Hagarde, la jeune fille me suivit dans un recoin du grand salon sans protester, docile sous ma poigne ferme, et se laissa glisser dans l’un des gros fauteuils capitonnés.
Les jambes tremblotantes et dissimulées par un énorme vase de plantes exotiques, sa jupe toute remontée sur ses genoux, la jeune fille semblait perdue et hagarde.
A l’autre bout du salon, Clarisse et Hugues s’accouplaient maintenant sur un sofa moelleux et l’on pouvait entendre leurs soupirs excités et le bruit caractéristique des peaux mouillées de sueur et de plaisir. Ils s’arrêtèrent enfin et vacillants l’un contre l’autre, se dévorant de baisers, ils partirent ensemble dans les pièces du haut, probablement dans les chambres.
J’offrais un verre de très fort alcool à la jeune fille, comprenant à quel point le spectacle se déroulant sous ses yeux l’avait bouleversée quelque peu. Néanmoins, mes yeux coulaient le long de son corps et s’attachaient sur les membres fins et la poitrine délicate dont je devinais les pointes durcies sous le fin corsage.
Baissant les yeux elle n’osait plus dire un mot, elle n’avait eu que le temps de me glisser « Je suis Ingrid, la belle-fille de Hugues » avant de se laisser tombée dans le gros fauteuil. Seuls la musique d’ambiance et les rires venant du plafond découpaient le silence. Elle avala d’un trait la rasade d’alcool et les larmes tout de suite lui vinrent aux yeux. Secouée sûrement par la scène précédente, elle cachait son visage dans ses mains. Je m’approchais d’elle et doucement, caressais sa joue du bout des doigts, effleurant ses lèvres de la pulpe de mon index.
Ingrid ferma les yeux et renversa sa tête sur le dossier du fauteuil.
« Que m’avez-vous donné à boire ? demanda t’elle d’une voix un peu pâteuse.
« Un whisky pur avec un seul glaçon » lui répondis-je.
Je déposai de légers baisers sur tout l’ovale de son visage et baisai sa bouche de tendres baisers. Ses lèvres chaudes s’ouvrirent lentement et sa langue vint chercher la mienne, ma main remonta sur la pointe de l’un de ses seins et se glissa sous son corsage.
Ce que sa peau était douce et tendre.ma tête vint se nicher sur ses seins de colombe et doucement, je lapai et suçai un téton tremblant et rose. Des petits soupirs étouffés s’échappèrent de ses lèvres.
Ma main entourait maintenant son sein et pressait doucement sa peau tandis que ma bouche continuait de sucer lentement son mamelon, Ingrid, enfoncée dans la profondeur moelleuse du fauteuil se laissait aller sous mes caresses buccales et je vis ses jambes s’ouvrir avec lenteur.
Ma main glissa le long de sa cuisse et remonta jusqu’à sa culotte déjà trempée de plaisir, je glissai un doigt curieux sous le tissu. Elle sursauta sous la caresse et sa main essaya de repousser la mienne tandis que mon autre main malaxait son sein et que ma langue léchait toujours la pointe de son mamelon.
Ma bouche glissa sur son épaule puis son cou que je mordillais avec délices, « Laisse toi faire ma belle » lui glissais-je a l’oreille, « Vois comme c’est bon et comme ma langue et mes doigts te font du bien. ton petit sexe est déjà dégoulinant de plaisir et ton anus est lui aussi tout humide.. hum.tu sens mon doigt qui te pénètre bien au fond.. Ouvres bien tes cuisses et laisses mes doigts te donner du plaisir »
La jeune fille, le rouge aux joues mais la jupe remontée sur la taille et le corsage entr’ouvert, se laissait faire sous mes caresses. Son sexe gourmand bavait de plaisir sous mes doigts inquisiteurs, la bouche ouverte sur des soupirs de jouissance Ingrid se faisait lentement baisée par mes doigts enfouis dans sa chatte juteuse, alors que j’approchais un doigt à l’orée de son anus, la voix de clarisse nous interrompit soudain.
« Mais que se passe t’il ici ? Qui est donc cette jeune fille ? Marc ? »
J’arrêtais mes caresses sur le champ tandis que la demoiselle tentait de refermer ses cuisses sur ma main mouillée de jouissance. Rougissante d’être surprise par celle qui suçait son beau père devant ses yeux un moment plus tôt, Ingrid bégaya « Je suis la.. la belle fille de Hugues. »
« Oh, fit Clarisse qui souriait maintenant c’est donc vous ! »
Feignant d’ignorer que la demoiselle était encore secouée par des frissons de plaisir, elle s’approcha d’elle la voix tendre :
« Vous vous êtes laissé séduire par ce joli cour de Marc, n’est-ce pas ? Venez par ici mon petit, laissez moi vous arranger un peu avant que votre beau-père ne revienne, il est en haut en conversation avec un de ses associés »
Je réalisais que des ahanements de plaisir féroces et bien distinctifs se faisaient entendre à intervalles réguliers depuis plusieurs minutes, le doute n’était plus permis, Hugues était certainement en train de se faire baiser par ce cochon de Louis dont la langue vicieuse avait dû se régaler de son anus quelques minutes plus tôt pour mieux le préparer.
Mon sexe gonflé de désir devenait trop douloureux, j’ouvris ma braguette et saisit mon vit à deux mains, entretenant ma bandaison je me branlais avec délices le regard accroché sur la bouche humide de la jeune fille.
Clarisse d’une main ferme, entraîna la jeune fille sur le sofa voisin et lui fit boire presque de force un autre un verre de Whisky tout en la recoiffant d’une main maternelle.
« Vous voilà toute émotionnée ma petite, ne vous en faites pas pour notre Marc, son désir n’en sera que plus émoustillé. Laissez le donc se caresser tout seul, ce petit pervers adore la provocation. »
« Je comprends qu’il ait voulu vous séduire dès votre arrivée, vous êtes réellement charmante ma chère. Laissez moi tout de même vous rhabiller avant que votre beau-père ne revienne » ajouta t’elle en passant ses mains sur les seins gonflés de la jeune fille tout en rajustant son corsage sur la poitrine offerte. Elle effleura d’un doigt l’un des mamelons et le caressa doucement, comme par mégarde.
« Cette peau douce, ces cheveux soyeux. » Clarisse glissa ses doigts dans la longue chevelure de la jeune fille, sa main redescendit sur sa joue, ses doigts effleurèrent la bouche entr’ouverte d’Ingrid et elle ajouta d’une voix plus basse « Et cette bouche tendre et rose qui donne envie de la déguster. » Clarisse effleura d’un doigt les lèvres de la jeune fille et le glissa dans la bouche de la demoiselle qui excitée par l’alcool et le plaisir le lui téta comme elle l’aurait fait d’un sexe gonflé et juteux, jetant à Clarisse des regards lourds de désir.
« Hum, oui. soupira Clarisse en glissant un autre doigt qu’elle fit aller et venir dans la bouche baveuse d’Ingrid, la demoiselle est gourmande on dirait. »
Elle approcha sa bouche de la jeune fille et lui donna un long baiser tandis que ses mains redescendaient sur le corsage d’Ingrid. Pelotant avec douceur les seins de la demoiselle entre ses mains douces et ses doigts inquisiteurs, Clarisse baisotait maintenant les lèvres de la jeune fille en tétant goulûment la langue pointue et rose.
Ingrid soupirait, les yeux fermés et offerte au plaisir, une main entourant le visage de Clarisse, elle ouvrit ses cuisses et je la vis glisser un doigt fiévreux dans sa chatte baveuse.
Ahanant de plaisir, mon sexe sur le point d’éclater je me branlais de plus en plus vite tout en matant les deux femmes.
La prenant dans ses bras, Clarisse la fit glisser sur le sofa, et tout en continuant de l’embrasser, s’allongea prés d’elle avant de glisser peu à peu son corps souple sous celui d’Ingrid.
« Hum, ronronna t’elle, viens sur moi ma douce et donne moi ton mamelon que je le tête bien. Ta peau et ton corps sont faits pour le plaisir, et tu es déjà toute excitée, petite perverse.»