Et l’autre qui l’encourage : "Vas-y, défonce- la bien, prends ton temps, regarde-la la chienne comme elle respire fort… Elle en veut… " Oui, j’en veux, et j’en ai! L’inconnu au membre d’acier bien baveux vient de me l’enfoncer bien profond. Pour bien marquer sa conquête, il reste au fond quelques secondes, et me donne de grands coups de boutoir, en me plaquant contre le mur.

Je vais me faire défoncer en règle… Je les connais ces mecs dans la quarantaine, les queues les plus dures et les plus expérimentées. Les plus salopes. Tout ce qu’ils n’osent pas faire à leur femme, ils se paient des putes comme moi pour le faire. Tiens, j’le savais: en plus de sa queue, il cherche à me rentrer aussi son pouce dans le cul! Le pouce de sa main gauche, qui fouille, qui cherche, qui abuse totalement de mon cul offert… Et, voilà, le petit salaud vient d’y arriver. C’est comme deux bites que j’ai maintenant dans le cul. Il se trouve que j’adore ça. Et il y va, le mec, il me défonce à mort, je ne suis plus qu’une chienne perdue dans la nuit ,qui se fait monter par un inconnu. Je suis en train de me demander s’il va éjaculer en moi, ou à l’extérieur. J’aimerais bien que ce soit pas dedans, car la soirée ne fait que commencer, bébé…

On dirait qu’il m’a entendu penser le mignon : il sort sa queue brutalement tout en continuant à m’enculer avec force avec son pouce, je sens le gland qui se frotte frénétiquement dans ma raie, et un cri strident de chien errant déchire la nuit… Je sens le sperme qui gicle sur mon petit trou et sur son pouce en action. Ah…. Ah…. il m’en met partout le salaud, partout sur les fesses, ça dégouline…j’adore ça. Il me barbouille les fesses avec son foutre, il marque son territoire… J’ai une envie folle de m’astiquer le minou, mais, en tournant un peu la tête, je vois la longue file d’attente, patiente… et dans la file, je perçois les glands luisants que les inconnus brandissent dans cette nuit moite.

Je crois que c’est une langue de femme qui lèche maintenant mon foutre ,une langue râpeuse.. Bientôt, tout s’accélère et ça devient fou . Des dizaines de queues de toutes les dimensions, de tous les âges, des dures, des à moitié bandées toutes baveuses ( des mecs qui n’ont pas pu se retenir, et qui viennent essuyer leurs queues sur mon cul…mauvaise idée car mon cul est couvert de traînées luisantes de foutre… )

La plupart des queues n’ont pas le temps de me pénétrer tellement c’est la bousculade. J’entends une vraie symphonie de cris rauques, pendant que du foutre multiple et anonyme gicle sur mes fesses entièrement offertes au désir mâle qui rôde dans cette impasse. Aux senteurs urbaines se mêle l’odeur acre du foutre qui jaillit de toutes ces lances. De temps en temps, j’ose d’une main tremblante branler au hasard une de de ces queues et j’ai du foutre sur les doigts, et de temps à autre, je mets la main à ma bouche, et je goûte ….

C’est sûr, dans la bagarre, certains arrivent à pousser les autres, à se frayer un passage vers le point central tant désiré de mon cul. Et alors, pendant que les autres jouissent en regardant, le membre vainqueur est en général énorme, dur, long et épais, mais il n’a pas de mal à me pénétrer, car mon cul déborde de foutre, et ça glisse tout seul. Avec tout ce qu’Ils m’ont giclé dans le cul, ils pourraient m’enfiler une batte de baseball, par le gros bout…Je me frotte la chatte avec les flots de foutre qui coulent dessus, j’adore, c’est épais et gluant à souhait. Ça fait des bruits excitants.

Brusquement, grand silence. Que se passe-t-il? D’accord… C’est le coup de grâce final. Je regarde vers l’arrière : UN NOIR BRANDIT UNE QUEUE DE 30 CM VERS MON CUL!!! Je sais ce qu’il voit, le salaud. Il voit la grande salope de Sophie plaquée contre le mur de la nuit, offerte au plaisir général, les fesses et les jambes nacrées de sperme, et qui, des deux mains, écarte ses fesses au maximum, en hurlant à l’amour :" OUIIII….

ACHÈVE-MOI AVEC TA GROSSE QUEUE, VAS-Y , PROFITE DE MOI, ENCULE- MOI, DÉFONCE- MOI, EMBROCHE -MOI, ARROSE-MOI, EMPLIS-MOI!!!! " Le gars n’en peut plus, il m’enfile dans un grand bruit vicieux de foutre qui gicle, il n’en finit plus de me transpercer, cet énorme tube bandé rentre, et rentre encore, va-t-il m’enfiler jusqu’à la gorge, le salaud????? AAAAAAHHHHHHH….. Je hurle de douleur et de plaisir. Jamais un homme n’était allé aussi profondément en moi , je ne suis plus qu’un grand trou béant de plaisir, empli par toute la virilité du monde, offert aux regards d’inconnus dans la nuit qui regardent la scène en se masturbant, je suis une offrande pour la grande décharge du foutre de la vie, et VOILÀ, IL LÂCHE DES BOUILLONS DE SPERME ET D’OR DANS MON SALAUD DE PETIT CUL VICIEUX, JE HURLE, IL BRAME, JE DÉBORDE DE FLEUVES INFINIS DE FOUTRE , CE QU’IL N’A PU GICLER AU DEDANS, IL M’EN ARROSE MAINTENANT LES FESSES ET LE LATEX VIOLET DE MA ROBE. ÇA N’EN FINIT PLUS, JE REÇOIS DES GICLÉES SI VIOLENTES QU’ELLES ME BRÛLENT LA PEAU.

ET MAINTENANT, L’HOMME ME BAT AVEC SON MEMBRE À 100 DEGRÉS, LE FOUTRE GICLE, DES QUEUES -BLANCHES CELLES-LÀ- VIENNENT SE JOINDRE À CE SACRIFICE, ET JE SENS PLEIN DE PETITS JETS DE SPERME

ASPERGER MA RAIE DÉGOULINANTE. MILLE MAINS FOLLES ME FOUILLENT LE CUL ET AUSSI LA CHATTE , PENDANT QUE MILLE LANGUES DE FEMMES VIENNENT LÉCHER, AVALER, LES COULÉES ABONDANTES DE NACRE

SOUS LA LUNE…. VIRILO.

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