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Grand Frère (et les sorcières) – Chapitre 1




Histoire adaptée de la novel story de E. C GORDON

Je m’appelle Max, et je viens juste de découvrir que je suis un Grand Frère. Je sais que dit comme ça, ça peut paraître bête et que vous pensez déjà savoir ce que cela signifie, mais je parie tout ce que vous voulez que ce n’est pas le cas. Moi en tout cas, je n’en savais rien il y a encore quelques jours.

Mon histoire est étrange, et vous n’y croirez sans doute pas. Mais tout est vrai. Elle a tellement bouleversé ma vie que je ressens le besoin de l’écrire.

Nous sommes au début de l’été, mon bac en poche, non sans mal après un redoublement, j’espérais bien profiter de mon été avant d’intégrer la fac, que je n’ai pas encore choisie d’ailleurs. Ce n’est pas très sérieux me direz-vous, mais ne sachant pas vraiment ce que j’ai envie de faire plus tard, le choix de la fac s’en trouve compliqué. Et puis ces derniers temps j’étais plus concentré sur les filles et mon bac, au pire je prendrais une année sabbatique. Bref je suis un garçon simple, plutôt pas mal physiquement, j’ai eu quelques copines, je suis proche de ma famille. Ma mère, mes deux surs et moi habitons dans une très belle villa dans le sud de la France. Nous vivons plutôt aisément, tout va bien dans le meilleur des mondes pour nous trois, nous sommes une famille heureuse et unie.

Bref, après cette petite présentation de mon humble personne, rentrons dans le vif du sujet, tout a commencé avec ma… bite. Elle est devenue toute dure, tout à coup. Je vous vois déjà rire derrière vos écrans, en me traitant de couillon. Mais attendez la suite. Je sais que comme ça, ça semble bien banal, mais ce jour-là, je sentais que ça ne l’était pas. J’avais beau me branler, moins de 10 minutes plus tard, elle était de nouveau au garde à vous. Ça a commencé un matin, comme ça, sans prévenir. Et pendant les deux semaines qui ont suivi, je bandais quasi non-stop.

Et ça arrivait dans nimporte quelle situation, je me demandais vraiment ce qui m’arrivait. Certes j’habite avec trois belles filles, ma mère et mes surs sont magnifiques et feraient bander n’importe quel mec. Même s’il m’est déjà arrivé d’avoir des petites érections en voyant mes surs ou même ma mère, qui n’étaient pas particulièrement pudiques à la maison, ça n’était qu’anecdotique et épisodique. Là c’est totalement différent, même en ne pensant à rien d’érotique je bandais dur comme jamais. Par exemple, un matin, je nettoyais la piscine, tout seul et paf, érection ; j’ai dû filer me soulager vite fait. Et fait exprès, en ce moment je n’ai pas de petite amie. Il devenait de plus en plus difficile de ne pas se faire repérer. Puis un beau alors que je prenais tranquillement mon petit-déjeuner sur la terrasse, ma mère est venue me parler.

— Max, ton pénis est-il en érection ?

— Euh… non…

— Chéri, je le vois.

Je baisse les yeux sur ma bite, je n’étais qu’en caleçon et il est vrai qu’on ne pouvait pas la louper.

— Oh bon sang, maman !

— Je ne veux pas que tu te sentes gêné… mais cela dure depuis deux semaines, n’est-ce pas ?Est-ce que ça va ?

— Ca va… mais ça peut pas s’arrêter

— Eh bien, c’est plutôt normal pour un garçon de ton âge de pas mal penser au sexe.

— Non, maman, c’est tout le temps, même si je ne pense pas à ça. Ça arrive même tellement souvent que je m’en rends même plus compte. Je n’avais pas vu qu’elle était toute dure, là avant que tu ne me le dises.

— Humm… allons à l’intérieur, je vais y jeter un il.

— Quoi ? Ca va pas ?!

— Ne fais pas l’idiot. Premièrement, je suis ta mère. Et deuxièmement, j’ai été infirmière. Et de toute façon, tout le monde dans la maison est déjà au courant. Au début, tes surs pensaient que tu le faisais exprès. C’est pour cela qu’elles ne sont pas là ce week-end, pour que nous puissions « parler ». Maintenant, direction la salle de bains, tu vas enlever ton caleçon et je vais examiner ton pénis.

J’obtempère, je n’ai pas vraiment le choix. Je me rends donc à la salle de bain, suivi par maman puis retire mon caleçon pour lui montrer ce qui me pose des problèmes depuis quelques jours.

— Humm, il a l’air tout à fait normal, dit ma mère après avoir regardé mon pénis

— Mais il est comme ça tout le temps, heureusement que je n’ai plus cours, je sais pas comment je ferais.

— Je ne sais pas trop, chéri, tu veux que je l’examine plus en détail ?

— Peu importe. Je veux juste savoir ce qui cloche !

J’affichais une nouvelle fois une énorme érection, et j’avoue que la situation de moi nue devant ma mère en short jean très court et un soutien-gorge de bikini pour couvrir sa grosse poitrine bien ferme, n’aidait pas à calmer le problème.

— OK, bon, je vais le toucher

Au moment où elle posa sa main sur mon pénis, un choc indéfinissable retentit en moi. Ça ne m’était jamais arrivé.

— Qu’est-ce qui s’est passé ?

— Je… Je sais pas… Ça a fait comme une décharge électrique, mais ça ne m’a pas fait mal, c’était bon…

— Est-ce que tu as déjà ressenti ça quand une de tes petites copines l’a touché ?

— Non

— Je vais devoir examiner ça plus attentivement, dit-elle en commençant à légèrement imprimer un mouvement à sa main.

— Je sais que tu dois trouver tout cela un peu étrange, mon chéri, mais c’est nécessaire

— Ca fait comme si tu caressais ma bite, maman.

— C’est ce que je fais.

— Euh… ça fait partie de l’examen ?

— En fait… Oui.

J’avais du mal à rester concentré, et ma mère, là devant moi en train de me caresser la bite, je ne pouvais pas m’empêcher de la regarder, j’étais pris en étau entre mon excitation et ma gêne, mais c’est la première qui eut le dessus.

— Tu materais pas mes seins, par hasard ?

— Désolé !

— Pas besoin d’être désolé, dit-elle en lâchant mon sexe et me tournant le dos se dirigeant vers la sortie

— Remets ton caleçon et rejoins-moi dans une minute dans ma salle de bain pour poursuivre l’examen. Je ne voudrais pas qu’on nous surprenne si tes surs rentrent

— Euh… mais…

Fais ce que je te dis, un point c’est tout.

Je rejoins donc ma mère, comme elle me l’avait demandé, dans sa salle de bain qui se trouvait de l’autre côté de la maison.

Quelle ne fut pas ma surprise, en entrant dans la salle de bain dont la porte était entrouverte, de trouver ma mère nue qui m’attendait ! Elle était sublime. Laissez-moi vous la décrire, ma mère est ce que l’on pourrait appeler sur les sites que je consulte parfois, une MILF ultra sexy, un corps parfait, élancé, une belle et grosse poitrine, 95C, tenant comme si elle avait 20 ans et un cul bombé et rebondi. Cette grande brune aux cheveux courts, nue devant moi, ne pouvait absolument pas calmer mon érection, bien au contraire… Bordel ! Ma mère est hyper bandante !

— Maman ? Pourquoi tu es toute nue ?

— Je voulais gagner du temps.

— Gagner du temps ?

— Je pense savoir ce qu’il se passe, mais je dois vérifier quelque chose. Tiens, mets-toi entre les deux lavabos, appuie-toi.

Je ne comprenais pas trop ce qui se passe, mais je l’écoute et m’installe.

— Puis-je retoucher ton pénis ?

— Euh… ouais.

— OK, je vais essayer de te faire éjaculer.

— Attends… quoi ? Tu vas me branler ?

— Oui. Et je pensais que ça t’aiderait si tu pouvais regarder mes seins.

Joignant le geste à la parole, ma mère se penche sur moi, sa poitrine en avant, et prit ma bite en main. Mais qu’est-ce qui se passe ?… c’est un rêve ? Pitié, faites que je me réveille pas, alors… c’est tellement bon ! Cette sensation de tout à l’heure revient à nouveau, plus forte encore, je ne mis pas longtemps à jouir… envoyant mon sperme sur la main et la cuisse de ma mère.

— OOH !

— Et voilà. Alors, ça t’a fait du bien ?

— C’était génial. Mais je comprends rien

— As-tu senti comme une énergie sortant de ton pénis ? C’était différent de quand tu te masturbes ?

— Carrément ! Comment tu sais ? C… c’est normal ?

— Je pense que pour toi, c’est normal, oui. Maintenant, va te nettoyer et reviens me voir si ton pénis est de nouveau dur aujourd’hui.

— Euh… en fait, il est encore dur.

Elle baissa ses yeux constatant que ma bite était toujours au garde à vous, comme s’il ne s’était rien passé. « Bonté divine, c’est vraiment lui ! » l’entendis-je chuchoter

— Oh, Max. Dit-elle tendrement en posant sa main sur mon épaule.

— Quoi ? Mais quoi ?

— Tu es un miracle, voilà ce qu’il y a !

Elle se mit alors à genoux devant moi, prenant à nouveau mon sexe en main et me regardant droit dans les yeux.

— Je comprends rien du tout maman

— Je sais. Je vais tout t’expliquer, mais d’abord, je dois te sucer. Puis-je sucer ton pénis ?

— Euh… OK…

Ma mère ! Oui c’est une femme ultra sexy que n’importe quel homme de mon âge rêverait de voir s’agenouiller devant lui pour le sucer, mais c’est ma mère !!! Elle était là mon sexe dur comme du béton au fond de sa bouche. Elle me suçait, et faisait ça à merveille. Et cette sensation, cette énergie qui semblait circuler dans ma bite, oh oui, je la sens, et ça me…

— OOOH !!!

Une nouvelle fois je jouis !!! Dans la bouche de ma mère !!!

— Oh, Frère. Merci pour ce présent.

— Euuh, non… Merci à toi !

— Tu ne comprends pas. Va t’allonger sur mon lit, je vais tout t’expliquer.

Me dit-elle me regardant droit dans les yeux avec un regard que je n’avais encore jamais vu mon sperme coulant du bord de ses lèvres.

Je m’installe sur le grand lit de ma mère, telle qu’elle me l’a demandé, ne comprenant pas du tout ce qui se passe, mais heureux et léger, sans trop pouvoir l’expliquer. Au-delà du plaisir que m’a donné ma mère, cette situation au-delà de l’inhabituelle et ces sensations étranges que j’ai ressenties, tout se bouscule dans ma tête, mais ma mère semble avoir les réponses.

Toujours nue, elle me rejoint.

— La première chose que tu dois savoir, c’est que nous ne sommes pas une famille normale. Je sais que tout le monde aime dire ça, mais nous sommes VRAIMENT différents. C’est pour cela que ton pénis est toujours en érection ces derniers temps. Et c’est parfaitement normal, dans ton cas. Et je vois qu’il l’est encore

Dit-elle en s’installant à mes côtés, posant ses yeux sur ma bite une nouvelle fois en pleine forme. Je n’avais même pas remarqué.

— Ça va être difficile à accepter, mais… tu fais partie d’une famille de sorcières.

— Des sorcières ? Comme la méchante sorcière dans Blanche-Neige ?

— Très drôle. Mais je ne plaisante pas.

Dit-elle, prenant à nouveau mon sexe en main

— Allez, maman, arrête. Des sorcières ?

— Bon, ce mot n’est pas parfait, mais… oui.

— Alors quoi, vous avez des balais volants et tout ça ?

— Haha. Non. Et tu ne vas pas partir à Poudlard non plus. Ici, je ne parle pas de sorts, ou d’autres débilités du même genre. Nous avons la faculté d’imposer notre volonté aux gens autour de nous par la simple concentration de nos pensées, et en utilisant l’énergie que l’on reçoit.

— Cool, on commence les leçons quand ?

— Eh bien, c’est le problème. Jamais. Parce que tu ne peux pas. Tu n’as pas nos capacités. Les hommes ne les reçoivent jamais.

— Alors je n’ai aucun pouvoir…

— Non, mon chéri.

— Alors pourquoi tu dis que je suis un miracle ?

— Tu te souviens quand j’ai parlé de l’énergie que nous recevions ?

— Oui

— Eh bien, la source de cette énergie… c’est toi. Sans toi, notre pouvoir n’existe plus.

— Quoi ? Comment ça ?

— Ton corps la produit et la relâche dans ton sperme. Voilà d’où je tire mon pouvoir. Et j’ai grand faim, ma foi. Puis-je encore me nourrir ?

Me demande-t-elle en s’installant entre mes jambes, mon sexe tendu à hauteur de ses lèvres.

— Tu veux encore me sucer, c’est ça ?

— Oui

— Oh ben ouais, tu peux.

Et ma mère s’appliqua à nouveau à me faire une fellation sublime, profonde, goulue, terriblement bonne. Jamais je n’aurais pu imaginer que ma mère était aussi douée dans cette pratique. Il ne me fallut pas longtemps pour craquer à nouveau. Décidément avec cette « énergie » circulant en moi, je n’étais pas très endurant.

— Attention, ça vient… OOH !

J’avais beau la prévenir, elle avait bien la ferme intention de tout avaler.

— Merci pour ce présent, Frère.

— Maman, pourquoi tu dis ça ?

— Cela fait partie du rituel.

— Mais je suis ton fils.

— Oui, mais maintenant, tu es le Grand Frère de notre assemblée.

— Alors je ne suis pas ton fils ?

— Hahaha ! Bien sûr que si. « Grand Frère » est un titre, très prestigieux. On dirait que l’érection est terminée. Si tu remettais ton caleçon et qu’on allait regarder la télé ?

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