Roberta avait épuisé avec son mari toutes les boites échangistes et "mélangistes" de la région. Elle voulait autre chose et elle le voulait seule.
Elle monta dans son cabriolet et fila à l’aventure. Après un log trajet, un chemin vicinal, bordé de grands arbres, débouchant finalement sur une grille ouverte, un grand parc lui succéda au fond duquel se nichait un manoir pur XVIIIème du plus bel effet.
C’était un hôtel fort classieux. Roberta gara la voiture non loin de l’entrée et se présenta à la réception
.
Elle déclina son identité et on lui demanda d’attendre dans le salon. C’était fort calme. On avait l’impression que la demeure était déserte. Le salon feutré renforçait ce sentiment. Au bout de quelques minutes un larbin sans âge apparut et la pria de la suivre. Ils traversèrent la demeure, puis le jardin jusqu’à atteindre un petit pavillon plus modeste, probablement l’ancienne demeure du gardien.
Le type ouvrit la porte, la pria d’entrer puis disparut en lui souhaitant un bon séjour, ce qui la surprit.
Elle se tenait dans l’entrée, espace neutre bordé de tentures pourpres. Face à elle une porte s’ouvrit et Brutus apparut. Il la salua puis lui prit la main et la guida dans ce qui se révéla être une antichambre.
Le type était courtois, modèle châtelain gentilhomme. Il devait avoir dans les 70 ans. Il la fit s’installer sur un sofa et lui édicta les règles du lieu.
A partir de là , elle ne devait plus s’adresser à lui ou à quiconque. S’il lui arrivait de le faire, ce serait uniquement sous le terme de « Maître ». Quoi qu’il lui soit proposé, elle devait obtempérer sans regimber. La mature se dit qu’elle allait foutre le camp de ce lieu et abandonner le fameux Brutus à ses conneries.
D’un geste de la main il lui indiqua des effets qui se trouvaient sur un valet. « Préparez vous. Quand vous serez prête, prévenez moi avec la sonnette » dit-il en indiquant l’objet posé sur la table. Il disparut.
Une nouvelle fois Roberta devait enfiler un accoutrement quelconque pour satisfaire à quelque jeu lubrique, voulu par son tourmenteur. Elle déplia la pile de vêtements et comprit tout de suite. Ce coup ci elle allait se transformer en nonne.
Lentement, elle enfila la culotte de laine hors d’âge, se banda la poitrine avec une écharpe de bure, enfila la longue robe noire et mit les sandales à lanières qui complétait son accoutrement.
Quand elle eut fini, elle sonna. La porte s’ouvrit sur une pauvre clarté. Comme rien ne se passait, elle entra dans la pièce. Un autel y était dressé, surmonté par deux cierges. Devant l’autel d’épaisses tentures noires étaient tendues. Ce qui avec la pénombre ambiante, empêchait de voir le reste de la pièce .
Un gnome apparut, surgi de nulle part, vêtu d’une soutane. Il lui fit signe de la suivre jusqu’à l’autel, puis de se mettre à genoux devant celui-ci les mains jointes. Elle s’exécuta. Le nain prit un calice et le lui tendit. Elle but s’attendant à trouver le goût du vin. Il n’en était rien. C’était un cocktail fort alcoolisé, une espèce de punch avec beaucoup d’aromates.
Le nain resta à côté d’elle veillant à ce qu’elle finisse la potion. Roberta était déjà pompette. Le nain reprit le calice et lui tendit un plateau d’argent sur lequel se trouvait une pilule. Drôle de communion. Elle fit non de la tête jusqu’à qu’une claque l’atteigne à la joue droite. Elle se mit à pleurer et avala le comprimé. L’effet fut quasi immédiat. Sa tête tournait, tandis qu’elle sentait une forte chaleur l’envahir.
Le tout s’était déroulé sans le moindre bruit. Le nain la releva et la fit se poster debout devant l’autel. Elle se rendit alors compte que celui-ci comportait 4 anneaux. Deux à hauteur des poignets et deux pour les chevilles.
Le gnome l’attacha ainsi face à la pièce, bras et jambes écartées. Plus de lumière se fit et Roberta se rendit compte que quatre ou cinq personnages l’observaient, assis dans des fauteuils au delà des tentures. Elle était finalement exposée sur une scène.
Le nain avait disparu. Le sang tambourinait dans ses tempes. Elle restait ainsi ballante, ses jambes la soutenant sans plus. C’est à ce moment là que Brutus apparut. Encagoulé et vêtu de cuir, il restait chétif et malingre. Il s’approcha d’elle. Une liturgie se fit entendre qui emplit toute la pièce.
Il avait à la main une dague effilée qu’il fit aller çà et là sur son corps. Elle hurla. Ce fut son dernier cri. Il lui enfonça dans la bouche un mors en caoutchouc qu’il boucla derrière sa nuque.
Lentement il lacéra la longue robe, puis arracha les lambeaux en prenant soin de rester par côté pour que les spectateurs n’en perdent pas une miette. Puis il défit le bandage mammaire et les seins chétifs de la quinquagénaire apparurent au public.
Elle frissonna malgré l’effet calmant de la drogue. Découper la culotte et arracher les sandales prirent un instant au vieillard.
Elle était complètement nue, attachée, ouverte, exposée aux voyeurs immobiles. Le maître entreprit alors de la piquer avec son poignard. Sans hâte, sur les mamelles d’abord, insistant sur les tétons puis il descendit vers le ventre, piquant ensuite l’intérieur des cuisses.
Chaque piqûre la faisait sursauter, même si le cocktail atténuait ses sensations ; elle se tortillait pour éviter la pointe mais rien n’y faisait. Le supplice dura une dizaine de minutes. Elle transpirait abondamment et bavait à travers le mors.
Le maître avait maintenant abandonné sa dague. Il entreprit ses mamelles, la pelotant allègrement ; elle était fort plate mais il arrivait cependant à pincer ses chairs. Il s’en prit aux tétons avec rage. Il les saisit entre ses doigts et le les tritura violemment , ce qui arracha à Roberta fortes larmes et gémissements.
Il tirait sur ses pointes turgescentes et les vrillait sans ménagement. Quand il eut fini il appliqua le même traitement à sa chatte. Ses grandes lèvres furent étirées dans tous les sens puis il tortura son clitoris. La douleur fut si intense que la mature se pissa dessus. Ses jambes l’abandonnèrent et elle glissa à genoux.
Il la délia et lui intima l’ordre de nettoyer le sol souillé avec sa langue. Elle refusa et pris deux énormes claques sur la poitrine. Le souffle coupé, elle entreprit de lécher son urine, la croupe en l’air offerte aux regards. Des mouvements se firent, les silhouettes s’approchèrent. Il y avait là deux femmes et trois hommes.
Ils la cernaient.
Une main saisit ses cheveux et la releva. Elle fut ensuite palpée sous toutes les coutures. Une femme fort grosse fit glisser sa tunique, lui enleva son bâillon et l’obligea à sucer ses seins. Puis elle s’accroupit, enleva sa culotte et lui indiqua sa chatte.
Roberta était maintenant dans un état second et lapait l’entrecuisse de la grosse. Brutus avait pris une badine et l’encourageait en lui cinglant la croupe. Il lui fit écarter les cuisses et frappa son sexe ainsi exposé. La douleur était intense.
La grosse avait joui dans sa bouche et maintenant l’autre femme avait pris le relais, fouillant la chatte de Roberta sans ménagement. Un type se branlait et vint éjaculer sur le visage de la mature. La femme la retourna et lui cracha sur l’anus avant d’enfiler un doigt puis deux dans son étroit orifice.
Elle la branla ainsi puis apercevant la queue d’un type à portée de main, elle la guida jusqu’au cul de la mature. Le sexe était épais et la pénétration lui arracha des cris. Le type la prit longuement jusqu’à ce que sa semence envahisse les sphincters de la suppliciée.
Il n’en restait plus qu’un. Il tenait des pinces à seins avec lesquelles il enserra les tétons de Roberta, puis saisissant la chaînette qui les reliait il tira la malheureuse vers sa bite et l’obligea à lui pratiquer une fellation, tirant un peu plus sur les mamelons pour l’obliger à s’activer sur son sexe.
Un jet épais de sperme gicla au fond de la gorge, ce qui marqua la fin des ébats. Ils la laissèrent ainsi, semi inconsciente aux mains de Georges qui la consola de quelques coups de badine supplémentaires sur la poitrine et le ventre.
Elle rentra totalement satisfaite de sa petite expédition , prête à renouveler l’expérience si l’occasion se présentait