Bonjour,
Cette histoire est basée sur une histoire vraie que j’ai vécue et à laquelle je me permet de donner une suite digne des fantasmes qui m’avaient traversé l’esprit à l’époque.
Je vivais encore dans l’Île de Ré, à quelques hectomètres de la plage qui borde toute la côte sud de l’île. Les plages les plus convoitées par les estivants. Je vivait une maison assez grande et ancienne du XVIIIe siècle, mais pas non plus un manoir. Nous étions en éternel chantier depuis que nous y avions aménagé avec mes frères et mes parents. Cela faisait déjà 4 ans que nous y vivions. La maison était en forme de T, la façade principale donnant sur une petite rue, mais à proximité d’une place arborée. Elle encerclait une autre maison sans jardin située dans le coin, à l’extrémité de la rue dont je viens de parler, et d’une petite ruelle débouchant ou plutôt partant de la place, et sur laquelle donnait l’autre façade de la maison et l’entrée du garage. En dehors de ces deux rues, nous étions entourés d’habitations. Nous avions un jardin sympathique ouvert vers le nord avec un grand lilas fleuri à la belle saison. Un mur plus ou moins haut nous séparait d’une maison voisine, celle qui suivait notre façade dans la ruelle.
Dans cette maison vivait une famille avec un seul enfant, une petite fille qui était dans la même classe que mon petit frère. Depuis l’étage de notre maison, plus précisément des chambres de mon grand frère et de mes parents, nous pouvions avoir une vue sur leur jardin ainsi que sur une aile de la maison exposée côté sud par une belle baie vitrée, qui nous permettait de voir qu’il s’agissait de la cuisine.
Je me nomme Louis, j’ai actuellement 26 ans, et en avait encore 16 à l’époque, mais avec des envies sexuelles bien précises, malgré le fait que j’étais encore puceau. Dans la maison je m’étais installé dans la chambre la plus isolée, une grande pièce au-dessus du garage et donnant à la fois sur la ruelle et le jardin. Le lilas fleurissait devant ma fenêtre, et côté ruelle je pouvais sans problème sauter de mes fenêtres sans risque, puisque le garage était lui-même plus bas de niveau que le bitume. Là n’est pas l’important.
Cet été-là, les voisins avaient loué leur maison à une jeune femme, elle avait qu’en même 32 ans, soit deux fois mon âge, tandis qu’eux étaient parti en vacances je ne sais où. Je l’avais remarqué puisque je la voyait presque tous les jours sortir soit pour aller à la plage, soit pour faire quelques courses. Elle était plutôt ronde, pas très grande, 1m65 environ, comme moi et une belle poitrine que je devinais sous ses robes et parfois sous son maillot deux pièces. De la voir de mes fenêtres me donnait pas mal d’envies, et rapidement je me masturbais en pensant à elle.
Un soir, après avoir énormément pensé à elle toute la journée et guetté ses allées et venues, je mettais en place un stratagème pour me retrouver nu avec elle. Le lendemain matin, alors que j’étais seul chez moi et que je savais la vacancière partie, je me rendis dans le jardin, je passais par-dessus la portion de mur la plus basse pour me retrouver dans la jardin. La porte de la cuisine était ouverte, en tout cas pas fermée à clé, ce qui me permit d’entrer. Dès lors, je pu partir explorer la maison. La cuisine donnait sur un salon assez original, mais je ne trouvais pas ce je cherchais en bas. Je montais alors l’escalier et découvrit deux chambres, la salle de bain et une belle garde-robe.
Tard le soir, proche de minuit, je sorti chercher des capotes à la borne de la pharmacie. Quand je fus revenu, j’allais directe dans le jardin. Je repassais chez les voisins de la même façon que le matin. La porte de la cuisine était toujours ouverte. Je retirais alors mes basket. Pour le reste j’étais en short et t-shirt et dessous bien sûr un slip. L’excitation montait en moi. J’arrivais à l’escalier et tenta de le gravir le plus doucement possible pour faire le moins de bruit. La chambre que je soupçonnais être occupée par la fille était située tout en face de l’escalier.
Arrivé en haut je fus soulagé car j’avais été assez discret. La porte de la chambre était grande ouverte, mais il faisait assez sombre. Je ne pouvais pas voir le lit, mais je me fiais depuis le début à ma reconnaissance de la matinée. Avant d’entrer, je me déshabillais pour être nu et prêt, les capotes en main.
Je décidais alors de me lancer. J’entrais dans la chambre à pas de loup, les mains baissés pour ne pas me cogner. Je trouvais le lit, le longeais pour atteindre le haut de la couette. Trouvée, il ne me restais plus qu’à la soulever et me faufiler dedans, ce que je fis le plus doucement possible. Là, elle se mit à bouger, mais continua de dormir. J’eus un « ouf » de soulagement intérieur et poursuivi mon scénario.
La couette était reposée. J’étais nu dans le lit. Il me fallait maintenant la trouver et la prendre dans mes bras. C’est en passant ma main levée et frôlant la couette que j’arrivais à sa taille. Sans la toucher plus, je me rapprochait et une fois assez proche, je passais le bras autour de sa taille. Je me blottis contre elle et commença à la caresser. Comme je m’en doutais elle réagit vite par peur, mais je la maintenais.
Elle ne pouvait pas m’échapper et ses paroles ne pouvaient être entendues de personne. Elle était seule dans la maison et une distance suffisante séparait la pièce de ma maison et de celles des voisins les plus proches. Elle était à ma merci, et tout en la maintenant je tentais de la calmer en lui expliquant que je ne lui voulais aucun mal, que j’étais puceau et que j’avais envie que ma première fois se passe avec elle. Une fois qu’elle avait compris tout ça, mais surtout qu’elle ne pourrait pas m’échapper, elle se calma. Pour autant je ne lâchais pas ma prise de peur qu’elle en profite. Je continu de la maintenir, et commença à me frotter dans son dos. Je me remettais à bander et elle ne pouvait que le sentir.
Mes mouvements semblait lui provoquer quelque excitation car elle sembla se laisser un peu plus aller. Je desserrais alors mon emprise et avec ma main lui caressais le ventre. Ce moment me permis de m’assurer qu’elle n’allait rien tenter. Je pu alors me rendre compte de sa tenue et devinais qu’elle portait une nuisette et un string. Reste que je ne pouvais pas admirer son corps et l’admirer en tenue sexy, car heureusement pour moi elle n’avait pas pensé allumer sa lampe de chevet.
Ma main commença à monter vers sa poitrine, mais je me contentais au premier abord de l’effleurer. C’était la première fois que je pouvais toucher des seins, mis à part la fois ou je me baladais avec deux amies, l’une nous prenant dans ses bras tout en marchant ce qui me permettait de sentir sa grosse poitrine. Cela remontait à 3 ans déjà, mais je n’avais rien fait avec elle. Après les avoir bien effleurés, je pris mon courage à deux mains et ouvrit ma main pour sentir ses rondeurs dans ma paume et sous mes doigts. Je malaxais en douceur son sein gauche. Avec deux doigts, je me mettais à jouer avec le téton que je sentais durcir sous ma main.
Soudain, un gémissement sorti de sa bouche. Progressivement, elle bougeai de nouveau, mais pas comme au début, quand je l’ai réveillée. Elle ondulait plutôt et se frottait à moi. Ça main droite se posa sur ma main qui s’occupait de son sein. Elle m’encourageait ! J’ondulai de-même pour qu’elle sente bien mon excitation dans le bas de son dos et à lorée de la fente de ses fesses.
Sans un mot, elle poussa ma main en m’indiquant de la descendre le long de son corps. Je compris qu’elle voulait que la masturbe. Seulement, c’est avec la même douceur que j’allais m’y atteler à la tache. Ma main descendait lentement, caressant son ventre, passant par son nombril, puis atteignant enfin le bas-ventre. Contrairement à ce à quoi je m’attendais, il était lisse. Je n’avais eu jusque-là qu’un seul aperçu du sexe d’une femme, celui de ma mère que j’avais vue nue et le sexe bien fourni en poil. La surprise était agréable !
Les doigts en tête tremblaient légèrement. S’en rendait-elle compte ? Je ne le sais pas, mais j’arrivais sur ses lèvres. Une fois bien dessus, j’entamais une caresse plus appuyée en allant et venant entre ses jambes. Elle avait d’ailleurs relevé sa jambe gauche pour me facilité l’accès. Sa respiration était plus soutenue. Je sentais son excitation sous mes doigts. Elle commençait à mouiller et cela offrait à mes doigts la possibilité de passer le premier rempart de ses grandes lèvres.
Après un petit moment à la caresser ainsi, elle amena sa main pour me guider cette fois-ci. Elle me montrait comment la caresser et surtout m’indiqua son clitoris et insista longuement. Je compris que c’était là qu’il fallait que j’insiste avant d’aller plus loin. Ce petit bouton était bien gonflé et dur. Je ne pouvais plus le lâcher. Je jouais donc avec, le titillait rapidement. Sa respiration s’intensifiait soudain, et j’entendis même le son de sa voix :
— Oh oui !
Deux petits mots qui m’encouragèrent encore plus. Elle bougeait également de plus en plus.
— Oh, que c’est booonnn ! Continuuu !
Sans savoir qui j’étais, elle me suppliait de poursuivre mon mouvement sur son clito. Mieux encore :
— Fais-moi jouir !
Elle était toute offerte à mes doigts, voulait que je lui donne le plaisir suprême alors même que je ne faisais que la caresser. Elle se trémoussait fortement contre moi. J’étais même un peu gêné car la première fois que je faisais cela avec une femme. Je ne m’attendais pas à ce qu’une femme réagisse ainsi. Pourtant, je continuais puisque c’est ce qu’elle voulait, et je savais en même temps que si j’arrêtais elle serait déçue et ne comprendrais peut-être pas. Elle continuait donc de gémir, et d’un coup elle monta en décibels :
— Oooohh ouuuuiiiiii ! Continuuu comme çaaaa ! Aaaaahh, je jouiiiis !
Elle criait presque et s’élevait même physiquement. Ses fesses se soulevaient par la poussée qu’exerçaient sa jambes gauche. Elle n’y tenait plus et relâchait brutalement cet effort. Je lui caressais toujours le clito autant que possible ! Elle retomba sur moi, m’obligeant à être sur le dos. La tête encore vers son coussin, mais ses fesses et sa jambe gauche sur mon corps. Ma main avait quitté sa chatte.
Nous sommes restés ainsi plusieurs minutes. Je cru même qu’elle allait s’endormir. En fait elle reprenait juste ses esprits. Ces longues minutes passées, elle se dégagea de dessus mon corps et sans prévenir m’embrassa sur la joue.
— Merci !
Elle balada sa main sur corps et descendit pour attraper mon sexe. J’avais légèrement débander, mais comme elle commençait à me masturber lentement ma raideur revient vite. Elle augmente alors progressivement la vitesse de son mouvement m’indiquant qu’elle est ravie de savoir qu’elle m’excite toujours autant.
Je suis impatient, mais je la laisse faire. D’ailleurs, elle bouge. Change-t-elle de position pour être plus à l’aise ? J’attends de voir, mais je n’ai pas beaucoup à attendre car je sent qu’elle redresse ma bite et qu’elle me donne de petits coups de langue sur le gland. Je suis sur le point de vivre ma première fellation. Elle tient fermement ma queue à la base et me titille la pointe un petit moment avant de faire glisser sa langue tout le long. Enfin, après avoir bien lécher, elle l’enfourne petit à petit dans sa bouche. Sa langue ne reste pas inactive pour autant. Pendant les va-et-vient plus ou moins rapide qu’elle fait sur mon sexe, sa langue bouge à droite à gauche. J’aime ce qu’elle me fait, mais je ne sais pas le dire et je n’ose pas non plus de peur qu’elle comprenne que c’est ma première fois.
Je me laisse complètement faire, complètement aller au bien qu’elle me procure en récompense pour celui que je lui ait offert en m’invitant dans son lit à l’improviste et en pleine nuit. Par moment, elle s’arrête de me sucer pour me branler avec sa main qui tient toujours ma bite dressée, puis la remet dans sa bouche.
— Tu aimes ? Me dit-elle tout d’un coup.
— Oh oui, tu suces super bien. Je suis aux anges.
Les premiers mots que l’on s’échange !
— C’est la première fois que tu fais l’amour ?
Comment s’en est-elle aperçu ? Me dis-je à moi-même.
— Cela se voit facilement. Ce n’est pas un crime, au contraire c’est excitant et je suis très flattée d’être celle qui te fait perdre ton pucelage.
Surpris ! Je ne dis rien et elle reprend sa fellation.
Après un moment pendant lequel elle continuait ses mouvements alternés :
— Tu as apporté des capotes ?
— Euh ! Oui ! Je les ai posées sur la table de nuit en arrivant.
— Donnes-en moi une, c’est le moment.
Je tend mon bras, trouve la table de nuit, puis les capotes. J’en attrape une et lui donne après avoir guidé sa main vers la mienne pour qu’elle la saisisse.
— Tiens-moi ta queue que je la mette.
J’obéis et elle déroule quelque peu difficilement la capote. Une fois que c’est fait, elle lâche mon sexe et j’entends qu’elle bouge. Je comprends alors qu’elle est en train de se mettre sur moi, une jambe de chaque côté pour s’empaler sur mon pieu bien raide. Elle le redresse à nouveau et je sent mon gland entre en contact avec ses lèvres qui s’écarte. Elle le dirige et il commence à entrer dans sa chatte. Dès lors elle enlève sa main et progressivement ma bite s’enfonce dans sa grotte jusqu’à la base.
— Oouuuuhhh ! Dit-elle pendant qu’elle s’empale peu à peu. Elle est bonne et je la sent bien en moi.
Dès lors, elle entame de lents et longs va-et-vient afin de s’habituer à la grosseur qu’elle a en elle. Ma bite mesure 17x5cm. Certes ça n’est pas énorme, c’est dans la moyenne, mais une belle moyenne quand même.
— Elle est plus grosse que celles que j’ai pu rencontrer jusqu’à présent. M’avoue-t-elle.
Elle accélère ses va-et-vient et gémis de plus en plus.
— Vas-y ! bouges, toi aussi ! Prends-moi par les hanches !
C’était un ordre, mais c’était aussi une leçon. J’apprenais, non pas comment faire l’amour, mais comment baiser une femme plutôt que me faire baiser comme c’était le cas depuis qu’elle avait pris les choses en main. Je l’attrapais donc par les hanches et me mit à donner quelques coups de rein.
— Oui ! C’est bien ! Continu comme ça ! J’aime baiser ainsi !
Nous sommes resté un moment dans cette position. Essoufflée, elle s’affala sur moi sa tête à côté de la mienne. Je ne savais pas si je devais continuer ou la laisser récupérer un peu.
— Continu de me baiser !
Je continuais donc et à sa respiration je savais qu’elle y prenait du plaisir. Je profitais de l’occasion pour l’embrasser au cou tout d’abord vu que sa bouche était tournée de l’autre côté. Mais elle ne tarda pas à réagir et se redresser un peu. Mes baisers passaient petit à petit de sa nuque à joue, puis enfin elle me présenta ses lèvres. Nous échangions tout d’abord de petits baisers, puis des plus longs et enfin, elle ouvrit sa bouche et présenta sa langue qui entrouvrit mes lèvres. Nos langues se rencontrèrent et nous nous embrassions alors complètement. Je continuais mes va-et-vient dans sa chatte ce qui lui laissait encore échapper des petits gémissements étouffés par notre baiser.
Au bout de quelques minutes, nos bouches se séparèrent.
— On change de position ? Osais-je proposer.
— Oh, oui avec plaisir. Tu veux laquelle ?
— On échange juste de place.
— En missionnaire alors. Ok !
Elle se redressa et s’allongea à côté, là même où elle se trouvait couchée quand je suis entré dans sa vie, dans sa nuit. Je levait à mon tour et m’immisçai entre ses jambes écartées. À genoux devant elle, je présentais ma verge à l’entrée de sa chatte et la pénétrais aisément. En même temps qu’elle s’enfonçait à l’intérieur, je me positionnais au dessus de ma voisine devenue mon amante et ma maîtresse, mes avant-bras posés de chaque côté de son corps. Nous repartions à nous embrasser alors même que je recommençais mes va-et-vient en elle. Elle gémissait de la même façon que précédemment.
Je relâchais ma prise et posa mes mains sur ses seins que je caressais, malaxais, avant de jouer et titiller les tétons. Dans cette position, j’étais à nouveau le maître. C’est moi qui dirigeais comme au début. Mes coups de rein étaient plus grands et plus forts aussi. Elle gémissait plus ouvertement.
— Ouh ! Oh ouiii ! Vas-yyyy !
Ou encore :
— Oh ouuuuiiii ! C’est boooonnnn, continuuuuu !
Elle prenait son pieds et je le ressentais. Autour de ma queue je sentais les muscles de sa chatte se contracter. Cela me faisait énormément d’effet. J’avais envie d’en finir pour cette fois-ci. Je me lâchais donc complètement dans l’idée que ses contractions me feraient jouir tout comme je la faisait jouir. D’ailleurs elle avait déjà joui deux fois depuis qu’elle avait ma bite en elle. Elle était prête à jouir encore.
— Oh ouuuuiiii ! Vas-yyyy, baise-moi encoooore plus fooort ! Vas-yyyyy, je vais jouir !
Elle se mit alors à jouir fortement, lâchant deux longs « oui ». les contractions de sa chatte étaient plus fortes encore et finissaient par me faire monter la sauce aussi, et je fini par jouir à mon tour dans sa chatte, ou plutôt dans la capote qui nous protégeait. Je poursuivait quelques longs va-et-vient lors des premiers jets de sperme puis je me suis immobilisé en elle. Nous nous embrassions à nouveau un long moment avant de nous séparer et de nous nettoyer.
Il était fort tard et elle me proposa de finir la nuit ensemble. J’acceptais volontiers et je me blottis dans le lit contre elle, comme au début, pour nous endormir enfin.