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Juliette – Chapitre 1




Je suis depuis une semaine avec Juliette, je commence à réaliser que c’est une nymphomane insatiable. Elle veut toujours se faire baiser, enculer ou s’exhiber. Hier elle est allé passer la nuit chez elle, je présume pas seule, et cela m’a permis de me reposer un peu. Nous venons de déjeuner, nous sommes assis sur le divan, nous sommes nus elle se blotti contre moi en me caressant le torse,

— Tu sais, tu es beaucoup plus vieux que moi, mais pour l’instant je me sent bien avec toi. Ca ma change des minets de 20 ans. Tu es plus posé et tu fais tout ce que je veux, c’est super.

— Ok mais il faut pas trop me fatiguer, je suis de plus en plus fragile tu sais.

Elle éclate de rire et m’embrasse tendrement.

— Il est 15 heures, si on allait quelque part pour s’amuser.

— D’accord, mais ou veux tu aller.

— Je ne sait pas, tu dois bien connaitre des coins sympas?

— Un sex-shop, ça te dit?

— Bien sûre, je m’habille.

J’enfile un short blanc et une chemisette. Elle apparaît en jupe plissée assez courte et corsage blanc qui ne dissimule pas grand chose. C’est limite mais tout de même acceptable dans la rue. Je prend mon sac d’accessoires et nous allons au sex-shop de mon pote. Arrivés sur place, je vois les images de ma dernière visite tourner en boucle sur un écran de télé. Il y a deux hommes dans la boutique qui regardent les films. Apparemment, Annie n’est pas là.

— Salut Jean.

— Salut Patrick, je te présente Juliette.

Patrick regarde Juliette avec intérêt.

— Bonjour Juliette, tu es magnifique. Tu vois ce film sur l’écran?

— Oui dit elle.

— C’est Jean l’acteur principal.

Elle se retourne vers moi, me sourit et dépose un baiser sur ma bouche.

— Nous allons prendre deux heures pour débuter dis je.

— Pas de problème, cabine 4. C’est celle du milieu.

Patrick se tourne vers Juliette.

— Je pourrais filmer quand Annie sera là, dans 10 minutes?

Juliette me regarde et répond.

— Ce serait un comble de ne pas nous filmer.

— J’ai un nouvel appareil qui permet de visionner les films et de floquer les images. Je pourrais l’utiliser pour que l’on ne vous reconnaisse pas.

— Je me fou bien qu’on me reconnaisse dit Juliette, je suis là pour me montrer, je me montre en entier.

— Qu’est ce que je fait, je vais pouvoir poser mes affaires quelque part ou je les dépose ici?

Patrick regarde Juliette complètement abasourdi par ses propos.

— Tu fais comme tu veux. Simplement les cabines sont petites pour deux.

— Ok.

Elle déboutonne son corsage, l’enlève, descend le zip de sa jupe, l’enlève et pose le tout sur la banque. Patrick ouvre de grands yeux, me regarde étonné. Juliette me regarde avec un air de défit. Je me déshabille aussi et nous nous retrouvons nus au milieu de la boutique. Les deux hommes ne regardent plus les films mais sont polarisés par le cul de Juliette. Le téléphone de Juliette sonne.

— Allo, …… à c’est toi,……je suis dans un sex-shop, le …….. Ok à tout à l’heure peut être, bisous.

Elle raccroche et se tourne vers moi.

— C’était une vielle copine.

Je suis admiratif et subjugué par l’aisance de cette fille, nue dans une boutique, et qui téléphone à une copine comme si de rien n’était. Nous nous enlaçons et nous descendons au sous sol. Deux cabines sont occupées, l’une d’elle n’est pas fermée. Il y a un homme, la queue sortie qui se branle. Il a l’air pas très net et nous ne nous y intéressons pas. Nous ne nous occupons pas du tout de la cabine. Juliette va directement sur le divan en se regardant marcher dans la glace du couloir. Elle s’assoie, écarte les jambes et commence à se masturber lentement. Elle fait glisser son majeur sur sa vulve, écarte les lèvres et dégage le clitoris. Les deux hommes nous ont suivi, je leur fait comprendre que ce n’est qu’un spectacle et que l’on ne touche pas. Je pose mon sac d’instrument à côté d’elle. Elle me fait signe de venir vers elle pour la caresser. Je m’assoie à côté d’elle et je lui caresse les seins, le ventre et je descend jusqu’au pubis. Elle dégage sa main pour me laisser la place, ma main remplace la sienne sur son clitoris. Elle renverse la tête, ferme les yeux, ses narines palpitent, c’est le signe que la jouissance monte. Elle attrape ma tête et vient poser ses lèvres sur les miennes. Nous nous embrassons passionnément. Tout en l’embrassant, je la sent qui se crispe de plus en plus. Elle lutte contre l’orgasme qui monte mais ne peut résister longtemps. Elle renverse la tête en arrière.

— Oui Jean, c’est parti, je vais jouir comme une folle, je viens, je viens.

Elle pousse son râle caractéristique quand elle joui. Un son sourd, venu du fond de son être qui la fait vibrer et vibrer tout son entourage. Elle se cambre, envois son pubis en avant. Je lui pince le clitoris et là elle cri de plaisir. Les hommes sont maintenant trois et se masturbent comme des fous. Ils jouissent les uns après les autres. Juliette se calme doucement, pose sa tête sur mon épaule.

— Jean, je suis merveilleusement bien avec toi. J’espère que ça va durer encore un peu.

— Il n’y a pas de raison que ça s’arrête pour l’instant.

Elle se colle encore plus et m’embrasse dans le cou.

Quelqu’un descend les escaliers, c’est Annie avec une caméra et des boites de DVD. Elle porte un débardeur sur sa peau nue et une jupe moulante courte.

— Juliette je te présente Annie. Annie, voila Juliette.

Annie s’avance, m’embrasse sur les joues et se penche sur Juliette pour l’embrasser aussi. Juliette lui attrape la tête et pose ses lèvres sur celles d’Annie. Je vois qu’elle force l’entrée de sa bouche, Annie cède et elles s’embrassent longuement. Annie se redresse et je vois qu’elle est toute retournée par ce baiser. Elle regarde Juliette tendrement. Juliette se lève, lui prend la caméra et me la tend.

— Tient Jean, filme. Quant à toi, si tu veux nous filmer, il faut être en tenue adéquate. Tu permet que Jean filme?

Annie me regarde, elle a un air affolé, elle ne sait pas ce qu’il faut faire. Juliette la regarde, se penche sur elle et l’embrasse. Deuxième baiser brûlant. Juliette la caresse sur tout le corps en l’embrassant. Annie se dégage du baiser.

— Fais ce que tu veux.

Je commence à filmer. Juliette se saisi du débardeur par le bas et le remonte. Annie a un dernier réflexe de survie mais le regard de Juliette la dissuade de lempêcher de continuer. Elle lève ses bras et le débardeur passe par dessus sa tête et se retrouve sur le divan. Juliette s’accroupie et tire sur le zip de la jupe d’Annie. La jupe rejoint le débardeur. Annie est en string blanc devant nous. Juliette s’assoie sur le divan.

— Viens dit elle à Annie.

Juliette s’allonge sur le divan sur le dos. Elle fait signe à Annie de s’approcher d’elle. Elle se saisi de son string et le descend. Elle prend Annie par la taille, la fait courber vers son sexe et l’attire sur elle. Les deux femmes se retrouvent en position 69. Juliette se précipite sur le sexe d’Annie. Annie a l’air plus hésitante. La main de Juliette se pose sur la tête d’Annie et la pousse vers son sexe. Annie sort sa langue pour la poser sur les grandes lèvres humides de Juliette. Je filme une fois Juliette entrain se sucer le clitoris d’Annie, une fois Annie entrain de lécher le sexe de Juliette. Petit à petit Annie semble prendre du plaisir et elle se donne à fond dans sa tâche. Les deux femmes gémissent de plaisir. Annie pose maintenant un doigt sur la vulve de Juliette, le fait aller et venir dans son antre.

— Oui, vas y c’est bon. Met un autre doigt.

Annie met un deuxième doigt, un troisième et pistonne Juliette.

— Encore, plus de doigts, encore.

Annie positionne ses doigt en pointe et les enfoncent doucement dans le sexe de Juliette. Sa main progresse lentement mais inexorablement. Je filme cette main qui s’enfonce dans le con de Juliette. Annie pousse encore et la main disparaît entièrement. Annie enfonce son avant bras pratiquement jusqu’au coude. Elle fait des va et viens de plus en plus rapides. Juliette a laissé le sexe d’Annie pour se concentrer sur son plaisir.

— Oui ma chérie, oui encore, ton bras est merveilleux, encore, encore, ça y est, c’est parti.

Juliette se cambre, ses fesses sont à 20 cm du divan, son ventre est noué sa bouche cherche de l’air. Elle pousse un grondement sourd mais très puissant. Son ventre va au devant du bras qui la rempli, elle fait elle même des va et viens et soudain s’écroule sur le divan. Elle embrasse le sexe d’Annie.

— Merci ma chérie, merci.

Les trois hommes ont joui pour la deuxième, voire la troisième fois. Deux d’entre eux se retirent apparemment épuisés.

Annie retire délicatement son bras du sexe de Juliette. Le divan est inondé de mouille. Annie regarde l’objectif de la caméra et me sourit.

— Tu as tout filmé?

— Oui, mais tu sais très bien que si tu ne veux pas garder le film, Patrick l’effacera.

— Pas question, je vais lui demandé une copie.

— Annie ma chérie, tu veux que je te fasse la même chose dit Juliette.

— Je ne sais pas, j’ai envie mais j’ai un peu peur tu sais.

— Ne t’en fais pas, je serais très douce, comme toi, et si tu veux arrêter j’arrête tout de suite.

— Ok, Jean tu me filme?

— Bien sur.

Tout à coup, j’entend quelqu’un descendre rapidement les escaliers. Je me retourne, c’est Gabrielle.

— Salut les amis.

Elle me fait un rapide bisou sur les lèvres, va vers Juliette,lui fait la même chose et se retourne vers Annie mais là, elle l’embrasse à pleine bouche. Une fois de plus, Annie abandonne sa bouche à un baiser passionné. Ces deux femmes sont décidément de sacré phénomènes.

— Ou est ce que je met mes affaires?

— En haut répondis je.

— En haut?

— Oui, Patrick garde nos fringues.

— Ok.

Elle remonte à toute vitesse en déboutonnant son corsage. Deux minutes plus tard, elle nous rejoint entièrement nue. Elle est suive par un jeune couple. Elle se précipite sur Juliette pour l’embrasser tendrement.

— Gabrielle, c’est d’Annie qu’il faut qu’on s’occupe.

— Ok.

Le couple s’approche timidement, ils sont impressionnés par le spectacle. Un homme nu avec trois femmes aussi nue que lui qui s’envoient en l’air devant tout le monde. Je pense qu’ils n’ont jamais vu ça. Je leur fait signe de s’avancer et de rester un peu à distance.

Juliette prend Annie par les épaules, la fait pivoter et l’allonge sur le divan. Gabrielle l’embrasse et Juliette se penche sur son sexe. Les mains de Gabrielle parcourent le corps d’Annie, elle ne le connait pas encore. Juliette, elle, prépare Annie à la pénétration future en lui caressant le clitoris. Annie est parcourue de spasmes sue tout le corps. Elle ferme les yeux, sa respiration s’accélère, elle s’abandonne aux main et aux bouches des deux femmes. Je filme ce merveilleux spectacle de trois jeunes femmes, toutes plus belles les une que les autres, entrain de se donner du plaisir. Le couple regarde subjugué. Elle porte sa main sous sa jupe et se caresse le minou par dessus son string. Lui a sorti son sexe et se branle. Le troisième homme est parti. Il ne reste plus que nous, le couple et la personne dans la cabine que nous n’avons toujours pas vu.

Juliette positionne ses doigts en pointe et les présente sur la vulve d’Annie. Celle ci se cambre pour présenter son sexe à la main. Gabrielle malaxe les seins d’Annie en l’embrassant. La main de Juliette progresse lentement, Annie écarte les jambes au maximum, elle donne des coup de rein pour accélérer la pénétration mais Juliette contrôle la situation et avance très lentement. Cela me laisse le temps de filmer sur plusieurs angles. Annie s’abandonne de plus en plus, son visage exprime le bonheur de se faire pénétrer de la sorte.

— J’y suis presque, Jean viens filmer l’introduction finale.

Je filme en gros plan la main de Juliette qui tout à coup disparaît dans les profondeurs du con d’Annie.

— OOOOOOOOOOHHHHHHH oui, oui, encore, pistonnes moi, défonces moi, j’ai envie de te sentir dans mon antre.

Juliette accentue ses va et viens en ouvrant et fermant sa main dans le con d’Annie.

— AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH.

Juliette accélère encore et enfonce son avant bras de plus en plus profond. Elle arrive au coude, jamais je n’es vu un sexe si profond pour accepter un avant bras complet.

— AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH

Annie joui dans un grand cri de joie. Elle se cambre comme Juliette tout à l’heure, Gabrielle a beaucoup de mal à continuer à lui malaxer les seins tellement elle est secouée de spasmes. Je filme toujours jusqu’à ce qu’Annie retombe sur le divan. Gabrielle l’embrasse encore, Juliette lui lèche le clitoris tout en gardant son bras dans son con. Annie est secouée par un autre spasme. Juliette continu de la sucer et Annie repart dans une nouvelle jouissance. Cela dure un bon quart d’heure, Gabrielle sur le haut du corps d’Annie et Juliette sur son sexe. Juliette fini par retirer son avant bras du sexe d’Annie. Celle ci est complètement assommée par le plaisir et ne bouge plus du tout.

— Je crois qu’il faut la laisser un peu récupérer nous dit Gabrielle.

Je pose la caméra, me retourne et je vois le couple entrain de faire l’amour debout. Elle est contre la glace, la jambe droite relevée, le string de côté et lui la baise violemment. Ses coup de rein sont violents et rapides. Elle se raidi, l’agrippe par le cou et ferme les yeux. Elle joui.

— Oui, viens, vide toi dans mon con.

Il la suit dans la jouissance de très près. Une fois qu’ils sont calmés, je m’approche d’eux.

— Vous avez apprécié le spectacle à ce que je vois.

— Oui énormément.

— Ce n’est pas fini.

Je retourne au divan, Annie s’est redressée et me sourit.

— Tu as tout filmé?

— Oui ne t’en fait pas. Maintenant, c’est à toi de filmer.

Je lui donne la caméra. Elle nous regarde avec un air interrogateur.

— Qui commence.

— Moi dis je.

Je prend le gode gonflable, le recouvre d’un préservatif et l’enduis de gel. Je le fixe sur le sol avec sa ventouse. Je m’enduis le cul de gel et me positionne sur le gode. Je le gonfle à 6 cm environ et commence à descendre dessus.

— Attends une minute dit Juliette.

Elle sort deux autres godes de mon sac. Ils font tous les deux 5 cm de diamètre et se fixe avec une ventouse. Juliette les recouvre d’un préservatif et les lubrifie. Elle en pose un de chaque côte de moi de manière à ce qu’Annie puisse bien filmer.

Annie, toujours nue, s’accroupie devant moi pour mieux filmer, se faisant, elle m’expose sa chatte grande ouverte et luisante de mouille. Juliette et Gabrielle se positionnent chacune d’un côté, s’accroupissent comme moi et s’arrêtent au moment ou les godes touche leur fion. Elles veulent s’enculer comme moi.

— Ok, on y va dit Gabrielle.

Nous descendons tous les trois sur nos godes. Nos fions laissent entrer les mandrins. La vue de la chatte d’Annie nous excitent tous les trois et nous commençons à nous pistonner en cadence. Nous nous tenons par les épaules comme les danseurs russes et le manège continu. Je sent monter en moi le plaisir, je bande comme un fou. Je regarde la femme qui se déshabille devant moi pour mieux se masturber. L’homme l’imite. Il a un tout petit sexe mais bien raide. Nous sommes 6 personnes nus dans ce couloir entrain ne se donner du plaisir. Je regarde la femme, elle est intégralement bronzée, épilée avec de très beaux seins ronds et fermes pas trop gros. Je lui fait un petit signe de la tête. Elle comprend qu’elle peut s’approcher. Je regarde la chatte d’Annie ouverte, son clitoris est bien dégagé. Elle comprend, pose ses vêtement sur le sol derrière Annie, se couche dessus et passe sa tête sous les fesses d’Annie. Sa bouche est juste sous sa chatte. Elle tire la langue et la pose sur le clitoris d’Annie. Celle ci sursaute mais ne bouge pas, elle continu de filmer. La femme redresse un peu la tête et aspire son clitoris. Je vois Annie qui va partir dans une autre jouissance mais la mienne arrive en premier. Mes jambes me lâchent et je m’écroule sur mon gode en poussant un cri de plaisir. Juliette et Gabrielle me suivent assez vite et nous nous retrouvons tous les trois assis sur nos godes. Annie est secoué de spasmes et joui sur la bouche de la femme. Elle continu toutefois de nous filmer.

Tout le monde se calme, Annie arrête de filmer et pose la caméra sur le divan, aide la femme à se relever.

— Quel pied, quelle après midi.

Je me retourne vers la femme.

— Tu as été super, mais tu ne te sent pas trop frustrée de regarder sans participer?

— Oui mais je ne suis pas capable de faire la même chose.

— Tu es bien nue devant nous là maintenant.

— Oui mais c’est dans le feu de l’action et dans l’excitation que je me suis déshabillée. Je ne l’aurais jamais fait en étant dans un état normal.

— Oui mais tu l’as quand même fait. Tu veux t’allonger sur le divan?

— Pourquoi pas, essayons.

Elle va s’allonger sur le dos sur le divan. Elle fait signe à l’homme de rester là ou il est. Celui ci s’immobilise, fait une drôle de tête. Il se récupère ses affaires, s’habille et part sans se retourner. Manue me sourit.

— Tant pis pour lui. De toute manière il commençait à me faire chier. Allez on y va.

— A vous les filles.

Juliette et Gabrielle s’approchent de la femme.

— Tu t’appelle comment.

— Emmanuelle, mais je préfère Manue.

Tien comme ma première femme.

— Vous pouvez filmer si vous voulez, je voudrais seulement une copie.

— Ok, pas de problème.

Je prend la caméra et je commence à filmer. Manue est là, offerte, je filme son corps en remontant des pieds à la tête. Je m’attarde un peu sur le sexe et les seins en faisant un zoom. Les filles lui écartent les cuisses. Sa chatte est luisante de mouille. Juliette se penche sur elle et lui pose ses lèvres sur les siennes. Sa langue entre dans la bouche de Manue. Elles s’embrassent avec fougue. Gabrielle monte sur le divan, se glisse entre ses jambes et pose sa bouche sur son sexe. Annie, ne voulant pas rester à ne rien faire, se penche sur ses seins et les embrasse l’un après l’autre.

— Quelque chose dans mes trous s’il vous plait. Je veux me faire mettre du gros, du très gros dans les deux orifices.

Juliette laisse la bouche de Manue, prend les deux godes, les encapuchonne et les lubrifie. Elle en donne un à Gabrielle.

— Attendez un instant dit Annie.

Elle monte à la boutique et revient quelques secondes plus tard avec deux coussins.

— J’avais complètement oublié que j’était à poil, Patrick a été très surpris.

— Je pense que ça a été une agréable surprise.

Annie pose les coussins sous le haut des fesses de Manue de manière à la cambrer et à dégager au maximum le sexe et l’anus. Gabrielle reprend sa position entre ses cuisses et met les jambes de Manue sur ses épaules. Juliette lui enduit le cul et le con de gel. Elle présente son gode sur le sexe de Manue, Gabrielle sur son cul. Elles se regardent, regardent Manue et commencent à pousser sur les godes. Manue se cabre, son ventre se noue mais elle l’avance sur les godes. Petit à petit les gode s’enfoncent dans les deux orifices. Annie, n’en pouvant plus, monte à genou sur le divan, les cuisses écartées et présente soin sexe à la bouche de Manue. Celle ci le happe avec plaisir. Les godes vont et viennent dans le con et le cul de Manue. Je filme toujours mais j’ai un peu de mal à tout saisir. Manue monte en tension, je vois son corps se cambrer et retomber sur les coussins. Ses main agrippent le divan, sa langue s’active de plus en plus vite sur la chatte d’Annie qui part dans un orgasme terrible.

— AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH

Elle se retiens ne pas tomber sur le visage de Manue. Se retire, se penche pour lécher le visage de Manue et récupérer un maximum de sa cyprine. Elles finissent bouche à bouche. Manue ferme les yeux, enlace Annie, l’attire sur elle et lui embrasse les seins. Cela déclenche son orgasme.

— OOOOOOOOOHHHHHH OUI? OOOOOOOOOOOOOHHHHHHHHHHHH OUI. AAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHH.

Elle est secouée de tremblements, ses jambes se tendent et se replient, elle manque d’étrangler Gabrielle et se calme petit à petit. Au bout de plusieurs minutes elle ouvre les yeux. Nous somme tous entrain de la caresser et de l’embrasser sur tout le corps.

— Merci mes chéris, merci. C’est la première fois que je fais ça mais je peux vous assurer que ce n’est pas la dernière.

Nous la libérons, elle se redresse et nous sourit.

— Quel pied, putain quel pied. Et ce con qui n’a pas voulu rester.

— J’espère que ça va s’arranger.

— Pas du tout. Il commençait à me faire chier, maintenant c’est fini et tant mieux, je suis enfin libre de mes gestes et de mes envies. Il a fallu que je le travaille au corps pendant plusieurs jours pour que nous venions ici.

— Vu ce qui c’est passé, je comprend ses réticences.

— On s’en fou. J’ai pris un pied comme jamais je n’en avait eu. Ca ça restera, le reste n’a pas d’importance.

Il est 19 heures, j’ai filmé deux DVD entier. Je monte les porter à Patrick.

— Je vois que vous vous êtes bien amusés.

— Tu peux le dire. Tu peux faire des copies?

— Combien.

— Au moins 5 plus une pour Annie.

— C’est marrant, je connais Annie depuis 2 ans qu’elle travaille ici, et je n’avais jamais remarqué quel canon elle pouvait être, surtout à poil. C’est la première fois que je la vois dans cet état.

— J’espère qu’il n’y aura pas de conséquences fâcheuses pour elle.

— Ne t’en fait pas, se fut un plaisir de la voir nue, et je ne demande qu’à revivre l’expérience.

— La prochaine fois que nous revenons si elle est là. Au fait tu es marié je crois.

— Oui et j’aime ma femme. Je ne risque pas de la tromper.

Je redescend au sous sol et je vois Juliette entrain de faire une minette à Gabrielle et Manue pareil à Annie. Elles sont insatiables. Je les laisse faire quelques minutes jusqu’à leurs jouissance.

— Les filles il se fait tard. Il faudrait rentrer chez soi.

Tout le monde s’habille. La porte de la cabine est toujours fermée. Je me retourne vers Annie d’un air interrogateur.

— Ne t’en fait pas, elle est condamnée, l’écran est HS. Dis? je peux venir avec vous, je peux prendre ma soirée aujourd’hui.

— Qu’en penses tu Juliette.

— Plutôt deux fois qu’une.

Annie se jette sur la bouche de Juliette pour l’embrasser fougueusement.

— Et moi? dit Gabrielle.

Annie se retourne sur Gabrielle et l’embrasse de la même manière.

— Je vais être jalouse dit Manue.

Annie la prend dans ses bras et l’embrasse aussi.

— Bon c’est pas tout ça, il faut y aller.

Nous remontons à la boutique. Patrick a eu le temps de faire les copies avec son appareillage professionnel. Il les distribue à tous.

— Merci et à bientôt.

— Tu as une copie.

— Bien sûre. Tout le monde est d’accord pour que je garde une copie?

Tout le monde accepte, les filles vont faire une bise à Patrick et je ressort du sex-shop avec quatre filles autour de moi. Je remarque des regards envieux.

— Que fait on?

— On va manger chez moi dit Juliette. Bien sûrs Manue tu nous accompagnes.

— Avec plaisir.

Nous partons donc tous chez Juliette.

La soirée a continué.

Mais ceci est une autre histoire.

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