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Amandine, ma voisine d'en face – Chapitre 14




— J’ai proposé à Mina de prendre une douche !…

Je vois Lola qui montre cette fille aux allures orientales, belle comme sortie d’un conte de Shéhérazade, le jogging trempé par la chaleur de l’effort. La fille me lance un sourire désolé, gênée de déranger notre couple un week-end. Lola la fait entrer dans la salle de bains avec elle…

L’idée que, l’une devant l’autre, chacune enlève son jogging, ses socquettes, se trouve nue sur le carrelage froid, entre dans le bac de la douche, passe du gel sur sa peau, faisant couler l’eau chaude sur son corps… J’aurais envie d’entrer, regarder… Il est temps de me calmer !…

Mina vient de partir avec des habits de Lola sur elle. Je respire. Ma copine n’avait pas de rendez-vous au parc avec l’homme à la jaguar. Elle était avec cette fille à courir. Mina, c’est joli. Je regarde Lola. Je la trouve plus belle. Comment ai-je pu penser ?…

Elle me lance des yeux amoureux. Elle a l’air d’avoir apprécier ce moment sympa avec sa collègue. Elle passe ses mains dans ses cheveux, le buste un peu dressé…

— J’ai faim de toi !…

Je la regarde me dire çà. Je suis prêt à me faire dévorer tout entier. Elle se jette sur mes joues, commence à les manger par petites morsures des lèvres. Sa bouche presse mon cou, le creux de mon épaule, le début de mon torse. Elle défait mon tee-shirt, descend prestement la peau, presse des lèvres le téton, l’entoure. Sa langue court mon ventre. Elle défait la ceinture, le pantalon, vite. C’est à se demander si Mina sous la douche n’aurait pas fait des effets dans ses pensées. L’espace d’un instant, aurait-elle eu envie de plaisirs entre filles ?… A-t-elle été troublée de voir ce corps se savonner, l’eau ruisseler sur elle ?… Sa bouche plonge entre mes jambes. Sa langue court de mon pubis à la base de la hampe, comme Mina, s’enfonçant entre ses lèvres ouvertes, la faisait jouir toute à l’heure dans le parc, peut-être…

Un moment, elle étaient fatiguées, elles se sont arrêtées de courir. Mina s’est collée à un arbre. Lola s’est approchée, a posé ses lèvres sur sa bouche ouverte. Elle ne l’a pas refermée. Au contraire !… Quand elle a senti sa langue lui faire mille caresses, elle a répondu avec empressement. Elles ont perdu le sens du temps. Le goût de cet chair aux senteurs d’Orient, Lola se sent mouillée sous le jogging clair. Son string va se tremper.

Elle serre sa langue contre celle de l’autre, été brûlant plongé l’eau fraîche d’une palmeraie dans le désert, s’engouffre. Il y a des saveurs parfumées, des plénitudes enivrantes. L’homme la serre dans ses bras… L’homme ?… Que fait-il ici ?… Après tout, je viens de penser qu’il connait Mina, bien sûr. Elle est dans la même entreprise. Il a conduit son entretien. Il les a peut-être mise en concurrence…

Il s’avance, fait un essai, pose ses lèvres sur sa bouche. Elle ne dit rien. Il fait passer sa langue. Elle l’embrasse. Il a l’air d’apprécier. Il tourne le visage vers Lola, prend sa bouche, la serre, entre sa langue, va rejoindre la sienne. Elle se presse, se mélange, malaxe, se donnent des envies.

Mina a descendu le short de l’homme, regarde avec délice le pénis grimper. Quand il est tout en haut, elle l’entre sans rien dire dans sa bouche, le saisit de caresses, puis de sa main le sort. Elle le tend vers Lola qui a comme un sourire. Elle vient s’agenouiller à coté de la fille qui fait mine de ne pas lui donner. Lola dans un rictus, lui arrache, le plonge entre sa bouche ouverte, commence à le lécher de haut en bas. Pourquoi n’y avoir pas pensé ?.. L’homme a bien pu leur donner rendez-vous à toutes deux. Elles veulent le même poste. Lola me regarde par en-dessous tout en faisant glisser sa langue sur mon pénis…

— Salope !…

Elle m’entend, s’arrête d’un coup, ne sait pas si c’est du lard ou du cochon. C’est la première fois que je l’appelle ainsi. Elle hésite, reprend son geste avec des accents plus marqués. Elle suce de façon presque provocante avec toujours ses yeux en direction de moi. Je ne sais pas ce qu’elle veut. Peut-être me tester ?… Je sens sa langue douce…

— Salope !…

Je le dis doucement. Elle s’arrête à nouveau, regarde, mon pénis dans sa main, sans rien dire. Elle agite son poignet avec une lenteur démesurée, ses yeux semblant attendre quelque chose…

— Salope !…

Elle se mord le bas de ses lèvres dans un sourire, se met à me branler plus vite. Je la vois avec cette fille qui se chamaillent pour mettre dans leur bouche ce pénis…

— Salope !…

Excitée par ce jeu nouveau, le poignet de Lola augmente sa vitesse. Elle me regarde avec délice, provocation, se lève, se tourne, amène mon pénis à l’arrière de ses fesses en direction de son minou. Elle se penche, tournant la tête, me regardant avec des yeux troublés presque obscènes.

J’entre. Je sors. J’entre à nouveau. Elle est toute mouillée, lisse sur ses parois. Je pénètre un peu plus. Elle gémit. La chaleur de sa sève, je serre ses hanches. J’enclenche la vitesse. Je promène ses cris. On monte, monte, monte. J’arrive au paroxysme de mon envie. Je m’enfonce. Elle hurle. Nous jouissons ensemble…

Je contemple Lola qui dort. Comment ai-je pu me faire des idées comme çà ?… Elle m’aime, c’est sûr, pourquoi irait-elle voir ailleurs ?… Elle pense à sa carrière, mais je suis certain que çà s’arrête là…

Je suis jaloux !… C’est idiot. Pourquoi ?… Je ne l’ai jamais été. J’ai toujours avancé sans me demander quoi que ce soit à ce sujet. Les filles m’aimaient, je les aimais. Point !… Quand on s’est séparé, c’est que c’était fini. Ça, s’est fait comme çà, sans heurt…

Là, avec Lola, il y a autre chose. Il faut dire que c’est la première fois que çà dure plus que six mois. Ce sérieux, cela me fait un peu peur. Et puis, il y a le chômage. Je ne trouve pas de travail. Je manque de confiance en moi. Pas besoin d’être fin psychologue pour comprendre ce qui m’arrive. Je doute de moi, je doute d’elle ? C’est simple…

Tout çà ne poserait pas tant de problème si Amandine n’était pas venue habiter en face de chez nous. Amandine, c’est le style de fille normale qui ressemble à Lola, simple, sympa, amoureuse de son mari. Je m’affole lorsque je m’aperçois comme c’est facile de lui faire tourner la tête. Bien sûr, il ne s’est rien passé, mais je sais que si son mari n’était pas rentré plus tôt que prévu hier, on se serait laissé allé à des choses folles, des plaisirs intenses illégaux…

— Huuuuummmm !… J’ai beaucoup aimé ce que tu m’as fait toute à l’heure !…

Lola vient d’ouvrir les yeux pour dire çà et se rendort. Moi qui est peine d’avoir été si jaloux et de m’être abandonné à lui dire des mots que j’aurais dû gardé, je m’aperçois qu’elle a aimé ce jeu. Il est des termes qui créent des émotions fortes. Je regarde ce visage innocent dormir. Elle profite de la vie, c’est elle qui a raison. Je pense à Amandine. Je me lève. J’arrive vers l’ordinateur. Elle est là, assise en nuisette sur le canapé de son salon, les jambes repliées sur ses fesses . Elle zappe à grande allure. Je prends mon téléphone…

— Mathis ?… Tu en as mis du temps…

— Excuse-moi, Lola venait d’entrer. J’ai dû raccrocher vite. Là, elle est partie se coucher. J’ai toute la nuit pour toi…

— Oui, eh bien, moi pas !… Tu crois que tu peux m’appeler comme çà et me raccrocher au nez parce que Lola est allée dormir ?… J’en ai un peu marre d’elle, d’ailleurs. C’est toujours Lola par ci, Lola par là. Écoute, je veux bien répondre à ton enquête, mais le temps où tu es avec moi, tu n’es pas avec une autre, c’est compris ?…

— Heu oui…

— Bien !… Qu’est-ce que tu veux savoir ?… Tu vas être déçu, je porte la même nuisette qu’hier, je n’ai rien dessous. Tu n’en auras pas plus. Tu ne crois tout de même pas que je vais me changer tout le temps pour un type qui ne pense qu’à sa copine. Elle commence à m’énerver celle-là !…

— Ne crie pas !…

— Je crie si je veux !… De toute façon, si çà réveille mon homme, j’en ai rien à faire. Pour ce qu’il s’occupe de moi !… Toi, avec Lola, j’en suis sûre, vous venez de faire l’amour, c’est çà ?…

— Oui…

— Salaud !…

Elle me raccroche au nez…

Je me retrouve bête, avec presque peur que ses cris au travers du téléphone aient réveillé Lola. Non, ce n’est pas possible. Je rappelle. Amandine décroche…

— Enlève ta nuisette !…

— Mathis…

— Enlève-la tout de suite !…

— Mais…

— Tout de suite !…

Je la vois qui se lève, se pince fort les lèvres, fait se relever le tissu léger sur ses épaules par-dessus sa tête. Elle est nue, le téléphone à l’oreille…

— Approche de la fenêtre…

— Mathis…

Je la vois qui s’en vient. Ses seins sont magnifiques, son petit minou doux parfaitement taillé…

— Ouvre !…

Elle ouvre en grand, se place bien au centre, se laisse regarder…

— C’est bien… Tu peux te rhabiller maintenant. A demain !…

— Heu… A demain, Mathis…

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