Je m’appelle Gabriel, et au moment des faits je n’ai encore que 18 ans. Je ne suis ni très gros ni très musclé, du haut de mes un mètre quatre-vingt et de mes cinquante kilos tout rond, on peut affirmer sans se tromper que je possède un corps lâche. C’était l’été, et je m’ennuyais fermement. Allongé sur ma chaise longue à prendre le soleil, je passais le plus clair de mon temps à ne rien faire. Alors que je regardais tranquillement mon fil d’actualité Facebook, une notification toute particulière attire mon attention : « Manu vous a ajouté dans sa liste d’amis ». Manu, c’était un vieil ami à mes parents mais qui ont rompu tout contact il y a deux ans pour je ne sais quelle raison, et évidemment depuis ce jour-là je ne l’avais jamais revu. Je me rappelle avoir été très proche avec lui, je le considérais presque comme un père. Je regarde sa photo de profil de plus près : il était en débardeur au bord d’une piscine, arborant un grand sourire. Heureux d’avoir l’occasion de reprendre le contact, je l’ajoute également à mes amis. Il ne fallut pas longtemps avant qu’il ne m’envoie un premier message.

— Bonjour Gabriel ! Comment vas-tu ?

— Bien et toi ?

— Bien aussi ! Ca faisait longtemps hein ?

— Oui ! C’est fou comme tu m’as manqué !

— Oui, toi aussi tu m’as manqué…

Et ainsi de suite, on parle de tout et de rien avant de finalement conclure par un rendez-vous chez lui dans la semaine. Légèrement troublé par ces retrouvailles peu conventionnelles et inattendues, j’appréhende le jour du rendez-vous. C’est ainsi que quelques jours plus tard, je me retrouve sur le pas de sa porte. J’hésite à toquer, mais c’est finalement lui qui vient m’ouvrir.

— Gabriel ! Comme tu as grandi !

Il me dévisage avec un grand sourire. Il porte son fameux débardeur, laissant paraître des épaules et des bars plutôt musclés. Il est un peu plus petit que moi mais beaucoup plus imposant avec son torse bien dessiné, légèrement bedonnant. Il a perdu la plupart de ses cheveux poivrés sel mais il porte en revanche une barbe bien fournie. Un peu gêné, je ne sais pas quoi lui répondre, mais il ne m’en laisse pas l’occasion puisqu’il me prend dans ses bras avant que j’eus le temps d’ouvrir la bouche. Je lui rends son étreinte. Je sens ses mains me caresser tendrement le dos, et comme ça fait du bien !

Après ce qui me sembla être un temps ridiculement long, il me lâcha finalement pour me prier d’entrer. On s’assoit autour d’un verre et on discute de broutilles. Puis au bout d’un moment il s’arrêta de parler pour me reluquer, toujours avec son grand sourire. Pour briser le silence, je lui demande rapidement :

— Et sinon quest-ce que c’est ton nouveau travail ?

— Je suis masseur à présent ! Me répond-il avec un peu trop d’enthousiasme

— C’est vrai ? Mais c’est génial !

— Tu aimerais que je te masse ?

— Euh… Maintenant ?

— Oui, si tu en as envie !

Je n’ose pas lui dire non, et il me dit finalement d’aller m’installer sur son lit pour être plus à l’aise. Je monte donc les escaliers, Manu sur mes talons, tellement près que je sens sa respiration dans le bas de mon dos. Il me demande donc de me déshabiller intégralement, de mettre une serviette autour de ma taille, de m’allonger sur le ventre et de me détendre le temps qu’il se prépare dans la salle de bain. Je m’exécute donc, m’allonge sur son lit et attends. J’entends finalement la porte de la chambre s’ouvrir, mais je ne vois rien car j’ai la tête actuellement fourrée dans mes bras. Par le matelas qui s’affaisse à ma gauche je devine qu’il s’est mis à genoux juste à côté de moi. Puis je sens ses mains légèrement rugueuses et enduites d’huiles de massage se poser sur mes frêles épaules. Il commence à faire des caresses circulaires sur mon dos.

— Tu es tout chaud… me murmure-t-il

Je lui réponds par un faible gémissement d’aise. Il passe à ma nuque, à mes bras, et s’attarde sur le bas de mon dos, descendant de plus en plus bas, faisant glisser la serviette que j’avais déposée sur mes fesses petit à petit. Il s’arrête finalement à la toute limite de me mettre complètement nu pour passer à mes jambes. Il commence par mes pieds, mes tibias, puis les cuisses et finalement l’intérieur de mes cuisses. Je ne peux pas m’empêcher de pousser un petit gémissement quand il arrive à cette partie très sensible pour moi, ce par quoi il répond par une tendre caresse. Il reste longtemps sur cette partie, remontant peu à peu vers mes fesses, guettant une quelconque réaction de ma part, mais je ne fais rien. J’ai envie qu’il me les touche, qu’il me les caresse autant de temps qu’il veut, c’est trop bon. Il défait lentement la serviette qui me protégeait de la nudité complète et il pose ses mains sur mon fessier brûlant et rasé de près, comme le reste de mon corps.

— T’as un joli petit cul. Me susurre-t-il à l’oreille.

Je ne dis rien, je suis complètement emporté par ses sensations divines. Il me les caresse, me les palpe, les écarte. Il fait coulisser un doigt graissé d’huile dans mon sillon intrafessier avant de s’occuper de mon petit trou. Il pose un doigt à l’entrée tout en me caressant les cheveux de l’autre main. Lentement, il pousse son majeur à l’intérieur de moi, ce qui me fait me crisper au début. IL s’arrête alors en intensifiant ses caresses sur mes cheveux. Je me détends alors complètement et il me pénètre totalement de son doigt. La sensation est étrange, presque désagréable, mais Manu commence à faire des vas et viens si bien que mon pénis commence à bander. Petit à petit il accélère le rythme avant d’insérer, non sans mal, un deuxième doigt qui finit par rentrer. Il me récompense de cet exploit par une petite claque sur mes fesses ce qui me fait pousser un petit cri. Après m’avoir bien préparé mon anus, Manu se retire d’un coup et d’une main me retourne sur le dos. Je peux le voir finalement. Il est à genoux sur mon ventre, me dominant de sa haute stature. Le débardeur qu’il portait juste avant cachait son magnifique torse poilu à souhait. Dans sa main il branlait une bite qui me sembla énorme qui devait bien mesurer dix-neuf bons centimètres. Il souriait toujours, mais d’un air plus vicieux cette fois. Il se couche sur moi et m’embrasse, il fouille avec férocité l’intérieur de ma bouche de sa langue. Il se redresse finalement et me présente son imposant pénis à l’entrée de ma bouche. Un peu réticent, je commence à lui lécher le gland. Il a un goût salé et un peu acide pas désagréable. Mais Manu n’est pas du même avis, il me prend brusquement par les cheveux et me fourre l’intégralité de sa verge d’un coup. Il me donne de grands coups de reins, propulsant sa bite jusqu’au fond de ma gorge, si bien que j’ai le nez pris dans ses poils pubiens. Au bout d’un certain temps, il me libère la bouche et j’en profite pour avaler de grande gorgée d’air. Me laissant toujours sur le dos, Manu me prend par les deux chevilles et replient mes jambes sur mon torse. Il crache sur mon cul et étale sa bave sur son pénis, je me sens chienne comme jamais. Puis il présente sa verge à l’entrée de mon anus. D’un coup déchirant, il pénètre l’intégralité de sa bite dans mon rectum. Je pousse un cri de surprise et de douleur, mais Manu ne semble pas s’en rendre compte car il a déjà commencé à me besogner. Il commence par un rythme lent, ce qui me laisse le temps de laisser progressivement place la douleur au plaisir. Je sens sa verge progresser tout au fond de mon cul puis se retirer de moi. Puis il commence à prendre de la vitesse, j’entends ses grognements de satisfaction s’amplifier, et à chaque coup de butoir je pousse un petit cri de plaisir. Il prend brusquement mes jambes et les pose sur ses épaules pour pouvoir se coller à mon corps fragile.

— T’aimes bien ça hein sale chienne ?

— Oui…

— J’entends pas bien petite salope !

— Oui j’aime ça Manu !

— T’aimes bien quand je te culbute comme une pute !

— Oui !

Et il continue de plus belle à me pistonner l’anus, me violant et me défonçant le cul de plus en plus vite. Petit à petit, il s’accélère encore tandis que je sens ma jouissance venir. Dans un rugissement effroyable il se déverse tout au fond de mon cul tandis que j’éclabousse mon ventre et le sien d’un liquide visqueux. On reste longtemps dans cette position à ne plus bouger, le pénis de Manu se calmant peu à peu alors qu’il est encore au fond de moi. Il se retire finalement, laissant un trou béant dans mon cul. Il s’allonge à côté de moi sur le dos et je viens me coller à son torse musculeux. Il passe un bras protecteur autour de mes épaules, et nous échangeons un long baiser dans lequel nos langues font l’amour, alors que je sens encore son sperme chaud me couler le long de la cuisse. Il me demande si j’aimerais passer une semaine avec lui durant les vacances, me promettant que je n’allais pas m’ennuyer, et quelque chose me dit que je ne risquais pas en effet !

Related posts

Atterrissage caliente à Fuerteventura – Chapitre 2

historiesexe

Mon Oncle Salvatore – Chapitre 3

historiesexe

Menottée – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .