Résumé de l’épisode précédent:

Arthur et Émilie, deux séduisants quadras, voient leur monotone vie sexuelle évoluer lorsqu’ils osent enfin s’avouer leurs fantasmes respectifs. Coucher avec une femme pour elle, partager une autre femme avec elle pour lui. Enfin libérés, une formidable opportunité de réaliser leurs rêves se concrétise lorsque Émilie, la meilleure amie d’Hélène, avoue à celle-ci qu’elle fantasme sur elle. Déboussolée mais tentée, Hélène prévient son mari par téléphone. Arthur accepte que les deux femmes vivent leur fantasme à fond, en échange de quelques vidéos et surtout de la promesse de très vite renouveler l’expérience, avec lui…

Pour Arthur la période qui suivit fut intense et difficile. Tous étaient d’accord pour concrétiser le pacte conclu le plus vite possible, c’est-à-dire dès le week-end suivant. Les filles avaient passé un moment extraordinaire et elles voulaient remettre ça. Hélène avait adoré coucher à nouveau avec une femme tout comme elle adorait baiser avec son mari: rassembler ces deux plaisirs lui semblait terriblement naturel. Arthur, lui, se retrouvait face à une situation inédite: son rêve numéro un depuis qu’il pensait au sexe allait se concrétiser. Non seulement ça devenait réel, mais une date était carrément fixée ! C’était une chose de fantasmer, c’en était une autre de se préparer à vivre une de ses obsessions. Fatalement la semaine pour le couple fut torride: à chaque fois qu’il croisait Hélène, il revoyait ce qu’elle avait fait, il imaginait ce qu’elle pourrait faire… Sa femme étant elle-même au comble de l’excitation et ils ne se ménagèrent pas: cuisine, buanderie, salon, chambre, garage, voiture… Parfois pour un coup rapide, parfois pour quelque chose de plus sensuel… Parfois ils ne disaient rien, d’autres fois Arthur demandait à sa femme de lui raconter dans le détail ce qu’elle avait fait, ce qu’elle avait ressenti… Ils le firent aussi en regardant les vidéos des deux femmes. Hélène alla même jusqu’à demander à Arthur de lui raconter par le détail ce qui se passerait quand ils seraient tous les trois, ce qu’il leur ferait, ce qu’il voulait qu’elles lui fassent…

Mais le samedi suivant fut une énorme déception: un de leurs enfants tomba malade, rien de grave mais une raison suffisante pour repousser d’une nouvelle semaine. Ce fut difficile à accepter et à vivre: la patience fait toujours défaut lorsque l’échéance devient imminente. Quand enfin vint le jour J, Arthur se réveilla en érection. Une érection qui ne le quitta plus de la journée, à en devenir douloureuse. Il s’occupa l’esprit comme il put: caser les enfants, faire quelques courses, se préparer… Malheureusement, alors que tout était prêt et que l’apéritif était servi sur la terrasse, Emilie appela pour annuler. Quelques jours tôt elle avait fait une mauvaise chute à vélo et elle avait le pied dans le plâtre… Arthur en fut très abattu : chaque occasion repoussée était une torture, et un risque non négligeable que l’un d’eux ne veuille plus passer à l’acte. C’était d’ailleurs peut-être ce qui se produisait, comment le savoir ? Peut-être qu’Émilie avait eu le temps de réfléchir, de changer d’avis, et qu’elle avait inventé ce qu’elle avait pu pour ne pas venir… Seul sur sa terrasse, il se servit un verre de whisky. Pour la première fois de la journée Arthur sentit son sexe retomber. Mais ce fut de courte durée…

Car pendant qu’il se prenait la tête, sa femme était partie chercher Émilie qui n’habitait pas loin mais qui ne pouvait pas conduire…

— Quand même, j’ai un peu honte Hélène… On le torture ton homme là!

— Je sais oui, c’est pour ça qu’on ne va pas traîner pour le rejoindre… Mais ne culpabilise pas trop, après tout tu n’as pas menti, tu as vraiment le pied cassé!

— Je sais oui, mais je n’ai jamais eu l’intention de ne pas venir. J’attends ça depuis deux semaines, j’en ai rêvé toutes les nuits !

— Nous aussi Émilie, nous aussi ! Tu m’as manquée ! conclut Hélène en l’embrassant.

Arthur en était à son troisième whisky lorsqu’il entendit des voix, deux voix. Il se leva, son sexe aussi. Hélène et Émilie arrivaient. Cette dernière se déplaçait en béquilles, sa femme lui fit un large sourire.

— Surprise mon chéri !

Un peu gauche, Arthur embrassa sa femme et fit la bise à Émilie. Il ne l’avait pas vue, en chair et en os, depuis des mois. Ses vidéos avec Hélène et la perspective de la soirée à venir aidant, il la vit sous un jour nouveau. Il l’avait toujours trouvée assez jolie, il la trouva splendide. En ce début d’été il faisait chaud et la meilleure amie de sa femme portait un débardeur rose pâle avec un petit short vert très moulant. Son opulente poitrine, ses fesses rebondies, tout son corps semblait comprimé, ne demandant qu’à être libéré… Arthur regarda sa femme d’un il accusateur: elle lui sourit, fière de son coup. Hélène avait choisi l’élégance: elle portait un pantalon blanc en toile légère et un débardeur blanc: elle était magnifique.

Arthur servit à boire aux deux femmes et tout le monde s’installa autour du salon de jardin. Émilie posa ses béquilles et prit place face à lui, toujours souriante. Un des paramètres qui inquiétait Arthur quant à la réalisation de son fantasme était de savoir si un climat favorable pourrait s’installer, si les choses se feraient naturellement, s’il leur serait facile de se lancer… Certes si Émilie était venue, c’est qu’elle avait envie de lui. Si Hélène avait emmené Émilie, c’est qu’elle avait envie qu’il la baise devant elle et qu’ils baisent ensemble tous les trois. Mais comment passer à l’acte alors que tout le monde savait pourquoi ils étaient là? Comment lancer le mouvement ? Ce qu’Arthur ignorait, c’est que les filles avaient eu le temps de réfléchir à la question, et qu’elles avaient déjà établi un programme des festivités.

Après un apéritif rapide et parsemé de blancs un peu gênants ils passèrent à table. Arthur et Hélène face à Émilie. C’est lorsqu’ils commencèrent à manger que cette dernière passa à l’action. Tandis qu’Hélène était en train de se remémorer leur rencontre et qu’Arthur cherchait un moyen pour couper court à cette mascarade pour entrer dans le vif du sujet, il sentit un pied se frotter contre le sien… ce n’était pas celui de sa femme, mais bien celui d’Émilie ! Il regarda la jeune femme qui lui fit un sourire désarmant. Évidemment il saisit cette opportunité sans se poser de question et il se laissa faire avec plaisir : ils passèrent un long moment à jouer ainsi. Quand Hélène s’absenta en cuisine pour aller chercher un plat, Émilie se pencha vers Arthur et lui chuchota :

— Rapproche ta chaise de la table… j’ai envie de caresser ta queue avec mon pied !

Elle revint à sa place fière d’elle-même, laissant son hôte abasourdi… Pour une courte durée car très vite il s’exécuta. Aussitôt, tandis que sa femme revenait, il sentit le pied de leur invitée arriver sur son entrejambe tendu. Arthur adorait la façon dont ça se passait, il aimait qu’Émilie démarre les hostilités en cachette, il bandait fort en se disant qu’Hélène faisait semblant de ne pas voir. Discrètement, il attira le regard de son épouse sur la situation ! Elle fit semblant de faire tomber sa serviette et se pencha pour la ramasser avant de se relever tout sourire. Après quelques minutes assez plaisantes, elle alla chercher le dessert, et Émilie ne prit même pas la peine de chuchoter :

— Sors là s’il te plaît, que je puisse la sentir, que je puisse la caresser avec mon pied !

Arthur baissa son short et elle revint à la charge ! Habilement, elle enserra le pénis de celui qui allait devenir son nouvel amant avec son pied. Hélène revint avec la glace et regarda son mari d’un il interrogatif: il lui montra son short sur ses chevilles et elle lui sourit, heureuse. Aventureuse, Émilie commença à faire glisser ses orteils sur le gland trempé d’Arthur. Errant parfois du côté de ses testicules, elle continua son travail de préparation avec application… Le gland d’Arthur commençait à juter abondamment, recouvrant le pied de son amie. Hélène était aux anges, elle se mit à serrer fort la main de son mari en regardant Émilie droit dans les yeux: celle-ci lui rendit son regard et se mit alors à glisser très vite sur la queue d’Arthur qui ne put s’empêcher de lâcher quelques gémissements. Ce moment de silence intense dura quelques minutes, avant d’être coupé par Hélène.

— Je suis tellement heureuse de vous voir, là, tous les deux… Ça va être génial ! Mais avant tout je crois que chacun devrait se prononcer sur ce qu’il veut ou ne veut pas. Je commence: pour moi le principe c’est vraiment de partager quelque chose, tous les trois. Il ne s’agit pas de privilégier l’un d’entre nous au détriment des autres.

Arthur et Émilie, sur la même longueur d’onde, acquiescèrent.

— Les filles, je suis… je suis tellement heureux, et un petit peu stressé je l’avoue. De mon côté je crois que si l’un ou l’une d’entre nous se sent moins à l’aise à un moment quelconque, il ou elle ne devra pas hésiter à le dire aux autres.

— C’est une bonne idée oui… Même si personnellement je suis aussi là pour repousser mes limites ! précisa une Émilie tout à fait aguicheuse.

Arthur n’en croyait pas ses oreilles, il en oublia toutes ses inquiétudes. Dans un vieux réflexe pudique, il remonta son boxer et son short avant de vider son verre d’un trait et de se lever. On pouvait difficilement dire qu’il était sur son trente-et-un: des baskets, un T-shirt noir et un short largement déformé par son sexe en érection. Émilie fixa son entrejambe en souriant, elle murmura un "enfin" qui acheva de le décoincer. Une large auréole se formait au niveau de son gland comprimé par ses vêtements. Il s’approcha d’Émilie, non sans jeter un coup d’il à Hélène. Celle-ci lui sourit: sans aucune pudeur, elle avait déjà la main en train d’uvrer entre ses cuisses. Face à lui la jolie brune écarta les siennes, toujours aussi allumeuse : Arthur fixa avec sidération son petit short vert qui avait pris une teinte foncée: il n’y avait plus un millimètre carré de sec ! Fière de son effet, elle pencha son visage vers le bassin d’Arthur, les mains à proximité du mari de sa meilleure amie. En se mordillant la lèvre inférieure, elle fixa Hélène d’un regard implorant.

— Mais qu’est-ce que tu attends ? Occupe-toi de lui ! Je t’en supplie Émilie, suce mon mari !

Ravie, elle fit (re)tomber le short d’Arthur. Son boxer bleu turquoise peinait à contenir son sexe, et l’auréole que l’on devinait sur le short était ici une gigantesque tâche. Depuis qu’elles étaient arrivées, il sentait son sexe suinter, littéralement dégouliner de liquide préséminal. Le repas et le pied d’Émilie n’avaient rien arrangé. La jolie brune approcha son visage et tandis qu’il pensait qu’elle allait baisser son boxer elle le surprit en commençant à lécher le tissu, à l’endroit le plus trempé, au niveau de son gland. Il ne put s’empêcher de lâcher un râle de plaisir. Émilie commença à laper la zone humide par de petits coups de langue très rapides et à frotter son visage sur la bosse de son amant. Arthur regarda Hélène: elle lui sourit, esquissa un "je t’aime" avec les lèvres et se masturba de plus belle. Il se concentra à nouveau sur sa partenaire qui désormais le travaillait plus lentement en essayant de ramener le plus loin possible les filaments de liquide qu’elle récoltait avec délice. A cette vision il sentit un flux continu sortir de son sexe: non une éjaculation mais quelque chose de plus régulier, de moins puissant mais dont l’abondance le stupéfiait. La vision de cette femme en train de jouer avec ses sécrétions le rendait fou.

Émilie semblait apprécier et à nouveau elle le surprit: alors qu’elle allait passer sa langue elle plaqua sa bouche sur l’auréole de son boxer. Sa main droite vint empoigner ses bourses et la base de sa bite à travers le vêtement, pour bien maintenir le tout. Et elle se mit à aspirer le plus fort possible son gland à travers le tissu: il sentit la sève monter, et il la regarda s’en délecter dans des bruits de succion particulièrement excitants ! Elle s’abreuvait littéralement de son jus. Après quelques minutes de ce traitement, elle le fixa droit dans les yeux:

— J’en peux plus… Je vais te sucer maintenant, je veux sentir ta queue dans le fond de ma gorge !

Elle baissa le boxer d’Arthur qui en profita pour ôter son T-shirt. Il ne portait plus que ses baskets. Son sexe libéré n’avait jamais semblé aussi gros, aussi trempé. Toujours assise face à lui, Émilie commença à lécher ce membre dont elle rêvait. Elle ne s’attarda pas, préférant aller à l’essentiel. Elle ouvrit grand la bouche et engouffra le pénis de son ami. Aussitôt elle chercha à aller le plus loin possible. Arthur sentit sa bite buter contre le fond de la bouche puis se frayer laborieusement un chemin dans la gorge d’Émilie. Il fixa Hélène avec intensité tandis que leur maîtresse commune l’aspirait avec ardeur. Sa femme gémissait en se touchant: l’heure n’était plus au petit clin d’il complice, elle se trouvait dans un état second. Il observa de nouveau sa partenaire: elle glissait sur sa queue à toute vitesse, reprenant de temps en temps son souffle en entraînant avec elle un flot impressionnant de bave et autres sécrétions. Pour assurer son geste, ses mains rejoignirent sa bouche sur le pénis d’un Arthur conscient de sa chance. Haletante, elle y retournait à chaque fois: plus fort, plus vite ! C’était au-delà même de ce qu’il osait imaginer: le plaisir physique était incroyable, mais la sensation intellectuelle était la cerise sur le gâteau. Tout était réuni pour rendre ce moment aussi intense qu’inoubliable. Le fait d’être dehors, qu’elle le suce comme une morte de faim devant sa femme (qui commençait elle aussi à perdre le contrôle) décuplait son plaisir de manière indéfinissable.

Et tandis qu’il se concentrait pour ne pas jouir trop vite, il sentit soudain deux mains palper ses fesses. Hélène était derrière lui, en nage. Émilie se retira, complètement essoufflée, elle aussi ruisselait. Sa frange plaquée sur son front par la sueur et la salive, les lunettes maculées du liquide de son partenaire. Voyant Arthur entre de bonnes mains elle déboutonna son short et commença à se toucher en les regardant. Arthur observa sa femme: la sueur perlait sur son corps, à tel point que son débardeur blanc en était devenu transparent. Les mamelons qu’il chérissait tant saillaient sous le vêtement comme pour le percer. Hélène l’embrassa vigoureusement, puis s’agenouilla derrière lui. Elle fit signe à Émilie de reprendre là où elle s’était arrêtée, ce qu’elle fit. Toujours la même stratégie: à fond et au fond ! Mais cette fois, il y avait un petit plus… Hélène souleva sa cuisse, comprenant ce qu’elle voulait Arthur posa le pied gauche sur la chaise d’Émilie. Ainsi sa femme eut libre accès à son cul, un endroit qu’elle ne visitait que rarement. Mais lorsqu’elle le faisait, c’était toujours signe d’une profonde excitation pour elle. Arthur savait que ça validait absolument toute cette soirée: à nouveau il se sentit dégouliner dans la gorge d’Émilie. Ils y étaient, enfin: le sexe à trois !

Hélène passa sa langue sur son anus, l’y enfonça, y ajouta bientôt ses doigts. Arthur vivait pleinement son fantasme: il aurait presque aimé avoir un peu de recul pour pouvoir se regarder. Il se serait vu en train de se faire tailler une pipe par la meilleure amie de sa femme tandis que cette dernière lui bouffait le cul en malaxant ses couilles. Après plusieurs minutes de ce traitement, et tandis que les doigts de son épouse exploraient son fondement, Émilie se renfonça dans sa chaise.

— Désolée mais là je n’en peux plus !

La jeune femme était trempée: son visage était maculé d’un jus luisant, ses prodigieux seins collaient à son débardeur trop serré. Elle respirait vite, avait du mal à reprendre son souffle.

Arthur lui sourit et se retourna: Hélène le prit à son tour dans sa bouche, tout en maintenant un majeur dans son cul. La technique de sa femme était aux antipodes de celle de leur amie : moins dans la performance mais plus dans les sensations. Elle alternait, comme à son habitude, les mouvements de bouche et ceux de sa langue, elle variait sa vitesse, explorait différentes zones… Arthur se sentit venir: il prévint sa femme qui le garda en elle. De gros bouillons de sperme jaillirent de son sexe pour inonder la bouche gourmande d’Hélène. Elle en avala, un peu, une partie dégoulina le long de son menton, un peu, mais elle parvint à en garder dans sa bouche, beaucoup. A peine son dernier spasme se fut-il achevé qu’elle fit se retourner son mari et lui fit remettre le pied sur la chaise. Émilie glissa au sol et passa sous la jambe surélevée pour rejoindre Hélène. Les deux femmes se trouvaient donc à genoux, face aux fesses d’Arthur qui ne pouvait plus que deviner leur présence.

Hélène plaqua sa bouche contre l’anus de son mari et commença à le lécher à grands coups de langue: le sperme qu’elle avait gardé commença à couler. Agissant vite, elle parvenait à en récupérer une partie qu’elle "réinjectait" dans le circuit qu’elle essayait de créer. Rapidement elle plaqua son visage entre les fesses de son époux afin de lécher et aspirer sans distinction salive, sueur et sperme ! Émilie resta stupéfaite quelques secondes, puis elle tira Hélène en arrière par les cheveux, l’embrassa à pleine bouche avant de lui disputer l’anus et le sperme d’Arthur. Celui-ci était dans un état second, la sensation de ces deux langues l’explorant était au-delà des mots…

Au bout de quelques minutes les deux femmes se relevèrent. Sans dire un mot, Hélène disparut à l’intérieur de la maison. Arthur se pencha vers Émilie et l’embrassa. Leurs langues se découvrirent mutuellement pendant plusieurs secondes avant qu’il ne la soulève du sol en prenant soin de ménager son pied blessé. Elle lui sourit et l’embrassa à nouveau, avant de lui chuchoter à l’oreille…

— J’ai adoré sucer ta bite et goûter ton sperme Arthur ! J’ai hâte de te sentir en moi !

Puis elle commença à lécher son téton tandis qu’il la transportait vers la chambre. Hélène les attendait, une bouteille de champagne à la main, trois coupes posées à côté d’elle. A leur arrivée elle fit glisser la couette sur le sol. Arthur déposa Émilie sur le lit, la soirée ne faisait que commencer…

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