Le matin après une courte nuit je me lève il est 7h30, je vais être en retard. Je saute du lit et repense a cette soirée, quel rêve. Je me dirige vers l’armoire, je bute dans un sac. Je l’ouvre et y vois les vêtements que m’a donné Caroline, j’ai donc pas rêvé. Je sort le collant, la jupe, le pull , la culotte et le sg. Je pose le tout sur le lit et essaye de me remettre les idées en place.

Pas le temps de rêvasser, le temps de me préparer et je dois filer, je passe par la salle bain, une douche très rapide, pas le temps de me raser de toute façon j’ai peu de barbe. Je prend un boxer dans mon armoire et mes yeux se pose sur la culotte blanche, la fine dentelle de la ceinture, le petit nud rose sur le devant. Je l’enfile sans réfléchir, fait de même avec le collant, l’envie d’enfiler la jupe est très forte. Je passe un jean large, une paire de chaussettes et une chemise. Je file dans ma voiture et prends la route. Ce n’est qu’au milieu du trajet que je réalise, j’ai mis des dessous de femme. Pourtant en m’habillant cela m’a parut naturel. La journée ce passe dans l’angoisse, je n’ose pas trop bouger du bureau, refuse de déjeuner au restaurant avec mes collègues. Je suis pas bien. Il faut que je rentre vite chez moi.

Le soir chez moi je file dans ma chambre, j’ôte mon jean, ma chemise mais au lieu d’enlever le collant et la culotte, j’enfile le reste de ma tenue. Je me sent comme apaisé. Je me fait à manger et prends plaisir a être ainsi à la maison. Vers 21h le téléphone sonne :

-Allo bonsoir Gwénaël ça va?

— Bonsoir Caroline oui et toi?

— Alors comment c’est passé ta journée?

Je peux pas lui dire ce que j’ai fait, je discute de tout et de rien et elle me dit de venir vers 19h samedi. J’ai honte de moi, non seulement j’ai répondu au prénom de Gwénaël quand elle m’a appelé mais en plus ma voix est devenue différente. La nuit suivante je dort difficilement, que se passe t’il en moi? Au travail encore une journée pas terrible, je ne peux me concentrer. Mon patron le remarque et me dit tu as pas l’air bien, demain et vendredi reste chez toi tu as assez d’heures a récupérer. Le soir en rentrant chez moi je lutte pour ne pas m’habiller en femme. Jeudi matin, 2 jours sans allé au travail, j’en profite pour appelé ma sur, la cadette avec qui je suis le plus proche, nous avons partager notre chambre jusqu’au départ de notre sur ainée, elle avait alors 16a et moi 14. Je lui demande si je peux passer la voir, elle ne travaille pas les enfants sont à l’école pour la journée et Ludovic chauffeur ne rentre pas avant vendredi. Trouvant bizard que je ne travaille pas elle me dit de passer et qu’on mangera ensemble le midi.

11 h Je sonne chez ma sur qui m’ouvre la porte en me regardant avec inquiétude.

— Je suis pas malade, je récupère juste des heures sup, c’est calme au bureau j’en profite.

On s’installe à la cuisine, moi sur un tabouret au comptoir, le temps qu’elle prépare le repas. Elle m’observe.

-Y a un truc qui va pas Christophe, déjà te faire récupérer tes heures comme ça sans être prévu et puis je le vois à ta tête.

— Ben oui y a un truc qui me perturbe.

Je passerais les 2 heures suivante à lui raconter en détail ce qui c’est passé lundi soir. Elle me questionne, me demande mes impressions, je lui explique cette envie frénétique que j’ai eu de mettre les dessous plutôt que mon boxer, ma soirée en jupe tout seul à la maison.

— Remarque c’est pas une première pour toi les fringues de filles.

— Non … Mais là j’ai jamais ressenti se bien être en les portants comme ci c’était naturel.

— Tu aimais déjà ça étant petit tu nous demandais souvent d’être habillé en fille et cela nous faisait rire. Maman disait même parfois qu’elle avait 4 filles.

Comment avais je pu modifier ainsi mes souvenirs en me disant que mes surs me torturaient en m’habillant en fille. Je lui demande conseil sur ce que je dois faire. je ne sais plus où j’en suis je me sent perdu.

— Il semble qu’elle est vue en toi quelque chose. Alors si tu te sent vraiment bien va à ce dîner.

— J’en ai envie tu sais mais en même temps j’ai peur.

— Christophe si tu veux de l’aide je suis là.

Nous passons l’après midi a discuter, elle me fait voir des catalogues de vêtements, on s’attarde sur ce que j’aime. Je la quitte rassuré, je me sent mieux et me presse de rentrer, tout cela m’a donné envie de m’habiller ce soir. Ma sur me rappel vers 20h.

— Demain je dépose les enfants et je viens te voir, il faut te préparer pour samedi.

Elle raccroche, me préparer, je comprend rien mais bon c’est pas grave, je suis chez moi dans une tenue que j’ai de plus en plus de plaisir a porter.

Il est 9h30 quand ma sur arrive, elle entre sans frapper ou sonner, ma porte est ouverte et je suis dans la cuisine. elle a avec elle un grand sac et un sac à dos.

— Bonjour tite sur dit-elle en me souriant.

— Bonjour Sandrine. Un café?

— oui merci, alors prête?

— Arrête de me parler comme ça.

— Écoute d’après ce que tu m’as dit tu t’es sentie femme non.

— Oui.

— Bon dépêche toi on a du boulot.

— Du boulot?

— Ben oui, si tu veux plaire à Caroline il va falloir faire des efforts. On est pas toute belle au naturel y a un peu de travail à faire. Bon allez à la salle de bain.

Je suivi ma sur dans ma salle de bain, elle ouvrit son sac a dos et en sortie toute sorte de produits, je m’installais sur le bord de la baignoire et attendais intrigué.

— Commence pas enlever ton jogging, d’une c’est pas sexy et ensuite je dois voir tes jambes.

Là je reste tétanisé, sous mon jogging je portes la petite culotte blanche. Que m’est il passé par le tête. Ma sur réagit tout de suite a ma tête.

— Ah il y a un secret sous ce jogging.

— Oui j’ai pas résisté ce matin j’ai enfilé la petite culotte.

— C’est bien, tu ne seras que plus réceptive.

J’ôte donc mon jogging.

— Bon on va supprimer ces poils pas très nombreux.

Après l’épilation de mes jambes, de mes aisselles, je me lève.

— Bon il nous reste un endroit a faire, le maillot si tu veux pas avoir des poils qui sortent de ta culotte comme c’est le cas là.

La séance d’épilation se termina par une épilation de mon postérieur et de mon sexe. elle me fit couler un bain pour soulager mes brûlures, elle le parfuma avec de la rose et y a ajouta une huile apaisante. En sortant je sentais la rose et avait le peau toute douce. Je passais mon peignoir et la rejoignis dans le salon.

— Alors tu vas bien?

— Oui c’est agréable.

Sandrine m’emmena dans ma chambre où elle avait étalé sur le lit divers vêtements à elle.

— Fait ton choix, ensuite je te montrerais comment te coiffer et te maquiller.

Je parcourais les divers vêtements et optais pour une jupe noire et un top blanc. J’enfilais de nouveau ma culotte, mon collant, et y ajoutais le sg que je garnissais de chaussettes. je me présentais ainsi à ma sur.

— Jolie bon choix, bon je te maquille te coiffe.

Après 1/2h de travaille le résultat était aussi beau que lundi soir, je voyais une femme dans la glace et non Christophe.

— Bon on va sortir il faut faire quelques courses pour toi.

— Je peux pas sortir ainsi. Je dois me changer.

— Non je t’assure personne n’y verra rien et puis je suis avec toi.

Je me laisse convaincre par ma sur et nous prenons sa voiture en direction de Rennes. Nous commençons notre shopping dans une grande enseigne de vêtements on fait le tours des rayons, elle me choisi 2 robes, des hauts, des jupes et nous finissons au rayon lingerie. Le passage par la cabine d’essayage me parait impossible mais poussée par Sandrine je découvre le plaisir du shopping.

Le soir en rentrant chez moi, j’étale mes achats. Sandrine me dit qu’elle passera demain en fin d’après midi pour m’aider. Je lui dit que je ne pourrais sortir habillé, on risque de me voir. Je te maquillerais et te coifferais je pense que tu pourras finir de te préparer chez Caroline.

J’appelle Caroline pour lui expliquer et elle me dit que c’est une très bonne idée. Je ne lui ai pas parlé de mes achats ou du sac que ma sur m’a laissée. je passe le reste de la soirée habillée et maquillée, et j’essaye de m’habituer à marcher avec les talons de 5cm que Sandrine m’a fait acheter. Je saute d’une tenue à l’autre me regarde sous toute les coutures, que je me sent bien.

Je me couche en ayant enfilé une nuisette et ma nuit est envahie par des pensées ou s’entremêle le plaisir de cette journée avec ma sur et la honte de ce qui ce passe.

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