Le mercredi suivant notre première relation, je suis descendue me changer comme d’habitude, une fois remontée il m’a attirée derrière un rayon au fond du magasin, de suite il a placé sa main par dessous la blouse entre mes cuisses, constatant que j’avais ma culotte, il m’a dit que maintenant quand j’irai me changer, j’enlèverai tout sous la blouse grise, que je n’aurai qu’à laisser boutonné suffisamment haut et bas pour que personne ne s’en aperçoive, je suis redescendue enlever le reste…

Il avait l’air tout excité, la matinée s’annonçait chargée, il m’a demandé d’aller chercher un carton pour s’occuper d’une étagère du bas, inhabituel car il me faisait monter tous les cartons dont nous avions besoin normalement, et pour les étagères du haut, car celles accessibles c’est lui qui s’en occupait dans la semaine…

Bon, il avait ses raisons, et nous commençons, lui s’assoit sur un tabouret face à moi avec le carton et moi je m’accroupis face à lui pour qu’il me passe les produits, mais boutonnée trop bas c’est pas facile pour s’accroupir, je lui dis, il me répond de remonter ma blouse jusqu’à la taille…je proteste un peu, pour la forme, mais je suis toute rouge et déjà excitée, j’ai pensé à ce mercredi toute la semaine me demandant ce qu’il allait se passer…

J’exécute et me retrouve accroupie chatte ouverte..blouse retroussée à la taille, et je me mets à ranger les paquets qu’il me tend, ça dure un bon quart d’heure, en relevant la tête je vois son membre dans sa main, il se masturbe en me matant, je rougis, j’ai chaud au visage, je ne sais quoi faire et je ne m’en occupe pas, mais il me dit d’approcher, accroupie je suis à peu près à la hauteur de son sexe, il reste assis et me prend la tête, me force à ouvrir la bouche et la rentre là…j’aime pas ça et je ne sais pas trop quoi faire, avec les copains de mon âge je les suçais comme ça, un peu, mais sans plaisir, juste pour s’amuser, lui il me force, et sa verge sent mauvais, ça me dégoûte…j’ai encore des hauts de cur…

Heureusement, la sonnette de la porte du magasin retentit, je me relève d’un bond, il crie qu’il arrive et me dit avant d’aller voir le client, de déboutonner le bas de ma blouse jusqu’en haut des cuisses, aussi le haut jusqu’à mi seins, et veut que je me rapproche des clients et ranger les rayons du bas, seulement ceux du bas de façon à rester accroupie tout le temps à chaque fois qu’il y aura un client dans les rayons..

Lui était resté à sa caisse, je n’ai pas eu besoin de bouger le client arrivait, je me suis mise accroupie, genoux distants, et la tête penchée vers le rayon du bas, il avait tout le loisir de mater, mes genoux écartés avaient bien ouvert la blouse laissant une très large vue sur ma chatte nue, mon décolletée laissait une vision sur mes seins jusqu’aux mamelons, l’homme restait là, il restait à regarder, puis il s’est approché jusqu’à ce que sa braguette soit à quelques centimètres de ma tête, elle était gonflée..

Je me demandais ce qu’il voulait, pensait-il que j’allais lui sortir sa verge ?..un moment j’ai failli, tellement j’étais excitée, ma chatte était humide je le sentais, le voyait-il?..

Puis il a bougé, j’ai levé la tête , il me sourit, me fait un clin dil et part vers la caisse, il parle avec mon patron, très bas, je n’entends pas ce qu’ils se racontent, je pense que je dois être concernée sinon pourquoi faire en sorte que je n’entende pas, je me méfie de l’esprit pervers du quincaillier, je peux commencer à le connaître, son vice est en perpétuel recherche de plaisirs pervers..

Le client parti il revient me voir et me dit que je suis une salope, il ouvre totalement ma blouse et enfoui sa tête entre mes cuisses, je suis debout plaqué contre les étagères..cuisses tendues, ouvertes, il me lèche fougueusement, ses mains sont plaquées sur mes fesses et poussent mon bassin contre son visage, tout en me maintenant appuyée il entre deux doigts dans mes fesses, c’est bon…la langue du vieux me fouille…je pense à son âge, 70 et moi tout juste 16, mais sa langue est tellement envahissante, ses doigts aussi progressent, un troisième élargit un peu plus mon trou..

Mais il n’y tient plus et me dit de descendre de suite, je descends, il me suit et me pousse doucement vers l’établi, il n’a plus que la blouse à enlever pour que je sois nue, il me fait prendre sa pose favorite, la mienne aussi, à plat ventre, les jambes à l’angle de l’établi, pendants dans le vide, mes fesses offertes..

Malgré son excitation, et qu’il soit mouillé, il reste assez mou, et je crains qu’il ne puisse se retenir, mais il a prévu une huile, il en fait couler entre mes fesses, il la laisse couler jusqu’à l’anus et me la fait pénétrer de ses doigts..il prend plaisir et moi aussi à l’entrée et sortie de ses doigts, deux puis trois, il me dilate bien et je pense que je vais être enfin introduite par lui…

Il sort son truc et le pousse de suite, en effet la dilatation conjuguée avec l’huile, fait qu’il entre, même mou..je sens son truc qu’il agite dans mon petit trou, je lui donne des coups de fesses en arrière dans son ventre pour qu’il se déchaîne un peu, son sexe grossit à force de bouger en moi, mais il jouit rapidement, il reste à se vider par à-coup dans mes reins…il se réajuste rapidement, quand la sonnette retentit, il avait oublié de fermer la porte du magasin…il monte en prévenant qu’il arrive…moi, je reste sur ma faim bien que je suis contente d’avoir été un peu sodomisée.

Je me lave au lavabo des toilettes du sous sol, et remet ma blouse, mais bien ouverte en bas jusqu’en haut des cuisses laissant apparaître ma chatte si j’écarte un peu les jambes, et toujours déboutonnée en haut jusqu’aux bout de mes seins.

Le client est toujours là en discussion avec le patron, je passe devant en lui disant bonjour affichant un large sourire, puis je vais regagner le rayon du fond délaissé tout à l’heure, je me remets accroupie, et je vois arriver le client sur ma droite, qui, comme par hasard, s’arrête dans la rangée où je suis accroupie…il reste suffisamment à distance pour mieux me voir, je suis face au rayon, s’il ne peut voir entre mes cuisses, de ma blouse entrebâillée il a une très belle vue de profil sur mes seins…

Il reste figée faisant semblant de lire le mode d’emploi d’un article, je me dis qu’il va rester là tant qu’il n’aura pas vu mes cuisses, alors je tourne vers lui naturellement comme pour ranger mieux un produit tout en restant accroupie, et, en tournant, j’ouvre grand ma cuisse droite, et là…il fait tomber le pot, par réflexe il se baisse accroupi aussi et se retrouve face à moi, je reste dans ma position et le fixe dans les yeux…

Lui ne regarde que ma chatte, bouche ouverte, hypnotisé, il n’ose pas lever les yeux, fasciné par mes jeunes lèvres, je m’amuse de cette situation, je me tourne très doucement, au ralenti…pour ne pas rompre le charme….complètement face a lui, tous deux accroupis…puis, très délicatement, ma main ouvre un à un les derniers boutons du haut vers le bas…mes seins se libèrent, mon nombril apparaît, enfin le dernier….ma blouse s’ouvre totalement…je bouge au ralenti, aucun geste brusque ou rapide, mes deux mains rejoignent mes épaules….et tirent doucement la blouse en arrière sur les bras et la laisse descendre seule jusqu’au bout des ongles…nue, nue… je suis nue accroupie, ouverte, charnelle et sensuelle, de la pointe des cheveux à mes ongles de pieds…….je me lève toujours aussi lentement, il n’a pas bougé, pas levé la tête, pas fermé la bouche, je m’approche lentement, et j’arrête mon corps à deux centimètres de sa tête, ma chatte frôle son visage, je tourne mon bassin doucement à droite et à gauche sans bouger les pieds, juste pour lui frôler le visage avec ma petite motte que je tends légèrement vers lui……sans un mot, sans un bruit, l’on entend juste la circulation dans la rue, puis je tourne les talons toujours au ralenti, je rejoins ma blouse qui est par terre, je me penche jambes tendues, un peu écartées, pour la ramasser lui permettant d’avoir une très belle vue de mes parties intimes…je me rhabille et disparais dans un autre rayon..

Tout cela n’a pas durée plus longtemps que de l’écrire, pendant tout ce temps, le vieux regardait la scène derrière un casier dans la rangée parallèle, je l’avais vu mais je ne voulais pas le regarder pour ne pas déranger le client, ni rompre ma scène de séduction, mais quand j’étais tout près de l’homme et qu’il ne pouvait voir mon regard, je voyais le vieux qui se masturbait dans les bouteilles…

Calmé deux fois dans la matinée, dont une fois dans mes reins, le vieux m’a laissée tranquille, à mon grand regret, j’avais pensé après l’épisode avec le client, que j’allais aller faire un tour au sous-sol..

A midi, en partant, il m’a demandé de prévenir ma mère qu’il avait besoin de moi mercredi prochain toute la journée pour faire l’inventaire, je devais amener de quoi manger pour le midi, et je ne rentrerai sûrement pas avant la fin d’après midi, je serai bien payée, j’étais d’ailleurs déjà mieux payée depuis que je le laissais jouer avec moi.

A suivre…

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