Putain.
J’ai beaucoup trop bu.
J’ai envie de vomir, j’avale une nouvelle gorgée de bière qui glisse au fond de ma gorge. Je ne savoure plus, je picole. Le monde est flou et je ne comprends plus rien à la conversation. J’ai des choses à faire demain, peut-être. Je ne sais plus trop. Je regarde l’heure, il est 3h du matin. Aucune chance que j’aille au cours demain.
Je passe ma main dans mes cheveux courts. Je ne dois pas être beau à voir, une amie prend une photo de moi en souvenir, sans doute pour se foutre de moi. On peut y voir mon visage éméché, mes yeux verts et mes joues creuses. Je n’ai jamais été très musclé, ça se voit. Avec les filles, je suis plutôt du genre discret. J’aime bien imaginer des relations avec les mecs parce que c’est plus excitant. Quand c’est purement sexuel, c’est plus simple pour moi de trouver un mec qu’une fille.
Je galère pour sortir du bar, et je me mets à courir dans la rue. Je veux aller à la gare, pour prendre un bus ou un taxi pour rentrer. Manque de chance, en arrivant, je vois mon bus partir. Putain. A deux minutes près !
Je me rabats donc sur le taxi, et je lui explique que je n’ai pas beaucoup d’argent et il me propose de le partager avec quelqu’un qui va dans la même direction, je dois juste attendre et payer le supplément. J’accepte.
J’attends 30 minutes dans le taxi avant que quelqu’un n’arrive. Ils sont deux, et acceptent le deal. Un des deux monte à l’arrière avec moi. Je suis KO. J’ai du mal à me tenir droit et je ne le regarde même pas.
Le premier fait la conversation à l’avant, le deuxième se rapproche doucement, et saisit doucement ma main. Je ne réagis pas, j’ai trop bu. Il me tire, et me fait pencher de son côté. Avec sa main douce, il me dirige lentement vers son entre-jambe. Je ne comprends rien, mais ça fait longtemps qu’on ne m’a pas touché et ça m’excite pas mal. Il voit que je ne réagis pas, il s’approche de mon oreille et me dit :
« Ne dis rien, laisse-toi faire. Profite mais ferme ta gueule. »
Il me tire d’un coup par le bras, je m’affale sur lui. Je veux me relever mais il fait pression sur ma nuque. J’entends le chauffeur s’énerver.
– C’est pas vrai ! Il a vraiment trop bu, marmonne-t-il. Je n’aurais jamais dû le prendre.
– Ne vous inquiétez pas, réponds mon voisin. Ça me fait rire et ça ne me dérange pas du tout. Et puis, s’il peut se reposer.
– C’est vous qui voyez, conclut le chauffeur.
La discussion à l’avant reprend. J’ai la tête sur l’entrejambe de cet inconnu. Je ne réagis toujours pas, comme prévu. Soudain, je sens une odeur rance, un mélange d’urine et de transpiration. L’odeur est reconnaissable mais pas dérangeante. J’ouvre les yeux, et je découvre sa bite encore molle face à moi.
Je suis fasciné par son absence totale de gêne et bien que je n’en ai plus avalé depuis longtemps, elle me tente bien. Je lui donne des petits coups de langue avant de me laisser envahir et de l’enfoncer dans ma bouche. Elle grandit, et l’homme me dicte le mouvement. Elle est énorme ! Il me prend par les cheveux. Je me laisse complètement faire, finalement ce n’est pas si désagréable. Je me donne un peu et donne quelques mouvements de langue.
La route continue et je me sens excité par la situation. Je sais que c’est visible, mais le chauffeur est tellement à fond dans son débat à l’avant que j’en profite. D’un coup, le taxi s’arrête pour laisser descendre le passager à l’avant. Alors que je veux me montrer plus discret, l’inconnu n’a qu’une envie : me baiser la bouche.
Ses mains ont saisi ma tête au niveau du crâne et du cou, et il m’a littéralement baisé la bouche alors que le taxi redémarrait. Je n’ai pas eu le temps de vraiment réagir à ça, j’avais l’impression d’encaisser une dizaine de coups de bite à la seconde.
Combien paieraient pour ce genre de fantasmes ? Je suce bien, je me montre de moins en moins discret. J’avale en entier ses couilles, et glisse un doigt entre ses jambes. Je sens que ma bite va éclater d’excitation. J’entends des petits « sale chienne » suffisamment discrets pour m’encourager. Je fais des bruits de plus en plus explicites, je bave, j’avale en entier.
Evidemment, ça n’a pas trainé :
– Vous foutez quoi derrière ? lance le taximan.
– Je baise l’autre connard que vous avez pris, mate ça ! s’exclame le mec à côté de moi. T’arrêtes pas !
Le taximan, surpris mais pro, continue sa course. D’un coup, le mec enlève sa ceinture de sécurité et se met à genoux sur les sièges en maintenant ma tête. Il me baise la tête comme une chienne. Je subis, je tente de maintenir la bouche ouverte, et je bave beaucoup. J’entends les plaintes du chauffeur.
Soudain, le mec me pousse en arrière et éjacule tout son jus sur moi. J’en ai partout, mais il y en a plein autour de moi dans le taxi. Le mec hurle en jouissant, me fout une énorme gifle et sort d’un coup du taxi en courant. Le chauffeur n’a pas le temps de réagir que ce connard s’est barré, en me laissant baignant dans son sperme et ma salive.
– C’est une blague ? Bordel de merde ! Ce connard a pas payé, ni pour sa course, ni pour le bordel qu’il a foutu ! Et puis merde, t’es qui toi ? Je savais que je devais pas te prendre ! T’as niqué ma soirée. Si t’avais pas été une grosse chienne, on n’en serait pas là ! J’ai envie de te tuer, et je suis sûr que t’as pas assez de thunes évidemment.
Pour ma défense, j’avais du mal à argumenter la bouche à moitié endormie par cette pipe et par l’alcool. « Il va falloir payer » me répétait le chauffeur. Et je ne pouvais pas lui donner tort, mais j’avais peur. Il verrouille toutes les portières, et démarre au quart de tour. Dans sa radio, je l’entends donner pas mal d’instructions « retire moi du service », « je vais laver au mieux avant de la désinfecter », mais aucune mention de moi, et on s’éloigne de mon domicile.
Je me sens de moins en moins à l’aise quand la voiture s’arrête près d’un champ.
– Petit con, tu vas me le payer.
La portière s’ouvre, et ma tête bascule naturellement dans le vide alors que je suis toujours couché sur la banquette. Je n’ai pas le temps de dire quoi que ce soit que l’énorme chibre du chauffeur s’enfonce au plus profond de ma gorge. Je m’étouffe, j’ai du mal à respirer, mais il me baise littéralement la gorge. J’ai envie de vomir. Ma gorge commence à s’habituer mais je bave énormément. J’ai l’impression d’avoir le visage couvert de son sperme. Au final, je prends secrètement du plaisir face à la situation.
– Prépare-toi, je vais te détruire le cul.
Je comprends que c’est un avertissement plus qu’une méthode d’intimidation. Je récolte un peu de jus sur mon visage, et je dirige ma main vers mon petit cul avec sa grosse bite en bouche. Je m’enfonce un doigt, j’humidifie, et je recommence. C’est une opération délicate, mais l’alcool me dilate pas mal.
Le chauffeur me retourne, je me laisse faire. Je n’ai plus la force. Il présente son gland gorgé de sang et recouvert de ma salive à l’entrée de mon petit trou et s’enfonce sans ménagement. La douleur est intense, je saisis mes mains pour me retirer, mais il s’enfonce plus profondément. Il saisit mes mains, les pose sur mes fesses et me fait comprendre que je dois les écarter. Je m’exécute, souillé. Il n’hésite pas rentrer sa bite de tout son long, en enfonçant brutalement son engin. Une lumière m’aveugle, je comprends qu’il me filme avec son flash. Un bon trophée de chasse.
Après cinq longues minutes de pilonnage intense, il dirige sa bite vers mon visage et éjacule une quantité énorme de sperme. Je ne savais pas que c’était possible, je compte 8-10 saccades, puis je l’entends se rhabiller lentement, ouvrir la porte de son taxi et me jeter un papier. C’est son numéro, m’explique-t-il. « Appelle moi vite si tu ne veux pas être la pute de tous les taximen de ta ville ». La porte claque, le moteur démarre, la voiture s’en va. Je suis couché, recouvert de sperme, et bientôt la pute d’un chauffeur.
