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Scènes de ménages (incestueuses) – Chapitre 2




Lilly retient son souffle.

— C’ est parce que j’ éprouve des sentiments pour toi qu’ un fils ne devrait pas ressentir pour sa mère.

— Que veux-tu dire par là? Demande-t-elle en essuyant une grosse larme.

Manu a l’ air désespéré.

— Arrête maman! C’ est assez clair comme ça, non?

Lilly passe une main sur son front fiévreux. Elle se doute, sans arriver à y croire, ce dont son fils veut parler.

— Pour toi peut-être! Quels sont ses sentiments mon chéri?

Manu se lève et sort du champ de la caméra.

Lilly entend difficilement la réponse de son fils.

— Je t’ aime…

.. je te désire!

Une vague de joie et de peurs la submerge. Tout son corps se met à trembler.

Lilly observe la sobre chambre de son fils ornée de photos d’ elle et de José… enfin, surtout d’ elle.

En étant plus attentive, elle remarque pour la première fois qu’ une grande partie des photos la représente en maillot de bain.

— Reviens devant l’ écran mon chéri.

— Non, je ne peux pas… j’ ai trop honte.

.. J’ aurais dû me taire.

— S’ il te plaît, reviens, tu n’ as pas à avoir honte.

.. Je suis ta mère, tu peux tout me dire.

Manu revient s’ asseoir sans oser regarder la caméra.

— Tu sais mon Manu, beaucoup d’ enfants ont des désirs pour leurs parents. Ce n’ est pas grave, tu ne dois pas laisser ça s’ interposer entre nous, avec ton retour…

Manu commence à pleurer lui aussi.

— Tu ne comprends pas… je suis fou d’ amour pour toi, je te veux du plus profond de mon âme!

.. Ca me rend fou d’ être près de toi sans pouvoir… sans pouvoir…

Sa phrase est brisée par un lourd sanglot.

Le coeur de Lilly est assaillit de papillons prédateurs.

— Chut, chut, calme-toi mon chéri… Ne te met pas dans un état pareil.

Les pensées se bousculent. Que lui dire?

Elle porte machinalement sa main sur l’ écran pour caresser le lointain visage de son fils.

— Tu n’ es pas le seul à éprouver ces sentiments mon amour…

Manu relève soudainement la tête, essuie les larmes de son visage.

— Je… tu… tu veux dire quoi par là maman?

Lilly cache son visage de ses deux mains.

— Il m’ arrive d’ avoir ce genre de pensées pour toi, tu vois?

Les yeux de Manu s’ illuminent.

— Ce n’ est pas possible, tu dis ça pour me rassurer, non?

— Non Manu, c’ est la vérité, je suis une mère indigne! Répond Lilly, toujours en cachant son visage.

— Tu me désires toi aussi, vraiment?

.. Je veux dire comme une femme envers son… amant?

— Oui. Dit-elle en détournant le visage.

.. Il m’ est souvent arrivé d’ y penser. Je lutte contre ça mais c’ est plus fort que moi.

— C’ est merveilleux maman, si seulement j’ avais su ça avant.

Lilly regarde à nouveau l’ écran.

— non, ça n’ aurait rien changé, nous ne pouvons pas nous laisser aller à ces désirs mon chéri. C’ est impossible!

— Pourquoi? Tu viens de le dire, nous le voulons tous les deux.

— Arrête, ce n’ est pas normal… Et pense à la famille, à ton père!

Manu balance un livre à travers sa pièce. Le bruit fait sursauter Lilly.

— Merde! Et moi? Et nous?

— Surveille ton langage Manu!

C’ est plus fort qu’ elle, Lilly a toujours détesté les gros mots.

— Tu te rends compte de ce que tu dis mon chéri, j’ aime ton père. Jamais je ne pourrais le quitter.

Manu ferme les yeux.

Lilly observe la respiration puissante de son fils, les gouttes de sueur perlant sensuellement sur le front, le cou… Elle ressent plusieurs contractions incontrôlables au niveau du sexe.

Son fils chéri vient de lui avouer ses désirs pour elle!

Son Manu a envie d’ elle!

De rapides images du passé surgissent… tant de moments où leurs innocents câlins auraient pu si

facilement dérapé.

Elle serre les cuisses, le périnée, accentuant involontairement un plaisir coupable.

— Oui, je sais… bien sûr que je le sais.

.. Je l’ aime lui aussi, jamais je ne voudrais lui faire du mal.

— Tu vois mon chéri!

— Mais il n’ est pas obligé de le savoir…

Cette dernière phrase déclenche une tempête entre les cuisses de Lilly.

Combien de fois elle a pu imaginer de scènes torrides entre elle et son fils pendant que José dormait, regardait le foot ou même tandis qu’ il parlait depuis une autre pièce.

— Arrête… Dit-elle sans conviction.

— Tout le monde peut y trouver son compte maman, tu connais aussi bien papa que moi. Tant qu’ il te sait amoureuse, que tu lui prépares de bons petits plats, qu’ il regarde ses matchs de foot, tout va bien pour lui.

.. D’ailleurs tu t’ es bien rendu compte qu’ il faisait la sourde oreille lorsque, parfois, tu trahis inconsciemment tes… fantaisies érotiques, au hasard des conversations bien arrosées.

— Manu! Qu’ est-ce que tu racontes?

— Allons maman, le nombre de fois où tu as laissé entendre tes désirs de triolisme, de libertinage…

Elle rougit brusquement.

— Papa fait le benêt mais il n’ est pas dupe.

— Oui, je sais… Murmure Lilly.

— Nous pouvons vivre quelque chose de merveilleux maman!

— Mon chéri, je t’ aime si fort, si fort…

.. Mais ce n’ est pas possible, c’ est trop bizarre, malsain…

— Alors voilà, je suis malsain!

.. je savais que je n’ aurais jamais dû te le dire!

Manu se lève à nouveau pour disparaître de l’ écran.

Lilly entend son fils saccager la pièce.

— Arrête Manu! Ce n’ est pas ce que je voulais dire!

.. Reviens s’ il te plaît. Pardonne-moi mon chéri.

Le silence revient.

Finalement Manu revient s’ asseoir.

— Je ne pourrai jamais revenir… c’ est trop dur. Dit-il d’ une voix affreusement triste.

— C’ est du chantage que tu me fais! C’ est injuste!

— Non, ce qui est injuste c’ est ce que je ressens! Je n’ ai rien demandé, c’ est en moi! Hurle Manu.

Les vannes de la tristesse s’ ouvrent à nouveau en Lilly, libérant une cascade de chaudes larmes.

— Tu n’ es pas malsain mon amour…

.. Je voudrais tant répondre à ton désir…

— Alors fait le, dis moi que ce sera possible.

Manu regarde sa mère pleurer, il aimerait tant être là pour la prendre dans ses bras, la consoler,

l’ embrasser.

Mais il ne dit rien, laissant sa proposition voyager parmi les doutes de Lilly.

Elle plonge son regard dans les yeux de son fils.

— Reviens, nous pourrons en discuter calmement, d’ accord?

— Non maman, je suis désolé, je ne reviendrai pas avant d’ être sûr de ton choix.

.. Je refuse de vivre une telle souffrance.

— Mais je ne sais pas quoi te dire. Je ne sais plus où j’ en suis.

.. Tu te rends compte de ce que tu me demandes?

— Oui. Répond simplement Manu d’ une voix décidée.

Une bretelle de la chemise de nuit de Lilly à glissée le long de son épaule, dévoilant un peu plus l’ un des magnifiques seins de sa mère.

Manu sert les mâchoires, le désir de porter sa bouche sur le mamelon est comme un coup de poing dans le plexus solaire.

— Maman, je vais te demander quelque chose pour que tu me prouves que tu n’ es pas fermée à ce que je te propose…

Lilly admire le visage décidé de son fils.

Il est comme le prince charmant qu’ elle invoque depuis l’ enfance.

— Baisse ta chemise de nuit, montre-moi tes seins.

C’ est au tour de Lilly de ressentir un invisible coup de poing.

Une partie d’ elle se voit déchirer son vêtement pour exposer enfin ses attributs au regard amoureux de son fils.

L’ autre voudrait éteindre l’ écran, que cette discussion n’ ai jamais eu lieu.

Leurs regards font déjà l’ amour.

Lilly fait doucement glisser l’ autre bretelle le long de l’ épaule auréolée par la lumière de l’ écran.

Manu sent son sexe prêt à déchirer son pantalon, une montée d’ énergie fait bouillir sa cervelle.

Elle glisse ses pouces sous le fin tissu pour descendre le vêtement récalcitrant sous les seins, qui soudain, jaillissent fièrement.

Manu pousse un profond soupir.

Lilly sourit imperceptiblement. Sentir le regard brûlant de son fils sur ses seins offerts, uniquement voilés d’ un zeste de honte, la bouleverse.

Elle sent ses tétons durcirent, à lui en faire mal.

— Tu es si belle maman!

.. Merci.

Il s’ en veut immédiatement d’ avoir prononcé cette phrase.

Merci! C’ est quoi ce mot, dans un tel moment!

L’ envie de cogner sa tête sur le mur est difficilement contenue.

— Alors mon amour? Voilà ta preuve! Dit Lilly d’ une voix sensuelle.

La scène irréelle fait frémir manu.

— Je voudrais tant être là…

Lilly émet un rire merveilleux.

— Ca ne tient qu’ à toi mon chéri.

— Vraiment maman?

Manu lui jette un regard insolent.

— Alors continue, descends ta chemise et montre-moi ton plus grand secret.

Lilly repense à sa culotte tachée de sperme.

— Mon chérie, pour ce soir, n’ est-ce pas suffisant?

— Tu vois? Ce n’ est pas clair en toi!

— Ce n’ est pas ça, mais tout va trop vite! Laisse-moi un peu de temps, s’ il te plaît. Implore Lilly avec un regard de biche.

Manu ne peut détacher son regard des seins si longtemps désirés.

— Pardon Maman. Je suis si heureux…

— Moi aussi mon amour, c’ est si fort…

.. Je vais aller dormir, d’ accord?

Manu photographie mentalement le sublime tableau que lui offre sa mère.

— Oui maman.

.. Je t’ aime.

— Je t’ aime Manu.

Lilly embrasse le bout de ses doigts avant d’ envoyer ce baiser dans un souffle en direction de son fils.

L’ écran s’ éteint sur le regard rêveur de Manu.

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