Tu te souviens que j’avais parié que j’arriverais à baiser ta femme, et toi la mienne… et bien je suis en train de gagner mon pari !

Pas possible, elles sont trop coincées toutes les deux !

Et si je te disais qu’en ce moment même, mes trois fils sont en train de baiser ta femme… et la mienne !

Alors là, je ne te crois pas… une conne frigide comme Sabine incestueuse et partouzée par ses trois fils… t’es resté trop longtemps au soleil, ou quoi ?

Je peux le prouver !

Comment ?

Attention, c’est du lourd, dit Christophe, en présentant son smartphone à son pote Pierre.

Celui-ci, en sifflant, y vit une photo surréaliste : sa femme Cécile, à côté de Sabine, nues toutes les deux, en porte-jarretelles, bleu et bas résille noirs pour la première, noir et bas chair pour la seconde. Les deux femmes se trouvaient sur un sofa très bas, avaient les deux bras attachés derrière le dos du sofa, la tête en arrière et la poitrine tendue vers l’avant. Deux sexes au gland de belle taille dans leur bouche ouverte, une main en train de leur caresser les seins.

Et cerise sur le gâteau, les cuisses toutes grandes ouvertes, la chatte exposée avec une canette de bière enfoncée jusqu’à "la garde".

Celui qui avait pris la photo s’amusait d’ailleurs à les y enfoncer un peu plus…

Putain, c’est tes fils qui font ça à nos femmes ?

Excitant non ? Vicieux comme leur père, mes gamins !

Mais, comment c’est possible ?

Je vais tout te raconter !

Et Christophe décrivit par le menu, les comptes-rendus faits par son épouse sur le répondeur de son téléphone.

Les faits remontaient à la semaine précédente… on y entendait la voix d’une Sabine certainement morte de honte, devoir énoncer avec force détails scabreux, tout ce que ses fils lui avaient imposé ! Christophe lui fit écouter un petit florilège des meilleurs moments :

Et je me suis retrouvée nue sur la plage, sous les regards libidineux de tous ces hommes, nus, eux aussi !

J’ai bien senti que le gros homme devant moi se régalait de me voir cuisses grandes ouvertes et vulve luisante… mais sur le coup, je n’ai pas pensé à mal !

Alors le soir, j’ai bu un peu pour me donner du courage, et je me suis offerte à mes trois fils… vêtue d’une nuisette transparente et d’un porte-jarretelles et de bas… comme la dernière des putains… mais je n’ai jamais autant joui !

Sur la plage, le lendemain, j’ai été attachée à une barrière, et plus d’une dizaine d’hommes sont venus me baiser, sous le regard de mes fils…

Là où j’ai eu un peu honte, c’est quand Franck m’a demandé de le sucer, sous les yeux de mon amie Cécile et de sa nièce Clémence !

Christophe se mit alors à expliquer comment les choses en étaient arrivées là !

" Alors, mon aîné Franck a reprogrammé le GPS pour qu’ils arrivent sur une plage naturiste, au lieu de la plage familiale, que ma femme recherchait. Alors là, mon gamin m’a décrit comment ma femme s’est retrouvée dans l’expectative, habillée, au milieu d’un troupeau de mecs à la bite en drapeau, qui se demandaient ce qu’allait bien faire cette jolie brune de 39 ans ! Tu vois le tableau ! Ma femme frigide, pudique, hypertimide au milieu d’une plage de mecs à poil autour d’elle…

J’imagine qu’elle a vécu en live technicolor son traumatisme d’enfance, elle, qui a horreur d’être le point d’attention de tout le monde !

Bon, mais elle s’est pas foutue à poil, quand même ?

Elle n’avait pas le choix, il fallait qu’elle fasse comme les autres, pour ne plus se faire remarquer. Bon, faut dire que Franck l’a bien manipulée, quand même ! Alors ma femme a fait un strip debout, au milieu de mecs en rut, la bite bien tendue… et le meilleur…

Quoi ?

Franck a réussi à la persuader d’allumer un mec, en dormant sur sa serviette, les cuisses grandes ouvertes, et la chatte béante !

Énorme !

Ho, il y a mieux ! Ludo a piqué les clefs de la bagnole, Franck s’est entendu avec une dizaine de mecs pour la partouzer dans les dunes, le lendemain.

Et cerise sur le gâteau, Franck s’est débrouillé pour qu’elle accepte de coucher avec le type !

Attends, y a un truc que je ne comprends pas. Ta femme a beaucoup de mal à baiser avec toi… et elle s’est fait défoncer par des inconnus ?

C’est là que le plan de mon aîné touche au divin. "

Alors Christophe décrivit la soirée de Sabine avec ses trois fils.

Pierre n’en revenait pas du récit porno et incestueux de son ami. Surtout quand Christophe lui montra la vidéo où les trois baisaient leur mère… une Sabine telle que Pierre ne l’avait jamais vue : une femme en porte-jarretelles et bas, complètement nue, qui avait excité ses fils, la chatte bien en évidence, et qui jouissait sans aucune gêne. Où était passée la Sabine effacée, timide, bourrée de complexes ? Il fallait qu’il se la tape… et cela faisait partie du deal conclu entre les deux amis… une femme contre une autre !

Il rigola encore plus, quand Christophe lui raconta l’incident de la plage, avec Clémence et sa propre femme Cécile ! Là aussi, le récit et les photos étaient très excitants !

Fais-moi une promesse Christophe !

Je crois que j’ai deviné ?!

Je veux assister à une de leurs partouzes… et puis après avoir bien maté ma femme, et la tienne se faire prendre par tous les trous, je veux y participer !

Que crois-tu que j’avais en tête, à ton avis ! Et il y aura ma fille aussi !

Génial ! Dans combien de temps ?

Écoute, il y a eu la soirée de clôture du séminaire d’entreprise de nos chères femmes hier… on les laisse rentrer sur Paris… disons dans 5 jours ? Chez moi ?

Vendredi ?! Tope-là !

Le lendemain de leur discussion, Christophe avait reçu de son fils Franck, le récit complet des événements de la semaine passée de séminaire d’entreprise, de sa femme et de celle de Pierre…

Après la séance de fellation sur la plage, les trois frères et leur mère avaient quitté la plage, Cécile et sa nièce aussi, chaque groupe de son côté…

Dans la voiture, Cécile conduisait avec une Clémence assise sur le siège passager, qui lui caressait la cuisse :

Tu veux bien enlever ta main, s’il te plaît Clémence ?

Bah pourquoi ? Cela ne t’a pas plu tout ce qu’on a fait toutes les deux, et avec les trois frères ensuite ?

Écoute-moi, et écoute-moi bien ! Je NE VEUX plus entendre parler de tout cela… cela n’a jamais eu lieu ! Tu m’as comprise ?

Je comprends surtout que tu n’assumes pas !

Comment ça je n’assume pas ? Mais tu te rends compte de ce qu’on a fait, et de ce que l’on a vu ? Sabine qui se fait partouzer par des étrangers sur une plage ! Ses trois fils qui commettent l’inceste avec elle ! Et toi qui profites de la situation, et de mon état émotionnel… disons un peu instable, qui me caresses, et me forces à faire l’amour avec toi ?!

QUE… QUE… je te force ?! Mais tu plaisantes ou quoi ? Tu étais diablement consentante quand tu m’as caressée aussi, et qu’on a fait l’amour avant l’arrivée de ta copine et de ses fils !

JUSTEMENT ! Tu te rends compte que ma meilleure amie, ma copine de bureau, l’amie de mon mari, m’a vue à poil, en train de me gouiner avec toi ! C’est intolérable… intolérable et dégradant. On ne parle plus jamais de tout ça ! Il ne s’est rien passé ! RIEN !

Que vous soyez tous dévergondés, malades dans vos têtes, cela ne me regarde pas ! Moi je suis hors du coup ! Je ne veux pas que mon mari apprenne jamais quoi que ce soit !

Et Cécile s’enfonça dans un profond mutisme, jusqu’à ce qu’elle ait reconduit Clémence à leur résidence du village de vacances, la même que celui de Sabine, mais un peu plus excentrée… village loué pour le séminaire d’entreprise de cette grosse boîte d’informatique, de la région parisienne. Elle-même ne revint que plus tard, il fallait qu’elle se retrouve seule, avec elle-même, et fasse le point sur cette vie qui lui échappait !

Clémence, un peu abasourdie par la réaction de sa tante, avait boudé elle aussi. Elle en voulait terriblement à cette dernière. Dans son esprit de femme libre et très amatrice de sexe, cet incident inattendu à la plage était synonyme de sexe à volonté, de luxure, de partouzes endiablées avec sa tante, Sabine et ses trois fils ! Et puis, voilà que Cécile foutait tout par terre ! Par débilité, par conformisme ! Par manque d’assurance… pourtant il y en avait des trucs trop excitants à faire ensemble. Clémence rêvait de suborner à nouveau sa tante pudique, pour la baiser, la goder, la soumettre à la volonté de Franck et de ses frères !

Oui, sa décision était prise ! Elle allait faire de son mieux pour que sa tante se retrouve dans une situation, dans laquelle elle serait obligée de lui obéir ! Et le fait de la savoir si peureuse, si coincée, l’excitait encore plus ! Dévergonder une si honnête femme, la pousser dans ses retranchements, pour lui faire dévoiler sa nature profonde de femme sauvage, serait délicieux et terriblement excitant !

Baiser une salope en rut était drôle, mais pas si excitant que cela, tout compte fait ! Clémence, malgré son âge, était déjà une dévergondée et une vicieuse revendiquée…

Le challenge était posé, il fallait lui trouver un moyen de réaliser ses rêves lubriques, au détriment de sa tante… elle ne mit pas très longtemps à trouver la solution ! Il faut dire que quand on avait l’habitude de filmer avec son smartphone, toutes les situations qui pouvaient devenir très excitantes, pour avoir de bons souvenirs pour la suite, tout devenait très facile !

Elle appela directement Sabine… celle-là allait encore avoir un grand coup au moral… mais cette fois, cela viendrait d’elle, la petite Clémence qui paraissait si douce et angélique, derrière sa personnalité joueuse, lubrique au possible et machiavélique.

Les deux "bonne-surs", Sabine et Cécile, n’allaient pas jouer un seul round, face à une adversaire de son rang !

Ce fut une Sabine extrêmement nerveuse qui arriva à la soirée de clôture du séminaire d’entreprise, deux jours plus tard. Elle portait une robe très moulante jaune sur des bas noirs. La robe était si ajustée qu’il aurait été difficile de cacher ses sous-vêtements, sous le tissu élastique… aussi Sabine n’en portait pas, hormis ses Dim-up… le problème ne se posait donc pas.

Elle savait bien que ses collègues de travail n’allaient pas en revenir ! Les pointes de ses seins, dressées par le contact du tissu, à chacun de ses pas, et par le côté glauque de la situation, étaient aussi visibles que la bosse qui déformait le pantalon de ses collègues mâles, quand elle allait leur dire bonjour !

Enfin, c’était plutôt eux qui se précipitaient vers cette femme, toute de jaune et noir vêtue, avec un corps magnifique, et une chevelure longue, noire de jais ! Et quand ils avaient reconnu leur collègue Sabine, autrefois si inexistante, si timide, si banale, alors une lueur d’animal prédateur s’allumait dans leurs yeux.

Sabine savait qu’elle était devenue un aimant, pour mâle affamé de sexe, un des sexe-symboles de cette soirée d’entreprise ! D’ailleurs, ses collègues femmes, autrefois si aguicheuses, celles qui ne juraient que par la "promotion canapé", lui lançaient des regards venimeux. Sabine, suivie par une meute de collègues mâles, elle qui était toujours la proie des rires, des chuchotis malintentionnés, des regards de pitié de ses collègues femmes…était devenue la menace, qui pouvait faire écrouler l’édifice de pouvoir, bâti par toutes ces péronnelles, qui jouaient de leur fessier ou de leur décolleté, pour avoir prébendes, avantages et postes intéressants !

Sabine, qui ne répondait que de façon évasive, aux commentaires élogieux des mâles de sa "cour" ainsi formée, se demandait quelle serait la réaction du big boss, le beau quinquagénaire encore sémillant, qui lui, avait une cour de godiches, sexy et esbaudies par son charisme et son compte en banque ! Elle s’approchait de lui à petits pas, à la fois inquiète et fière de son nouveau statut de femme fatale de l’entreprise !

Une jeune fille en tenue de serveuse, un plateau de coupes de champagne à la main la croisa. L’un des bellâtres lui fit un signe de s’approcher du groupe de Sabine, afin d’offrir alcool et petits fours à la belle. Les deux femmes croisèrent leur regard. La serveuse, le regard impérieux, regarda Sabine droit dans les yeux, et fit un petit geste de l’index, menaçant, comme pour dire : " tu te souviens… obéis… sinon !

Puis elle s’éclipsa… la jeune fille était Clémence, qui avait appelé la pauvre Sabine la veille, et lui avait donné des instructions qu’elle devrait suivre à la lettre. La sanction, en cas de mauvaise volonté ou d’échec de "sa mission", serait destructrice pour sa réputation, terrible et PUBLIQUE ! Sabine l’avait très bien compris, et faisait tout pour se soumettre à la volonté de la nièce de son amie Cécile.

Décidément, se dit-elle, après être devenue le jouet de ses démons de fils, elle tombait sur une diablesse encore plus perverse et sadique, que ces derniers !

Le PDG, Maxime, ou Max comme tout le monde l’appelait, tourna la tête vers cette superbe créature, qui s’approchait un peu timidement de lui, suivie par sept gardes du corps enamourés" !

Mon Dieu, mais ne voilà pas notre Sabine, ma comptable dévouée, toujours en avance le matin et la dernière à quitter le bureau ! Que vous est-il arrivée, vous êtes divine ! Serait-ce les petites vacances en Corse que je vous offre, qui ont eu cet effet-là ?

En un sens, oui Monsieur, dit une Sabine rouge de fierté et d’excitation.

Eh bien, expérience à renouveler ! En plus d’être la déesse de la soirée, notre Sabine est la meilleure comptable de l’entreprise… je vais vous remettre votre prix moi-même sur l’estrade, ainsi, tous vos collègues pourront voir que l’on peut allier grâce et séduction au travail, à l’intelligence. Mais appelez-moi Max ! Ce soir, vous ne me quittez pas de la soirée !

OUI mons… heu Max ! Ma copine Cécile pourrait-elle se joindre à nous !

Mais bien sûr, quoique je pense que ce soir, aucune femme n’éclipsera votre élégance naturelle !

Sur cette remarque, les 4 catins sexy en diable, de la petite cour du boss, le regard langoureux toujours fixé sur leur "Dieu vivant", émirent des petits hihihi ! , tout en lançant un regard de tueur, à cette intruse qui venait piétiner leurs plates-bandes.

Sabine s’aperçut très vite de leur antagonisme.

Mon Dieu, si elles savaient ce que je risque, la déchéance en public, l’ultime humiliation, si je ne réussis pas à dévergonder ma connasse de copine Cécile ce soir…à la table du big boss même. Elle n’aurait aucune raison de me haïr, et attendrait le déroulement de la soirée avec beaucoup d’excitation, et de mauvaise joie…

En pensant cela, alors qu’elle avait attiré Cécile, pour qu’elle se joigne à la table du patron, suprême privilège, elle lança un regard angoissé au fond de la salle, vers la petite lucarne de projection. Elle savait que là, un petit démon femelle, du nom de Clémence, avait troqué son déguisement de serveuse, pour une tenue de machiniste audio/vidéo, et attendait avec beaucoup de joie féroce, le bon accomplissement ou pas de la mission qu’elle avait donnée à Sabine !

Cécile, un peu étonnée d’être invitée à la table du grand patron, se ferma un peu, quand elle comprit que l’initiative provenait de sa copine Sabine, habillée comme une pute en chaleur !

Mais elle était trop flattée pour refuser l’invitation.

Elle sourit au big boss, qui remarqua la beauté de la nouvelle venue, mais fut un peu déçu de ne pas avoir le pendant dangereusement érotique de Sabine à ses côtés, en la personne de Cécile… une Cécile, qui elle, était habillée classique, en tailleur gris, jupe assez longue, et chemisier prudemment boutonné jusqu’en haut !

Dommage, pensa le patron, je me serais bien envoyé les deux salopes en même temps, après la cérémonie : la brune aux yeux bleus, et la blonde aux yeux verts… mais la copine semble vraiment coincée du cul !

Alors que Cécile pensait vivre une soirée de rêve, Max, lui, ne savait pas que la Providence s’occupait de lui préparer une soirée plus que mémorable, avec les deux femmes, grâce à la connivence d’un mauvais ange gardien, nommé Clémence !

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